Salut a toi Bandi pikdublazz, bien trouvé le Pseudo ?
C'est mon premier poste sur se forum et je me permets de l'écrire car ton témoignage m'a beaucoup touché.
Dans se que tu décris de ta vie je reconnais des personnes proches qui ont le même genre de problème que toi et j'aimerais apporter mon humble avis car j'aime a penser qu'avoir plusieurs visions extérieur permet de relativiser sur ces problèmes aussi dure soit-ils.
Dans un monde où la nuance se fait rare on oublie a quel point elle peut être appaisante ( parfois autant qu'un opiacé ?)
Je ne parlerais pas beaucoup de la substance en tant que tel car je n'ai pas beaucoup de vécu avec l'
héroïne, seulement quelques essaies et un dérapage de deux semaines de conso qui s'en est suivi d'un bon chien pour un naïf comme moi, sa ma bien calmé.
Moi j'étais addict ( et le suis toujours un peut) au
shit et j'ai ue beaucoup de mal a diminué ( contrairement a d'autres drogues qui pour moi était plus simple de stopper)
Rien qu'avec la fume j'ai vu a quel point on peut être dénigré quand on est addict, donc j'imagine même pas se que sa doit être avec l'
héroïne qui est pour Mr et Mme tout le monde la Drogue de la mort(alors qu'on arrose le peuple d'
alcool, de
tabac et de benzo mais bon...)
Je passe le fait qu'un médecin qui est dans le jugement me semble difficilement compétent en therme d'addiction, malgré sa il en existe qui sont a l'écoute et attentif à tes besoin même si il faut parfois chercher un moment avant de trouver le bon.
D'autres sur se forum en parlerons largement mieux que moi.
Ma réflexion est a prendre pour se qu'elle est ni plus ni moins qu'un avis parmis tant d'autres.
Je pense que l'on rentré parfois dans l'addiction en utilisant une substance pour s'autoriser a aimer ( que sa soit nous même ou une autre personne)qu'elle peut nous servir de béquille a des moments de nos vie où on a un malaître et où il est trop difficile d'oser aimer sans un coup de pouce, qui nous aides a ne pas se soucier du regard des autres, ou du regard qu'on a sur nous même.
tu a l'air d'avoir a tes côtés un chéri qui partage, et accepte tes consommation et choix de vie
( mêmes si il a arrêté sa consommation)
20 ans de relation c'est pas rien et sa pousse a l'admiration je trouve.
Maintenant sais tu pourquoi consomme tu depuis autant de temps et encore aujourd'hui ?( Sa peut sembler débile comme question mais c'est primordial quand on est addict, que l'on veuille arrêter ou continuer sa consommation)
Pense tu que ne pas vouloir arrêter viens d'un choix réfléchi et conscientisé ou de l'addiction ?
Se que m'a expliqué le médecin qui m'a suivi c'est que l'addiction ( a ne pas confondre avec dépendance) est une maladie ( désolé si j'en froisse quelqu'un) qui endommage ton circuit de récompense qui est la partie du cerveaux qui s'occupe de la volonté ( en partie).
Cela peut être aussi par ce que tu est addict que tu n'a plus assez de volonté pour arrêter ( ou pas du tout ) après 20 ans de consommation d'un produit aussi addictif.
sans compter la peur de s'en passer que sa peut engendrer Qui peut sembler insurmontable.
Peux être chercher si il n'y a pas autres choses que tu peux utiliser pour remplacer l'
héroïne dans ta vie ( petit a petit évidemment et avec un
TSO si besoin)
Esque les 20 ans de vie que tu a avec ton conjoint que tu aime valent t'il la peine d'être sacrifier pour de cette drogue ?
( Évidemment aucun jugement de ma part dans cette phrase se sont des questions que je me suis moi même posé a mon échelle)
Esque si tu envisages de te séparer de ton conjoint l'
héroïne t'apportera t'elle toujours se que tu recherches ?
avez vous déjà parlé de la place que vous donnez a cette drogue dans votre couple, et dans votre vie personnelle et pourquoi ?
Serait-il possible de la remplacer par une pratique, activé ou une autre substance qui vous nuirait moins?
Sachant que d'après se que tu a écrit si je comprends bien tu pense qu'il t'assimilera toujours a la
came ( se qui reste ta pensée et qui n'est pas forcément la sienne, et le pensé peuvent changer avec le temps l'environnement, l'alimentation et les action qu'on entreprends)
Je comprends que Tu a l'air d'anticiper la rupture pour lui épargné un mal ( et a toi de souffrir)
mais cela ne créerai t'il pas l'effet contraire ? Si jamais rupture il y a?
( C'est purement spéculatif je ne prétends pas dutout savoir se qui est le mieux pour toi ni pour qui que se soit)
Et si avoir besoin de temps et d'espace l'un et l'autre pour Guérir de vos addiction ne veux pas obligatoirement dire séparation mais reconstruction ?
Ayant dit tout sa je suis entièrement d'accord quand tu dit qu'être bien avec soit même permet d'être bien avec les autres.
je pense que c'est une des
bases vital de l'existence en société qui est trop mis de côté et qu'il faut chérir en premier quand on a ce genre de problème
( l'addiction, même si elle peut être influencer de l'extérieur viens de l'intérieur c'est un fonctionnement que notre cerveau créé face a une. plusieurs situation.s)
J'espère que vous trouverez une solution a votre situation et je vous envoie tout mon soutien.
Ps: désolé si il y a des fautes d'orthographe n'a jamais été mon point fort ?