2-FMA expériences et péripéties + visuelles psychédéliques intenses ?

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#2-fma #3-fpm #visuels
Momo76 homme
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Bonjour, les psychonautes, tout d'abord pavés en vue, mais très complets qui explore les effets de la molécule vers des finalités d'expérience parfois extrême et troublante... merci d'avance pour votre attention merci-1

Il m'arrive depuis quelques années de consommer un stimulant dopaminergique 2-fma ou 3-fpm 1 fois par mois ou tous les 2 mois par moments uniquement pour la fonctionnalité et les choses pénibles à faire ou qui demande une certaine concentration et efficacité créative que je laisse souvent de côté et donc cela s'accumule et je me réserve un petit rituel dans le mois pour peaufiner tout ça dans les meilleures conditions mentales et physiques.

Est lors de mon trip, je préfère vous dire que je n'y vais pas sur le dos de la cuillère le jour J, je vais bien souvent jusqu'aux limites imposées par mon corps d'ailleurs je n'aurais jamais pensé pouvoir arriver à des retranchements aussi forts qui parfois m'ont fait très peur (manque d'expérience et dosage haut vers des fins de trip désagréable, dans la vie de tous les jours je suis très raisonnable, mais je sais que dès que je touche à cette molécule je pars parfois en sucette et je ne vois pas le temps passer à travailler et à m'instruire (complètement focus et à l'aise) je m'éparpille et j'ai envie de tout faire, tout apprendre et tout résoudre en m'imposant des objectifs qui bien souvent s'ils ne sont pas rempli correctement me laisse un peu de frustration selon l'état d'esprit (induit par ma forme physique et mentale du départ qui se ressent vers le milieu et la fin donc j'essaie d'être au top à chaque fois (pas évident), mais aussi vers les conséquences chimiques d'une dopamine en baisse et qui donc influence ma perception du moment (j'ai du mal avec le concept du temps surtout avec une drogue) ou alors je me sens tellement bien et focus que de façon inconsciente je me détourne de mes réels objectifs pour faire des choses qui ne sont pas forcément nécessaire par rapport à ça, mais qui je l'avoue m'apporte un plaisir supplémentaire... mais que je regrette ensuite après avoir constaté que ce n'était pas la priorité et que je viens de prendre conscience que je ne vais pas dormir ce soir... ni le lendemain soir... et il m'est arrivé quelques fois de faire + de 72h (mon record) entre 30 et 40 mg par dosage (au début espacé de 3-6h puis de moins en moins...) sans manger, sans dormir et dans une activité mentale et physique très actif, mais je fais des pauses méditatives évidemment (sinon je me parlerai tout seul à chaque élément a force de stimulation ( j'ai déjà testé sans méditation et à la fin, c'est pas beau très beau à voir l'agitation mentale... hallucination, entendre des sons inexistants, l'impression d'être observé, mouvement rapide et une accélération de la pensée qui amène une certaine façon de parler dans les cordes vocales, enfin bref un peu perché... (dans le bon sens, je reste lucide dans mes actions, mais j'ai moins de raisonnements).

Aussi je me permets quand même des compléments alimentaires (sans calories ou alors huile MCT, Inuline si je sens des fatigues forte parfois arrive en plein milieu des baisses de tensions, baisse de force, d'équilibre et d'énergie, vision trouble donc sans doute une question de sucre à certain moment de la transition pour redonner quelque chose au cerveau dans l'immédiat privé temporairement de sucre entre la transition du glucose du foie et le début de processus de déstockage des adipocytes gras je pense qu'arriver à un certain niveau de jeûne qu'une transition de quelques instants amène une grande fatigue puis comme c'est souvent le cas une explosion d'énergie, d'humeur et de vitalité sans savoir pourquoi tout redevient normal voir même en plus optimiser…, aussi je prends des plantes et Nootropic pour empêcher les dommages dopaminergiques (j'ai remarqué une plus vite récupération de la chimie et de mes activités normales après un trip) et améliorer l'endurance, la vigilance et la capacité du corps à déstocker toutes ses graisses comme il faut en énergie de concentration ou d'effort (avant un trip et après un trip c'est le jour et la nuit, je ressemble à un véritable squelette à la fin même si je vous rassure je ne tomberai jamais sous les 3% MG lol ensuite je reprends assez vite des formes).

Donc en résumé je sais que ce que je fais sur le moment n'est pas raisonnable, mais la machine est lancée (même s’il n'y a pas d'anabolisme sans catabolisme) le corps est fait pour se reconstruire et je gère plutôt bien la récupération étant sportif avec hygiène de vie et alimentation impeccable aussi, mais cela pénalise évidemment les jours suivants qui sont moins productifs et actifs et moins concentrés (moins de dopamines à donner pour les bonnes choses apportées aux corps et plus pour les récompenses immédiates, dont le cerveau n'a sans doute pas trop le choix sur le moment étant donné sa réserve diminuée pendant la phase de récup, il m'est arrivé même parfois d'avoir un mal de tête horrible qui restez là plusieurs jours après (cela m'avait inquiété et j'avais décidé de faire une pause sur quelques mois) ou alors le lendemain j'attrape une angine de poitrine qui durer plusieurs jours horribles de souffrances, car tout était additionné en même temps et tombé d'un coup sans me demander mon avis super ( qui après observation minutieuse commencer à partir d'une infection dans ma bouche, car lorsque je pèse le produit je lèche toujours avec mon doigt et sans doute que la poudre rester de façon résiduelle sur les muqueuses et j'avais des douleurs dans la bouche (je ne pouvais plus manger sans avoir mal donc adieu les fibres... étant végane...) par la suite lorsque j'ai commencé plusieurs compléments, plantes et nootropic qui on améliore mon système immunitaire et ma résistance globale, les angines en maladies corporelles ne sont jamais revenues... mais j'avais toujours une douleur temporaire dans la bouche ( certaines zones étaient blanches dans la muqueuse) qui partez avec transitions le ou les jours suivants.
Donc, j'évite maintenant de mettre ça directement dans ma bouche. Je me brosse les dents et je fais un bain de bouche, mais après 2-3 jours sans avoir mangé de solides, il est presque impossible de mâcher au début du repas à cause de quelques résidus. C'est agaçant, puis ça devient un peu moins gênant jusqu'à être tolérable. Peut-être quelqu'un d'autre avait le même souci ?

Enfin voilà les expériences les plus notables avec la molécule que j'ai faite et qui bien souvent m'amène à cette suite logique d'un certain manque de raisonnement par rapport à ses capacités réelles qui amène l'équilibre tout le long de l'expérience, sans créer des situations désagréables sur le moment qui amène à avoir (là où le craving évidemment ajoute un poids plus ou moins mesurable même si je suis sûr que ce n’est pas forcément la chimie interne la frustration qui me pousse à vouloir tout finir avant la fin du trip et qui au fil du temps ) n'aident pas non plus à raisonner mon temps d'utilisation productif vers les bénéfices plutôt que les risques... avec ce genre de molécules.

Donc, maintenant je ne mets pas directement ça dans ma bouche. Je me brosse les dents et utilise un bain de bouche. Mais après 2-3 jours sans manger de solides, il est presque impossible de mâcher au début du repas. C'est pénible, mais ça devient progressivement moins gênant jusqu'à être tolérable. Peut-être quelqu'un d'autre avait le même souci ?

Enfin voilà les expériences les plus notables avec la molécule que j'ai faite et qui bien souvent m'amène à cette suite logique d'un certain manque de raisonnement par rapport à ses capacités réelles qui amène l'équilibre tout le long de l'expérience, sans créer des situations désagréables sur le moment qui amène à avoir (là ou le craving évidemment ajoute un poids plus ou moins mesurable même si je suis sûr que ce n’est pas forcément la chimie interne la frustration qui me pousse à vouloir tout finir avant la fin du trip et qui au fil du temps ) n'aident pas non plus à raisonner mon temps d'utilisation productif vers les bénéfices plutôt que les risques... avec ce genre de molécules.

Le 2-fma et 3-fpm selon mon analyse reste une molécule très intéressante pour la productivité et le rendement sur les choses personnelles qui donne un coup de pouce non négligeable, mais on se sent tellement bien au début qu'on se dit que ne pas dormir deux jours ne serait pas très grave et c'est souvent le cas, car avant je ne dépasse pas 24 h de trip et tout se passer bien avec le Kratom avant de dormir, aucun problème, mais si on a le malheur de dépasser ses 24h et qu'on pousse le jeûne et l'effort mental et physique un plus longtemps (48 h-72h) on finie aussi par l'inattention à cause de l'agitation de l'action constante et là sur stimulation et amène l'esprit à s'identifier à " ces choses qu'il doit faire absolument ce jour J " de façon trop importante au détriment du corps ou la fatigue physique et mentale est cachée par l'action de la molécule et qu'une fois parti ça fait mal... et ça arrive d'un coup sans prévoir, car le temps passe super vite on se dit qu'on a encore tellement de choses à faire... C'est frustrant sur le moment, car on avait réservé ce jour spécial pour être le plus efficace possible sur l'accomplissement de ses affaires personnelles et qu'on se retrouve avec des trous de mémoire, des blancs et trou de mémoire par ci-par là où l'esprit lui-même ne savait pas forcément ou il était parti se promener..., des chutes de tension et d'énergie je pense lier à l'hypoglycémie surtout, mais j'évite de cassé le jeûne avec du sucre, car j'ai compris qu'arriver à plus de 24h si j'avais le malheur de manger bien souvent cela amputé mon trip qui devenez moins efficace comme si la molécule était inhibée et me laisser avec une envie de dormir juste après et baisse de motivation pour continuer et relancer le trip après digestion surtout que c'était plus difficile, j'étais comme amputé à cause de ça, donc j'arrête en plein milieu et j'avais toujours les choses inachevées qui me rester sur les bretelles et je trouve que c'était bien dommage de ne pas avoir fini comme prévu de ne pas pouvoir explorer la molécule dans son plein potentiel en l'optimisant de façon concrète ce jour-là pour les tâches les plus complexes)

Donc aussi les somnolences (surtout vers la fin ou là ça devient hard-core surtout si j'utilise avec un dosage plus important pour garder la même concentration, je ressens des pressions cardiaques douleurs et angine au niveau de la poitrine plus ou moins tolérable selon le prolongement du trip (sensation de serrement, boum perceptible du cœur plus fort que d'habitude), mais tolérable et ne m'empêche pas forcément de doser (juste de diviser les doses de façon à les rendre moins brutaux sur le moment, mais plus réguliers pour éviter toute surprise gênante... mais dans des situations rares parfois il m'est arrivé à la limite du bad trip prête pour l'hôpital quand je faisais quelques teste sur certaines synergies nootropic (ajouter par exemple L-Taurine ou citrate de potassium dans mon shaker électrolytes et 2-fma... (pas pour moi), ou là je commence à perdre conscience à mesure que le sentiment de main poser sur la poitrine devenez de plus en plus fort et insistant, des étoiles un peu partout, le sentiment d'être arraché et tirer par-derrière dans un noir préoccupant et qui vous laisse penser avec effroi que vous allez perdre conscience et peut-être ne jamais revenir... un peu comme l'expérience à la Salvia sauf que là je ressens des symptômes physiques qui me laisser croire plus de l'ordre d'un risque de pourcentage d'accident cardiaque sur le moment très augmenté et inquiétant, car je ne savais pas quoi faire, j'ai pris le risque d'attendre que ça passe, et ça avait finalement passé, mais m'a laissé un arrière-goût désagréable d'apprentie chimiste (même si j'étais très renseigné et je suppose qu'en début de trip cela ne serait pas arrivé..., mais c’était la fin de trip donc bien fatiguer tant nerveusement qu'au niveau cardiaque (oui je suppose que j'ai dû faire l'équivalent de plusieurs marathons sur la continuité du trip, et rajouter de la Taurine et du Potassium qui ont une action directe sur le cœur, et cela, en jouant les sorciers était la goutte d'eau, je suppose...).

J'omis sûrement des détails expérimentés de mes trips parfois très étrange et incompréhensible pas systématiquement d'une vue négative des choses par exemple et je vais y venir le plus étrange était d'avoir l'impression d'avoir pris un hallucinogène (mais avec toutes les capacités cognitives et motrices) ou arrivé vers plus de 48 h la perception de l'environnement commencer à se modifier et devenir psychédéliques... les couleurs étaient plus vives, une impression de netteté, de granulation (comme le cannabis), et de voir avec un champ de vision plus élargie et reculé parfois même l'impression de pouvoir voir pratiquement en 360 degrés, un peu comme à la troisième personne même si évidemment j'exagère ( sans doute l'activité du glutamate des voies dopaminergiques qui à force de stimulation sur le temps même avec une molécule qui en théorie n'amène pas une expérience psychédélique peut amener à changer la perception quand même et pas que visuel... mais corporel aussi ( par contre l'activité mentale est toujours là lol sinon j'aurai été bien embêté pour finir... ) est une fois même mélanger aux Kratom, CBD, L-Théanine, extraits pépins de raisin et de gingembre et c'est tout... je crois... une chose bluffante, c'est produit je vois tout en saccader avec un style différent du LSD, mais aussi intense sauf que là je vois l'image par seconde d'une perception mouvante qui habituellement était fluide, et là je vois la perception en plusieurs fois de façon saccadées comme si la chose ou la personne était représentée d'une aura un peu fantomatique ou la perception des mouvements de son corps apparaît et disparaît en changeant de place et de rythme de façon instantané comme une téléportation d'une situation à une autre sans transition de fluidité, c'est la première fois que j'avais un visuel digne d'un dosage héroïque en matière d'intensité et la première fois que j'ai ce visuel précis différent du LSD, mais similaire dans son expérience générale d'intensité de saccade avec des touches et améliorations qui le rendent un peu unique ( j'ai pourtant essayé pas mal de choses, et cela, avec plusieurs mélanges aussi) et là je n'attends pas à cela. Ça a duré 30m-1h puis baissés progressivement, tout prenez vie autour de moi je vois des choses bouger comme de petites pattes croyant que c'étaient des insectes alors que non des tâches jamais remarquées auparavant qui prennent vie tout d'un coup. Enfin, cela m'a surpris pour le coup et je suis curieux de savoir si d'autres on était dans ce genre de situations similaires ou différentes.

Est pour finir n'hésitez si vous avez un commentaire sur le partage, cela fessait un petit moment depuis que je voulais raconter mes expériences complètes avec le 2-fma, car oui, c'est quand même quelque chose... si on insiste un peu sur son expérience et l'explore un peu trop près, mais aussi dans ses conséquences parfois fâcheuses, mais peut-on fermer la porte aux erreurs et se découvrir en même temps ? Le plus souvent, la frustration après certains trips se transforme en tolérance et amour inconditionnel envers moi-même et que je ne suis qu'un homme, les choses doivent être faites à notre rythme, notre espace de liberté ou la conscience objective peut émerger sans nous imposer des limitations trop personnelles... et nous montre que l'objectif n'est pas forcément le plus important, mais le chemin qui lui est parcouru, car c'est cela le plus important et je me souviens que lorsque je n'avais aucune attente envers moi-même et que je faisais les choses dans l'instant sans me préoccuper du reste et c'est dans ces moments-là que j'étais pleinement présent et heureux dans l'expérience de l'action. Où "être" et "faire" s'accorder pour donner le juste équilibre ? Car nous sommes des "êtres" humains pas des " faits " et " gestes " humains...

Dernière modification par Momo76 (01 avril 2024 à  10:32)

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