[ Etude ]

cannabis porte vers d'autres consos ?

Merci, c'est interessant qu'il parle de bénéfices de l'utilisation de cannabis. Ce qui serait bien c'est de voir si le mot meme vient de l'OFDT.

je trouve dans le texte de l'OFDT

Le cannabis perçu comme un produit moins dangereux

La plupart des personnes interrogées évoquent spontanément les bénéfices perçus, considérant que le cannabis leur procure des moments de plaisir, favorise l’introspection ou la créativité, a des effets stimulants et, pour un grand nombre d’entre eux, apaise des symptômes dus à des troubles de santé physique ou mentale :
« C’est un endroit très fort de décompression totale » (Héloïse,
37 ans). Cette perception est d’autant plus marquée chez ceux qui
ont connu une addiction ou une dépendance à l’alcool, à d’autresproduits psychotropes ou à des médicaments psychotropes (antidépresseurs et anxiolytiques), la plupart du temps mal vécue.

Et puis c'est toujours pareil, il faut parler des biais de l'étude : est ce que c'est représentatif ?(certainement pas avec 52 personnes interrogées....) Ca peut donner des indications, mais il ne faut pas dire que les trois catégories sont exaustives.?

Ce n'est pas representatif mais descriptif = C'est une recherche qualitative et non quantitative !

https://www.scribbr.fr/methodologie/etu … ntitative/

. Apres, à chacun de penser ce qu'il veut. Le texte est là pour donner des infos (deuxieme lien de mon post et telecharger le pdf ).
Pour moi c'est assez positif puisque l'OFDT decrit 3 categories dont deux sont "positives".

Amicalement

Dernière modification par prescripteur (09 avril 2025 à  18:25)

prescripteur a écrit

une consommation stable et modérée de cannabis (3 joints par jours au plus)

prescripteur a écrit

Bonjour, je vois un article d'Univadis qui cite une etude de l'OFDT et qui me semble raisonnable. Amicalement

https://www.univadis.fr/viewarticle/can … p;sso=true

https://www.ofdt.fr/actualite/le-cannab … cours-2441

Les pratiques de consommation se diversifient

La consommation de cannabis est généralement ritualisée et organisée en fonction des contraintes familiales et professionnelles. Chez les adultes, elle se fait dans un cadre privé, seul ou avec le/la conjoint(e), perdant le caractère social et convivial qu’elle revêt lors de son initiation à l’adolescence. Les motivations sont diverses, centrées autour de la relaxation et du bien-être. Elles sont souvent associées à la recherche d’une « béquille », voire d’une automédication, pour soulager la douleur, les migraines, l’insomnie, les angoisses, le stress, l’hyperactivité ou encore l’anxiété, et les bénéfices en sont clairement ressentis par les usagers.






Des parcours d’usage régulier identifiés

En analysant les quantités consommées, le rôle du cannabis dans la vie des consommateurs et celui d’autres substances psychoactives, 3 parcours types de consommation ont pu être identifiés :

    Le premier profil rassemble des personnes ayant une consommation stable et modérée de cannabis (3 joints par jours au plus) et d’autres produits tout au long de la vie. Il s’agit généralement de gens plus âgés et appartenant à des catégories socio-professionnelles plus favorisées.
    Le second parcours type d’usagers réguliers rassemble des personnes ayant eu des consommations intensives de cannabis sur de longues périodes. Dans ce groupe, plus jeune et plus féminin, le cannabis tient une place importante, souvent en lien avec une notion de socialisation et/ou d’appartenance à un groupe, et l’hygiène de vie y est moins bonne.
    Le dernier profil correspond à un usage régulier de différentes substances actives consommées de façon intensive dans un premier temps, alcool et/ou cocaïne le plus souvent, et ayant évolué vers un usage du cannabis seul. Dans ce groupe, le cannabis servait d’aide au sevrage dans un second temps.

intéressant!

je suis heureux de voir que 3 joints par jours au plus sont considérés comme une consommation stable et modérée de cannabis.

dans mon cas particulier, pour 1 oinj par jour, c'est la fins des haricots, séparation et toute la clique.

le problème avec la beuh c'est que c'est très très très stigmatisé: regardez bien les films et les series et qu'est-ce que vous allez voir? de l'alcool partout et si vous voyez quelqu'un fumer un oinj, automatiquement, il y aura une pression sociale derrière. certains considère un fumeur de oinj comme toxico, je crois avoir lu ça.

si cette beuh était au même niveau que l'alcool dans son niveau d'acceptation sociale, on aurait 5 groupes:
- ceux qui ne touchent à rien (mes filles par exemple)
- ceux qui fument
- ceux qui boivent
- ceux qui boivent et fument ou le contraire
- ceux qui touchent à tout

liberté - légalité - fraternité.