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La MDMA comme traitement

janis a écrit

janis 

Salut Janis, merci du partage.

J'avais vu deux études similaire qui avait lieu au Canada. La première traitait le SPT avec de la mdma et la seconde étude traitait les depression avec du 2C-B. Je vais essayer de retrouver cela...

Concernant l'article on regrettera la dernière phrase totalement pétée qui annonce les thérapie à base de psychédélique comme " les psychanalyses de demain". Au vu du résultat et des déviances franchement dégueulasse de ces dernières ça arrangerais tout le monde que ça ne soit pas le cas

A plus.

Ocram

janis a écrit

Oui je suis bien d accord, mais la psychiatrie a aussi des dérives bien dégueu tout comme la psychologie....à partir du moment où l'humain est juge et partie de ses comportements, c'est complexe.

Re,

Oui oui très juste, les sciences de l'humain sont des exercices périlleux et délicat... Fortement dépendant du praticiens... C est pae la force des choses la porte ouverte à pas mal de dérives...

janis a écrit

A titre personnel, j'émets juste des réserves qui n'engagent que mon cas, sur les effets à longs termes tant sur les aspect cognitifs, que mentaux.

Je suis aussi d'accord avec cela, mtn il faut savoir que les quelques études que l'on trouve sur le sujet mettent en avant le fait que ce sont des thérapies brèves... Et ça c est plutôt bon signes à mon avis. Si en 3 ou 4 séances on peut permettre à des personnes fortement atteinte de régler leurs problèmes et ainsi d'éviter nombre d'effets secondaires de médicaments plus traditionnel...

Bon je ne me fais pas non plus trop de film ça ne sera évidemment pas la panacée pour tout le monde, mais comme tu le dis c est un outil de plus dans l'arsenal thérapeutique.

Vivement la suite en tout, je trouve cela très enthousiasmant.

Ocram

NM7 a écrit

Hello tout le monde!

Merci beaucoup janis pour le sujet et l'article.

janis a écrit

On le sait ici plus qu'ailleurs, différence entre drogues légales et illégales n'a aucun sens… les drogues interdites devenant des médicaments et ces derniers, des drogues, et ainsi de suite danse le bal des substances.

Je trouve cette phrase parfaite parce qu'elle résume tout à elle seule. L'utilisation des "drogues" à des fins thérapeutiques est un sujet qui m'intéresse beaucoup aussi depuis quelques mois. J'ai lu pas mal sur le cannabis, et un peu sur le lsd et, plus récemment, la mdma.

Et comme ici c'est le sujet qui nous intéresse, j'ai fait un peu le rapprochement avec une étude que je viens de lire (Gaddis et al., 2018). Le contexte et la population étudiés sont différents puisque l'étude s'intéresse à une utilisation illicite de la mdma par des jeunes vivant dans la rue, mais le résultat principal est le suivant : la consommation de mdma est associée négativement à la probabilité que ces jeunes s'injectent un jour des drogues dites dures.

Et pour expliquer en partie ce résultat, les auteurs font le lien avec les récentes études sur le succès du traitement du SSPT par la mdma, et également avec le fait que les jeunes qui constituaient l'échantillon de leur étude étaient souvent confrontés au SSPT, du fait d'une enfance traumatique. Leur consommation illicite de mdma les protégeraient donc d'adopter des comportements plus dommageables, en les aidant à gérer émotionnellement leur traumatismes passés.

Voilà, voilà... Tout comme vous, je suis pleine d'espoir pour la suite.

Au plaisir de voir ce sujet grandir encore et encore!

NM7

Coucou NM7,

Merci de ton message. Merci également pour les infos que tu partages

Par contre, attention aux études qui stigmatisent les drogues soit disant dures ou les pratiques. Je ne connais aucunes drogues molles^^. Et les injections recouvrent un nombre important de pratiques et de substances différentes.

Bises
Janis

janis a écrit

Coucou NM7,

Merci de ton message. Merci également pour les infos que tu partages

Par contre, attention aux études qui stigmatisent les drogues soit disant dures ou les pratiques. Je ne connais aucunes drogues molles^^. Et les injections recouvrent un nombre important de pratiques et de substances différentes.

Bises
Janis

Re,

Et merci pour ta réponse. :)
C’est vrai, il est bon de rappeler que ces études doivent être lues avec le regard le plus critique possible.
Celle dont je parlais ne précise pas à quelles drogues « dures » elle fait référence ; aucune précision non plus au sujet des injections (après, il est aussi possible que je n’ai pas tout lu en détail ou tout compris).

Et c’est pour ça que j’ai écrit drogues « dites » dures sans plus de précision.
Le plus important je pense c’est d’en garder ces intéressantes découvertes et d’espérer que la recherche puisse un jour contribuer à faire évoluer les mentalités et les pratiques... Pour une fois j’ai envie d’être optimiste

À bientôt j’espère et belle soirée à toi!

NM7