Salut à tous !

Je voudrais commencer par vous remercier pour vos réponses et votre aide. Dans les moments comme ça, ça aide de se sentir écouté.
Je remercie Pierre, qui m'a miraculeusement sauvé de cette galère

J'ai donc réussi, grâce à Pierre, à obtenir un rdv en csapa. J'ai pu obtenir un traitement en urgence à la méthadone, dosé légèrement en dessous de mes habitudes pour respecter le protocole.
J'ai rendez-vous la semaine prochaine pour ajuster la dose, et approfondir mon cas.

Je ne remercierait jamais assez Pierre de m'avoir donné cette chance. Je prends ça comme une aubaine et ai bien l'intention de me faire suivre par cette csapa, et d'entamer une régulation de ma consommation car je suis vraiment dans cette optique. C'est tellement agréable de se sentir écouté.

Je me sens évidemment beaucoup mieux, hier la pression s'est relâché d'un coup, et j'ai rattrapé mes 3 nuits blanches.

Merci encore à tous, portez vous bien. …

Selon lui ça n'est pas son rôle de me délivrer ce genre de produit, même le subu. Je trouve ça assez dingue de garder son sans froid face à patient implorant, en larmes, qu'on lui prescrive un opiacé. Comment on peut avoir si peut de pitier. Si on considère la toxicomanie comme une maladie, j'estime que c'est son rôle de m'aider.

J'ai tout demandé au généraliste que je suis allé voir : skenan, codéine, subutex, il ne veut rien savoir.

Bonjour à tous,

Je consomme de la méthadone, 80mg par jour, hors TSO, acheté sur le marché noir. Je ne suis suivi par aucun psychiatre ou csapa.
Suite au confinement je subit en ce moment un sevrage brutal et non désiré. Ma dernière prise remonte à samedi matin donc aujourd'hui est le 5eme jour.
Je suis allée voir un médecin pour l'implorer de me prescrire quelque chose mais rien n'y a fait, je n'ai eu qu'une ordonnance de seresta 50...

J'ai toujours choppé au même endroit à Paris (j'imagine que les parisiens reconnaîtront) et n'ai absolument aucun plan de secours.

Les symptômes vont en grandissant avec insomnies depuis 3 jours (j'ai réussi à dormir quelques heures cette nuit en avalant 150mg de seresta), et tout le reste enfin vous connaissez quoi, l'horreur.
En revanche quelque chose qui m'inquiète, et que je retrouve peu dans les témoignages de sevrage c'est la perte de faim. Je n'ai quasi rien mangé depuis 3 jours...

J'ai vraiment l'impression de ne pas en voir le bout. C'est m …