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Dernière modification par Strych9 (12 avril 2019 à 13:06)
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Dernière modification par Olivier VMFJ (12 avril 2019 à 16:58)
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Plotchiplocth a écrit
Merci pour ton retour et tes explications. Ce qui importe finalement c est que ça fasse du bien a certains, sans enfoncer plus bas d'autres. Si c est le cas tant mieux. Et j entends bien les biais éditoriaux
Je crois que l arrière goût que je relevais venais aussi de l interprétation un peu "coaching" que j avais eu de l avant propos... Et ça j aime pas.... Mais je me suis sûrement trompé, c est ma représentation.
Bonne route a toi
Merci plotchiplocth
Je suis loin des mots d'ordre, des injonctions et de la violence du coaching. Je mets pas les choses ni les gens dans des cases. Du moins j'essaie de ne pas le faire. Et je n'ai pas de solution toute faite. (Y en a pas) Du reste, dans le livre, je consacre plusieurs pages à l'idéologie de la performance, que je critique vigoureusement.
Un ami, véritable écrivain, lui, et prof de philo, a dit de ce texte : "Une sorte de témoignage avec de la littérature, juste et très stimulant philosophiquement"
Cela m'a plu
Bonne route à toi également
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Dernière modification par VIsioman (13 avril 2019 à 17:51)
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VIsioman a écrit
Freud,que tu as cités par facilité d'écriture,ok...,mais quand MM,juste par curiosité pourquoi l'avoir placé
au coté de philosophes, MM si tous le monde est philosophe quel que part. lol.
C etait surtout quelqu'un d'une malhonnêté intellectuelle folle et un sacré pervers qui plus est.
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Strych9 a écrit
J'avais bien saisie cette notion de mort métaphysique mais justement les métaphores et autres sous-entendus sont souvent bien plus lourds de sens que de simple phrases anodines.
Je trouve juste ça dommage de donner une tournure apocalyptique à cette plante et sa consommation (et/ou de la diaboliser) car au fond, elle n'a JAMAIS tué personne
Salut !
Cette notion de "mort", à mon sens, n'est pas métaphysique ni métaphorique.
La finitude fait partie intégrante de notre existence.
Vivre est un mouvement, une continuation poussée de l'intérieur par une mortalité liée au passage du temps.
la "mort" n'est pas que la fin de notre vie ; notre existence est traversée de "fins", et, heureusement je trouve, c'est ce qui permet de ne pas être dans une éternelle répétition du même, coincé dans une "boucle"infinie.
"Tournure apocalytique", "diabolisation"... ça y va un peu fort... D'emblée, pour éviter ce genre de malentendu, j'ai précisé que je ne diabolisais pas la weed. Et je sais bien qu'elle n'a jamais tué personne ! Je l'écris dans le bouquin
Bien à toi
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Tu noteras, pour info, que ce terme "poison vert" est employé une seule fois sur environ 50 000 mots.
Certes mais à endroit stratégique...
Bonne continuation.
Dernière modification par VIsioman (15 avril 2019 à 14:07)
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psychodi a écrit
salut
"...troquer le joint pour la joie. Et en sortir grandi"
c'est beau, très poétique...
j'approuve la démarche intellectuelle
il est vrai que Baudelaire n'appréciait pas non plus le "poison vert"
Tonton Freud ne crachait pas sur le cigare (il n'était pas "pervers", juste très frustré sexuellement et donc dans l'air du temps de son époque, haha)
...mais trêve de digression...
je suis un peu surpris quand même de ce que je lis sur le dos du bouquin :
"l'objectif n'est pas de contrôler sa toxicomanie[...]l'objectif est de lui faire la peau[...] elle ne mérite pas autre chose"
je trouve que ça "identifie" la toxicomanie, comme s'il s'agissait d'un être à part qu'il faudrait éradiquer...alors que tu précises bien, en plus, qu'il s'est agit là d'un grand travail d'introspection personnel sur la part addict de toi-même...peut-on évacuer une partie de soi ? lui "faire la peau" tout en restant dans la sienne ?
t'as dû en baver pour ton sevrage, je dis ça au regard de ta table des matières (que tu avais visiblement envie qu'on découvre !!)
perso, je suis bien dépendant au cannabis depuis au moins 20 ans
bin ça me donne moyen envie d'essayer d'arrêter en fait (même si je sais déjà ce qui m'attends si je m'y mets...sachant qu'on est tous et toutes différent.e.s mais bon...l'insomnie, moi, je supporte pas DU TOUT)
je me trouve "équilibré" malgré ma conso...peut-être me trompes-je...mais je redoute beaucoup le déséquilibre que va fatalement entraîner un arrêt de conso quotidienne...et le PAWS qui s'en suit...
à voir si je l'achète ou pas, ce bouquin...
Salut !
Merci pour ton retour. Je vais essayer de répondre à ce que tu me dis, en mettant de côté la part d'ironie.
""l'objectif n'est pas de contrôler sa toxicomanie[...]l'objectif est de lui faire la peau[...] elle ne mérite pas autre chose""
C'est toujours difficile de rendre justice à un extrait totalement sorti de son contexte.
Le contexte, ici, c'est un fumeur qui tente de se persuader qu'il vaut mieux en finir avec sa conso. Du coup y a une part emphatique, excessive, mais qui est, selon moi, une étape nécessaire. Plus tard, on retrouve un positionnement moins radical, plus modéré.
Dans mon cheminement perso, ce propos fait droit aussi au fait qu'à cette phase il vaut mieux arrêter net que diminuer.
"Faire la peau" à un élément "toxique" de soi-même, un élément auquel on s'était identifié ; se retrouver, en mieux, dans sa propre peau.
Non pas se perdre, mais exprimer d'une autre façon cet élément de soi qui aspire à une forme d'intensité.
(Chacun est différent, moi j'ai décliné ça, entre autres déclinaisons, en "ivresse, vertige, piment"
"L’ivresse, le vertige, le piment. Nous avons l’impression que cela exalte et intensifie notre rapport au monde, nous avons l’impression que cela donne de la hauteur à notre existence, nous avons l’impression que cela lui donne du goût." (Petit extrait)
Pour mon sevrage, j'en ai bavé, un peu oui, mais surtout au début. Ça va mieux assez rapidement. Les insomnies s'estompent aussi, jusqu'à retrouver un cycle naturel de sommeil.
Oui, après c'est sûr, on est tous différents.
La table des matières, tout simplement je me suis dit que c'était un élément de précision du contenu, assez important.
Bon, un plus large extrait du bouquin (un peu "intello", que l'on se rassure, ils ne sont pas tous aussi abstraits), qui éclaire un peu mieux mon approche :
"Aussi, ce que nous souhaitons mettre en place ne va pas consister en une division de soi, par la distinction d’une partie « qui aspire à fumer » et d’une autre « qui veut arrêter ». Ce n’est pas une volonté de contrôle de la « mauvaise » partie que nous proposons, une volonté de domestication des sauvages pulsions, une maîtrise de soi par la soumission en soi d’une partie opposée, en somme un dédoublement où nous serions et la plaie et le couteau, et la victime et le bourreau, pour reprendre les mots de Baudelaire. Ce sacrifice d’une partie de soi relève d’une cruauté rentrée, d’une volonté de se torturer en laquelle une partie, la « mauvaise », serait en perpétuelle situation de faute ou en passe de l’être. Non, ce que nous visons, c’est une modification en profondeur des forces intérieures afin d’activer nos ressources en direction d’un « devenir autre », un devenir non-fumeur. Ne plus être en proie à l’impulsion de fumer. Ne plus subir le manque. La vraie maîtrise se situe au-delà de la maîtrise. Il faudra faire corps tout entier, non pas divisé, ni mutilé, ni atrophié, mais en individu.
Ce ne sera pas de tout repos. Il y aura des moments épineux, il n’y a rien de bon à cacher cela. (...) "
Si tu l'achètes ou pas, ce bouquin, c'est ton choix le plus strict bien sur.
Je me suis efforcé, aussi, en l'écrivant, d'écrire quelque chose que j'aurais aimé trouver et pouvoir lire. (Mais là encore, c'est moi, ma subjectivité propre, etc.)
Bien à toi
Olivier
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Olivier VMFJ a écrit
"Aussi, ce que nous souhaitons mettre en place ne va pas consister en une division de soi, par la distinction d’une partie « qui aspire à fumer » et d’une autre « qui veut arrêter ». Ce n’est pas une volonté de contrôle de la « mauvaise » partie que nous proposons, une volonté de domestication des sauvages pulsions, une maîtrise de soi par la soumission en soi d’une partie opposée, en somme un dédoublement où nous serions et la plaie et le couteau, et la victime et le bourreau, pour reprendre les mots de Baudelaire. Ce sacrifice d’une partie de soi relève d’une cruauté rentrée, d’une volonté de se torturer en laquelle une partie, la « mauvaise », serait en perpétuelle situation de faute ou en passe de l’être. Non, ce que nous visons, c’est une modification en profondeur des forces intérieures afin d’activer nos ressources en direction d’un « devenir autre », un devenir non-fumeur. Ne plus être en proie à l’impulsion de fumer. Ne plus subir le manque. La vraie maîtrise se situe au-delà de la maîtrise. Il faudra faire corps tout entier, non pas divisé, ni mutilé, ni atrophié, mais en individu.
Ah ouais ça va loin dans le délire du champs lexical quand même, jpense que tu pourrai remercier tes années de pour ça
edit : j'allais dire que ça ressemble à un discours politisé limite progressiste et puis je suis aller voir le site de ton éditeur et j'ai compris
Dernière modification par Strych9 (15 avril 2019 à 16:48)
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Strych9 a écrit
Ah ouais ça va loin dans le délire du champs lexical quand même, jpense que tu pourrai remercier tes années de pour ça
edit : j'allais dire que ça ressemble à un discours politisé limite progressiste et puis je suis aller voir le site de ton éditeur et j'ai compris
Cher Strych9
C'est précisément le genre de propos que mon éditeur aurait voulu que je supprime ! "pas assez vendeur, pas assez grand public"
Mais j'ai assez fait de compromis comme ça.
Remercier mes années de philo, je dirais plutôt
Je ne sais pas ce que tu comprends en voyant l'éditeur... (4 éditeurs très différents ont proposé de publier ce texte , j'ai juste signé avec le premier venu... / pour te dire que l'éditeur touche très très, très, peu le texte, dont j'assume la paternité)
Si y de la politique, ce dont je doute (faut voir loin) ça serait plutôt un individualisme assez forcené couplé avec un anarchisme à l'endroit du corps (pas de gouvernement central, pas de verticalité par une injonction de la tête "tu dois", "il faut", mais de l'ordre qui se met en place de manière horizontale) Du coup, Stirner.
Mais là oui on peut se demander si je fume encore !
haha
A +
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« Juste une taffe », ou le dilemme du joint occasionnel
Un chapitre important que je lirai en premier lieu.
Il est question de pouvoir apprendre à apprivoiser un produit. Ce n'est pas un dilemme. Il faut à la fois se pencher sur garder le controle et avoir avancé sur ce qui nous a fait perdre le contrôle.
J'ai du mal à croire que l'on devient addict au cannabis uniquement pasque c'est bon de consommer.
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Mister No a écrit
Merci du partage.
« Juste une taffe », ou le dilemme du joint occasionnel
Un chapitre important que je lirai en premier lieu.
Il est question de pouvoir apprendre à apprivoiser un produit. Ce n'est pas un dilemme. Il faut à la fois se pencher sur garder le controle et avoir avancé sur ce qui nous a fait perdre le contrôle.
J'ai du mal à croire que l'on devient addict au cannabis uniquement pasque c'est bon de consommer.
Merci Mister No pour ce retour.
Apprivoiser un produit, c'est d'abord apprendre à s'apprivoiser soi, de soi à soi-même et aussi dans sa relation au produit.
Oui, que ce ne soit plus un dilemme, "le joint occasionnel", autrement dit qu'il devienne possible, et qu'il le reste, "occasionnel", c'est bien la liberté que j'ai pu retrouver.
On glisse dans l'addiction, peu à peu, pour toute une série de raisons..
Merci encore pour ce retour sympathique
Bonne continuation à toi
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Olivier VMFJ a écrit
Remercier mes années de philo, je dirais plutôt
Oui, c'est là ou y a une friction, je suis plus porté sur la psycho que la philo, c'est pour ça que ton état des faits avec cette approche dramaturgique me gène
Après, comme je le disait, c'est juste un avis personnel (certes un peu critique ) et en tout cas merci d'y avoir répondu avec franchise :)
Dernière modification par Strych9 (15 avril 2019 à 23:08)
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Strych9 a écrit
Olivier VMFJ a écrit
"Aussi, ce que nous souhaitons mettre en place ne va pas consister en une division de soi, par la distinction d’une partie « qui aspire à fumer » et d’une autre « qui veut arrêter ». Ce n’est pas une volonté de contrôle de la « mauvaise » partie que nous proposons, une volonté de domestication des sauvages pulsions, une maîtrise de soi par la soumission en soi d’une partie opposée, en somme un dédoublement où nous serions et la plaie et le couteau, et la victime et le bourreau, pour reprendre les mots de Baudelaire. Ce sacrifice d’une partie de soi relève d’une cruauté rentrée, d’une volonté de se torturer en laquelle une partie, la « mauvaise », serait en perpétuelle situation de faute ou en passe de l’être. Non, ce que nous visons, c’est une modification en profondeur des forces intérieures afin d’activer nos ressources en direction d’un « devenir autre », un devenir non-fumeur. Ne plus être en proie à l’impulsion de fumer. Ne plus subir le manque. La vraie maîtrise se situe au-delà de la maîtrise. Il faudra faire corps tout entier, non pas divisé, ni mutilé, ni atrophié, mais en individu.
Ah ouais ça va loin dans le délire du champs lexical quand même, jpense que tu pourrai remercier tes années de rasta pour ça thinking
Franchement, c'est bien écrit, agréable à lire et pas particulièrement ésotérique.
Après, chacun sa façon de rationaliser et motiver son changement, et c'est d'abord celui qui l'écrit qui peut en retirer un bénéfice thérapeutique. A moins que le lecteur puisse se l'approprier en profondeur, je suis moins confiante que ce genre de réflexion puisse servir à autrui.
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Dernière modification par Olivier VMFJ (25 avril 2019 à 11:45)
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Dernière modification par morphe07120 (25 avril 2019 à 13:00)
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morphe07120 a écrit
Bonjour !
je me permets juste de dire ce que j'en ai pensé MDR !!!
J'ai lu les premières pages avec grande difficulté et puis j'ai laissé tombé rapidement ... Je reconnais ne pas l'avoir lu jusqu'au bout .
Je vais pas disserter sur le pourquoi du comment, ci ce n'est que, j'ai trouvé le livre lourd, parfois donneur de leçons et remplis de prés jugés pas cool !!
Et pas très bien écrit !!
C'est très gentil comme avis, mais voilà un propos BIDON qui ne dessert que son auteur.
Pour cause : IMPOSSIBLE que vous l'ayez lu (et encore moins les premières pages), exceptées quelques citations fort rares, il n'est pas encore sorti ! haha !
Donc, l'avis critique négatif gratuit et infondé...
Bon vent !
Dernière modification par Olivier VMFJ (25 avril 2019 à 13:26)
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Olivier VMFJ a écrit
C'est un témoignage de comment j'ai finalement pu arrêter la weed, cette herbe qui a fumé une partie de ma vie. Ce livre propose une méthode non pas fondée sur la volonté, dans une épuisante lutte entre soi et soi-même, mais sur un déconditionnement progressif, un désamorçage de la charge active des croyances qui ancrent en nous le fait de fumer.
Conditions générales d'utilisation (première page à lire quand on s'inscrit, ou CGU
extrait : Autosupport et entraide
- Nous sommes ici dans une plateforme de témoignages et d'entraide : nous ne sommes pas là pour convaincre qui que ce soit ou pour faire de la publicité pour une méthode de sevrage ou un produit (qu'il soit de substitution ou non).
Je ferme donc la discussion en attente de la décision de l'équipe concernant ce thread.
Fil
Dernière modification par filousky (26 avril 2019 à 10:34)
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Et comme on ne se refait pas, j'ai convoqué un certain nombre de philosophes et de penseurs, par exemple, Nietzsche, Freud, Baudelaire, Saint Augustin, Heidegger, qui nourrissent la réflexion et éclairent le cheminement.
Nietzsche (chloral, opiacés), Freud (cocaine) et Baudelaire (Cannabis) je savais qu'ils consommaient mais Saint Augustin....
Quand à Heidegger je n'ai vu nulle part qu'il consommait mais il etait un peu accro au Dasein d'un célébre moustachu (Adolphe).
Amicalement
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Olivier VMFJ a écrit
morphe07120 a écrit
Bonjour !
je me permets juste de dire ce que j'en ai pensé MDR !!!
J'ai lu les premières pages avec grande difficulté et puis j'ai laissé tombé rapidement ... Je reconnais ne pas l'avoir lu jusqu'au bout .
Je vais pas disserter sur le pourquoi du comment, ci ce n'est que, j'ai trouvé le livre lourd, parfois donneur de leçons et remplis de prés jugés pas cool !!
Et pas très bien écrit !!C'est très gentil comme avis, mais voilà un propos BIDON qui ne dessert que son auteur.
Pour cause : IMPOSSIBLE que vous l'ayez lu (et encore moins les premières pages), exceptées quelques citations fort rares, il n'est pas encore sorti ! haha !
Donc, l'avis critique négatif gratuit et infondé...
Bon vent !
Soit il est mythomane, soit tu n'acceptes pas les critiques.
*pop corn*
Peux être qu'il parlait de ton premier message?
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