Bonsoir,
J'ai découvert il y a peu par curiosité le
GHB, etant friand de nouvelles expériences, mais ne fonçant pas tête baissé je me suis renseigné sur le sujet avant de consommer.
Pour le contexte, seul chez moi en mode canapé ordi/TV, j'ai depuis plus de dix ans de gros soucis d'insomnie, j'ai essayer tous les hypnotique sur le marché francais,
dont certain qui n'ont plus leurs autorisations de mise sur le marché aujourd'hui, noctran, mepronizine par exemple y compris le
rohypnol, j'ai aussi eu droit a l'ensemble des benzo, auxquels j'ai developé une tolérance monstre, dernièrement je pouvais prendre une boite de 30
Xanax 0.50mg sans ressentir le moindre effet,
j'ai également eu droit aux antidépresseur sedatif, norset, surmontil,
laroxyl, aussi aux
neuroleptique tercian, nozinan
loxapac, et j'en oublie surement, actuellement je prends 300 mg de
loxapac pour dormir et 4 imovane 7.5mg, pour espérer dormir 2 a 3h sans la moindre sédation.
Et la je m'attendais avec le
GHB a ressentir une certaine euphorie, similaire a l'
alcool (je ne bois plus depuis 3 années maintenant), donc je me suis dit peut être une alternative à l'ivresse éthylique,
j'ai d'abord chercher ma dose d'action a 3.2g, je ne ressent rien, et au dessus de 4 g, je pique du nez et je m'endors tout seul, cela provoque chez moi une sédation profonde et je me réveille devant la TV sans avoir eu besoin de prendre le moindre cachet, donc je vais peut être utilisé cette alternative occasionnellement pour dormir, par confort, car je n'ai rien trouver d'autre de positif dans cette drogue a part la sédation,
après mon contexte de consommation ne prêtais pas a être euphorique ou exité sexuellement, je testerai en mode soirée pour voir j'suis curieux de nature, mais maintenant avec l'age je suis plus raisonnable qu'avant et j'espère passer a coté d'une addiction qui pourrais vite m'envahir tellement cette substance m'est fonctionnelle la ou la médecine française a écouchée, et je ne vous parles pas du pognon dépensé en relaxation,
hypnose, sophrologie, je n'arrive pas a lâcher prise j'ai éternellement le cerveau en ébullition, j'ai été diagnostiqué psychotique il y a deux ans après Plus de 10 ans d'érances médicale, tento dépressif, tento borderline,
la je vais vous raconter une partie de mon histoire perso qui concerne mon etat psychique et ;e sommeil, si vous voulez zapper cette partie dirigez vous vers la fin du post.
puis bi polaire, mais quand ont j'ai lu psychose sur ma demande d’affection de longue durée, je n'y ai pas cru, travaillant dans le milieu psychiatrique cela me renvoyait à trop de chose vis a vis des patients dont j'ai la charge, et je refusait de me voir en eux, mais après discutions avec mon psychiatre et mon infirmière au cssapa,
jme suis rendu a l’évidence que ce mal être que j'ai depuis l'enfance, et cette impression d'être toujours en marge du monde qui m'entoure, mes affects qui sont altéré plus pleins de petits détails qui me pourrissent la vie 'ont fait accepter ce diagnostique qui collait enfin a ce que je vivais, le plus dur pour moi et une sensation de vide intense que je ressent en permanence, que je comble depuis mes 15 ans dans l'
alcool,
le
bedo puis les drogues a outrance, les médicaments, j'suis un grand pharmacodépendant, enfin j’étais,
je ne suis plus dépendant aux benzo depuis que j'ai arrêter tous mes traitement il y a deux ans quand j'ai fais un voyage pathologique lors de ma première décompensation psychotique qui a l'époque j'avais pensé être un accès maniaque, après ma mise sous
ritaline pour un diagnostique de
TDAH par mon addicto qui me suivais pour une sévère addiction au
speed depuis plusieurs années,
le
speed me posais me canalisais a haute dose et m'aidais a mieux faire mon travaille ou patiente rigueur et empathie sont nécessaire, le fait que je sois adulte j'ai du avoir une dérogation pour obtenir ce traitement et il a fallu que je paie de ma poche ces boites de
ritaline une somme dérisoire mais qui ma mis en rage contre le System,
faut dire que mes conditions de vie a l’époque étaient précaire, vie en camion avec plusieurs amis un peu paumé comme moi se réfugiant dans la défonce,
moi mon travaille me tenais a peu prés, mais jme suis mis a devenir tendu agressif,
paranoïaque persécuté par le System, j'ai préféré me mettre en arrêt de travaille avant de griller la seul chose qui pourrais me permetre dde retrouver le contact avec la réalité donc a cette époque je me suis dit chie dedans j'arrette mon traitement 30mg d'bilify 40 mg de deroxat, des poignées de benzo que je chopais au boulot et qui m’étaient prescrites via nomadisme médicale, j'ai tout arrêter d'un coup même les hypnotique,
j'avais simplement conserver la
ritaline qui selon moi a cette époque était le remède miracle a ce qui m'arrivais le
TDAH qui expliquait tout selon ma propre analyse qui était biaisé vu mon état psychique du moment.
J’étais dans une merde noir niveau financier, j'avais fait sans m'en rendre compte quand cette période s'est installée (sur quelques semaines je pense, mais difficile j'ai une amnésie presque totale de cette période d'érance) et je savais que je risquais de faire de la merde de par mes idées de révoltes que j'avais en tète après avoir agresser verbalement une pharmacienne et une caissière de supermarché qui me demandais simplement si je pouvais ouvrir mon sac a dos (qui contenais toute ma vie ) car de ce que je me souviens de cette période c'est que j’étais très dispersé, moi qui suis organisé en temps normal,
la je perdais tout, je me noyais dans un verre d'eau, j'ai donc pris la décision de prendre la route dans ma fiat panda aménagée en camping car pour mon chien et moi et de tracer dans le sud, dans ma panda fantôme pas de papiers pas de carte grise, une assurance quand même, tous le temps défoncer a la
beuh,je roulais je roulais,je m’arrêtais pour tirer des
douilles et dans ma tête le scénario était ficelé si les flics voulaient m’arrêter je leurs fonçais dessus ( pas de délit de fuit en fiat panda de 1990, je voulais tuer des flics, comment j'en étais arrivé la je ne sais pas, ca ne me ressemble pas j'suis calme posé,
réfléchis en temps normal mais la j’étais fou, l’arrêt du traitement je pense avait levé ma camisole chimique, et pour en revenir au sujet de départ le sommeil, j'avais retirer tous les sièges de la voiture et installé un matelas une personne coté pacagé et arrière jusque dans le coffre, j’étais vraiment bien enfin j'en avais l'impression, et je dormais, le soir pas d'insomnie d'endormissement, pas de multiples réveille, j'ai très peu dormi dans la voiture je sortais mes mousses dehors et j'ai dormi a la belle étoile tous les soir quand la météo me le permettais mais on avait un bel été indien cette année la,
et je dormais sans hypnotique sans sédatif chose que je pensais impensable quelques semaines auparavant, mais mon état psychique du moment devait beaucoup me fatigué et également une sensation d'érance ou je n'avais plus rien a perdre j'avais de grosses dettes au cul auprès d'amis, je sentais que j'avais franchi une ligne dans mon etat même si avec le recule je ne le savais pas encore c'est la seule période depuis mes 19 ans ou j'ai dormis sans traitement et ca a duré plusieurs semaine,
jusqu’à ce qu'il faille que je vois mon infirmière du
csapa, je me tape 8h de route pour la voir déterminé a faire augmenter mon dosage de
ritaline que je trouvais ridicule 1.5 cachet par jours de 10mg pour un individus de 80kg, surement moins a l'époque en peu de temps je suis passé de 90 a 72, l'entretient ne s'est pas tres bien passé et m'ont fortement incité devant le récit de ce que je faisais, des idées que j'avais en tête, j’étais dangereux,
elle et une médecin du cssapa qui était venu en renfort mon addicto n’étant pas la mon mis au pieds du mur c'est soit j'allais en HP en libre, soit on me collait une contrainte type HDT sur le dos et je sais ce que ca implique voir un HO si je m’étais retrouvé face a des flics et la pour sortir tu en chie.
Je l'ai écouté, j'ai demandé a passer le week end a préparé mes affaires (elle est bien bonne celle la, j'avais même plus de chaussure j’étais en short tee short et n'avais plus d'affaire, mais je voulais respirer un peu avant de me résigner a me faire hospitalisé en addictologie dans un HP pourrit a 200 bornes de mes amis ma famille.
Désolé je vous ponds petit pavé hors sujet, mais ca me tenais a cœur de raconter mon histoire, et une fois arrivé dans le service d'addicto avec ses réglés et son cadre bien trop pervers pour mon état du moment, officiellement pour pouvoir doser plus rapidement ma
ritaline,
j'y suis resté 4 jours je pétais les plombs enfermé après avoir eu tant de libertés de divagué de dormir dehors avec mon chien, j'ai donc appeler ma mère et mon beau père qui étaient en weekend dans la maison de ma mère a 2h30 de route,
de toute facon si elle ne venais pas je repartais en stop, mais ma mère durant toute mon errance ma appelée tous les jours, a du se faire un sang d'ancre, ne me reconnaissant plus dans ce que j’étais devenu, bref je la remercie. et la suite est moins rock and roll dés que je suis sorti d'hp, ces 4 jours m'avaient calmé, plus d'idée de grandeur,
de persécution d'idée de ce style, j’étais devenu vide (le vide que connaissent tous les psychotique, celui qui te ronge de l'intérieur ou tu n'a envie de rien, tu n'éprouve rien) je survivais, je suis resté vivre avec elle et son copain 6 mois car j'avais peur de me suicidé, et la c’était la seule qui me raccrochait a la vie par respect pour elle je ne pouvais pas lui faire subir ça après tout ce que je venais de lui faire traversée la.
Donc pour en revenir au sujet de
base mon sommeil, qui lui etait a nouveau redevenu pourrit, on a d'abord pensé que je faisais une depression, donc on ma mis un antidé^resseur ecitalopram, un peu de
lysanxia et un imovane, evidement c'etait pas assez, mais je n'avais que ca, en même temps j’étais toujours en arrêt, j’étais plongé dans une telle léthargie qu'il m’étais impossible de faire quoi que ce soit, et ce vide me rongeait après avoir eu la tête si occupé a déliré toutes ces semaines, puis en décembre mon médecin généraliste s'est senti impuissant m'a orienté vers un jeune psychiatre hospitalisé qui travaillait pour mon établissement mais qui cessais sa fonction de praticien hospitalier pour s’installer en libérale,
quand il a vu l’état dans lequel j’étais et ce que je lui ai raconter, il ma tout de suite fait une demande affection de longue durée pour psychose, c'est le meilleurs psy que j'ai vu en dix ans de carrière et j'en ai vu, tous avec leurs ordonnancier entre les mains avant même que tu te soit mis a parler et moi ca m'allait bien j’étais dans la demande médicamenteuses et vu mon métier il savais que je connaissaient les molécule donc me laissaient souvent dicter les ordonnances.
Je me suis encore écarté du sujet, ca doit etre le
GHB qui me met en mode pipelette, mais ca me fait du bien de me confier, j'ai pris 3.2mg a 22h30, a 23H30 je ne ressentais rien j'ai
redrop 1.6g,
et la apres j'ai piqué du nez en caressant mon chien, ce que j’apprécie cette sédation que le
GBL induit, la a 3h j'ai repris 3.2g et deux
stilnox pour m'endormir plus facilement, donc après je pense qu'il doit y avoir une certaine accoutumance qui doit installée ainsi qu'une tolérance, mais la je prends ce qui vient, ca me permet de m’endormir comme il faut j'en profite, j'essayerai d'en tirer des usage récréatif plutôt que fonctionnelles.
J'ai depuis peu commencé a comprendre comment mon sommeil fonctionnait chez moi, en fait j'ai besoin de peu d'heure de sommeil 4 a 6 alors qu'avant je m'évertuais a vouloir dormir 8h, et a me reugier dans le sommeil pour fuire ce vide qui me rongeait, donc depuis peu je dors moins mais je dors mieux. et suis moins fatigué.
Mon
GHB vient d'un vendeur du deepweb un anglais, j'essayerai un autre vendeur la prochaine fois voir si il y a une différence niveau qualité du produit, le
GBL provoque-t-il aussi cette sédation et l’endormissement? c'est plus fort? c'est différents donnés moi vos avis.
Merci de m'avoir lu,
bonne nuit.
Dernière modification par Polo187 (07 février 2019 à 03:50)