Effet d'inhibition et d'énergie avec du Zolpidem, paradoxe!

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#euphorie #alcool #désinhibition #zolpidem #hallucinations
Richard.S homme
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Bonjour, tout d'abord navré pour l'erreur dans le titre je parlais de levée d'inhibition pas d'inhibition...

Je consomme occasionnellement du zolpidem, que je possède en grande quantité. Ayant, et je le confesse sans fierté, eu un traitement lourd impliquant du Zolpidem nottament et ayant, durant plus d'une année, prétendu continuer d'en consommer quotidiennement au près de mon médecin, alors qu'il n'en était rien...

J'en consomme à l'occasion en cas de problème de sommeil (>1 mois). Il a peu, pour essayer de m'assoupir plus vite, je me suis infligé le goût atrocement amère d'un comprimé et demi sous la langue. Étonnamment en consommant le produit de cette manière je me suis retrouvé dans un état socioémotionel équivalent à une consommation de 3 ou 4 verres d'alcool! Il m'arrive ainsi de temps en temps, pour me motiver à faire quelque chose de particulièrement pénible, ou si je m'apprête à avoir une négociation serrée, de consommer jusqu'à 2 Zolpidem de cette manière. 15 à 20 minutes après dissolution, les effets sont la! Invariablement. Ni trop forts ni trop évident. Un état de grande motivation et de confiance. Comme une inhibition moyenne, un état tout de même bien antérieur à celui du verre de trop.

Je suis de plus, totalement sûr que c'est invisible car sinon certains amis, particulièrement perspicaces dans ce domaine m'en auraient déjà glissé mot.

Ma question est simple : quelqu'un a t'il le début d'une idée sur la survenue de cet effet parfaitement paradoxal?

Merci d'avance !

PS. Je vous invite à ne pas tenter l'expérience juste pour me répondre et d'une manière générale de consommer le Zolpidem hors d'un suivi médical régulier.
Celà peut paraître ipocryte de ma part, mais cette molécule est a considérer avec prudence. Elle m'a initialement été prescrite avec de forts antidouleurs (Opiacés[Skénan entre autre]) suite à un grave accident et je vous garantis que les premières prises mon fait avoir de lourdes hallucinations et fait confondre des rêves avec la réalité. Sans parler du risque d'addition récréative, surtout avec cette consommation particulière. Cette mise en garde étant faite ma question reste entière...

Dernière modification par Richard.S (29 juin 2024 à  03:05)

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Tagacarbo homme
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14 messages

Richard.S a écrit

Bonjour, tout d'abord navré pour l'erreur dans le titre je parlais de levée d'inhibition pas d'inhibition...

Je consomme occasionnellement du zolpidem, que je possède en grande quantité. Ayant, et je le confesse sans fierté, eu un traitement lourd impliquant du Zolpidem nottament et ayant, durant plus d'une année, prétendu continuer d'en consommer quotidiennement au près de mon médecin, alors qu'il n'en était rien...

J'en consomme à l'occasion en cas de problème de sommeil (>1 mois). Il a peu, pour essayer de m'assoupir plus vite, je me suis infligé le goût atrocement amère d'un comprimé et demi sous la langue. Étonnamment en consommant le produit de cette manière je me suis retrouvé dans un état socioémotionel équivalent à une consommation de 3 ou 4 verres d'alcool! Il m'arrive ainsi de temps en temps, pour me motiver à faire quelque chose de particulièrement pénible, ou si je m'apprête à avoir une négociation serrée, de consommer jusqu'à 2 Zolpidem de cette manière. 15 à 20 minutes après dissolution, les effets sont la! Invariablement. Ni trop forts ni trop évident. Un état de grande motivation et de confiance. Comme une inhibition moyenne, un état tout de même bien antérieur à celui du verre de trop.

Je suis de plus, totalement sûr que c'est invisible car sinon certains amis, particulièrement perspicaces dans ce domaine m'en auraient déjà glissé mot.

Ma question est simple : quelqu'un a t'il le début d'une idée sur la survenue de cet effet parfaitement paradoxal?

Merci d'avance !

PS. Je vous invite à ne pas tenter l'expérience juste pour me répondre et d'une manière générale de consommer le Zolpidem hors d'un suivi médical régulier.
Celà peut paraître ipocryte de ma part, mais cette molécule est a considérer avec prudence. Elle m'a initialement été prescrite avec de forts antidouleurs (Opiacés[Skénan entre autre]) suite à un grave accident et je vous garantis que les premières prises mon fait avoir de lourdes hallucinations et fait confondre des rêves avec la réalité. Sans parler du risque d'addition récréative, surtout avec cette consommation particulière. Cette mise en garde étant faite ma question reste entière...

Richard.S a écrit

Bonjour, tout d'abord navré pour l'erreur dans le titre je parlais de levée d'inhibition pas d'inhibition...

Je consomme occasionnellement du zolpidem, que je possède en grande quantité. Ayant, et je le confesse sans fierté, eu un traitement lourd impliquant du Zolpidem nottament et ayant, durant plus d'une année, prétendu continuer d'en consommer quotidiennement au près de mon médecin, alors qu'il n'en était rien...

J'en consomme à l'occasion en cas de problème de sommeil (>1 mois). Il a peu, pour essayer de m'assoupir plus vite, je me suis infligé le goût atrocement amère d'un comprimé et demi sous la langue. Étonnamment en consommant le produit de cette manière je me suis retrouvé dans un état socioémotionel équivalent à une consommation de 3 ou 4 verres d'alcool! Il m'arrive ainsi de temps en temps, pour me motiver à faire quelque chose de particulièrement pénible, ou si je m'apprête à avoir une négociation serrée, de consommer jusqu'à 2 Zolpidem de cette manière. 15 à 20 minutes après dissolution, les effets sont la! Invariablement. Ni trop forts ni trop évident. Un état de grande motivation et de confiance. Comme une inhibition moyenne, un état tout de même bien antérieur à celui du verre de trop.

Je suis de plus, totalement sûr que c'est invisible car sinon certains amis, particulièrement perspicaces dans ce domaine m'en auraient déjà glissé mot.

Ma question est simple : quelqu'un a t'il le début d'une idée sur la survenue de cet effet parfaitement paradoxal?

Merci d'avance !

PS. Je vous invite à ne pas tenter l'expérience juste pour me répondre et d'une manière générale de consommer le Zolpidem hors d'un suivi médical régulier.
Celà peut paraître ipocryte de ma part, mais cette molécule est a considérer avec prudence. Elle m'a initialement été prescrite avec de forts antidouleurs (Opiacés[Skénan entre autre]) suite à un grave accident et je vous garantis que les premières prises mon fait avoir de lourdes hallucinations et fait confondre des rêves avec la réalité. Sans parler du risque d'addition récréative, surtout avec cette consommation particulière. Cette mise en garde étant faite ma question reste entière...

Salut Richard quand tu parle d’effets paradoxaux c’est en consommant en Sublingual , et en oral tu as aussi ces effets la ?
Les premières prises de zolpidem  oral niveaux effets c’est Wouaaahh  , sensation de bien  être  , hallu visuelle , tituber un peu comme l’effet de l’alcool  pour finir au lit lendemain aucun souvenir en sub jamais tester  en sniff deja tester j’avais c’est effet que du decrit sensation de confiance en soit motiviation je suis sortie en voiture et j’ai eu un accrochage heureusement tout seul je m’endormer  petit a petit sans prendre conscience pour sa que la meilleur methode de conso c’est l’oral


Dans le complot depuis les 2 Tours ..

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Richard.S homme
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Non ce n'est vraiment pas ça je suis totalement clair. J'en prends depuis longtemps et il agit uniquement pris comme ça comme u. Dopant carrément car je suis plus précis dans certaines tâches ou c'est mesurables (MEILLEURS Temps en SimRacing aux jeux videos etc.)
Alors que si je la prend en oral je vais m'endormir et si j'en prend plus de 2 sous la langue je commence à avoir des hallucinations visuelles et ça devient inutile (sauf pour le récréatif)

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