Aucune expérience scientifique, aucune publication scientifique ne démontre clairement l'implication du VIH dans le déclenchement du SIDA ; certains biochimistes renommés (dont un Prix Nobel et un ancien membre de l'Accadémie Américaine des Sciences, spécialisé dans les rétrovirus, quand même hein...) sont même persuadés du contraire, arguments sérieux et logiques à l'appui. Les rétrovirus sont les plus inoffensifs des virus, on en a tous dans le corps, humains comme animaux, et il est rare qu'ils déclenchent des maladies (ça arrive chez certains animaux, on n'a aucun cas avéré chez l'humain). De plus, aucun rétrovirus ne détruit des cellules, et surtout, aucun virus à la surface de la planète ne rend malade quelqu'un dix ans après son passage, alors qu'il n'est plus présent dans le corps (impossible de trouver le VIH chez un malade du SIDA, uniquement des anticorps dirigés contre lui...)
Certains scientifiques pensent aussi que le VIH peut être impliqué dans le SIDA mais uniquement lié à d'autres facteurs ; Luc Montagnier en personne, celui qui a découvert le VIH, a émis l'hypothèse que sans un certain mycoplasme, le VIH ne pouvait rien faire. C'est lui aussi qui lors d'une conférence sur le SIDA a expliqué que d'après lui, on peut se débarrasser du VIH, à condition d'être en bonne santé, de bien se nourrir et d'éviter les maladies ; ainsi il considère qu'au lieu de chercher un vaccin miracle, le meilleur moyen d'aider l'Afrique à faire baisser l'épidémie de SIDA serait de les aider à lutter contre les autres maladies, avoir de l'eau potable et une alimentation équilibrée et suffisante.
D'ailleurs, y a-t-il vraiment une épidémie de SIDA en Afrique ?? Il y a beaucoup de gens malades, ça c'est sûr. Ce qui est sûr aussi, c'est que sous l'influence de la peur du SIDA, la plupart des malades africains sont diagnostiqués sidéens quelque soit leur maladie : malaria, tuberculose, diarrhée...
à partir du moment où un test VIH fait précédemment les a déclarés positifs.
Sauf que... il n'existe aucun test VIH qui soit fiable. Le premier qu'on fait, le test Elisa, est réputé peu fiable, raison pour laquelle s'il est positif on en fait un autre, le Western Blot. L'un comme l'autre réagissent non au virus mais aux anticorps dirigés contre lui. Sauf qu'en réalité ils réagissent aussi aux anticorps dirigés contre tout un tas de choses, lèpre, tuberculoses, multiples bactéries et virus. Pas étonnant alors que les Africains et les usagers de drogues, si souvent exposés à des infections, soient si souvent positifs...
D'ailleurs le Western Blot donne un résultat positif chez des animaux pour qui le SIDA n'existe pas, des souris, des chiens... Il donne aussi très souvent un résultat positif chez les Indiens d'Amazonie, chez qui aucun cas de SIDA na jamais été enregistré...
Plus surprenant encore, les critères du Western Blot déterminant si vous êtes positifs ou négatifs ne sont pas les mêmes dans les divers pays du monde, et même dans les divers Etats des USA. On peut faire le test en France et être positif, et faire le même en Afrique et être négatif, ou vice-versa. De toute façon le même sérum testé par plusieurs laboratoires donne à chaque fois des résultats différents, même en prenant la même
base de critères.
Conclusion : un virus qu'on ne sait pas détecter, le VIH, est (presque) unanimement considéré comme responsable d'un syndrôme, le SIDA, alors qu'aucune expérience concluante ne le prouve. Génial hein ?
Et non, je ne suis pas tombée sur la tête, je savais déjà que les tests ne sont pas fiables, je ne savais pas à quel point, j'ai fait des recherches sur le Net, et je suis tombée, pour commencer, sur un reportage Arte datant de 1996, alors j'ai fait d'autres recherches, qui ont bien confirmé ce que dit ce reportage...
Le reportage en question :
Partie 1Partie 2Partie 3Partie 4Partie 5Le reportage date, mais Peter Duesberg par exemple, est toujours persuadé au jour d'aujourd'hui que le VIH n'est pas responsabe du SIDA (Duesberg n'est pas un allumé venu de la Lune, mais un biochimiste, ancien membre de l'Accadémie Américaine des Sciences, spécialiste des rétrovirus qu'il étudie depuis 40 ans...)
Alors bien sûr, rester prudents avec ce genre d'affirmation, mais... le doute est une chose qu'il est toujours bon d'avoir, surtout quand tant de choses sembleraient le confirmer.
Dernière modification par Kao (15 février 2011 à 23:10)