Il fait ce qu'il veut si il veut boire son urine, mais si c'est juste une histoire de pH pourquoi pas ajouter un tout petit peu d'acide citrique, de vinaigre... ?? Et puis bon les "Toxine d'urée" qui font disparaitre le paracetamol.. C'est pas aissi simple et magique la réalité.

Il faut trouver l'evolition se la solubilité du paracetamol en fonction du pH mais laisse l'urine aller dans les toilettes...

Et puis je viens de me renseigner la solubilité du paracetamol ne varie pas d'un pH 1,2 à 8,0.

Autant dire que c'est une solution geniale pour boire la codéine, le paracetamol... Et son urine :super:

Prendre de la codeine alors que tu es sous buprénorphine ça ne sert pas à grand chose, pour pas dire à rien...

La codeine est metabolisée en morphine pour avoir son activité antalgique, étant déjà sous buprenorphine elle ne pourra pas agir sur les recepteurs en fait...

Il aurait été préférable un anti douleur non morphinique comme l'acupan (Nefopam) qui lui agit même sous bupré (c'est juste une indication d'antalgique qui est utilisable même sous buprénorphine, pas une recommendation).

Dans ce sens là il n'y a pas de risque de manque précipité. C'est uniquement si tu arrêtes la bupré, tu prends à la place la codéine, qui agit et alors que tu as encore les molecules actives presentes, si là tu prends de la buprénorphine à ce moment tu feras un manque précipité, la bupré chasse "la codeine" des recepteurs et les inactives (en très schématique)

Je n'ai pas de données scientifiques mais on peut penser que ça arrive rapidement dans les urines. Les reins filtrent en permanance le sang donc on imagine bien que les premières molecules sont excretés assez rapidement, mais ça doit dépendre aussi de ta diurèse et fonction rénale j'imagine.

Mais si je ne dis pas de bêtise maintenant les contrôles se font avec des test salivaires ? Et là par contre je pense que ça passe plus rapidement que dans les urines.
La salive est parfois considéré comme un filtrat plasmatique, donc passage direct des metabolites du sang vers la salive
J'ai plus trouver que le metabolite de l'héroïne 6-acetylmorphine est détecté dans la salive à un taux de 1ng/ml de 0,5 à 8h. Après en dessous de 30min elle est aussi presente mais à un taux moins important (et là ça ne garantit pas la négativité du test...)

Oui c'est possible 180mg, ça existe. Je pense sans vouloir parlee pour Marvin qu'il a utilisé cette expression car il existe des posologies plus élevés encore.

Mais étant à 90mg tu n'arriveras pas à 180 d'ici demain... Dans les recommendations de prescription on trouve que pour les posologies au delà de 100mg il faut/il est recommandé de faire une methadonemie (residuelle, +/- au pic) pour objectiver un metabolisme rapide. Ensuite la première chose à faire en cas de metabolisme rapide c'est déjà de fractionner la prise en 2 fois, ça suffit souvent à aller mieux.

Ensuite il faut augmenter la psologie petit à petit, en général par palier de 10mg en attendant au minimum 5 jours entre chaque augmentation, c'est le temps pour que le taux plasmatique s'equilibre (aussi appelé steady state). Une augmentation massive d'un coup avec la methadone peut être dangereuse, pas uniquement en terme d'over dose mais aussi sur le plan cardiaque (allongement de l'intervalle QT plus important en augmen …

[quote=Marco 68]...ça fait des années qu'on me délivre mon TSO skenan ou methadone pour 28jours..
Peut-être puisque je voyage beaucoup et j'ai jamais fait des conneries, je nesais pas..[/quote]
La méthadone sirop est prescrite pour 14 jours maximum, c'est pas possible de l'avoir pour 28 jours directement selon les textes.
Par contre la méthadone gélule elle peut être prescrite et délivrée par la pharmacie pour 28 jours.

J'ajoute que les autres prescriptions de stupéfiants (morphine, oxycodone, fentanyl, ect...) peuvent eux aussi être renouvelés par la même procédure.

Une autre precision qui a toutefois son importance, le patient doit prendre ce traitement depuis 3 mois minimum pour qu'il puisse être renouvelé par le pharmacien.

Le seul moyen de savoir si 60mg de codéine est suffisant sur ta douleur c'est d'essayer !

La codéine est efficace sur la douleur, dans l'organisme elle est metabolisée en morphine, c'est de lui qu'elle tire son action antalgique.

Pour la caféine je ne vois pas le problème au contraire elle potentialise l'effet antalgique et on la retrouve dans certain médicaments qui associent paracetamol codéine caféine, comme Prontalgine par exemple ou Migralgine.

Concrètement oui c'est possible de détourner les patchs de fentanyl, seulement je te déconseille vivement de le faire, car premièrement c'est dangereux, il y a une grosse dose de fentanyl dans 1 patch et on ne contrôle pas la diffusion pris autrement que sur la peau. Et ensuite parce tu risques d'y prendre goût et de le faire de plus en souvent, avec des doses de plus en plus importante jusqu'à faire monter les doses avec des patchs de 100ug/h, je parle de vécu et je ne l'aurais jamais fait si j'avais été au courant de ce genre de choses.

Si la dose ne te suffit pas avec 25ug parle en à ton médecin et dit lui que c'est pas suffisant et voit avec lui si augmenter un peu le dosage est possible.

12h c'est le minimum pour que ça diffuse bien au travers la peau donc attend au moins 24h pour voir l'effet réel. 25ug/h équivaut à 60mg de morphine jour. Il faut aussi savoir que des facteurs extérieurs modifient la diffusion du fentanyl et son passage dans la circulation, comme la chaleur qu …

C'est tout à fait possible de prendre en 2 prises quand ça ne suffit pas pour faire les 24h confortable. Je prends par exemple 80mg raparti en 40 matin et soir.

Après c'est toujours mieux que le médecin prescripteur aille dans le même sens mais ça se fait, ça existe, et ce n'est pas absurde comme façon de faire

Bon en voyant ce post ici j'ai compris le rapport avec PA, il y en a un et je ne pense pas me tromper, ça permet la synthèse d'un gaz mais je n'irai pas plus loin dans mon message, le procédé reste dangereux !

Mon avis est que ça n'a aucun intérêt de diluer dans du soda dans la mesure où tu as des comprimés, autant les prendres directement par la bouche et beneficier de tout les effets de la DHC plutôt que les écraser, diluer dans du soda, à savoir qu'un comprimé écrasé c'est pas fait pour être bon à la base (pour ça que c'est en comprimé et en general enrobé) c'est amère, degueulasse. Donc même ajouté dans du soda ça risque de pas être bon.

Ensuite pourquoi prendre le risque que la molécule active aille réagir avec des composés présent dans le soda qui peuvent peut être l'alterer ?
Dans le soda il y a des proportions importantes d'acide différent, de caféine, d'autres additifs, ect... On ne sait pas vraiment comment peut reagir la molécule dans un melange pur de soda (contrairement à dans l'estomac où il serait dilué au contenu gastrique).

Enfin voilà c'est uniquement mon avis, prends ta DHC normalement profite de ses effets, bois du soda à côté si t'en as envie, mais la version americ …

Si tu es dans une demarche de sevrage je pense qu'il va falloir faire le deuil de "la défonce" d'avant et plutôt trouver un état de bien être, de stabilité plutôt. Parce que sinon si tu es à la recherche des mêmes effets ça va être très difficile d'arrêter, c'est plutôt le contraire qui va se passer...

Alors l'alcool rentre dans le sujet donc je ne m'avance pas car je ne maitrise pas ensuite

Salut,

Ça ne sera pas nécessaire qu'elle note chevauchement d'ordonnance le 17 pour ton subutex parce que c'est pas la même molécule. Il est nécessaire de l'indiquer quand une nouvelle prescription du même produit est faite avant la fin de la précédente.

Ma pharmacie tolère même pour le même medicament à un dosage différent estimant que c'est pas le même medicament, mais là c'est plutot de l'interpretation de texte limite.

Ça dépend un peu des gens pour ce qui est durée de consommation et syndrome de sevrage à l'arrêt. Je ne pense pas (je ne crois pas plutôt) qu'il existe une règle unique qui determine que si tu consommes x quantité sur x temps tu seras physiquement dépendant et devras vivre un syndrome de sevrage.

J'ai souvent lu qu'il y avait des variations individuelles, des prédispositions génétiques qui favoriserait la survenue d'une dépendance physique et psychologique plus facilement, rapidement que chez les autres. Je ne sais pas si on peut prendre cette piste pour acquise mais ça explique certaines choses et ça a le mérite de faire réfléchir sur la question.

Même si tu prenais le tramadol de façon récréative, il y a des gens qui prennent de la morphine parfois sur une durée non négligeable et qui lors de l'arrêt du traitement ne présentent pas d'état de manque sévère ou marqué.

Je trouve difficile pour ma part de consommer des opiacés de la sortes sans déraper, augmenter les doses, ne pas …

Je ne suis pas un expert car je connais que peu le kratom, mais l'associer à l'hero c'est additionner les effets des 2. Dans la mesure où il existe une tolérance croisées entre les opiacés, je ne sais pas si ça a grand intérêt. Peut être que tu t'habitues un peu au substances présentes dedans, mais en parallèle ça ferait monter la tolérance aux opi aussi, même si l'effet du kratom semble est leger comparé à l'héroïne (on est à quoi, en dessous de la codéine en intensité ?)

En tout cas en ce qui concerne les effets ajouter kratom à l'hero ça n'a pas d'intérêt je pense.

Donc le mieux c'est d'essayer de voir si avec une prise comme ça tu auras moins d'effets secondaires désagréables (ça me fait penser que quand je prenais du tramadol avant de prendre des morphiniques, ça allait très bien. Par contre quand j'ai pris du tramadol pour combler le manque parce que j'avais plus d'oxycodone ou de fentanyl et que j'attendais mon ordonnance bah l'effet du tramadol comme ça était super désagréa …

Je ne connais pas bien le kratom mais j'en sais que ça agit comme un opiacé, donc je ne suis pas supris pas les problèmes de libido que tu évoques.

Le fait d'avoir arrêté subitement de prendre le kratom t'a mis dans un état de manque (j'imagine ?) Ou proche/léger en tout cas, et les effets néfastes sur la libido dans ces conditions là sont bien connus malheureusement.

Les opiacés ont un impact sur la libido et la "puissance" (opposé à l'impuissance). Perso quand je prenais encore de haute doses d'opiacés je n'avais pas de problème de libido du tout, par contre les problèmes se manifestaient au niveau du retard important de l'éjaculation (bon j'utilise les vrais mots, j'imagine que ça ne pose pas de problème!) voir parfois l'impossibilité, sauf à être marathonien et doté d'un engin en acier :lol:

Par contre en étant en manque c'est tout l'inverse, avec disparition de la libido.

Je ne connais pas de solution miracle malheureusement, avec le temps et la disparition de cet état, le …