[ Arrêt & Sevrage ]

Sevrage héro (0.1g)

Alex57100 a écrit

Et je tiens à préciser que je prend seulement 0,1g tout les 2 jours Peut être 0,2 grand maximum .
Je préfère jeter car si je le mes dans une boîte je sais que je ferai tout pour l'ouvrir ...
Quand on prend rien pendant 3jours et qu'on est en manque , puis on crack en prenant un trait , on dois tous refaire ? Vai-je être à nouveau en chien ? Je suis deg , j'aurais résister jusqu'à mercredi le chien aurait était finit ... Sauf dans la tête ...
J'ai peur de devoir tous refaire ... Tempis je le referais . J'espère allé mieux d'ici dimanche .

Salut,

je suis de l'avis de Caïn : ce qui est fait est fait !

Justement, c'est pour ça que je trouve que ça a plus de sens de parler de dégressif : car si on diminue, chaque espacement de conso ça contribue, dans mon expérience, à diminuer la tolérance et à atténuer le manque...(même si ça peut le reporter, ça contribue à le diminuer).

Pour moi c'est clair que ça a été plus efficace de reprendre un tout petit peu en descendant doucement (ce qui ne veut pas forcément dire que ça va trainer des mois, juste je trouve que ça a été plus efficace pour moi ne pas être pressée sur le moment ; à vouloir m'imposer des conditions difficiles, c'était bien plus galère d'arrêter -bon plus faire une pause dans mon cas-).

Comme tu le dis, si t'avais pas "craqué" (et justement le fait de voir ça en dégressif ça permet de ne pas voir ça comme un craquage négatif, mais bien une réussite vers la baisse de la conso, dans le but d'arrêter !), ça serait peut-être fini physiquement, mais dur "dans la tête"...et pour moi c'est cette difficulté qui m'a empêché parfois d'arrêter comme je voulais...car j'allais pas bien moralement (+fatigue, insomnie etc que je ne sais pas si je définirais comme physique ou psy...).

En prenant un peu plus de temps et en me facilitant les choses (dans le physique comme dans la tête), je trouve que c'est bien plus facile psychiquement aussi de trouver l'envie de ne pas être défoncée ! Et du coup d'arriver à mieux gérer mes consos (ou non conso, justement).

Perso, moi aussi frissons et froid c'était parmi les symptômes les plus gênants...à un moment j'avais mis la main sur une plaquette de Lyrica, qui m'avait bien aidée pour ça (et à ce qu'il parait ça marche aussi pour les jambes sans repos), mais c'est un peu à double tranchant, car c'est une molécule assez addictive (et je ne crois pas que les médecins prescrivent ça facilement).

Sinon j'ai aussi utilisé des décontractants musculaires (bon tant que le decontractil n'avait pas été retiré de la vente libre...puis un pharmacien m'avait filé du thicholcolcide -ou un truc comme ça) ou sinon je trouve que le valium agit bien sur moi à ce niveau-là en plus de jouer sur l'angoisse/insomnie...mais pareil j'essaye de consommer le moins possible de benzo pour éviter tolérance et dépendance (car ça a l'air presque pire que les opis à ce niveau-là).

Pour la boite je suis d'accord avec toi, moi ça me rendrait ouf, mais je te disais au cas où, car il y a des gens qui s'y retrouvent...perso, c'est paradoxal mais je préfère arrêter en sachant que j'ai le choix de consommer, ça m'est arrivé d'arrêter tout en ayant un pochon de tec...mais bon chacun trouve les stratégies adaptées à son cas !

En France, la prévalence de la maladie est de 8.5%, dont la moitié en souffre au moins une fois par semaine, et 1.6% des Français en souffrent toutes les nuits. L'âge de début des symptômes se situe entre 27 et 35 ans. La prévalence augmente progressivement jusqu'à l'age de 65 ans, puis se stabilise8. Les femmes (10.8%) sont plus touchées que les hommes (5.8%)8.