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Imax991 a écrit
bonjour à tous, j'ai une question concernant une situation dont je trouve pas une réponse fiable, je suis consommateur quotidien de cocaïne en sniff, je souhaite savoir et ce qu'un consommateur de cocaïne en sniff peut se permettre de prendre du crack, en sachant que je consomme tous les jours de la cocaïne merci
Salut,
Cela relève de ton libre-arbitre.
Je reformule t'as question.
Une personne X boit trois bières forte tous les soirs (8.6 par exemple) peut-il s'autoriser d'autre soir de boire 35cl de whiskey sec à jeûne en moins d'une heure?
Dernière modification par zuzu (09 avril 2024 à 19:51)
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Imax991 a écrit
est ce que c’est nécessaire lorsque la personne et bloquer dans une période de sa vie je ne saurais pas.
Si c'est ton "mindset" alors oublie le crack, sinon tu passeras de bloquer à figer.
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Doo-J a écrit
je connais des gens qui switchent entre les deux et qui trouvent la base encore plus addictive…
J'avais lu une explication scientifique de pourquoi du comment de cette assertion.
Lorsque tu fûmes la surface de "reception" du produit est supérieur que quand tu pratiques l'IV.
Ainsi au lieu j'avoir un boulet qui tappe fort en une fois, tu as un milliers de mini balles qui tappent, un peu, mais mille fois.
C'est comme te prendre un rinhocéros en plein figure où alors te manger un essaim de frelon sur tout la surface de ta peau.
Par conséquent, je trouve soutenable le fait que l'IV fournit un flash plus fort, mais que contre tout attente fumer la coke entraine une addiction plus intense, malgrè un flash plus faible.
J'ai subit plusieurs severage dans ma vie, dont alcool et cigarette.
La cigarette est de mon pov plus addictive et ma justification à cela est le propos que j'ai tenu plus haut.
Dernière modification par zuzu (09 avril 2024 à 21:29)
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Doo-J a écrit
Et puis quand tu commences à fumer ta coke c’est très dur de revenir en arrière et de continuer à sniffer
Salut,
Je ne suis pas totalement d'accord...
Pour moi c'est presque deux drogues différentes, au fait je les consomme dans des contextes différents, avec des buts divers, etc.
Ça m'est déjà arrivé de me fumer une base dans la soirée et puis repasser aux traces.
Certes, si c'est pour retrouver les mêmes effets c'est mort, mais en cherchant d'autres effets pour moi c'est possible.
Après c'est moi hein, difficile de faire des généralités !
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cependant a écrit
Je ne suis pas totalement d'accord...
Pour moi c'est presque deux drogues différentes, au fait je les consomme dans des contextes différents, avec des buts divers
C’est exactement ce que j’ai dis à la fin de mon message, on peut pas comparer la cocaine en sniff et la cocaine base/IV.
Tu as décris le truc, c’est juste 2 produits différents dans leurs effets, leurs buts de conso etc…
Si tu arrives à te contenter de soirées tranquilou sous trace de c franchement chapeau car moi j’ai besoin d’avoir ce rush de cocaine pour kiffer, les traces ça monte pas quoi c’est juste un plateau très bas, c’est pour ça que ça me frustre…
Mais après tant mieux que tu donnes ton avis qui est différent du miens, tu prouves que certaines personnes arrivent à faire la part des choses et garder le kiff de la conso en sniff malgré le fait d’avoir déjà fumer la base.
Cordialement.
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zuzu a écrit
J'avais lu une explication scientifique de pourquoi du comment de cette assertion.
Lorsque tu fûmes la surface de "reception" du produit est supérieur que quand tu pratiques l'IV.
Ta comparaison m’échappe un peu je dois t’avouer.
Si tu pouvais mettre le lien du papier en question dans la discussion, cela pourrait permettre de mieux comprendre le caractère « addictif » de la base, et de mieux comprendre ta comparaison.
Sans aller dans des explications scientifiques comme tu le fais, j’en ai vraiment pas les connaissances scientifiques malheureusement, je pense que c’est aussi lié au fait que quand tu fumes la bases tu vas fumer toutes les 5-10min, tu fais vraiment que ça, pipe sur pipe.
Alors que perso avec l’iv, quand je m’envois un bon tank pendant 45min/1h je suis posé et je refait un shoot, mais j’suis pas h24 scotché sur ma pompe comme je suis scotché sur ma pipe quand je fumais de crack.
En tout cas l’explicitation est probablement à chercher dans une addition de pleins de facteurs différents mis bouts-à-bouts.
Cordialement.
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Doo-J a écrit
traces ça monte pas quoi c’est juste un plateau très bas, c’est pour ça que ça me frustre…
Oui, mais par exemple ça se partage beaucoup plus difficilement
Je préfère passer parfois une soirée en partageant des traces toute la nuit en discutant, plutôt que d'enchainer des fumes
Mais j'en suis arrivée à cette conclusion en ce moment car jencrois que j'aimenpas les effets du crack sans avoir des opiacés derrière et qu'à un moment j'en ai trop pris pour mes gouts.
Mais je pense aussi que si on reste convaincus que ce n'est pas possible c'est galère de le concevoir, le fait d'avoir déconstruit la fatalité du crack duquel on peut pas "échapper" ça aide...mais pas par miracle hein, juste en trouvant des petites stratégies qui marchent pour chacun.e...par exemple moi j'ai compris que pour vaincre le craving d'enchainer les fumes j'ai besoin de came (ou au pire des benzo), sinon je finis pas trop en prendre et me mettre dans un état que je n'aime pas
Bref, je ne dis pas que ce n'est pas un prod qui peut être compliqué à gérer...mais qu'il n'y a pas de destin de "tox" auquel on ne peut pas exhapper et que les molécules nous l'imposent et que je préfère essayer de kiffer au maximum
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