1
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
blouse44 a écrit
Salut ,
Je suis pas la meilleure personne pour te répondre.
Mais si tu dois subir cette intervention j'en suis navrée pour toi .
Par contre pour la suite parle en avec ton urologue mais plutôt que les sondes j'opterais pour les couches !
J'en porte souvent sans avoir de problème particulier (pas encore!) Et je t'assure que c'est bien plus confortable ! Image: https://www.psychoactif.org/forum/uploa … 21232.webp
Hello,
Malheureusement ma vessie est ultra resistante je n'ai pas de fuite donc je n'arrive pas utiliser de couche, mais la sonde c'est vraiment pas mon choix le problème étant que malgré le fait que normalement si j'ai de la chance je pourrais uriner plus ou moins normalement j'ai peu de chance de pouvoir la vider entièrement et si il reste plus de 100ml ça va me créer des problèmes de santé c'est pour ça que je suis obligé d'utiliser la sonde pour la vider entièrement environ toutes les 4h.
Le problème étant qu'étant l'absence de recul que les médecins de mon pays on sur mon cas il ne savent pas comment mon corps va réagir à la chirurgie et les chances que je puisse me passer de sonde son presque nul selon le chirurgien mais vu que je suis son premier cas lié à la ketamine je sais pas à quel point je dois le croire à 100%, en tout cas pour l'instant les perspective sont peu réjouissante.
Hors ligne
Gaeshea a écrit
Bonjour OP,
Je n'ai pas de réponse pour ta demande, je suis aussi une consommatrice chronique de K à haute dose et j'avoue que je touche du bois pour ne pas en arriver à de tels effets secondaires.
Au nom de la RDR pour nous autres confrères et consœurs kétosaures, pourrais-tu nous en dire un peu plus sur comment ça s'est passé pour toi avant qu'on ne te diagnostique ce problème de vessie ?
Tu consommais quelle quantité ? C'est arrivé brutalement ? Quels étaient les symptômes ? A quel moment tu as décidé de consulter ?
Aussi est-ce que tu as fait des examens médicaux et si oui que montrent-ils ?
J'ai l'impression que la K peut provoquer des effets organiques graves mais qu'il est vraiment très rare que ces effets soient irréversibles. Est-ce que tu consommes toujours actuellement ?
En fonction de tes symptômes je réfléchirais à deux fois avant d'accepter une opération lourde et définitive, après je ne suis pas médecin.
Mais je connais beaucoup de gros consommateurs de K dont la plupart ont eu des effets secondaires assez graves qui les ont amené aux urgences (douleurs au foie et à la vésicule biliaire, infections urinaires avec incontinence et sang dans les urines etc.). Et malgré la gravité apparente des symptômes tout se finissait par se résorber après une période plus ou moins longues d'abstinence de K.
C'est pour ça que je te demande comment le diagnostic s'est passé pour toi et si tu consommes toujours.
Certains soignants aiment foutre des coups de flip aux consommateurs pour leur faire peur car ils pensent que si ils te foutent la trouille ça te dissuadera de consommer. Ce qui peut marcher mais pas toujours.
Des cas d'ablation de la vessie ont été répertoriés mais ils semblent vraiment très, très rares.
Ton opération est déjà programmée ?
Comment fonctionne ton corps actuellement ?
Aussi est-ce que tu as essayé l'entraînement de la vessie ? Ce n'est pas très fun mais ça soulage bien et ça permet de rééduquer ta vessie après une infection ou si elle a du mal à se remplir/rester remplie. Tu bois un bon verre d'eau toutes les dix minutes environ et tu te retiens d'aller aux toilettes le plus longtemps possible. Tu y vas vraiment quand tu peux plus te retenir. Tu fais ça régulièrement pour entraîner ta vessie, genre une fois ou deux par jour. Tu espaces si tu sens que tu bois vraiment trop d'eau (si tu te sens faible/tête qui tourne etc. parce que tes minéraux sont trop dilués).
Je fais ça après les infections urinaires ça soulage vraiment bien.
Bon courage
Ca fait 5 ans que je consomme quotiediement dès le matin jusqu'au coucher.
Depuis 2 ans la conso pouvait aller à 10g par jour.
Ca a commencer par des douleurs à la vesicule biliaire puis j'ai fait des infections urinaires chronique il y a 2 ans.
Je suis partis à l'étranger 3 mois pour arrêter et un peu avant j'ai fait ma dernière infection urinaire que j'ai soigné sur place.
Depuis ma vessie à durcie et s'est rétréci ce qui fait que malgré ces 3 mois je n'ai pas retrouvé une vessie normale. Le truc c'est comme si j'avais des cystite mais sans infection je crois que ça s'appelle cystite interterstiel.
Au retour j'ai pris rendez-vous chez un urologue qui m'a fait un traitement à l'acide dialuronique, c'est un liquide visqueux qu'on doit te rentrer avec une sonde et que tu dois garder 1h avant d'aller uriner.
J'ai fait se traitement pendant environ 4-6 mois
J'ai repris rapidement la ke au retour des 3 mois à l'étranger, mais j'ai trouvé un avenir professionnel grace à un stage que j'ai trop kiffé, après avoir passé des années entre job alimentaire et petite délinquance et ça ma motiver a arrêter je suis aller dans un foyer pour addict.
Il a fallut 1 mois et demi pour que mon urologue contacte d'autres urologues étant dépassé par la situation.
J'ai eu une convocation avec un chirurgien en urologie pour m'annoncer que je devrais subir une ablation partiel de la vessie, je m'attendais pas à ça je pensais que il y avait un traitement que ma vessie pouvais se reconstruire vu que j'étais jeune.
Mais non il y a presque aucune chance du coup le chirurgien m'a dit que je devais passer par la chirurgie, mes uretères on triplé de taille et le risque c'est que l'urine reflue dans les reins ce qui peut être mortel c'est pas encore le cas mais ça risque d'arriver.
Les examens que j'ai fait type échographie, IRM, Scanner ont montré que mon cas était grave
Mon opération n'est pas encore programmé mais elle va se faire dans les 2-3 mois, actuellement pour pisser je dois me mettre en position de squat comme dans les toilettes turc sinon je peux pas pisser et j'ai une autonomie de 15-30 minutes.
On ne m'a jamais parler d'entrainement de la vessie du coup je sais pas ce que c'est.
Si tu as des contacts de consommateurs qui on vécu des soucis comme les miens je serais chaud de les contacter.
.
Hors ligne
Dernière modification par Gaeshea (26 août 2024 à 11:56)
Hors ligne
Dernière modification par Morning Glory (26 août 2024 à 12:55)
Hors ligne
Dernière modification par Gaeshea (26 août 2024 à 13:20)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
BarbuFist a écrit
pour rentrer des sondes utiliser du gel stérile a la xylocaine. tu remplis la bite et tu pousse le gel en comprimant avec ta main. Le seul endroit ou le gel ne vas c'est entre la prostate et la vessie, soir 1 cm a peu prés. J 'ai eu une sonde JJ enlevée avec ça, rien senti.
Certain adore se stimuler avec des sondes urétrales, c est agréable avec du gel évidement. Ya ausi une partie peur psychologique. Bien respiré en abdominal pour détendre les mucles et la tete
Désolée je carjack le post mais il n'y a pas d'effets secondaires ?
Risque de rentrer des bactéries dans le système urinaire ? Incontinence ?
Hors ligne
Hors ligne
Gaeshea a écrit
Je ne connais personne dans ta situation.
Mais j'ai trouvé cette étude :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4544340/
C'est vraiment très embêtant ce qu'il t'arrive. J'avoue que ça me fait même froid dans le dos car perso j'ai grave abusé ces dernières années et j'ai les douleurs à la vésicule mais ma vessie ne semble pas avoir pris pour le moment.
En gros l'étude dit que les cas de ketamine bladder arrivent après des expositions à de très hautes doses en continu sur plusieurs années. Et qu'il faut faire un diagnostic différentiel pour éliminer d'autres causes/syndromes + vérifier si les symptômes se résorbent seuls avant de pratiquer une reconstruction lourde.
Je trouve étonnant qu'ils te proposent une opération alors que tu es encore full dans la conso (tu penses qu'on peut parler d'addiction ici ?)
C'est comme proposer une greffe de foie à un mec qui boit toujours beaucoup trop et qui n'a pas traité son addiction. D'un point de vue médical c'est particulier comme move.
En tout cas j'espère que les choses vont s'arranger pour toi j'avoue que ça fait peur.
Perso j'attendrais de voir comment les choses évoluent avant de prendre la décision d'une grosse intervention mais je ne suis pas à ta place. Dans les études que j'ai lu les cas irréversibles étaient vraiment rares. Ne te fais pas charcuter pour rien. Après je parle mais je ne vis pas tes symptômes. Juste je pense que le moins invasif/définitif c'est le mieux.
Oui les cystites à répétition c'est bien des cystites interstitielles (sans facteur infectieux). Tu continuais de consommer en continu malgré tous ces effets secondaires ? (C'est une question pas du tout du jugement)
10g par jour tu les prenais en sniff ?
Je prend que par sniff j'arrive pas à me piquer c'est pour ça que j'ai du mal avec une sonde j'arrive pas à me faire mal à moi même directement je peux pas prendre un couteau et me scarifié par contre j'arrive à subir les douleurs induits par la ketamine.
J'ai continué à consommer oui malgré les cystites j'étais dans une période ou je savais pas quoi faire de ma vie, j'avais peu d'espoir dans l'avenir du coup la ketamine c'était le seul truc qui me permettait de tenir.
J'ai vu le chirurgien en urologie cette semaine et il m'a dit que de toute façon il voulait une période d'arrêt attesté d'au moins 1 mois avant d'aller vers l'opération.
Ce qu'on a décidé c'est que je me laissais 1 mois pour diminuer jusqu'à être abstinent plus un mois d'abstinence et à partir de là on programme une opération ce qui peut prendre 2 mois de plus donc je suis pas pressé j'en ai pour 4 mois ça va me permettre de m'informer et d'apprendre les auto sondage et je peux toujours refuser le jour même mais au moins je vais quelque part et ça me permet de reprendre le contrôle être dans le flou c'est une perte de contrôle tout comme l'addiction qui est déjà une perte de contrôle sur soi.
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Gaeshea a écrit
...Je trouve étonnant qu'ils te proposent une opération alors que tu es encore full dans la conso (tu penses qu'on peut parler d'addiction ici ?)
C'est comme proposer une greffe de foie à un mec qui boit toujours beaucoup trop et qui n'a pas traité son addiction. D'un point de vue médical c'est particulier comme move.
travaillant dans une ELSA (Equipe de Liaison et de Soins en Addictologie) dans un grand hôpital, ça ne me surprend pas trop
l'urologue ou le gastro entérologue, il n'est souvent pas addictologue
et les critères pour une intervention chirurgicale sont spécifiques
par exemple pour une greffe de foie, les personnes qui n'ont jamais fait de démarches en addictologie (en CSAPA, en "cure" ou autre) seront paradoxalement prioritaires pour être greffées : les médecins partent du principe que ces personnes n'étaient peut-être pas informées des risques liées à leurs consommations ... contrairement aux personnes qui auraient fait des démarches pour arrêter de consommer mais qui continuent quand même (elles ont donc l'info des risques pour leur santé, de leur point de vue)
j'ai vu des gens se faire opérer en urgence (greffe de foie) pour des cirrhose dite "décompensée" avec risque vital...alors qu'ils buvaient au quotidien des quantités importantes juste avant d'arriver couleur jaune Simpson aux urgences...
idem pour les chirurgies de la vessie liées au surdosage au long cours de la kétamine : ce qui importe pour l'urologue, ce sont les critères de gravité urologiques et aussi le confort de vie des patient.e.s ...j'ai connu une jeune femme qui a finit avec un poche en guise de vessie...et qui n'était pas vraiment prête malgré ça à cesser la kétamine (qu'elle avait quand même arrêté le temps de l'intervention puis ensuite dans les quelques mois après mais elle était alors hospitalisée dans un service de post-op...et pas à domicile...et aucun traitement anxilytique ou antidépresseur ne semblait aussi "efficace" pour elle que la ké pour l'aider à tenir dans sa vie multitraumatique...)
bon, c'était un petit peu en dehors de la question initiale du post mais ça amène peut-être un éclairage sur la position médicale dans ces cas là
Hors ligne
psychodi a écrit
par exemple pour une greffe de foie, les personnes qui n'ont jamais fait de démarches en addictologie (en CSAPA, en "cure" ou autre) seront paradoxalement prioritaires pour être greffées : les médecins partent du principe que ces personnes n'étaient peut-être pas informées des risques liées à leurs consommations
A ma connaissance, les greffes de foie se décident suite à une réunion pluridisciplinaire à laquelle tu ne participeras pas, mais pour laquelle c'est le score MELD qui joue (anciennement CHILD), ainsi que d'autres critères de gravité.
Le fait d’évoluer ou non en addicto n’a clairement rien à y voir.
j'ai vu des gens se faire opérer en urgence (greffe de foie) pour des cirrhose dite "décompensée" avec risque vital...alors qu'ils buvaient au quotidien des quantités importantes juste avant d'arriver couleur jaune Simpson aux urgences...
Tu veux dire en SU ?
Mais sans passer par les 6 mois d’abstinence (c'est éventuellement possible mais très rare, même si la règle des 6 mois commence à être remise en question) ?
Et surtout sans l’aval de Biomédecine (je suppose que les personnes dont tu parles étaient déjà en rapport avec le centre de greffe, ne serait-ce que pour les histoires de disponibilité et compatibilité du greffon)?
Je veux dire qu’on n’arrive pas comme une fleur aux urgences se faire greffer un organe, même dans des cas graves c'est tout un parcours. Je me trompe peut-être mais ce n’est pas ce que j’ai perçu à travers la fin de ton post.
Dernière modification par Échec Scolaire (04 septembre 2024 à 14:39)
Hors ligne
Échec Scolaire a écrit
A [b]ma connaissance, les greffes de foie se décident suite à une réunion pluridisciplinaire à laquelle tu ne participeras pas, mais pour laquelle c'est le score MELD qui joue (anciennement CHILD), ainsi que d'autres critères de gravité.
Le fait d’évoluer ou non en addicto n’a clairement rien à y voir.
effectivement, les ELSA ainsi qu'un psychiatre participent au bilan pré-greffe mais n'assistent pas à la réunion pluridisciplinaire de décision : c'est juste un avis qui est donné.
par contre le fait "d'évoluer ou non en addicto" est bien un critère pris en compte, en tout cas dans le CHU où je travaille (et je suis pas médecin, je constate, c'est tout)
Échec Scolaire a écrit
Je veux dire qu’on n’arrive pas comme une fleur aux urgences se faire greffer un organe, même dans des cas graves c'est tout un parcours. Je me trompe peut-être mais ce n’est pas ce que j’ai perçu à travers la fin de ton post.
bien sûr qu'on n'arrive pas comme ça pour se faire greffer le foie...mais ça arrive (très rarement certes)...là encore, c'est ce que je constate et ça fait 15 ans que j'y travaille...le plus souvent, tu as raison, c'est tout un parcours plutôt complexe et contraignant ...et je parle même pas de la vie des gens une fois greffés, ça a l'air bien galère (traitements anti rejets et compagnie)
je pointais juste le fait qu'une intervention chirurgicale se fait parfois sur des critères qui ne sont pas ceux de l'addictologie (et même parfois à contrario pour les greffes de foie)
Hors ligne
psychodi a écrit
Échec Scolaire a écrit
A [b]ma connaissance, les greffes de foie se décident suite à une réunion pluridisciplinaire à laquelle tu ne participeras pas, mais pour laquelle c'est le score MELD qui joue (anciennement CHILD), ainsi que d'autres critères de gravité.
Le fait d’évoluer ou non en addicto n’a clairement rien à y voir.effectivement, les ELSA ainsi qu'un psychiatre participent au bilan pré-greffe mais n'assistent pas à la réunion pluridisciplinaire de décision : c'est juste un avis qui est donné.
par contre le fait "d'évoluer ou non en addicto" est bien un critère pris en compte, en tout cas dans le CHU où je travaille (et je suis pas médecin, je constate, c'est tout)Échec Scolaire a écrit
Je veux dire qu’on n’arrive pas comme une fleur aux urgences se faire greffer un organe, même dans des cas graves c'est tout un parcours. Je me trompe peut-être mais ce n’est pas ce que j’ai perçu à travers la fin de ton post.
bien sûr qu'on n'arrive pas comme ça pour se faire greffer le foie...mais ça arrive (très rarement certes)...là encore, c'est ce que je constate et ça fait 15 ans que j'y travaille...le plus souvent, tu as raison, c'est tout un parcours plutôt complexe et contraignant ...et je parle même pas de la vie des gens une fois greffés, ça a l'air bien galère (traitements anti rejets et compagnie)
je pointais juste le fait qu'une intervention chirurgicale se fait parfois sur des critères qui ne sont pas ceux de l'addictologie (et même parfois à contrario pour les greffes de foie)
Je vois mieux ce que tu voulais dire, merci pour les éclaircissements.
Effectivement, l’immunossupression c'est pénible à long terme, on fait des maladies cardiovasculaires, des cancers, du diabète, des neuropathies ...mais sinon on vit bien, il n'y a pas tellement de contraintes en dehors de contrôles réguliers.
Même concernant l’alcool, tu te fais pas trop engueuler si tu te remets à consommer de manière exceptionnelle, c'est à dire pour les anniversaires, Noël, les mariages et les enterrements.
Je plaisante un peu, mais c'est comme ça à Montpellier St Eloi, le service gastro est excellent, des gens très humains.
Bonne continuation.
Dernière modification par Échec Scolaire (04 septembre 2024 à 16:56)
Hors ligne
Jomac a écrit
Bonjour,
Je suis un homme de 26 ans.
Après 5 année d'addiction à la ketamine avec des periodes d'abstinence et des tentatives de demander de l'aide dans les centre d'addictologie j'ai malheureusement pas trouver l'aide suffisante du au manque de connaissance à Genève sur le sujet de la Ketamine.
J'ai appris il y a quelques mois que ma vessie ne va pas se réparer et que je vais devoir subir une ablation partielle de la vessie avec une reconstruction avec une partie de l'intestin.
On m'a dit que je vais devoir me rentrer une sonde dans l'urètre 6 fois par jour pour le reste de ma vie ça me fait terriblement peur parce que j'ai déjà reçu des sondes et ça fait mal je me vois pas vivre cette vie et j'aimerais savoir si des cas similaires en France existe parce que je suis le seul en Suisse.
Si des gens sur le forum on du subir la même opération j'aimerais pouvoir discuter avec eux si possible pour savoir à quoi m'attendre.
Salut,
Tout mon soutiens oour ce moment difficile, n'hesite pas a nous faire un retour de ta situation au niveau de tes symptomes lorsque tes conso auront diminué.
Je croise les doigts!
J'ai espoir quand meme perso !
Toutes mes connaissances qui sont allez jusqua des conso de 5g ou + par jours avec du sang dans les urines et de grosses complicatuon ont vu leurs symptome disparaitre apres arrets,
Il y'en a un que je voit encore il pisse 5 fois par jours avec mictions normale !
Je n'ai entendu qu'une seule personne me parler de la pause d'une sonde et de ce type d'operation, cetait une de ses connaissance.
Je vais essayer de me renseigner mais a mon avis il a du maintenir un palier de conso aussi elever que le tient voir peut etre + et sur une grosse durée meme pendant les complication qui precedent tout ca.
N'hésite pas a voir le topic sur lequel prescripteur a repondu et a envoyé le lien ici il est epingler dans la section ketamine du forum, il y'a plein de source
J'espere que ca ira pour toi !
Dernière modification par kazivol (13 septembre 2024 à 02:29)
Hors ligne
[ Forum ] Effets secondaires - Ketamine et problèmes de vessie à court terme
|
2 | |
[ Forum ] Effets secondaires - Nouveau reportage sur la Kétamine et ses désastres sur la vessie !
|
12 | |
10 | ||
[ PsychoWIKI ] Kétamine, effets, risques, témoignages |