Plus d'effets opiacés avec ma buprénorphine...

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Gaelle67 femme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Bonjour,
J'essaye de résumer mon histoire le plus court possible...
Pendant plus de 10 ans, j'ai été addict au Tramadol pour arriver à la fin à une dose de 2 à 4 grammes par jour (je ne mens pas, mon addicto aurait failli tomber de sa chaise quand il a entendu ça).
J'ai bêtement commencé par le codoliprane à l'époque où il était en vente libre, ayant toujours eu plus ou moins besoin de produits pour me sentir à l'aise, et ayant été diagnostiquée TDAH que après mes 30 ans, je me servait de produits licites (ou illicites quand le médecin refusait de m'en donner plus), afin de me concentrer.
Du coup, en 2017, j'ai été envoyé par mon médecin traitant chez un addicto, qui au départ essayait de me mettre la même dose de tramadol en le faisant ramener par une infirmière, et prévenait la pharmacie avant que j'avais "une dose de cheval", mais voulant accélérer les choses, et entre temps l'addictio ayant contacté mon psy (qui ne savait rien de ma conso de tramadol), pour lui faire part de ses observations (je consommais toujours pour me concentrer, examens, etc...), il a aussi confirmé le diagnostic que suspectais le psy depuis quelques années sans me le dire : un TDAH.
Du coup le psy a dit qu'il aimerait me mettre sous Ritaline, mais qu'il fallait pour ça être sevrée ou au moins ne pas dépasser les 400 mg de Tramadol par jour, ce que l'addicto a calculé et en diminuant "vite" y'en avait encore pour plus de 6 mois pour y arriver... A moins d'arrêter net, mais à l'hôpital.
En avril 2018 je me fait hospitaliser en médecine et je l'arrête net. 2 semaines après, le psy commence la Ritaline.
Tout se passe bien à un moment, la Ritaline prends le relais et du coup bye l envie de consommer, les antidépresseurs, anxiolytiques juste encore 1 alprazolam de 0.25 à la place des 4  x 20 mg de Tranxène.
Du coup j'y croyais, mais j'ai fait "une mauvaise rencontre" entre temps. En août 2018 je découvre que je suis enceinte (je n'avais plus de règles étant en sous poids à cause de mon anorexie mentale qui était revenue 3 ans plus tôt), et du coup le début de grossesse se passe très bien, jusqu'à ce que le "papa" montre son vrai visage, j'ai eu droit a des menaces, a des rapports forcés, etc... il m'a également reprocuré tramadol et codéine, et bien sûr pour stopper les angoisses, je suis vite retombée dedans...
Mars 2019, 1 mois avant l'accouchement, l'addicto me mets sous méthadone 15 (10 + 5 en sirop), ma puce nait en avril, a eu une surveillance par rapport au syndrome de sevrage (j'ai eu une feuille "score de finnegann a remplir tous les jours), et on a pu rentrer au bout de 12 jours car par chance pas de syndrome de sevrage et chouette en pleine forme.
En mai 2019 j'ai switché vers la suboxone (car étant jeune j'ai sniffé et l'addicto du coup a dit que celui ci même si l'envie de sniffer venait, celui ci ne ferait aucun effet à cause de la naloxone (erreur !!!), ne supportant pas le goût mélange citron/amer, je l'ai sniffé, et j'ai ressenti un "bon effet", puis il a tenté l orobupré dont le goût était pareil, pour finalement me mettre à la buprénorphine 6.
Au début ça me détendait les 3 h suivant la prise, mais le prenant le soir vers 19h, a 13/14h j etais en sueur, du coup il m'a mise a 6. 8 (2 de 0.4 en plus), 2 mois après a 8 car toujours en recherche de codéine, tramadol , skenan (bref tout ce qui est opiacé), le médecin traitant a du me voir en janvier et l'a augmenté à 10, ça a tenu 2 semaines et encore envie de cet effet qui me manque.
Du coup l addicto m a revue et a parlé de repasser à la metha et de me rappeler, mais depuis 10 jours pas de nouvelles, et le soir une terrible envie de consommer.
J emmer.. tout mon entourage pour prétexter de fausses douleurs et en demander, je fouille sur le net pour en racheter, j'ai déjà fini à me remettre par la sniffer et même en plug, mais aucun effets !!!
Du coup est ce normal cette envie de consommer et le fait de ne plus rien sentir meme détourné ?
Malgré que j ai arrêté les mauvaises fréquentations et demandé une délivrance journalière par IDE, j ai peur que le soir je vais finir par refréquznter les "mauvais" tellement je "cherche" et tourne en rond...
Désolée pour le pavé...

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champi vert83champijaune0cxhampi rouge0
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On comprend très bien que tu ailles mal mais seule ton équipe médicale peut t'aider à trouver la solution.
La dose de subutex est encore augmentable (jusqu'à 16 mg/j) et aussi la methadone que tu as eu à faible dose, semble t il.
Ton CSAPA a t il un psychologue ?? parce que compléter avec des thérapeutiques non médicamenteuses serait utile !
L'erreur commune est de croire que la solution est dans le produit (médicament comme psychotrope illicite). Les produits font un effet de recréatif à thérapeutique mais aussi potentiellement défavorables. Et cet effet peut etre évidemment recherché en soi. Mais croire qu'ils "guérissent" les problèmes d'existence est utopique. Sauf pour certaines classes médicamenteuses qui peuvent amener une guérison ou une rémission prolongée. Mais la pluaprt des psychotropes sont des "pansements" sur la douleur psychique, qui amènent un soulagement temporaire mais pas de guérison. Il importe donc de bien les gerer au long cours, faute de quoi on constate ce que tu nous décrit avec des rémissions de courte durée mais des problèmes persistants.
Donc laisse tes médecins t'aider à gerer (ou mieux te guider)  mais méfie toi de ta gestion spontanée qui ne tient pas compte du long cours!
Amicalement

Dernière modification par prescripteur (04 mars 2020 à  10:51)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Gaelle67 femme
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champi vert0champijaune0cxhampi rouge0
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Bonjour,
Justement le soucis est que j'en ai déjà parlé aux médecins traitant qui me l'avait augmenté et à l'addictologue : du coup l addictologue m'a une fois de plus soûlée avec ses exercices de cohérence cardiaque et de relaxation dirigée (chose qui marche quand j'ai la tête vide), mais là avec tout les soucis que j'ai en tete, et comme si ça suffirait pas, maintenant c est la mdph qui a une fois de plus perdu un document de mon dossier de renouvellement mdph et du coup pour l instant l AAH est suspendu, le psy, l addicto et le médecin me renvoient chacun l'un chez l'autre, l'addicto m'a pas rappelée comme prévu, et du coup ils font rien.
J'aimerai juste un médecin qui me donne limite de nouveau mon tramadol plutôt que la buprénorphine qui me sert à rien et qui n'enlève pas les douleurs.
D'ailleurs le psy je lui ai déjà dit à 3 rdv que je n'arrivais plus à me concentrer, et que je voulais consommer et il m a dit d'aller chez l addicto, l addicto a dit qu il a pas de solution et qu il me rappelle et il m a pas appelée.
Du coup moi je veux juste trouver un moyen pour ressentir l'effet et qu il m enleve le mal de crane que j'ai en fin de journée a force de ruminer.
D ailleurs le psy je devais le voir cet aprèm, mais je lui ai dit de faxer l ordonnance a la pharmacie et que je pouvais pas me déplacer. Parce-que pour me sortir le même truc, j ai pas d essence a gâcher.
Est ce que le fait que je ne ressente rien par le sniff est dû au fait que je l'ai peu être trop écrasé ?
Et comme je suis bientôt proche de l Espagne, j ai pensé faire le tour des pharmacies la bas pour me faire un petit stock.
Du coup si quelqu'un a éventuellement le nom du codoliprane en Espagne, je suis preneuse...
Et du coup, même si je l injecte je pense qu'il ne fera aucun effet si par sniff et plug il ne fait rien ?
Car en ce moment j ai plus envie de rien, juste retrouver ce bon effet qui au moins ralentissait les problèmes qui me travaillent h24...

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champi vert83champijaune0cxhampi rouge0
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D ailleurs le psy je devais le voir cet aprèm, mais je lui ai dit de faxer l ordonnance a la pharmacie et que je pouvais pas me déplacer. Parce-que pour me sortir le même truc, j ai pas d essence a gâcher.

Bonjour, un dialogue avec le médecin ça se fait à deux. Il arrive en effet que le médecin ne soit pas au niveau mais le plus souvent c'est surtout que le dialogue n'est pas au niveau. Chacun ne comprend pas l'autre et les malentendus se transforment en conflits.

Sauf que le médecin n'a pas forcément besoin d'un dialogue de qualité avec chacun de ses clients alors que pour  toi c'est TA santé et c'est important.

Alors pour TOI il vaut mieux essayer d'avoir un dialogue plus fécond, ce qui n'empêche pas, au contraire, de poser des questions ou de dire non. Et s'il le faut de changer de médecin mais c'est si vraiment tu n'y arrives pas. Mais pour y arriver il faut au moins essayer.

Et pour avoir un dialogue de qualité il faut te dire que c'est à Toi de promouvoir le changement. Evidemment tu préférerais qu'il se conduise autrement mais ce n'est pas dans ton pouvoir. Tandis que changer la façon dont tu dialogues avec tes médecins c'est totalement dans ton pouvoir.

Amicalement


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Gaelle67 femme
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Mais la dernière fois j'ai dit à l addicto va pour le repassage à la méthadone, et finalement il a dit qu il va voir avec ses  collègues et qu il me rappelle, et il me rappelle pas, le médecin traitant a déjà appelé 3 fois pour le relancer, il s est lui-même énervé en disant qu il était pas sérieux, mais il fait toujours rien.
Du coup je vais déjà voir si je peux enlever l infirmière a domicile (car a la base c etait une demande venant de moi), car j aimerai tester un truc, mais le soucis c est que si ça fait rien, je n ai plus de traitement après.
Meme une des infirmières a dit qu'elle le trouvait tête en l'air cet addicto, parce-que quand elle l avait au téléphone il se souvenait même pas quel traitement j avais...
Je lui ai demandé à voir l hypnotherapeute du service, il a dit non. Je lui ai déjà dit je ne sais combien de fois que je m en fou de sa relaxation dirigée (si, ça m'aide quand j'ai pas 36000 soucis), il continue a me parler de ça, a me montrer ses conneries sur son écran youtube.
Le seul moment où je ressens 20 minutes de relâchement de mes nerfs (car je suis tellement angoissée en ce moment qu'au bout de la journée j ai mal partout dû aux crispations), c'est après avoir pris mes 2 stilnox, et même ceux là faisaient plus d'effet, le seul moyen que j'ai trouvé pour qu'ils me détendent c'est de manger un petit truc le matin, et de rester à jeun pour la prise de zolpidem.
Les médecins savent tout mes soucis, que dans ma famille c'est des cons qui sont juste là pour me rabaisser et dire "que je suis la honte de la famille", "une droguée", justement j'ai fait que de tout raconter a tous les professionnels qui me suivent, et l'un m'envoie chez l'autre...

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champi vert83champijaune0cxhampi rouge0
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Si tu as de bonne raisons de chercher un ou plusieurs autres soignants, ce n'est ni interdit ni déraisonnable. Et souvent correctement remboursé si on prend ses précautions.

Ce que je te disais sur la necessité d'un dialogue de qualité c'est à mon avis le but à poursuivre absolument. L'efficacité en découlera très probablement. Donc, sans urgence mais avec determination, essaie de voir parmi tes soignants ceux qui t'aident et si certains ne t'aident pas, cherches en  qui le fassent.
Ce ne sera pas facile, car, si j'ai bien compris, ton entourage ne t'aide pas mais c'est indispensable.
Quelques précautions

Pas d'enervement ou de colère, on réussit toujours mieux quand on prend les gens par leur meilleur côté.

Parler en JE. Pas dire "vous êtes un mauvais médecin" ou "vous ne faites pas ce qu'il faut" mais "je suis anxieuse et je vais mal. Je sais que vous faites tout pour m'aider mais ça ne marche pas. Je voudrais seulement aller mieux !"

http://www.redpsy.com/outils/communicat … unication1

Amicalement

Dernière modification par prescripteur (04 mars 2020 à  19:03)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Gaelle67 femme
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J'ai justement appelé le médecin traitant y'a une demi-heure justement pour lui dire que je passerai demain et si il pouvait me rédiger un courrier et m'envoyer vers un autre addicto. Il a dit "oui, je vous fais ça sans problèmes", et il a dit qu'il avait encore tenté de joindre l'addicto, et qu'il n'était pas dans le service à ce moment là, mais qu'il avait laissé le message au secrétariat et qu'il devait le rappeler et ne l'a toujours pas fait.
Du coup, je vais lui demander lequel il me recommande (d habitude quand il recommande des spécialistes pour moi ou les enfants), je suis toujours bien tombée.
Le médecin traitant lui a aussi expliqué que ma famille ne me soutenait pas, car l'addicto me conseillait de voir du monde et d'aller dans la famille entre autres, alors que ça empire la situation.
En gros ma mère fait des manières, depuis petite elle n'a toujours fait que de me rabaisser, si je ramenais genre un 19/20, c'était nul, car le point était perdu trop bêtement, le lendemain de l'accouchement de ma 1ère, elle est venue pour me dire : "t'aurais pu te lever et te maquiller un peu, t'as une sale gueule t'es toute blanche" (au passage j'avais pas le droit de me lever et etait blanche car j'ai perdu beaucoup de sang), ma voisine de chambre était choquée, même pas 2 semaines après elle m'a dit "de maigrir", qu on dirait que j attends encore un autre, du coup j ai fait une période d'anorexie, puis j'avais la paix quelques années, et ai finalement perdu plus de 30 kg en moins d'un an il y'a 4 ans, j'ai eu droit a l'hospi, la sonde, etc... maintenant en plein repas de famille elle me traite de sac d'os, squelette, etc...
J'ai déjà expliqué aux médecins comment elle était, mais ils disent : "après elle vous aide quand même de temps en temps avec les enfants".
Et elle j'ai déjà essayé de la fuir, quand j'ai quitté la maison a 19 ans, j'ai fais mes valises quand ils étaient en vacances et lui ai juste laissé un écrit comme quoi je ne rentrerai plus, même si j ai changé de région, ça ne l a pas empêché de me retrouver.
J'ai pas eu le droit de faire les études que je voulais car "une fille d'architecte ne se contente pas d'un simple CAP".
Malgré que je lui ai expliqué le TDAH, elle me reproche mon comportement de quand j'étais enfant, que je lui ai toujours fait honte et que j'etais l'emmerdeuse de service, que ma sœur était bien elle au moins, pour l addiction j ai déjà aussi essayé de lui parler, elle vient juste pour fouiller et m'accuser de cacher ou prendre des choses.
Y'a 3 ans mon cousin qui avait des problèmes avec l'alcool et qui finalement en est décédé suite à une mauvaise chute, elle trouve moyen de le salir même décédé, en disant qu'il fait honte à la famille, à sa mère, qu'il l avait cherché après tout.
Meme mes enfants quand ils entendent que leur grand-mère arrive ils ferment la porte a clé et disent que je dois pas la laisser entrer (et pourtant je ne leur ai pas dit du mal d'elle, ils ne la supporte plus).
Y'a 3 semaines on en est venu aux mains elle et moi, et autant je ne suis pas violente, autant quand elle s'est permis de me gifler, je ne sais pas ce qui m a pris, mais je l'ai choppée par le cou et avait les doigts en sang du coup car elle m'a mordue.
Et le pire c est que c est une très  bonne parleuse, qui va vers toutes les personnes et est a l'aise partout, et du coup tout le monde la plains encore d'avoir "une fille comme moi qui est seule avec ses enfants", et elle m'a toujours dit "qu elle n a cas lever le petit doigt et qu'elle me fait enlever le enfants".
J ai du aller jusqu'à l enregistrer en cachette pour montrer à des personnes qui la trouvait "cool et classe" comment elle était...
Et du coup je suis malheureusement souvent tombée sur des "personnes toxiques et manipulatrices".
Et la du coup en ce moment j'ai tout qui se cumule : ma mère qui s'incruste de trop, le père de ma 4ème qui pour l instant a le droit de voir la petite uniquement en milieu médiatisé, j'ai peur qu il obtienne un jour le droit de l'avoir seule avec lui, car il avait déjà 5 filles avec son exe, il ne s'en ai jamais occupé, ses 2 aînées ont témoigné de tout ce qu il leur a fait subir, le psy qui suit sa 3ème a fait un certificat comme quoi il était manipulateur et parano et qu il était inapte à être seul avec de jeunes enfants, malgré toutes les plaintes que ses filles et exe ont également déposées, ils disent qu'il ne faut pas rompre le lien familial, et moi dernièrement on m'a dit que les visites médiatisées ne duraient pas à vie, que c etait provisoire, depuis la ca me travaille et j angoisse.
Et la cerise sur le gâteau c'est que une fois de plus la mdph a paumé une feuille de mon dossier, et que je sais pas combien de temps je vais rester avec 900 € en moins... ils ont dit "mais c est rétroactif", oui mais en attendant, mes factures seront prélevées.
Bref, là c'est trop qui s accumule, et dans ma famille je n'ai pas le droit de dire que ça ne va pas, c'est moi-même qui l'ai cherché, et que je dois aussi penser à eux qui souffrent "de ce que les gens pensent d'eux avec une fille comme moi"

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