Recher conseils pour sevrage Oxynormoro
Publié par Lola de la Lune,
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- Lola de la Lune
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Bonjour,
j'ai déjà posté plusieurs fois ici du fait de douleurs chroniques.
En février, j'ai été atteinte d'une névralgie cervico-bracchiale si violente que, suite à mon intolérance aux anti-épileptiques, le médecin de SOS médecin m'a prescrit de l'Oxynormoro 20mg. Ca marchait très bien, donc lors de mon RV au centre de la douleur qui au départ n'était pas pour ça, le neurologue a poursuivi (à ma demande bien sûr...) avec LP et intervalles libres, en attendant IRM du dos et RV rhumatologue qui étaient loin. On était à 120mg à ce moment-là.
Le LP n'a jamais marché sur moi (?).
Mon psy a poursuivi avec l'Oxynormoro, à raison de 90mg par jour, mais en réalité j'ai dépassé le mois dernier. Les réveils sont ingérables, douleurs à hurler, corps tout raide, donc je prends 30mg au lieu de 20, et je ne dors que par tranches de deux heures donc... évidemment, problème.
Là je vais en manquer et donc je voudrais commencer le sevrage moi-même.
Déjà parce qu'il s'avère que le problème ne vient pas de mon dos mais peut-être du cerveau : les réflexes neurologiques aux examens (vous savez le marteau, tout ça) sont anormaux et NON ce n'est pas lié à la prise d'Oxynormoro, les spécialistes sont tous d'accor là-dessus.
Entre-temps les douleurs se sont étendues aux bras, aux jambes (difficulté à ma marche). Je dois faire un IRM du cerveau. Honnêtement je pense que j'ai un truc genre fibromyalgie parce que ça collerait avec le reste de mes problèmes (Sadam, névralgie du trijumeau).
Bon. Je souffre le martyre, sans Oxynormoro ça va être affreux, donc j'aimerais éviter les crises de manque... si possible.
En toute logique je devrais baisser à quel rythme?
Chez moi j'ai des benzos : Rivotril, Lexomil. Est-ce que ça peut aider?
Il me reste aussi un peu de Daffalgan codéiné que je prenais avant pour ma mâchoire.
Autre question : la douleur du dos est plutôt bien calmée (par un ostéo finalement!), mais aggravée dans les membres. Aux spécialistes de ce produit, se pourrait-il que ces contractures musculaires/crampes soient de fait causés par l'Oxynomoro lui-même et que je me soigne avec... la cause ou une des causes du problème
. Je ne sais pas du tout comment j'en suis venu à ce questionnement, m'y connaissant peu en la matière.
Si vous pouviez m'aider ce serait super sympa, je ne me heurte qu'à des spécialistes abjects pour mes problèmes de santé (à part mon psy qui me suit depuis 18 ans et qui est au top), et passe mon temps à pleurer dans mon lit à cause des douleurs et du découragement, c'est pas la joie
.
Alors vraiment merci à ceux-celles qui prendront le temps de me lire et me répondre.
j'ai déjà posté plusieurs fois ici du fait de douleurs chroniques.
En février, j'ai été atteinte d'une névralgie cervico-bracchiale si violente que, suite à mon intolérance aux anti-épileptiques, le médecin de SOS médecin m'a prescrit de l'Oxynormoro 20mg. Ca marchait très bien, donc lors de mon RV au centre de la douleur qui au départ n'était pas pour ça, le neurologue a poursuivi (à ma demande bien sûr...) avec LP et intervalles libres, en attendant IRM du dos et RV rhumatologue qui étaient loin. On était à 120mg à ce moment-là.
Le LP n'a jamais marché sur moi (?).
Mon psy a poursuivi avec l'Oxynormoro, à raison de 90mg par jour, mais en réalité j'ai dépassé le mois dernier. Les réveils sont ingérables, douleurs à hurler, corps tout raide, donc je prends 30mg au lieu de 20, et je ne dors que par tranches de deux heures donc... évidemment, problème.
Là je vais en manquer et donc je voudrais commencer le sevrage moi-même.
Déjà parce qu'il s'avère que le problème ne vient pas de mon dos mais peut-être du cerveau : les réflexes neurologiques aux examens (vous savez le marteau, tout ça) sont anormaux et NON ce n'est pas lié à la prise d'Oxynormoro, les spécialistes sont tous d'accor là-dessus.
Entre-temps les douleurs se sont étendues aux bras, aux jambes (difficulté à ma marche). Je dois faire un IRM du cerveau. Honnêtement je pense que j'ai un truc genre fibromyalgie parce que ça collerait avec le reste de mes problèmes (Sadam, névralgie du trijumeau).
Bon. Je souffre le martyre, sans Oxynormoro ça va être affreux, donc j'aimerais éviter les crises de manque... si possible.
En toute logique je devrais baisser à quel rythme?
Chez moi j'ai des benzos : Rivotril, Lexomil. Est-ce que ça peut aider?
Il me reste aussi un peu de Daffalgan codéiné que je prenais avant pour ma mâchoire.
Autre question : la douleur du dos est plutôt bien calmée (par un ostéo finalement!), mais aggravée dans les membres. Aux spécialistes de ce produit, se pourrait-il que ces contractures musculaires/crampes soient de fait causés par l'Oxynomoro lui-même et que je me soigne avec... la cause ou une des causes du problème
. Je ne sais pas du tout comment j'en suis venu à ce questionnement, m'y connaissant peu en la matière.Si vous pouviez m'aider ce serait super sympa, je ne me heurte qu'à des spécialistes abjects pour mes problèmes de santé (à part mon psy qui me suit depuis 18 ans et qui est au top), et passe mon temps à pleurer dans mon lit à cause des douleurs et du découragement, c'est pas la joie
.Alors vraiment merci à ceux-celles qui prendront le temps de me lire et me répondre.
Hors ligne
Salut 
Alors c’est vrai que le sevrage d’oxy peut être particulièrement difficile.
Comment vois tu cela ? Plutôt un sevrage à sec? Dégressif ? Ou bien plutot un switch vers un tso ???
Pour ton autre question, à ce que je sache, et de par mon expérience (4 ans de tso Oxy IV env 5-600mg) l’oxycodone n’a pas pour effet secondaire de douleur musculaires, à part si elles sont du au manque ??
Toute fois la conso dopi au long cour peut déclencher une hyperalgie.
Et certains professionnels malheureusement n’ont pas tjr conscience de l addiction que peut engendrer les opi, et/ou comment la gérer.
Personnellement je crois que je te conseillerais une PEC en csapa, tu y trouveras de façon gratuite, et anonyme si tu en formule la demande, une équipe pluridisciplinaire, ou tu pourras voir AS, addicto, éduc, psychologue et psychiatres, ils sont tous formés à l’addiction et habituer à tout ça!
Tu pourras voir avec l’addicto en fonction de tes désirs, et possibilité peut être (selon la douleur) si un tso peut être envisageable, ou bien si tu veux un accompagnement pour ton sevrage, dans tout les cas je pense que ça n peut t’etre Que bénéfique
Tu as l’annuaire en page d’accueil si jamais :)
Pour l’instant, je comprend bien ton parcours, mais pas forcément ta situation.
Tu as de loxy à quel dosage par jour ?
Pourquoi te retrouves tu en rade ?
Et tes douleurs sont elles gérer de façon à pouvoir réellement arrêter une conso d’opi ??
Ensuite que désires tu comme je demandais plus haut? Je pense qu’avec toute ses infos nous seront plus à même de te conseiller !
Pour ce qui est de l’aide médicamenteuse, en effet le codoliprane, de par son association d’un antidouleur opiacé et le paracetamol (attention de rester dans la limite de 3g/j sinon il faudra l’extraire) cela peut aider contre le manque; les benzo généralement sont relativement peu efficace en tout cas sur moi pendant un sevrage.
Mais leur effet sédatif peut parfois aider à dormir un petit peu, chacun réagit différemment ... attention ces médicament engendrent aussi une dépendance qui peut être forte !
Le mieux serait quand même un suivi amha, afin de ne pas prendre de risques inutiles, et pouvoir bénéficier de conseils personnalisés!
Si tu as des questions, ou veut parler; n hésites pas
Zaz
Alors c’est vrai que le sevrage d’oxy peut être particulièrement difficile.
Comment vois tu cela ? Plutôt un sevrage à sec? Dégressif ? Ou bien plutot un switch vers un tso ???
Pour ton autre question, à ce que je sache, et de par mon expérience (4 ans de tso Oxy IV env 5-600mg) l’oxycodone n’a pas pour effet secondaire de douleur musculaires, à part si elles sont du au manque ??
Toute fois la conso dopi au long cour peut déclencher une hyperalgie.
Et certains professionnels malheureusement n’ont pas tjr conscience de l addiction que peut engendrer les opi, et/ou comment la gérer.
Personnellement je crois que je te conseillerais une PEC en csapa, tu y trouveras de façon gratuite, et anonyme si tu en formule la demande, une équipe pluridisciplinaire, ou tu pourras voir AS, addicto, éduc, psychologue et psychiatres, ils sont tous formés à l’addiction et habituer à tout ça!
Tu pourras voir avec l’addicto en fonction de tes désirs, et possibilité peut être (selon la douleur) si un tso peut être envisageable, ou bien si tu veux un accompagnement pour ton sevrage, dans tout les cas je pense que ça n peut t’etre Que bénéfique
Tu as l’annuaire en page d’accueil si jamais :)
Pour l’instant, je comprend bien ton parcours, mais pas forcément ta situation.
Tu as de loxy à quel dosage par jour ?
Pourquoi te retrouves tu en rade ?
Et tes douleurs sont elles gérer de façon à pouvoir réellement arrêter une conso d’opi ??
Ensuite que désires tu comme je demandais plus haut? Je pense qu’avec toute ses infos nous seront plus à même de te conseiller !
Pour ce qui est de l’aide médicamenteuse, en effet le codoliprane, de par son association d’un antidouleur opiacé et le paracetamol (attention de rester dans la limite de 3g/j sinon il faudra l’extraire) cela peut aider contre le manque; les benzo généralement sont relativement peu efficace en tout cas sur moi pendant un sevrage.
Mais leur effet sédatif peut parfois aider à dormir un petit peu, chacun réagit différemment ... attention ces médicament engendrent aussi une dépendance qui peut être forte !
Le mieux serait quand même un suivi amha, afin de ne pas prendre de risques inutiles, et pouvoir bénéficier de conseils personnalisés!
Si tu as des questions, ou veut parler; n hésites pas
Zaz
Dans un monde qui va si mal, ce serait de ne rien prendre que d être malade..
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- Lola de la Lune
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Merci beaucoup pour ta réponse. J'ai juste donné de premières infos oui et alors en plus j'ai fait une faute d'orthographe dans le titre, ça faut le faire (y a moyen de corriger, ou pas, je n'ai pas trouvé où?).
"Comment vois tu cela ? Plutôt un sevrage à sec? Dégressif ? Ou bien plutot un switch vers un tso ??? "
Dégressif, à sec cela me semble ingérable par rapport à mes douleurs.
La question d'un TSO ne s'est jamais posée dans mon parcours, donc oui je vais expliquer un peu. Je souffre d'anorexie avec périodes de boulimie (à peu près stabilisé tout ça) depuis que j'ai 12 ans, j'en ai 43. En 2000, j'ai commencé à avoir des traitements psys, par rapport à ça puis de la dépression et de l'angoisse. Je suis toujours suivie par le même psy depuis.
En 2006 une grave agression dans le contexte dans mon travail m'a fait développer en plus un stress post-traumatique. Maintenant je suis en invalidité (mariée mais très précaire quand même).
Je suis constamment sous Prozac (à chaque fois qu'on tente un arrêt c'est la cata et je supporte très peu de médicaments) + benzos qui ont varié, avec tous les retraits du marché aussi. Actuellement Lexo si besoin et Imovane. J'avais du Rivotril pour la névralgie du trijumeau mais comme l'Oxy a fait disparaître cette douleur-là j'ai suspendu le traitement.
Je crains de vraiment mal supporter la Méthadone (j'avais repérée qu'elle est est aussi utilisée par rapport à certaines douleurs apparemment). Je dis ça parce que c'est hallucinant ma sensibilité à plein de médocs, je ne supporte notamment aucun anti-épileptique, ce qui me fout dans la merde pour les pathologies. Et Oxynormoro c'était parce que le Skénan je vomis à n'en plus finir, comme le Topalgic (mais la Lamaline par exemple ça va), alors que l'Oxy avec un peu de Vogalène au début c'est passé...
"Toute fois la conso dopi au long cour peut déclencher une hyperalgie."
J'ai lu ça sur le net. Mais on entend quoi par "long cours"?
Pour l’instant, je comprend bien ton parcours, mais pas forcément ta situation.
Tu as de loxy à quel dosage par jour ?
Pourquoi te retrouves tu en rade ?
Et tes douleurs sont elles gérer de façon à pouvoir réellement arrêter une conso d’opi ??
90mg par jour (là j'essaie donc d'en prendre moins).
Je ne suis pas encore en rade mais ça va arriver d'ici je pense une semaine dix jours, j'ai pas encore compté exactement, parce qu'à certains moments où j'avais trop mal j'ai pris 30mg au lieu de 2mg et à force...
Ah NON mes douleurs ne sont pas du tout gérées c'est le gros problème et on ne me propose rien à la place au centre de la douleur, puisque je ne tolère pas les anti-épileptiques, juste on me dit qu'il faut l'arrêter parce que c'est totalement inadapté. Je ne les comprends pas là-bas je dois dire, je dois faire une IRM du cerveau pour réflexes neuros anormaux, ce qui peut correspondre à des maladies graves, mais on dirait qu'ils pensent que tout ça est "psy" et donc niveau douleurs ils me laissent en plan.
Mon psy je le vois mardi. Mais le mois dernier déjà il n'était pas très partant pour renouveler la prescription et si le centre de la douleur l'a contacté, je m'attends à un refus, encore qu'il le fera parce qu'on n'arrête pas un médicament de ce genre d'un coup en principe.
Pour les benzos je suis déjà dépendante je suppose.
Je vais regarder pour les CSAPA, tu penses que comment dire... je vais pas avoir l'air ridicule? C'est pas déplacé, ça peut entrer dans leurs interventions?
Ca pourrait être pas mal parce que mon psy a juste renouvelé les ordos, il ne connaît même pas ce produit donc c'est pas lui qui pourra m'aider à savoir si j'ai développé une dépendance, etc...
Je vais regarder l'annuaire.
Merci en tout cas d'avoir pris le temps de me répondre et si sympathiquement
"Comment vois tu cela ? Plutôt un sevrage à sec? Dégressif ? Ou bien plutot un switch vers un tso ??? "
Dégressif, à sec cela me semble ingérable par rapport à mes douleurs.
La question d'un TSO ne s'est jamais posée dans mon parcours, donc oui je vais expliquer un peu. Je souffre d'anorexie avec périodes de boulimie (à peu près stabilisé tout ça) depuis que j'ai 12 ans, j'en ai 43. En 2000, j'ai commencé à avoir des traitements psys, par rapport à ça puis de la dépression et de l'angoisse. Je suis toujours suivie par le même psy depuis.
En 2006 une grave agression dans le contexte dans mon travail m'a fait développer en plus un stress post-traumatique. Maintenant je suis en invalidité (mariée mais très précaire quand même).
Je suis constamment sous Prozac (à chaque fois qu'on tente un arrêt c'est la cata et je supporte très peu de médicaments) + benzos qui ont varié, avec tous les retraits du marché aussi
. Actuellement Lexo si besoin et Imovane. J'avais du Rivotril pour la névralgie du trijumeau mais comme l'Oxy a fait disparaître cette douleur-là j'ai suspendu le traitement.Je crains de vraiment mal supporter la Méthadone (j'avais repérée qu'elle est est aussi utilisée par rapport à certaines douleurs apparemment). Je dis ça parce que c'est hallucinant ma sensibilité à plein de médocs, je ne supporte notamment aucun anti-épileptique, ce qui me fout dans la merde pour les pathologies. Et Oxynormoro c'était parce que le Skénan je vomis à n'en plus finir, comme le Topalgic (mais la Lamaline par exemple ça va), alors que l'Oxy avec un peu de Vogalène au début c'est passé...
"Toute fois la conso dopi au long cour peut déclencher une hyperalgie."
J'ai lu ça sur le net. Mais on entend quoi par "long cours"?
Pour l’instant, je comprend bien ton parcours, mais pas forcément ta situation.
Tu as de loxy à quel dosage par jour ?
Pourquoi te retrouves tu en rade ?
Et tes douleurs sont elles gérer de façon à pouvoir réellement arrêter une conso d’opi ??
90mg par jour (là j'essaie donc d'en prendre moins).
Je ne suis pas encore en rade mais ça va arriver d'ici je pense une semaine dix jours, j'ai pas encore compté exactement, parce qu'à certains moments où j'avais trop mal j'ai pris 30mg au lieu de 2mg et à force...
Ah NON mes douleurs ne sont pas du tout gérées c'est le gros problème et on ne me propose rien à la place au centre de la douleur, puisque je ne tolère pas les anti-épileptiques, juste on me dit qu'il faut l'arrêter parce que c'est totalement inadapté. Je ne les comprends pas là-bas je dois dire, je dois faire une IRM du cerveau pour réflexes neuros anormaux, ce qui peut correspondre à des maladies graves, mais on dirait qu'ils pensent que tout ça est "psy" et donc niveau douleurs ils me laissent en plan.
Mon psy je le vois mardi. Mais le mois dernier déjà il n'était pas très partant pour renouveler la prescription et si le centre de la douleur l'a contacté, je m'attends à un refus, encore qu'il le fera parce qu'on n'arrête pas un médicament de ce genre d'un coup en principe.
Pour les benzos je suis déjà dépendante je suppose.
Je vais regarder pour les CSAPA, tu penses que comment dire... je vais pas avoir l'air ridicule? C'est pas déplacé, ça peut entrer dans leurs interventions?
Ca pourrait être pas mal parce que mon psy a juste renouvelé les ordos, il ne connaît même pas ce produit donc c'est pas lui qui pourra m'aider à savoir si j'ai développé une dépendance, etc...
Je vais regarder l'annuaire.
Merci en tout cas d'avoir pris le temps de me répondre et si sympathiquement
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