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Médicaments psychotropes » Antidépresseurs, anxiolytiques, risques d'addiction, sevrage ? » 17 janvier 2019 à  10:18

Bonjour à tous,

Merci pour vos réponses.

@prescripteur : effectivement, ce niveau 3 m'a interrogé ... et en même temps, personne ne contrôle si les automobilistes ont pris des benzodiazépines ! Il semble par ailleurs qu'aucun professionnel de santé ne se soit posé la question pour moi, alors que je précise faire 500-1000km/semaine dans mon travail. Je crains de reprendre pour cette raison aussi : je ne me sens pas de prendre le volant, et y serai forcément contrainte dès lors que je ne serai plus en arrêt ...

@Daze : on tente pour l'instant le Séroplex 20mg, mais je garde ces conseils précieusement en fonction de l'efficacité du traitement.

Bonne journée,
Béatrice.

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Pour information, mon arrêt de travail a été prolongé de deux semaines, puis à nouveau une semaine par mon médecin traitant.

Le psychiatre a fait évoluer mon traitement, par une augmentation des doses initialement prescrites. Je suis aujourd'hui au Séroplex 20mg + Xanax 0,5mg "autant que de besoin".

J'ai entam …

Médicaments psychotropes » Antidépresseurs, anxiolytiques, risques d'addiction, sevrage ? » 04 janvier 2019 à  17:35

A noter qu'au-delà de la "phobie sociale" que j'éprouve actuellement (qui me questionne sur ma capacité réelle à y faire face dans un contexte professionnel, sinon à m'enfermer sans être vu de ma hiérarchie), mon travail m'amène a parcourir entre 500 et 1000km/semaine en voiture, avec de fortes responsabilités. D'où ma crainte d'une reprise dans le cas où mon psy n'accepterait pas de me prolonger à nouveau.

L'arrêt des benzos serait à mon sens aussi nécessaire pour reprendre rapidement, c'est aussi à ce dilemme que je dois faire face.

Médicaments psychotropes » Antidépresseurs, anxiolytiques, risques d'addiction, sevrage ? » 04 janvier 2019 à  17:31

Bonjour,

Je m'appelle Béatrice, j'ai 32 ans. Suite à une situation professionnelle difficile, cumulée de problèmes personnels sans doute mis sous le tapis, me voilà arrêtée depuis octobre 2018.

Par épuisement professionnel notamment, des crises d'angoisse progressives ont commencé à apparaître ces derniers mois (sentiment d'étouffement, étourdissement, sensation de brûlure/démangeaison pendant les crises, vomissements le matin avant de prendre mon poste). Par ailleurs, j'ai peu à peu commencé à me replier sur moi-même, jusqu'à aujourd'hui avoir du mal à affronter l'extérieur (faire mes courses seule, rencontrer du monde etc.) et faire face à des idées suicidaires, quel seul mon conjoint et ma famille savent calmer.

Mon arrêt de travail se poursuit jusqu'à la fin de semaine, où je vais consulter un psychiatre pour la deuxième fois.

Lors de mes dernières consultations (généraliste, psychiatre et psychologue) je n'ai pas été en mesure de m'exprimer suffisamment : l'angoisse de la con …

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