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Spirit a écrit
Je tenais simplement à vous faire part de ces petites expériences. Il y a un réel potentiel anxiolytique, et même inspirant, artistique.
Merci pour ce post qui est une beau témoignage de l'utilisation anxiolytique du cannabis.
Avec ton autorisation, j'utiliserai ton post dans le dossier que je prépare pour le les deux ans d'expérimentation du cannabis thérapeutique.
Belle utilisation pragmatique d'une drogue en "médicament" anxiolytique qui donne un plus (le monsieur plus des anciennes pub télé (il y a vingt ans);
Amicalement
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Dernière modification par filousky (29 septembre 2019 à 12:52)
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filousky a écrit
Spirit a écrit
Je tenais simplement à vous faire part de ces petites expériences. Il y a un réel potentiel anxiolytique, et même inspirant, artistique.
Merci pour ce post qui est une beau témoignage de l'utilisation anxiolytique du cannabis.
Avec ton autorisation, j'utiliserai ton post dans le dossier que je prépare pour les deux ans d'expérimentation du cannabis thérapeutique.
Belle utilisation pragmatique d'une drogue en "médicament" anxiolytique qui donne un plus (le monsieur plus des anciennes pub télé (il y a vingt ans);
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C’est vrai qu’il a raison perso je trouve un effet anxiolytique bien plus présent avec le canabis que avec des médicaments
Dernière modification par filousky (29 septembre 2019 à 12:52)
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Mais j'y trouve ici un effet anxiolytique. Avec une très légère défonce, en ''arrière-plan'', si je puis-dire. C'est extrêmement subtil.
Alors, concrètement, ça ce matérialise comment et par quoi cette effet anxiolytique, me demanderiez-vous?
En reprenant mes notes, voici avec précision les mots que j'avais choisi, il y a quelques jours...
''Je ressent une forte chaleur au niveau du ventre, une chaleur réconfortante, et quasi anxiolytique.
Ma respiration est stable, profonde.
Mes muscles sont complètement relâchés, décontractés, à la manière d'un médicament myorelaxant.
En EHPAD je prescrivais des doses très faibles de Valium ou Tercian gouttes et ça faisait de l'effet sans en faire trop !! Et ça encourage à compléter l'effet par des interventions non médicamenteuses.
Dans la plupart des cas, les doses de psychotropes «écrasent» les neurotransmetteurs endogènes qui sont quasiment inexistants tant que le psychotrope est pris. Et ce manque n'apparait qu'au sevrage !
On peut imaginer (mais à tester bien sûr) que de faibles doses aident les neurotransmetteurs endogènes sans les submerger. On connait l'importance quantitative du système endocannabinoide et on soupçonne que certaines pathologies (fibromyalgie par exemple) pourraient être liées à une insuffisance de ce système. Donc l'idée de l'aider me parait au moins à tester.
quelques refs dans ce sens
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3566631/
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4157317/
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22796912
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3788795/
http://accurateclinic.com/wp-content/up … d-NCBI.pdf
nb : j'ai obtenu ces refs par «low dose» et pas par microdosing qui en principe signifie 1/100 ème de la dose.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (29 septembre 2019 à 18:26)
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filousky a écrit
Spirit a écrit
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Avec plaisir Filousky! C'est toujours un plaisir de partager diverses expérimentations ici! :)
Tu a, bien évidemment, mon autorisation.
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