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Dernière modification par Rick (18 janvier 2020 à 19:27)
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Poulet Farci a écrit
Merci pour le lien Heashka je suis passionné de pharmacologie et je pense que ça va m'occuper de longues heures....
Par contre y'a un truc qui me chiffonne dans ton histoire avec le méthylphénidate...
La MDPV est également connue pour être un inhibiteur de recapture de noradrénaline et dopamine et pourtant sa neurotoxicité parait plutôt probable (même si je n'ai pas de sources à t'avancer pour prouver mes dires...) .
D'ailleurs à titre personnel je trouve que les inhibiteurs de recapture sans activité libératrice via les TAAR que j'ai essayé (methylphénidate, éthylphénidate) ont des descentes bien plus douloureuses et anxiogènes que les amphétamines ou cathinones que j'ai expérimenté ( 2 FA, 3 FA, amphétamine racémique, 3-MMC), avis partagé par pas mal de monde je pense.
Après je sais bien que la neurotoxicité ne se mesure pas à l'effet subjectif ressenti, mais je suis très suspicieux sur toutes les études sur le méthylphénidate étant donné le potentiel financier du truc .
Bien à toi, Poulet Farci
Bien sûr !
En faite les descentes plus "douloureuses" sont du à trois facteurs :
1) La voie d'administration
2) La durée d'action (demi-vie courte, demi-vie longue)
3) LE PLUS IMPORTANT :
En faite les inhibiteurs de recapture dopaminergique style cocaine sont bien plus violent en terme de descente même si elle dure moins longtemps que pour l'autre grande famille empirique pour les stimhead' c'est à dire les libérateurs pré-synaptiques style amphétamine, méthamphétamine, etc.
Donc oui c'est tout à fait logique et normal, les inhibiteurs offrent plus d'ivresse festive, ont un craving plus violent tandis que les libérateurs offrent une extra-lucidité productive avec un craving plus diffus dans le temps :)
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