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vyse a écrit
Je peux vous assurer que ce n'est en aucun cas un "moyen de défonse".
en es tu sur ?
deux miligrammes n'est pas (et de loin) une dose infime, sachant que la buprenorphine quand elle est utilisée pour le traitement de la douleur l'est dans des proportions bien moins importantes ....je rappel le dosage des "temgesic" est de 0.2 mg soit dix fois moins que la dose que tu prends quotidiennement ...
Comme tout opiacé (ou opioïde dans ce cas là ) le "subutex" peut au début avoir des effets antidepresseurs ... mais crois moi celà ne va pas durer ... très vite , ce dosage ne sufira plus .. et si tu n'augmente pas tu n'auras plus l'effet recherché ... et même en augmentant tu ne retrouveras plus les effets du début...
Crois moi tu fais fausse route ... et tu t'en appercevras à tes depends si tu n'arrête pas au plus vite ce traitement dont théoriquement tu n'as pas besoin puisque tu affirme ne pas être dependant des opiacés.
Personne n'a jamais reussi à bien gerer une consommation d'opiacées sur le long terme.. crois ça se saurait.
Je ne peux que te conseiller d'essayer de trouver d'autres solutions pour ameliorer ton quotidien .
Je trouve navrant que quelqu'un qui n'est pas dependant des opiacés puisse obtenir ce produit ... et celà en plus c'est un docteur en medecine qui te l'a prescrit ?? navrant vraiment ... et même si tu pense que ce medicament te fais du bien ... je reste persuadé que tu es dans l'erreur .. et crois moi je te parle en connaissance de cause ...
pourquoi ne pas appliquer au subutex le même regime qu'à la methadone ? même si on peut trouver de la methadone au marché noir , le phenomene est quand même bien mieux geré que pour le subutex qui lui courre les rues et fait et fera des ravages ...
Pour conclur ce post j'ajouterai que je te souhaite le meilleur pour l'avenir ... j'espere sincerement que mon post te fera réfléchir et que tu rebrousseras chemin ....
sur ce bonne journée à tous ...
Sativa67
Dernière modification par sativa67 (13 avril 2009 à 13:22)
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Dernière modification par sativa67 (16 avril 2009 à 20:36)
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naïV a écrit
D'autre part Sativa, moi j'en connais qui gere leur consommation d'opiacés, j'en fait partie... Voilà maintenant tu le sais...
naïV
tu gere ta consommation de subutex et bien soit ... c'est très bien ... mais perso sur tous les gens que j'connais qui ont commencé le subutex , bien peu l'ont geré comme tu dis ... la plupart se sont mis à la coke ... ont injecté le produit , l'on sniffé ... on augmenté les doses pour finir à la metha qq années plus tard , je parle là d'un petit cercle d'amis , les miens à savoir une dizaine de personnes, pour qui le subutex n'a pas été la panacée ...
et je n'connais pas bien ton parcour puisqu'on ne se connais pas mais j'ai connu tres peu de gens capable comme toi de gerer une consommation d'opiacés ... tu dois avoir une force de caractere au dessus de la normal ... ou peut etre sont ce mes amis les nigauds ....
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Dernière modification par sativa67 (16 avril 2009 à 22:50)
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Dernière modification par sativa67 (17 avril 2009 à 12:49)
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Dernière modification par reskaper (12 juin 2009 à 13:20)
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Dernière modification par prescripteur (21 février 2009 à 17:56)
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vyse a écrit
Merci beaucoup pour ces réponses
on verra par la suite ce qu'il adviendra.
Je pense comme Pierre que chaque cas est unique et que chacun réagit différemment avec ce genre de produit.
Etant donné que le subutex est un opiacé neutre, qu'il n'y a donc pas d'effets "flash" comme l'héro le sub peut donc peut être m'être utile au long terme?!
Inch'Allah!
Comme tu dit il ne provoque pas de "flashs" mais nombreux sont ceux qui commencent par le prendre en sublingual puis par le détourner (je suis passer par la aussi :S)
Malgré que ce n' est ni héroine, ni morphine je pense comme tout le monde et que comme pour chaque ou pour de trés nombreuses molécules il y a une accoutumance qui fait que tu vas augmenter les doses journalières et aussi la dépendance qui fait que tu ne pourras pas arreter aussi facilement que tu ne voit la vie en rose ...
Si vie en rose tu vois toujours en 2009
Vu ta maladie et comme tu le disait tu as du connaitre lma dépendance aux molécules, mis à part les neuroleptiques qui ne créent pas de dépendance physique les benzos en créent une et je pense que tu devais etre à des dosages plutot élevées, lesquels prenaient tu et a quel dosage ?
Et surtout comment as tu arreter ? tu me dirais j' ai tout arreter en passant par le subbutex je t' avouerais que je te prendrais pour Superman
Sinon que dire qui n' as pas déja été rajouter si tu trouves ton bonheur et ton équilibre comme cela pourquoi pas, de plus c est sur prescription médicale, non détourné alors si tu te sens bien, et bien espérons que cela continue
Amitiées à toi Chris
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Dernière modification par MarlaSinger (08 mars 2009 à 23:50)
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MarlaSinger a écrit
... Et c comme ca qu'on se retrouve avec du sub en sorte d'anti-dépresseur. Il est vrai que je ne me suis jamais sentie plus apaisée qu'avec ma came. Mais si jamais les opiacés sont utiles pour traiter les troubles de l'humeur, il faudrait déja le démontrer. En plus, si je ne me trompe pas, le sub n'est pas un opiacé, il "endort" les neuro-transmetteurs, au lieu de les combler comme la métha.
...
Bonsoir Marla,
Si le subutex ou buprénorphine est un opiacé. Il permet de reproduire les effets d'autres opiacés permettant ainsi de ne pas souffrir du manque. Je renvoie à la plaquette sur le subutex.
Si vous consommez de ces opiacés après avoir pris de la BHD, vous en sentirez moins les effets.
A l´inverse, si vous prenez de la BHD après avoir pris des autres opiacés, elle empêche ceux-ci de produire leur effet.
Résultat : si vous êtes dépendant, votre corps réagit comme s´il était brusquement privé d´opiacé, et vous faites une crise de manque.
Vous devez attendre au minimum 6 à 8 heures après votre dernière consommation (et l´apparition des premiers signes de manque) pour prendre de la BHD.
En revanche ce n'est ni un anxiolytique ni un anti-dépresseur.
Je connais très bien la situation dont tu parles où la tentative de diagnostic de la "pathologie" repose sur une-des thérapie(s) empirique(s). Cela peut conduire à des situations redoutables. Avant de considérer qu'une personne souffre de troubles d'épilepsie, il existe une batterie de tests et d'examens à faire avant de se lancer dans un traitement parfois addictif et pénible à supporter.
De plus certains traitements peuvent masquer les effets d'un problème sans pour autant résoudre les causes. Et ils s'avèrent parfois inefficaces à long terme. C'est le tâtonnement et une démarche à l'aveuglette.
Je pense que la personne concernée doit expliquer et expliciter au mieux les troubles ressentis, en faire des descriptions orales, écrites, datées, précises sur leur durée, le contexte, etc... Mais il faut reconnaître je crois l'importance des "pathologies croisées" qui rendent le diagnostic difficile.
C'est la galère dans bien des cas... et on finit par croire à tord qu'on est un "tableau pathologique". Une démarche que j'ai pu expérimenter dans un contexte différent du tien, c'est l'arrêt de tout traitement. Et de repartir à zéro, "médoc après médoc" ; sans résultat en temps donné, abandon du traitement pour s'orienter sur autre chose...
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Dernière modification par MarlaSinger (09 mars 2009 à 00:38)
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