Méthylphénidate 100 mg (oral)

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NicolasMachiavel homme
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Terrain physique :

Homme, 30 ans, santé relativement bonne, sportif régulier (4,5 fois par semaines), régime faible en glucide mais élevé en fibres, protéines et lipides insaturés.

Terrain psychologique :

Un peu en blues, début de dépression (je suppose avant de consulter) notamment suite à l’arrêt de la cocaine. Je compense depuis par de grosse dose de caféine et de nicotine. 25mg/ml en ecig et 5 mug de doubles espresso  + 2 guronsan.

Matos :

Ritaline 40 mg LP, Novartis, Lorazepam générique à mg, rhum vieux ambré 50°

Background :
   
•    Alcool : consommation occasionnelle dans des contextes sociaux ou festifs.
•    Cannabis : cessation de la consommation régulière depuis 9 ans.
•    MDMA/Extasy : usage très rare, environ une fois tous les deux ans.
•    LSD et RC-Lysergamides : usage limité à environ deux fois par an.
•    Cocaïne : consommation mensuelle ou bi-mensuelle, avec une dépendance passée marquée par une fréquence d’utilisation de 2 à 3 fois par semaine.
•    Autres expériences : usage sporadique de kétamine, amphétamines, benzodiazépines diverses, DXM, et opioïdes (allant de la codéine au tramadol).

Contexte :
Seul chez moi en télétravail, beaucoup de taff en perspective, 30mg oral avec un café à jeun. J’avais déjà une certaine familiarité avec les stimulants(cocaine, amphétamine, modafinil), mais c’est ma première expérience (à ces dosages) avec le méthylphénidate.

10h30 :
L’effet se manifeste doucement. Cela commence par une montée progressive qui rappelle une douche montante de cocaïne, mais sans le rush brutal. Le paradoxe, c’est que j’ai constamment l’impression que l’effet va s’arrêter, mais il ne faiblit pas. L’intensité reste stable, presque hypnotique, comme si elle jouait sur une boucle infinie, comparable à la gamme de Shepard (pour ceux qui connaissent).

14h00 : drop de 30 mg avec un autre café, après avoir pris l’air pour me dégager l’esprit. Là, tout semble plus léger. C’est comme si le monde autour de moi flottait. Mon corps est légèrement tendu par l’effet stimulant, mais curieusement, mes pensées sont plus claires et structurées. Habituellement, j’ai cette sensation de brouillard mental, mais là, je parviens à saisir mes idées avec une clarté inattendue. L’effet stimulant ne brouille pas l’esprit, au contraire, il l’organise.

15h00 : je travaille en tunnel et suit hyper productif, aucune agitation et distraction comparativement aux autres stims

20h00 :
Je commence à boire après cette session efficace de taff. L’alcool modifie considérablement l’expérience. Ce qui est fascinant, c’est que je ressens les effets plaisants de la cocaïne sans les aspects négatifs : pas d’hypertension musculaire, pas de paranoïa. L’alcool me rend plus social, mais je sens que la tchatche était déjà présente en fond, prête à émerger. Je continue à boire tranquillement, deux ou trois verres de spiritueux, tout en maintenant cette stimulation agréable.

A noter augmentation de la fréquence cardiaque, besoin hydrique augmentée, chaleur corporelle, légère migraine.

23h00 :
Je décide que c’est le moment d’arrêter et d’essayer de dormir. À ce stade, je me retrouve face à un dilemme : avouer à ma partenaire ma consommation ou masquer la réalité. Elle sait déjà et préfère cela à des substances illégales. Je prends donc 1 mg de lorazepam (Temesta) pour me détendre et calmer l’agitation. Mais, par impulsion, je redrop 40 mg de méthylphénidate LP après un dernier verre de rhum. L’effet du Temesta semble partiellement annulé, l’esprit reste vif, mais léger.

Conclusion :
Expérience intense, mais gérable. Le méthylphénidate offre une stimulation cérébrale comparable aux effets euphorisants de certains stimulants (surtout la cocaine) plus dangereux, avec moins de risques apparents. Cependant, le mélange avec l’alcool et les benzodiazépines doit être fait avec prudence car je sens que la frontière avec le danger est mince

Partie 2 : en cours

Une petite trace entre chaque fichier Excel, un buvard à chaque congé.

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NicolasMachiavel homme
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NB: je ne vais pas dormir de ce pas ?

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NicolasMachiavel homme
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01: 30 : l’effet craving est là mais largement gérable face à à blanche neige. Je continue le rhum, bouteille presque vide, mais quel nectar le cubain ! En toute honnêteté j’ai du mal jauger mon ivresse. Je trouve que cette molécule est a la fâcheuse tendance à dissimuler plus intensément l’effet de l’alcool. Prudence prudence, je crois qu’il est plus facile de tomber en comas éthylique sous ce mélange qu’avec cocaéthylène.

02h00 :

Redrop 30mg hors gélule pour accélérer l’assimilation des granules contenus

Bilan physiologique :

•    Fréquence cardiaque : 100 BPM au repos.
•      Augmentation de la température corporelle (rester hydraté et penser aux sels minéraux, électrolytes, si l’expérience doit durer)
•    Tension musculaire : Pas de tension musculaire excessive observée, contrairement à celle induite par la consommation de cannabis ou d’amphétamines. La sensation de tension est présente, mais équivalente, voire légèrement supérieure, à celle ressentie après une poussée vasculaire post-musculation.
•    Effets du lorazépam : L’étourdissement initial causé par le lorazépam s’estompe après la prise de 40 mg de Ritaline. Il ne persiste qu’un état de calme mental.
•      Effets combinés du méthylphénidate et de l’alcool ressemble subjectivement de plus en plus à la cocaine mais plus stables et durables. Pour avoir senti une descente elle est très « soft » comparativement. Le craving semble plus réfléchis et logique, moins impulsif.
•    Effets physiologiques : Accélération du transit intestinal et de la fréquence urinaire observées.
•    Effets sexuels : Augmentation de l’orgasme en intensité et une meilleure capacité à partager l’acte sexuel avec le partenaire. Cela pourrait être qualifié d’effet empathogène, bien qu’il soit probable que cet effet soit dû à la combinaison des trois substances (ou au moins de deux d’entre elles) plutôt qu’à une seule molécule.

*On va utiliser le terme MPH pour aller plus vite

Ça risque de ne pas dormir on se tient au courant.

(Édit : le mélange gorgée de rhum + MPH* ( en granule hors gélules, amer de zinzin) ne risque pas finir dans les pages du Michelin. Immonde et haut-le-cœur. J’ai commis le péché capital : gâcher un breuvage si onctueux, digne des dieux, issu d’un pays qui survit déjà aux affres des relations internationales et des sanctions économiques due à à l’oncle Sam… Et pour ça ? Un mélange si infâme qu’il pourrait être considéré comme une arme de destruction massive ou comme torture pour Guantanamo. Je jure solennellement que jamais, Ô grand jamais, je ne recommencerai une telle hérésie gustative. (Rabattons-nous sur la bière au besoin))

Dernière modification par NicolasMachiavel (10 octobre 2024 à  02:08)


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Mynight femme
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NicolasMachiavel a écrit

01: 30 : l’effet craving est là mais largement gérable face à à blanche neige. Je continue le rhum, bouteille presque vide, mais quel nectar le cubain ! En toute honnêteté j’ai du mal jauger mon ivresse. Je trouve que cette molécule est a la fâcheuse tendance à dissimuler plus intensément l’effet de l’alcool. Prudence prudence, je crois qu’il est plus facile de tomber en comas éthylique sous ce mélange qu’avec cocaéthylène.

02h00 :

Redrop 30mg hors gélule pour accélérer l’assimilation des granules contenus

Bilan physiologique :

•    Fréquence cardiaque : 100 BPM au repos.
•      Augmentation de la température corporelle (rester hydraté et penser aux sels minéraux, électrolytes, si l’expérience doit durer)
•    Tension musculaire : Pas de tension musculaire excessive observée, contrairement à celle induite par la consommation de cannabis ou d’amphétamines. La sensation de tension est présente, mais équivalente, voire légèrement supérieure, à celle ressentie après une poussée vasculaire post-musculation.
•    Effets du lorazépam : L’étourdissement initial causé par le lorazépam s’estompe après la prise de 40 mg de Ritaline. Il ne persiste qu’un état de calme mental.
•      Effets combinés du méthylphénidate et de l’alcool ressemble subjectivement de plus en plus à la cocaine mais plus stables et durables. Pour avoir senti une descente elle est très « soft » comparativement. Le craving semble plus réfléchis et logique, moins impulsif.
•    Effets physiologiques : Accélération du transit intestinal et de la fréquence urinaire observées.
•    Effets sexuels : Augmentation de l’orgasme en intensité et une meilleure capacité à partager l’acte sexuel avec le partenaire. Cela pourrait être qualifié d’effet empathogène, bien qu’il soit probable que cet effet soit dû à la combinaison des trois substances (ou au moins de deux d’entre elles) plutôt qu’à une seule molécule.

*On va utiliser le terme MPH pour aller plus vite

Ça risque de ne pas dormir on se tient au courant.

(Édit : le mélange gorgée de rhum + MPH* ( en granule hors gélules, amer de zinzin) ne risque pas finir dans les pages du Michelin. Immonde et haut-le-cœur. J’ai commis le péché capital : gâcher un breuvage si onctueux, digne des dieux, issu d’un pays qui survit déjà aux affres des relations internationales et des sanctions économiques due à à l’oncle Sam… Et pour ça ? Un mélange si infâme qu’il pourrait être considéré comme une arme de destruction massive ou comme torture pour Guantanamo. Je jure solennellement que jamais, Ô grand jamais, je ne recommencerai une telle hérésie gustative. (Rabattons-nous sur la bière au besoin))

As-tu pu dormir au final?smile

Je suis sous MPH depuis plus de 10 ans (TDAH sévère, j'ai une prescription de 60mg/jour), et j'avoue n'avoir jamais essayé pour "un peu de récréatif" de monter jusque 100mg en une seule prise.

Par contre, contrairement à toi qui est novice sur ce produit (le MPH), ma tolérance doit être bien plus élevée, étant donné que j'en prends depuis un bail, je doute que 100mg aient les mêmes effets que sur toi.

J'ai une question, tu ressens un réel effet dopant, lorsque tu parles dans ton tout premier message de la caféine à haute dose + Guronzan?
Je me rappelle, n'ayant rien d'autre sous la main au tout début de mes études, lorsque je me sentais fatiguée, un peu down, je carburais au Guronzan qui ne fonctionnait pas trop mal.
Combien de caféine (par exemple, combien d'expressos et de combien de Guronzan as-tu besoin pour ressentir un effet dopant?)
Merci beaucoup par avance, passes une très belle journée, Myna.


°•✨️If you can't handle me at my worst, then U sure as hell don't deserve me at my best.✨️•°

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NicolasMachiavel homme
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Je m’excuse de ne pas avoir terminé le TR.

Voici mes réponses :

Concernant mon sommeil, j’ai pu dormir, mais de manière assez fragmentée, un peu comme sous Tramadol. J’ai l’impression de dormir sans vraiment atteindre un sommeil profond. En général, je m’endors vers 5 heures du matin et je me réveille entre 8 et 9 heures pour aller travailler. Le lendemain, je ne ressens ni descente particulière ni mal-être, ce qui est assez agréable comparé à d’autres stimulants.

En ce qui concerne l’effet dopant de la caféine, je le ressens toujours, mais il diminue avec l’accoutumance. Aujourd’hui, j’ai davantage besoin de caféine pour me réveiller, ce qui est devenu indispensable. Ma consommation oscille entre des phases de haute consommation et des périodes plus modérées. Lors des phases de réduction, je retrouve cet effet boostant. Je suis naturellement sensible aux effets de la caféine et d’autres substances psychoactives, ce qui provoque rapidement des tremblements, de la tachycardie ou de l’agitation, même avec des doses normales.

Consommation basse :

    •    Matin : Deux mugs allongés (~150 mg chacun) = 300 mg
    •    Midi : Un mug (~120 mg)
    •    Après-midi : Un mug vers 14h (~120 mg)
    •    Total journalier : Environ 540 mg

Évolution au cours de la journée :

    •    Matin : Après les deux mugs allongés, le taux de caféine dans le sang atteint un pic d’environ 300 mg.
    •    Midi : Avec l’ajout d’un mug, le taux monte à environ 420 mg, puis commence à diminuer en raison de la demi-vie de la caféine (environ 5 heures).
    •    Après-midi : Un dernier mug vers 14h porte le taux à environ 540 mg. Ce niveau commence à décroître progressivement vers le soir, permettant une certaine récupération avant le coucher.

Consommation élevée :

    •    Matin : Un grand mug (~140 mg)
    •    Milieu de matinée : Trois à quatre grands mugs de café filtre fort (~140 mg chacun) = 420 à 560 mg
    •    Après-midi : Un mug après le repas (~120 mg) et un dernier mug vers 15-16h (~120 mg)
    •    Total journalier : Entre 800 et 940 mg

Évolution au cours de la journée :

    •    Matin : Le grand mug initial apporte 140 mg, suivis par trois à quatre mugs supplémentaires, portant le taux à 560 mg maximum.
    •    Milieu de journée : Ce pic élevé entraîne une saturation de l’organisme, où l’effet dopant devient moins perceptible et peut même provoquer des sensations de blocage ou de difficulté à se concentrer.
    •    Après-midi : Les mugs supplémentaires maintiennent un taux élevé de caféine (jusqu’à 940 mg), mais avec une diminution progressive due au métabolisme. Toutefois, ce niveau élevé peut me causer de l’agitation et de la tachycardie.

Ce qui doit donner ça en évolution du taux sanguin :

/forum/uploads/images/1728/img_8401.webp


Lorsque je consomme beaucoup de caféine, je me sens souvent bloqué et moins apte à me concentrer ou à fournir un effort. En revanche, lors des phases de consommation modérée, je bénéficie d’un véritable effet dopant sans les effets secondaires indésirables.

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Mynight femme
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NicolasMachiavel a écrit

Je m’excuse de ne pas avoir terminé le TR.

Voici mes réponses :

Concernant mon sommeil, j’ai pu dormir, mais de manière assez fragmentée, un peu comme sous Tramadol. J’ai l’impression de dormir sans vraiment atteindre un sommeil profond. En général, je m’endors vers 5 heures du matin et je me réveille entre 8 et 9 heures pour aller travailler. Le lendemain, je ne ressens ni descente particulière ni mal-être, ce qui est assez agréable comparé à d’autres stimulants.

En ce qui concerne l’effet dopant de la caféine, je le ressens toujours, mais il diminue avec l’accoutumance. Aujourd’hui, j’ai davantage besoin de caféine pour me réveiller, ce qui est devenu indispensable. Ma consommation oscille entre des phases de haute consommation et des périodes plus modérées. Lors des phases de réduction, je retrouve cet effet boostant. Je suis naturellement sensible aux effets de la caféine et d’autres substances psychoactives, ce qui provoque rapidement des tremblements, de la tachycardie ou de l’agitation, même avec des doses normales.

Consommation basse :

    •    Matin : Deux mugs allongés (~150 mg chacun) = 300 mg
    •    Midi : Un mug (~120 mg)
    •    Après-midi : Un mug vers 14h (~120 mg)
    •    Total journalier : Environ 540 mg

Évolution au cours de la journée :

    •    Matin : Après les deux mugs allongés, le taux de caféine dans le sang atteint un pic d’environ 300 mg.
    •    Midi : Avec l’ajout d’un mug, le taux monte à environ 420 mg, puis commence à diminuer en raison de la demi-vie de la caféine (environ 5 heures).
    •    Après-midi : Un dernier mug vers 14h porte le taux à environ 540 mg. Ce niveau commence à décroître progressivement vers le soir, permettant une certaine récupération avant le coucher.

Consommation élevée :

    •    Matin : Un grand mug (~140 mg)
    •    Milieu de matinée : Trois à quatre grands mugs de café filtre fort (~140 mg chacun) = 420 à 560 mg
    •    Après-midi : Un mug après le repas (~120 mg) et un dernier mug vers 15-16h (~120 mg)
    •    Total journalier : Entre 800 et 940 mg

Évolution au cours de la journée :

    •    Matin : Le grand mug initial apporte 140 mg, suivis par trois à quatre mugs supplémentaires, portant le taux à 560 mg maximum.
    •    Milieu de journée : Ce pic élevé entraîne une saturation de l’organisme, où l’effet dopant devient moins perceptible et peut même provoquer des sensations de blocage ou de difficulté à se concentrer.
    •    Après-midi : Les mugs supplémentaires maintiennent un taux élevé de caféine (jusqu’à 940 mg), mais avec une diminution progressive due au métabolisme. Toutefois, ce niveau élevé peut me causer de l’agitation et de la tachycardie.

Ce qui doit donner ça en évolution du taux sanguin :

Image: https://www.psychoactif.org/forum/uploa … _8401.webp

Lorsque je consomme beaucoup de caféine, je me sens souvent bloqué et moins apte à me concentrer ou à fournir un effort. En revanche, lors des phases de consommation modérée, je bénéficie d’un véritable effet dopant sans les effets secondaires indésirables.

Super intéressant.
Je vais tester la consommation modérée.
Quand tu parles d'un mug allongé, par exemple, je peux me le préparer avec une capsule d'expresso?
Par exemple, lorsque tu parles de 120 ou de 150mg, tu utilises des capsules d'epxresso +/- diluées ou tu fais ton café à l'ancienne avec le café broyé qu'on met dans un filtre, dans les bonne vieilles machines à café?smile
Merci beaucoup d'avance pour ta réponse, belle journée à toi.


°•✨️If you can't handle me at my worst, then U sure as hell don't deserve me at my best.✨️•°

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Marco 68 homme
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Inscrit le 29 Jan 2019
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Ciao Mya
Si tu veux sortir la caféine faut tu fasse le "café chaussette ", car l'espresso ne contient très peu. La caféine sort avec une long infusion
Enjoy

Calcio Storico Fiorentino :  azzurri di S. Croce

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Acid Test homme
PsychoAddict
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Inscrit le 28 Sep 2014
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Comme le dit Marco , plus l'eau coule à travers un percolateur ou une dosette alu genre nespresso ( enfin , la pub avec l'acteur  Georges Clooney de mémoire  ! Lol bien que dans les dernières il y avait aussi un Français en plus de Clooney  ; Dujardin peut etre , je ne sais plus ) , ou meme une dosette papier ( que perso je trouve dégueulasses mais bon ) plus il y aura de cafeine !
En gros un expresso  serré  contient moins de cafeine qu'une expresso normale , qui lui meme , contient moins de cafeine qu'un allongé !
Et ce , meme si l'expresso serré aura un arome de café plus fort que les deux autres ( expresso normale et allongé ) .

Un bon expresso c'est , un bon café évidemment , la bonne pression ( pour une machine avec percolateur du genre de celles des cafés ,  ou une machine avec capsules / dosettes alu ) , la bonne température de l'eau .
D'ailleurs Nespresso indique la pression ( toujours la meme dans toutes leurs machines à café à capsules en alu , quelle que soit la marque ) dans le manuel des machines , de mémoire .

Je suis un gros amateur d'expressos ( avec la clope ! Aïe !).
Avant , j'en buvais 2 à 4 par jours ces dernières années , avec ma machine nespresso , en utilisant les capsules de café Illy / Intenso .
Mais pendant un an au moins  , j'ai pété les plombs et je suis passé à 3 mugs par jour ( avec deux capsules par Mug ) , tout simplement car le café refroidit moins rapidement dans un mug , du fait de la quantité contenue , que dans une tasse à expresso .
Un en me levant , un la journée et un pour la soirée et la nuit.
Pendant des années , je ne pouvais boire que les expressos des cafés , fait avec de "véritables" machine à café ( et encore , les bons cafés !  Car beaucoup de cafés font du café dégueulasse , bien qu'à Paris depuis un certain nombre d'années le niveau de qualité des cafés s'est élevé et la plupart sont au moins correctes . En banlieue proche aussi mais c'est plus variable en fonction d'où on se trouve en gros)  mais je me suis habitué au café que je prend , en paquets de 10 capsules ( le boite est couleur chrome ).

Le problème , c'est que ça me faisait consommer beaucoup trop de sucre .
J'ai donc baissé , d'abord d'un mug , puis de deux, en quelques mois  mais ce n'est pas évident quand on y est vraiment accro !

Dernière modification par Acid Test (17 octobre 2024 à  22:25)

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