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Dernière modification par Bonnie D. (28 octobre 2011 à 12:27)
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Bonnie D. a écrit
C'est peut etre HS, mais l'iv (de coke) augmente à ce que je vois. Il me semble logique que ça touche aussi les homos
Si c'est vraiment dans des proportions plus inquiétantes que dans le reste de la société, ça touche peut etre un petit goupe de personnes.
Bonne soirée
Edit : Je viens de me relire, on peut pas dire que je fais avancer le débat..!
Ce que je voulais dire c'est que ça concerne peut etre 2 ou 3 clubs parisiens, sans etre un véritable prblm pour les gays en général.
Je fréquentais pas mal les boites gay,...
Salut...
Ne pas le prendre mal, mais Bonnie D. même s'il est indéniable que tu réponds à tout, je reste songeur quant à ce que tu viens d'écrire ci-dessus en réponse à Pierre.
Dois-je citer les bars-clubs où jamais tu n'as jamais mis les pieds car si je ne me trompe pas, tu es une femme et l'entrée leur est interdite ? Certes le K. (j'abrège le nom, de plus il est fermé) il y a quelques années fit des portes ouvertes certains week-end... à ces dames. Mais quant aux autres... Nan...
Bref, j'ignore d'où Pierre a récupéré cette info, mais elle est bien réelle. Non seulement ces pratiques existent dans les lieux festifs (les bars-clubs), mais chez les particuliers. L'augmentation (due à la diminution du tarif de la cocaïne ? de son accessibilité ? de sa qualité ? etc.) est belle et bien vraie... Je ne saurais quantifier la chose. Les soirées, nuits, évoluent... Les comportements aussi. Les horaires d'ouverture, les pratiques (sexuelles entre-autre mais pas seulement ; ne faites pas la fine bouche), font que le milieu se prête volontiers à une consommation qui n'existait pas ou presque il y a encore quelques années. Du moins sous la même "forme" (d'administration).
C'est sans doute le mode de consommation qui a changé essentiellement. Quoique. Fut un temps où je n'ai jamais vu un rail de coke circuler au Q. ou au T., voire au P. (mixte), etc.... Encore moins une seringue. Mais les temps changent... Et si les préservatifs (malgré les mises à disposition, les "pancartes", et je ne vais pas entrer en conflit ou dans le détail avec celui et ceux qui furent soi-disant, à une époque révolue, à la hauteur de la protection tout azimut), sont toujours de mise, les seringues ou les kits, ce n'est pas la même affaire...
Ce sont plutôt les débuts et fins de nuit qui sont concernées... ou les entre-deux (avec association alcoolisée). De plus le milieu gay ne s'arrête pas qu'aux "bordels" (désolé pour l'expression) ; mais les soirées privées sont en plein essor... Et là , tout est permis...
Témoignage personnel : il y a déjà pas mal d'années, la coke était très répandue dans les clubs gays d'Amsterdam ou de Hambourg, etc... Elle se sniffait. Aujourd'hui... Inutile de faire un dessin... Mais chez les particuliers. Car les dirigeants des boîtes sont très vigilants...
PS HS : Quant aux pratiques sexuelles, Bonnie D., renseignes-toi d'abord avant de parler de sodomie... Il en existe tant d'autres, bien plus sanglantes. En résumé, comme dirait un de mes petits camarades, mieux vaut se taire quant on se sait pas trop... Ca, c'est une perle (réfléchis bien à la deuxième phrase...) :
Bonnie D. a écrit
La muqueuse vaginale est moins sensible aux frottements.
Si la sodomie était pratiquée par tous les heteros, homos et hétéros pourraient avoir les même taux de contamination.
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Dernière modification par Bonnie D. (28 octobre 2011 à 12:23)
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Quant aux pratiques sexuelles, Bonnie D., renseignes-toi d'abord avant de parler de sodomie... Il en existe tant d'autres
Tiens tiens, qui peut m'en dire plus ? ma curiosité est réveillée !
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Dernière modification par Bonnie D. (28 octobre 2011 à 14:14)
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Dernière modification par Bicicle (30 octobre 2011 à 05:03)
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Alain Will a écrit
Salut à toutes et tous,
À propos du slam chez les gays, je trouve [...] que les propos de Batel sont discriminatoires.
Heureusement ^^ qu'il dit ceci à un moment (histoire de "noyer le pois(s)on" :Les "toxicos" se "fixent" et les gays se "slamment". On notera la différentiation sémantique anglicisante visant sans doute à rendre plus hyper-attractive et spécifiquement communautaire un comportement associé à la toxicomanie dure.
http://www.psychoactif.org/forum/t5808- … -gays.html
"La toxicomanie dure"...
Je suis *tout à fait d'accord* avec le principe "d'alerte" et de RDR [...] mais faut bien relire ce que dit Batel [...]
Perso, j'aurais publié, effectivement, mais *différemment* ; mais bon, question de sensibilité et d'affinité (s) personnelles...
Dit *méchamment*, toutes mes excuses, "vous" étiez bien contents d'avoir les pédés en 87 avec Barzach pour les seringues.. Asud, c'est fin 92, début 93... Pour les raisons que chacun sait : l'homosexualité à cette époque n'était plus illégale ; aujourd'hui en 2012, un UD reste dans l'illégalité. Fin du HS...
Bizz, Alain.
Ce à quoi j'avais ajouté pour enfoncer le clou :
Alain Will a écrit
Ajout : quant au SNEG (syndicat national des entreprises gay), j'ai connu personnellement JF C. (je cite le nom ?), qui en fut président et possédait 3 lieux à Paris (4 à une époque, sans compter le Sauna de Nîmes...). Le SNEG promouvait la distribution des préservatifs dans les bordels (avec backroom) gays, et JF C organisait [au moins une fois par semaine] un jour-soirée et nuit en thématique "nokpot" (bareback)... Faudrait peut-être bien au courant des choses... Et des hypocrisies qui alimentent la tchatche...
Et il recevait chez lui, rue de Rivoli, avec une aussi belle hypocrisie d'Aubry à Kouchner ...[Pas pour des "parties privées, hein !, nan, pour des raisons... politiques et autres...] Et il n'y avait pas que lui qui organisait ce type de "soirées"... ( qui existent toujours du moins chez les "privés" ; chacun son truc, mais bon, je pense que lorsqu'on occupe le poste qu'il avait, c'était plus que "moyen". Faut pas s'étonner vu son long bras pourquoi il a été le seul à obtenir le droit de rester ouvert pour un de ses "bordels", toute la nuit... Fin du re-hs ; quoique... Pas si HS à mon sens, juste une "précision"...
Et je souhaite préciser à toutes et à tous que je n'ai "nullement pris la mouche". Ce sujet m'a fait réagir, c'est tout. Cela vient sans doute que j'ai vu beaucoup de choses, et entendu nombre d'entre-elles très contradictoires, parfois vraies, parfois fausses.
Lorsque l'on dit que les gays provinciaux (je schématise) ont une vie bien rangée, de couple, etc... cela est parfois vrai. Mais cela est aussi fréquemment éloigné de cette image d'Épinal. Il y a par exemple une raison à cela : le phénomène de "communauté" qui fait que nombre de "provinciaux" (ce n'est pas moi qui ait utilisé le terme au départ, mais admettons...) prennent plaisir à se retrouver pour faire un peu la fête dans de grandes villes, que ce soit en France ou à l'étranger. De temps en temps (j'ai pas dit tous les jours...)
La discrimination, que ce soit vis-à -vis des gays ou des usagers de drogues continue d'exister bel et bien. Un point rarement évoqué car souvent sensible et sujet à polémique : les gays sont "généralement" aisés financièrement parlant (je n'ai pas dit que c'était la majorité, mais il n'empêche...). Cela permet leur permet aussi de "naviguer" et de "profiter" ce que certains usagers ne peuvent s'offrir car la came, ça coûte plus cher qu'une entrée ou une soirée dans un b*****... À moins d'être un gros assoiffé, mais l'alcool étant une drogue bien connue, on tombe sur le sujet du gay toxicomane. Qui effectivement aura largement les moyens de se trouver amphétamines (coke et autres) sans souci d'ordre pécuniaire...
Quant au VIH, parce que je pourrais y passer la nuit à parler de divers points, j'ai publié pour le Sidaction 2012 certains chiffres dans ce post :
http://www.psychoactif.org/forum/viewto … 941#p96941
Et je peux compléter...
Amicalement, Alain W.
ps : and welcome aboard traviatia....
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Le pote:"Au début ce briut autour du slam m'intriguait. Mais je trouve cet article très jugeant envers les toxo et les discussions autour du slam prennent des tournures étranges: les slammeurs ne veulent pas être assimilés à des toxicos... Pourtant les constantes sont les mêmes: une consommation de plaisir qui passe à une consommation d'habitude, une consommation en groupe qui passe à une conso solo, des problématiques qui apparaissent au fur et à mesure de la consommation..."
26 mars, 19:14 · J´aime
-Moi/" Ouai c'est aussi ce qui m'a interpellé..."
26 mars, 19:25 · J´aime
en me relisant je me dis que ce jour là , aussi, j'étais méchamment feignant...
salut aux potos désolé
Ron.
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Dernière modification par filipe (23 avril 2012 à 15:16)
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Dernière modification par filipe (23 avril 2012 à 22:03)
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