[ Dosage ]

dosage minima pour efficacité

Trual a écrit

Aux plus éclairés de nous répondre  Merci

Alors franchement, Je passe mon tour, car je trouve ton post vraiment pas très clair ! Et c'est qui ON ?

pour aller plus loin via le lien du psychowiki
Zolpidem effets risques et témoignages

Trual a écrit

ON aimerait mieux savoir quelle dose est limite

Salut ! On ne peut pas répondre, car cela dépend de la tolérance de la personne. C'est pour ça que tu peux trouver des témoignages de doses impressionnantes, alors que pour quelqu'un qui n'a pas d'accoutumance, 10 mg ont déjà un effet tout à fait sensible (1 comprimé).

Trual a écrit

l'intérêt de ce médicament est certain mais la dépendance dérangeante si c'est le cas

Perso, ce qui me dérange le plus, ça n'est pas la dépendance au produit, mais celle au médecin qui me le prescrit. Je déteste cette suspicion permanente et cette impression d'avoir à quémander pour quelque chose qui concerne mon intimité et qui ne regarde que moi.

Pour moi, la dépendance n'est pas une gêne en elle-même. Ce qui me pose beaucoup plus problème, c'est l'accoutumance, qui fait que je perds les effets du produit si j'en prends trop souvent. Concrètement, c'est la principale raison qui m'empêche de prendre des somnifères plus souvent.

Trual a écrit

Comment éviter éventuellement des pertes de mémoire ou l'addiction ?

Les pertes de mémoire, c'est très personnel et dépendant du contexte. On n'est pas tous égaux face à ça. J'ai déjà pris du Zolpidem par plaquette entière sans en avoir, alors que d'autres feront un blackout avec un seul comprimé. Pour éviter les pertes de mémoire, il faut adapter la dose en fonction de notre propre réaction au produit. (et éventuellement, apprendre à maîtriser l'interaction avec l'alcool, si on est concerné).

Pour éviter "l'addiction" (je pense que tu parles de la dépendance physique), il faut limiter la fréquence des prises. Une prise par semaine n'engendre pas de dépendance pour moi. Je peux même faire quelques semaines avec deux ou trois prises, et arrêter plusieurs semaines ensuite sans ressentir le moindre manque. A contrario, une prise quotidienne entraînera une dépendance physique au bout de quelques semaines seulement. Ca n'est pas la mort : je sais que je peux m'en débarrasser facilement en diminuant la dose très progressivement. Comme je disais, ce qui me dérange c'est pas la dépendance, mais le fait de devoir augmenter toujours les doses pour conserver l'effet.

Tagacarbo a écrit

Le redrop avec cette molécule est monstrueux du fait qu’il est hypnotique et l’effet très désinhibant , suis les conseilles et dosage de ton médecin qui sont de 1/ soir,

C'est toujours une bonne idée d'être prudent avec une molécule qu'on ne connaît pas bien, et de se méfier des redrops compulsifs.

Mais ... "monstrueux" ? T'es sûr que t'en fais pas un peu trop ?

Tagacarbo a écrit

Au bout d’un moment il en faudras plus pour avoir les memes effets sur le sommeil .. comme pour n’importe qu’elle drogue .

Oui, c'est vrai pour de nombreuses personnes. Mais pas systématique non plus. Pour certains, c'est possible de trouver une dose qui va bien pendant des années.

Tagacarbo a écrit

les perte de mémoires c’est quasi inévitable avec le zolpidem et l’addiction va avec même a usage thérapeutique donc n’en abuse pas

Non, non, et non ! Les pertes de mémoire sont loin, très loin d'être systématiques. A mon expérience, j'ajoute celle de ma chère et tendre, qui n'a pas ma tolérance spectaculaire aux Benzos (oui, je sais que le Zolpi n'en est pas vraiment une, mais il existe une tolérance croisée) : même avec 2 comprimés potentialisés avec de l'alcool, elle n'a pas de perte de mémoire.

Le Zolpidem provoque une dépendance. Pour moi, ça n'a rien à voir avec une addiction. Une simple dépendance ne fait pas souffrir, et n'implique aucun comportement incontrôlé ou problématique avec le produit ! La dépendance physique disparaît facilement en diminuant très progressivement les doses. En ce sens, il est tout à fait faux de dire que "l'addiction va avec". C'est juste une façon de dramatiser toute dépendance, en en faisant un mythe moderne de la damnation.