Je me sens obligée de décoder: tu avais écrit SMS 5 à la place de DSM 5... Snapchat c'est une messagerie instantantée, que je ne connais pas non plus de première main, c'est plutôt destiné aux ados, et c'est plus fort encore que les hallus: les messages disparaissent une fois qu'ils ont été lus par le destinataire...
Je ne remets pas en cause les critiques que l'on peut faire au DSM 5, aux labos pharmaceutiques, et aux médecins un peu trop à leurs bottes. Je suis désolée de ce qui t'est arrivé.
Je ne remets pas en cause certaines dérives. Je suis moi-même entrée dans le monde de la drogue à cause des prescriptions abusives d'une psychiatre lorsque j'étais adolescente.
Cela dit les troubles recensés dans ces bouquins existent. Le fait de se trouver des symptômes à soi-même en les lisant n'implique pas que l'on a tel ou tel trouble, cela veut juste dire que la psychée humaine est complèxe, que certains symptômes peuvent passer pour d'autres à causes des nombreuses comorbidités (ou parfois ne pas en être du tout), et surtout que l'on est tous et toutes sujet.te.s à ce qu'on appelle le biais de confirmation d'hypothèse. Il est impossible de se diagnostiquer soi-même pour ces raisons, sans quoi effectivement nous nous retrouverions tou.te.s avec tous les troubles du monde^^
Les psychologues, qui ne sont pas abilités à precrire quoi que ce soit, se servent énormément du DSM. Tout ne tourne (heureusement) pas autour de Big Pharma, même si encore une fois nous ne sommes pas à l'abris de dérives. Le trouble bipolaire existe, il ne s'agit pas seulement de "hauts" et de "bas". Le trouble borderline aussi, et crois-moi ou non, les gens qui en sont réellement atteints souffrent énormément, voir font souffrir leur entourage.
On a besoin des critères diagnostiques. Sans eux de nombreuses maladies ne pourraient être soignées, avec médicaments ou sans. Quant au fait que de plus en plus de troubles soient recensés, cela tient au fait que les domaines de la psychologie et de la psychiatrie sont récents. Nous n'en sommes qu'aux balbutiemments de ces disciplines, ce qui explique que la littérature s'affine et s'étoffe encore beaucoup de nos jours.
Dernière modification par Morning Glory (13 juin 2018 à 22:14)
A Île J ai capte après coup le sms bien vu lol Merci de ton ptit mot par rapport a mon expérience A Morning glory Je sais très bien qu un bipolaire va au delà de simples hauts ou bas et que c est dur pour les malades et leur entourage Mon docteur a cru que j étais bipolaire car j alterne des périodes complètement down. d autres ou je ne dors plus j suis comme sous coke sans rien intenable fait que je speede pour tout (et la je me sens super bien ) Il me file ce traitement seroquel et parkinane au départ pour arrêter les brnzos aux quels j étais fort accro Donc au début petit dosage pour bien dormir je n entendais même plus mon réveil (50mgs)après a 300mgs c est plus les qualités antidepressives et j ai augmenté jusqu a 800mgs ou ce sont les qualités antipsychotiques que j ai très mal supportees et le fait dd gonfler ainsi augmenter mon anxiété je n étais plus moi même physiquement psychologiquement J ai déjà souffert de dépressions qui se sont soignées avec différents antidépresseurs prozac,prothiaden ,déroxat plus d autres dont j ai oublié le nom C étaitt efficace Puis il y a 6ans suite a une incarcération en Asie ou je prenais quotidiennement une demi boîte de valiums ou de lexo plus de la codéine pour arrondir les angles vu les conditions de détention pourries J ai vu un psy d un caspa a mon retour en France qui me connaît depuis longtemps pour lui je ne suis pas bipolaire Et surtout je ne sais pas si tout les traitements sont pareils mais je préfère être accro aux benzos que j ai baisse régulièrement que de prendre des neuroleptiques ça me coupe toutes émotions bonnes ou mauvaises J étais a une quinzaine de lexo plus codéine et la je ne prends plus que 3valiums10 parfois moins plus ma metha car a mon retour en France j etais accroche a la meth et a la Blanche a l hero et la meth j avais 180mgs de metha et main tenant 80mgs et aucun extra opis Donc le psy pencherait pour un choc post traumatique et comme j ai un peu peur d être surmedicamente,je fais de la meditation,je vais de mieux en mieux mais je dois avouer ne plus aller voir de psy de peur de me retrouver avec des neuroleptiques Je serai plus partant de voir un psychologue Voilà Amicalement Babaji
La dope fait mieux passer les moments sans argent que l argent les moments sans dope
Pensez vous que si je vais chopper de la beuh au cbd a 0.2% thc dans le "coffee" qui a ouvert a Paris, ca pourrait 'maider a m'alimenter et m'aider pendant le "sevrage" ?
Honnêtement oui je le pense. On est aussi addict au rituel (rituel de l'injection, rituel de rouler + de fumer) donc oui ça pourrait combler certaines pulsions, certaines envies.
Si on admet la théorique comme quoi il faut, pour être sobre, arrêter nos pratiques/dosages progressivement.
Par contre si la théorie serait fausse et qu'il faudrait, au plus vite et le plus brutalement possible arrêter de consommer. Surtout si la molécule le permet (ne tue pas en cas de sevrage brutal). Alors il faudrait que tu arrêtes de fumer tout court , même les herbes pauvre en THC et riche en CBD
Sinon merci de répondre aux questions des membres , de s'entraider. Répondre aux troll ou énormes bourdes d'un autre membre ne devrait pas être prioritaire, enfin je trouve que laissé sans réponse une personne comme JIM420 (blaze it)est dommage
Analyse de produits psychoactifs aux effets indésirables ou inhabituels et de manière anonyme, gratuite et par courrier. modos@psychoactif.org https://www.psychoactif.org/sintes Compte inactif!
Sinon merci de répondre aux questions des membres , de s'entraider. Répondre aux troll ou énormes bourdes d'un autre membre ne devrait pas être prioritaire, enfin je trouve que laissé sans réponse une personne comme JIM420 (blaze it)est dommage [/b]
Tu as raison groovie, mea culpa.
Je n'y connais rien en arrêt du cannabis à haute dose mais je suggèrerais à JIM240 de soigner son alimentation en qualité et en quantité s'il a tendance à avoir du mal à manger, et éventuellement faire une cure de vitamines. Des carences alimentaires peuvent donner des symptômes comme ceux de l'anxiété.
Bangkokice : Je ne te connais pas plus que tes écrits, mais dans le genre "j'ai des certitudes" tu es l'exemple parfait. On disait souvent que les voyages forment la jeunesse, ce qui n'est pas faux, mais il ne faut pas tout confondre. Tu m'as l'air d'être parti dans un trip bien connu, celui de renier ses vrais origines, apparemment tu n'as aucune idée de ce qui se passe en matière de drogues, dans nos contrées.
Tu crois que ta copine ne fait pas la différence entre du bedo et du placebo ? tu es typique de ces touristes qui ont l'impression d'être complètement intégrés, et qui en fait répète ce qu'il entend par ces compatriotes européens… Excuse-moi de pas tout avaler tout crus tes balivernes, j'ai eu bien d'autres retours par des amis de confiance, grand voyageurs aussi, mais sans mythos !
La malédiction de l'espèce humaine c'est qu'elle prend la haine comme une forme de communication Gogol.
Hello les gens! Avant toute chose j’espère que tout va pour le mieux pour vous.
!! pour ceux qui ont la flemme de tout lire, ma question est tout en bas de mon post !!!
Je viens donner quelques nouvelles après de long mois d'absence sur le forum, et demander encore quelque conseils accessoirement.
Alors pour faire un récap, depuis mon dernier passage ici jai reussi a etre abstinent au canna de juin à mii-aout... Au milieu du mois de juin j’ai ressenti une réelle délivrance à tout les niveaux, plus de nausées, un sommeil réparateur, plus d’appétit, aucune sensation de sensation chaud/froid, regain de motivation etc ... tout allait mieux.
Puis comme la vie n'est pas un long fleuve tranquille, j'ai tiré quelque taff en aout, puis jai repris en 3semaine une conso journalière (dabord 1 ou 2 spliff /jours , puis rapidement je me suis "stabilisé" à +ou- 10joints par jour... on est retombé au point de départ).
Jai repris un taff depuis lundi dernier et je souhaite a nouveau arrêter ma consommation. Seul hic, je peux pas assumer un arrêt qui provoquerait autant deffets de sevrage que précedemment, sachant que je dois bosser et que je pourrais pas me permettre de me mettre en arrêt a peine mon nouveau job commencé...
Fumer occasionnelement ( ou hebdomadairement le weekend)= aucun soucis Fumer tous les jours 1 joints le soir = très peu de désagrément mais une petite modification de mon appétit, petite apparition d'une anxiété quotidienne, baisse légère de ma motivation etc .. se fait sentir quand même) Fumer tous les jours , matin , midi , soir = casse gueule, stress ++, aucun appetit si je fume pas un joint avant le repas, perte enorme de motivation et de libido, insomnie si je consomme pas, "parasitage" mental pour l'obtention du produit ou sur le fait que je vais bientôt être en dèche, etc ...
Alors j'ai conscience que je dois être un peu différent de la majorité des fumeurs pour que le sevrage soit aussi dur pour moi, mais de ce que j'ai compris par mon experience, cest que tout ces inconvénients arrivent quand je me "surdose" au cannabis pendant une certaine durée. J'ai l’impression d'être en phase terminale d'un cancer lorsque j'arrête, mais tout fini par disparaitre ( c’est un truc qui me rassure, car pendant longtemps j’ai eu peur de rester anxieux 24/24 a vie a cause du canna...)
J'ai aussi compris que pour moi, le cannabis devra rester exceptionnel à l'année, car je ne gère pas le produit, propension personnelle à l'addiction+++ ?
J'ai beaucoup parlé mais voila la question principale que je voudrais vous poser (surtout ceux ayant eu une consommation forte de cannabis, ou une grande expérience du produit de par leur vécu):
J'aurais voulu ici des conseils pour arrêter ma consommation de cannabis de façon progressive (mais quand meme rapidement)
Je sais que si j'arrête d'un coup, j'en ai pour 3semaines de souffrances et c’est fini, mais avec le travail je peux pas me permettre de brusquer mon corps et esprit comme ça. (je suis ingé informatique, je peux mêmé pas m'envoyer de neuroleptiques type tercian pour me calmer car sinon je deviens trop lent et je perds de la capacité de réflexion pour bosser efficacement)
Est ce que des gens "addict" au canna (ou plutot qui ont eu un usage problématique du produit) qui ont réussi a arrêter de façon progressive sans trop trop de souffrance peuvent m'indiquer ici leur "programme" de réduction avant arrêt total ?
J'ai un souvenir de MisterNo qui évoquait avoir calqué son planning de reduction de cannabis dans le meme esprit qu'un sevrage progressif de tranxene? Si tu passe par là, ton avis est le bienvenu!!
PS: (Je prévois une réduction sur 30 jours, puis 31eme jour arrêt total)
N'hésitez pas si vous avez des remarques ou des conseils, j’apprécie de lire chacun de vos messages, et que Dieu/Gaïa/les martiens bénissent ce forum et les membres qui le composent
Salut, je viens de survoler le sujet. Tu maintiens la fume uniquement le soir, tu limites à un joint, puis un soir sur deux, un soir sur trois et là logiquement tu es arrivé au bout. Tu peux même arriver jusqu'au bout sans sevrage, car tu as réussi à te discipliner pour bannir l'usage qui te freine. A toi de trouver ton rythme, bon courage.
Dernière modification par Mister No (06 novembre 2018 à 15:42)
Salut, un truc qui marche bien pour moi c'est comme dit Mr No limiter la fume au soir et aussi laisser du temps entre le dernier et l'heure du couché. J'essaie de laisser toujours minimum une heure trente, ça permet de s'habituer a s'endormir pas trop stone.
Perso chez moi c'est ce qui est le plus dur quand je fume pas c'est endormissement, et depuis que je fait ça (en plus du vapo) les soirs sans bédos je m'endors aussi bien que les soirs avec.
Le petit du soir je le cale après manger en général
Salut Jim ! Pour moi c'est des arrêts de minimum 5 jours d'affilée, en évitant de fumer deux jours de suite, sinon je retombe dans la spirale de l'envie ^^ Tout le monde est différent, perso il m'est beaucoup plus difficile de réduire chaque jour que d'arrêter plusieurs jours d'affilée, en m'autorisant un soir par semaine (après avoir fumé 10j/j pendant 7 ans). Comme toi après quelques jours sans fumer l'envie baisse, et perso, si je fais l'effort de ne pas fumer deux jours de suite (donc de ne pas acheter) l'envie ne revient pas le lendemain, elle baisse petit à petit. En tout cas j'espère que tu vas réussir, peu importe quelle méthode tu choisis il faut trouver celle qui te va le mieux !
Être seule avec le livre non encore écrit, c'est être encore dans le premier sommeil de l'humanité.
Salut, un truc qui marche bien pour moi c'est comme dit Mr No limiter la fume au soir et aussi laisser du temps entre le dernier et l'heure du couché.
ça peut aussi rester confort de n'en fumer qu'un le soir, environ deux heures avant de décider de dormir. Certains peuvent se contenter directement d'un joint le soir et d'autres ont besoin de diminuer progressivement. Pour certains, aucun symptôme de sevrage, pas de craving ou d'envie après avoir bingé du soir au matin, du matin au soir et même au lit. Faut pas avoir peur de diminuer, normalement pas de symptomes de sevrage. Et ça permet de se discipliner et de mesurer avec succès le fait qu'il est possible d'agir sur sa conso en dehors de l'abstinence. Il est possible de prévenir la rechute d'une conso non stop h 24 à condition de mettre en place de quoi remplacer le cannabinolage à tendance glandogène. Des consultations spécialisées peuvent aider à reconsidérer le rapport avec le produit, notre comportement et d'agir dessus.
Dernière modification par Mister No (07 novembre 2018 à 10:51)
Bon bah jai décidé de commencer aujourdhui le sevrage dégressif, je me suis fait un ptit plan d'action pour arriver à être abstinent le 4 decembre. J'ai essayé de faire des paliers de 3 jours, je sais pas si cest trop court ou pas...
Si quelqu'un qui a fait un sevrage dégressif peut me donner son avis sur mon plan, je lui serais super reconnaissant!!
(Le but est de faire un sevrage plus doux pour éviter de me manger de trop méchants effet de sevrage que j'ai décris précédemment dans ce topic )
Merci par avance a tous ceux qui prendront le temps de répondre.
Le mieux quand tu es a un joint par soir est de passer à un joint un soir sur deux; tu peux comme ça encore diminuer ta tolérance. Puis éventuellement un tous les trois jours pour les derniers joints pour éviter un effet rebond.
Dernière modification par Mister No (16 novembre 2018 à 17:22)
Je vais donner mon avis, je pense qu'avec le cannabis on cache vraiment quelque chose.
En ce moment je vis exactement ta situation mais je pence que les non-dits à nous-mêmes et ta rupture si tu a su la tromperie mes san l'acsepter ou autre .. selon commen ça c'est passer peut impacter sur tes anxieter perso jecrit un livre de mon histoire avec tous dedant je vais ouvrire la boîte de pandor vraiment tous des humilation ou bonne racle que j'ai pris et pas assumé ou jaurais dû en parler rien de mal à être faible de temps à autre on n'est pas des robos(facime a dire je suis je pence le pire nivos conditionement l'homme et fort ne pleur et ne se soumet pas mdr..).Ne pas oublier que le cana et pshiker et peut reveller ta vraies personnes dans mon cas tan comme dis l'autre extrémiste un petit babtou fragile pour me forger ma carapace je fumer on fait comme tout le monde et sa donne un prétexte pour coller des gifles quand ya embrouille se rassure pour au final me rendre compte que sans shit je ne suis rien.... brille dans quelque chose à la naturelle et trouve des moments ou tu te sens super-heureux pour fêter Marie-Jane
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