Salut,
Alors le a-pcyp je ne l'ai testé qu'un fois. Déjà il ne se vape pas, inutile d'essayer. En trace ça passé, bon rush mais une stimulation résiduelle qui dure 10 plombe avec anxiété etc... bref perso j ai pas aimé, le jeu n'é vaut pas la chandelle. Faut y aller molo sur les dosages. 10 a 20 mg pas plus, tu attend 1 h et tu avise.
Pour le MDPiHP, je connais très bien et consomme régulièrement.
En nasal ou orale, bon rush avec un côté empatho unique pour une pyrrolidinophenone. Ça dure 3 bonne heure, le
craving est bizarrement très gerable contrairement aux autres représentant de cette famille.
Pour la vape, inutile d'essayer dans des pipés en verre, tu va tout cramer. Le seul moyen que j ai trouvé c est de le vaper dans une
cigarette électronique. 1gr dilué dans 10 ml de
base non
nicotine, vape à 30 watts sur un drippeur, ça passe crème. Attention ce mode de consommation est beaucoup plus adictif et le
craving consequént.
Pour les dosage va y super molo. Pas plus de 20 mg quel que soit la ROA. Une surdose avec ce composé se traduit par des effets secondaires des plus désagréable notamment une vasoconstriction extrême, une tachycardie accompagné d'une touche psychotique genre "je vais y rester". Bref, c'est dans les faibles dosage que cette molécule révèle ses bons côté.
Évite les binge et ne consomme pas plusieurs jours d'affilé car tout comme le grand frère MDPHP, le MDPiHP provoque des troubles de la coagulation. Je me suis tapé une phlébite d'énfer après 15 jours de conso quotidienne. 3 mois après ma jambe s'en souviens encore et on ne m'y reprendra plus.
Pour conclure fait gaffe avec les pyrro ce ne sont pas des molécules anodine. Ça fait 3 ans que je consomme du Apihp et que je rêve de stopper cette merde sans y parvenir. Ça te bouffe ta santé et ta vie social en très peu de temps. Essai de t'en tenir à cet essai et ne recommande pas, c'est le meilleur conseil que je peux te donner
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safe