Sevrage à  la dure...dur dur

ah ba voilà  de bien bonnes nouvelles au retour de mes vacances. Je suis heureuse pour toi.

Bon maintenant la grande question c'est comment vais-je pouvoir arrêter le seroplex ? Car je ne veux pas en prendre trop longtemps. Mais vais-je garde cette sérénité même sans ?

Tu as tout ton temps. Ne te prends pas le choux.

Rico.

moi je voudrai m en défaire mais tres dur j attend avec impatience mon rendez vous au centre  add sans codeine tu transpire tu a malpartout  tu deprime tu n a plus de force enfin l angoisse

moij ai change de vie total de departement de travail et je me remarie  et je narrive pas a decrocher

je ne comprend pas ? tso methadone ?  je suis pas la pour deballer ma vie mais je voudrai quand meme dire quelquechose je suis belge d origine et il faut savoir qu en Belgique tout les medoc son payant on ma donner les premiers dafalgan codeine suite  la perte d un doigt il y a 20 ans a ce moment la codeine es en vente libreen Belgique  mais a 10 euros la boite il ma ete facile de m en accoutume  j ai aussi des maut de tete oftalmique  donc chez le medecin toujour en Belgique  on te dirige vers la codeine qui surtout vabien et ne coute rien a l etat de merde toujours en Belgique alors qu il existe d autre traitement sans depandence mais beaucoup plus cher  meme pour un mal de gorge on te prescrivai le sirop  actifeed comment apres tout ca  ne pas devenir dependan ! je suis venu en France pour essayer de soigner mon epousedu cancer qu on laisser mouriren Belgique  parce que la mutuele belge n intervenai pas sur certaine chimio j ai reussi a prolonger sa vie de trois ans  grace a la securite social francaise pour m aider a tout caj ai eu acces a la morphine ce qui ma permis de m occuper de mon epouse 24 sur 24 en plus de mon travail j ai pris des doses terribles mais je ne dormai plus et toujour speed et mtn j ai  retrouve le codeine et je voudrai bien m en debarrasser  depuis trois que  j ai changer de vie et de departement j en parle a mon medecin traitant  d abord je lui explique que les dafalgan codeine me font gonfler a vue d œil et mal au foie  il m affirme que la codeine n existe pas sans paracetamol il me dit d aller voir un psy il me prescri des antidepresseur tout ca pour en arriver a 12 boite de dafalgan codeine par mois c est en cherchant moi meme que j ai trouver votre site avec plein d explication et aussi j y ai decouvert qu il existais des centres specialise pour ca que je me suis enpresser de prendre un rendez vous tout ca pour dire qu on ai dirriger pas des cons que sa soit ici ou allieur et que dans aucun pays on ne se soucie de la sante des gents

Bonsoir tout le monde !
vendredi alors que tout avait l'air de bien aller on s'est engueulé avec mon homme et du coup angoisses et idées noires sont revenus. C'est la que je vois l'effet syndrome prolongé...
Du coup migraines etc... envie de courir a la pharma...
Du coup j'ai appelé mon médecin et elle m'a proposé de monter le seroplex a 20mg pour éviter ce genre de crises. Ce que j'ai fait de suite. Je le supporte bien. Et comme je sais que ce médoc est une aide etpas une solution je me suis rappelée cette sérénité que je souhaite tant garder.
Tout ça pour dire qu'effectivement le sevrage c'est long... quand on croit en être sortie, d'un rien on retombe.
Mais je tiens le coup ! AD + vitamines et croire en mes projets, croire en moi tout simplement. Toute une thérapie !
Merci pour vos encouragements !

@ walter white
pour èviter le paracétamol je me suis fait prescrire du Dicodin. C'est de la dihydrocodéine et plus confortable car plus fort et plus efficace (je trouve).
Mais dans ton cas si vraiment tu veux arrêter vu la longue consommation que tu as eu je te conseillerai plus d'aller voir un addicto. Appelle au moins ! La codéine est une drogue dur et devrait etre traitée comme tel.
Courage !

Ofée a dit : monter le seroplex a 20mg

Toi qui voulait l’arrêter... :)

Tout mes encouragements et félicitations.
Si si...

Rico.

que veut tu dire par suivi ? je pourrai continuer a travailler? le traitement dure longtenp?

Bonjour Ofée,

Ton expérience m'a beaucoup touchée et interpelée.

Je voulais simplement te féliciter pour ton parcours.
Bravo à  toi pour tout ce que tu as traversé, tu peux vraiment être fière de toi!!

Si je peux me permettre je voulais te dire que tu as tout ton temps pour stopper le seroplex, chaque chose en son temps tu as déjà  fais beaucoup d'efforts, tu as donné pas mal je trouve.
En ce qui me concerne, j'ai tenté trois fois d'arrêter trop tôt et hop retour à  la case départ... il a fallut que j'attende d'être prête et de le faire plus progressivement et sur une plus longue période pour que la quatrième soit la bonne.

Encore bravo!

B-Life

merci moi j y vais lundi

Merci beaucoup
Oui je suis contente de mon parcours ! Mais je reste vigilante quand même

Bonjour à  tous et toutes,

Voilà  ce que je postais sur ce site et j'en suis encore à  me demander comment décrocher de la codéine.
"
J'ai souffert de migraines durant de nombreuses années. Les crises duraient jusqu'à  72 H. Je pensais alors que tout s'arrangerait par la suite même si mes crises n'étaient soulagées par aucun médicament.
Mais, depuis longtemps, lesdites migraines se sont, selon les médecins, transformées en "céphalées de tension". J'ai eu recours à  divers traitements jusqu'au jour, où l'on m'a prescrit du KLIPAL CODEINE. Là , je revivais... Je dois dire que, contrrairement à  ce que je lis, ici et là , si mes maux de tête étaient intenses et récalcitrants et étaient soulagés par la prise de codéine, je n'avais pas les autres effets décrits (impression d'être sur un petit nuage, envie de dormir etc...). Voilà  deux ans, j'ai accepté d'être hospitalisée pour sevrage de codéine car les médecins me disaient que c'était la prise de codéine qui amenait la crise suivante. Je suis restée 1 mois 1/2 en clinique. Mais, malgré divers traitements, les douleurs ne s'estompaient pas. Ce fut long et, à  la fin de mon hospitalisation, on découvrit un traitement qui fonctionnait bien sur moi. Je suis donc sortie avec des maux de tête supportables (je devais prendre alors du Dafalgan). Malheureusement, quelques jours après mon retour à  la maison, j'ai eu des effets secondaires tels qu'il a fallu arrêter immédiatement le Zyprexia.
Et j'ai lutté tant que j'ai pu en me contentant de paracétamol. Je dois préciser que, depuis plus de 4 ans, j'ai l'un de mes enfants qui est gravement malade et son état se dégrade. Au quotidien, je souffre terriblement. Et, pour arriver à  tenir bon, à  vaquer à  mes occupations (j'en ai beaucoup), l'on m'a prescrit du DAFALGAN CODEINE. Donc retour à  la case départ et sans que cela me soulage vraiment. Mais, au moins, je peux "faire semblant". Contrairement à  tous les témoignages, je n'ai jamais ressenti de bien être, d'impression de détente avec la codéine. Mais mon fils a besoin que je sois forte. Je me réveille chaque matin, ou plutôt dans le courant de la nuit car je dors très peu et mal, avec de fortes céphalées qui ne cèdent souvent que dans la soirée. Je suis suivie par un psychiatre qui me prescrit depuis longtemps du LAROXYL 25 (1 le soir mais j'en ai eu jusqu'à  3) pour tenter de calmer les douleurs + un anxiolytique. Rien y fait. Je sais que je suis stressée, incapable de lâcher prise (je pleure peu, ne crie jamais, etc...). Ma vie est un enfer mais je ne sais comment me débarrasser de ces douleurs. Ma vie n'a pas été un long fleuve tranquille, loin s'en faut. Mais avec la maladie de mon enfant, je pense mener le plus dur "combat" qu'il m'ait été donné... J'aurais souhaité savoir comment je pourrais me débarrasser à  la fois de mes céphalées et de ce "poison" qu'est la codéine.
MERCI et bon courage à  tous ceux et toutes celles qui sont dépendants de ces médicaments.

Bonjour Ophée,
Au risque de te choquer, je me demande si tu n'aurais pas mieux fait de te faire prescrire un TSO, de te stabiliser et d'éviter toutes ces galères et ces mauvais feelings que tu ous a décrits -et dont tu ne sembles pas être sortie, du moins psychologiquement. En fait, je crois que si l'on a un mental de toxicomane, il faut l'accepter même si c'est dur de se dire qu'il nous faut toujours un truc chimique dans la tronche pour profiter de la vie. Oui c'est chiant, pas facile à  admettre. Mais peut-être mieux, au final, que de galérer entre crises de manque, rechutes culpabilisatrices et perches trop courtes...
Bon, ceci dit, tu as réussi, alors j'ai sans doute tort.
Amicalement,
C.

mimi76 a écrit

Comment j'ai pu en arriver là ! la personne avec qui je vis depuis 4 ans ne connait pas mon états de dépendance. je n'ose pas lui dire j'ai trop honte. lui qui pense que je suis une battante comment admettre qu' en faite  j'ai un problème. Je me sens très seule.

Vivre dans le mensonge ce n'est pas bon ! Je dirais même que c'est aussi mauvais que d'avaler des cachets tout en sachant que cela nous fait du mal. Peut-être que pour toi, la première étape pour arrêter, c'est d'en parler tout simplement. Mettre des mots sur ces faiblesses, c'est apprendre à  les affronter. Ensuite vois avec ton conjoint pour prendre rdv dans un centre spécialisé.
Bon courage ! Tu n'es pas seule. :)

mam221209 a écrit

J'aurais souhaité savoir comment je pourrais me débarrasser à  la fois de mes céphalées et de ce "poison" qu'est la codéine.

En tant que grande migraineuse je te comprends plus que bien. La codéine augmente les céphalées donc c'est une grosse erreur de la part des médecins d'en prescrire. Il existe tout un tas de traitements autre qui soulagent bien. Apparemment tes céphalées sont surtout des céphalées de tension, dû au stress lié à  tout ce que tu dois endurer. Donc tant que ton environnement sera aussi anxiogène, tu auras toujours ces douleurs... A moins que tu n'arrives à  prendre les choses avec plus de recul. Oui je sais c'est facile à  dire. Mais un bon suivi psychologique + des séances de relaxation ou de sophrologie + un traitement efficace mais moins additif que la codéine, et tu arriveras peut-être à  t'en sortir. Tu dois apprendre à  être forte, à  ne pas laisser ton corps te diriger comme cela. Et si ce corps est trop douloureux de toute façon, tu peux aussi consulter un centre antidouleurs pour apprendre à  gérer tout cela.
Je continue de te lire.
Bon courage.

Caïn a écrit

Bonjour Ophée,
Au risque de te choquer, je me demande si tu n'aurais pas mieux fait de te faire prescrire un TSO, de te stabiliser et d'éviter toutes ces galères et ces mauvais feelings que tu ous a décrits -et dont tu ne sembles pas être sortie, du moins psychologiquement. En fait, je crois que si l'on a un mental de toxicomane, il faut l'accepter même si c'est dur de se dire qu'il nous faut toujours un truc chimique dans la tronche pour profiter de la vie. Oui c'est chiant, pas facile à  admettre. Mais peut-être mieux, au final, que de galérer entre crises de manque, rechutes culpabilisatrices et perches trop courtes...
Bon, ceci dit, tu as réussi, alors j'ai sans doute tort.
Amicalement,
C.

Tu ne me choques pas, mais je te trouve plutôt défaitiste !
Toutes les galères et les mauvais feelings m'ont rendu plus forte. Elles m'ont mis face à  mon addiction, face à  moi-même. Une vraie bataille ! Aujourd'hui je suis fière de l'avoir remporté. J'ai toujours mes migraines, donc toujours envie de passer à  la pharmacie... Mais bon, je tiens le coup. Mon médecin est prévenu de mon attrait pour les opiacés et il sait qu'il ne dois pas m'en prescrire, c'est déjà  une bonne barrière ! Accepter son mentalde toxico... ouais... mais choisir d'aimer la vie et qui on est au naturel, ça vaut le coup aussi, non ?
J'aime toujours passer du bon temps, mais je vois les choses différemment. Mes projets me tiennent debout ! Mes projets, mes passions, mes hommes, c'est ma nouvelle came !
Ensuite effectivement je me suis aussi rendue compte que j'avais quand même quelques ... faiblesses psychologiques à  travailler... une longue histoire, pour laquelle je suis obligée de prendre du seroplex à  20mg. J'ai essayé d'arrêter celui ci aussi mais les angoisses reviennent donc je suis patiente.

Merci Richard Horpe, tes propos m'ont beaucoup touchée. Courage à  toi également !

Merci Ophée ! Je me suis rendue au Centre antidouleurs de l'hôpital de ma ville. Mais j'ai été très déçue quant au discours tenu par le médecin qui m'a reçue. Pas de solution miracle si ce n'est diminuer la prise de codéine. Selon lui, je souffrais de migraines qui se sont transformées en céphalées de tension. Pas grand chose à  y faire puisque je suis une psychothérapie.
Je suis d'accord avec toi quand tu écris que c'est mon corps qui parle. Mais impossible, malgré quelques séances de relaxation, de lâcher prise. Selon mon psychiatre, c'est ce que je dois apprendre en premier (le lâcher prise) mais je crains de m'écrouler alors que j'ai tant de responsabilités notamment envers mon enfant qui se bat contre une terrible maladie.
Je me réveille en pleine nuit souffrant déjà  terriblement. Et ce qui m'inquiète c'est que même la codéine ne me soulage pas alors.
Il n'y a que dans la soirée que souvent mes maux de tête s'estompent pour reprendre de plus belle au réveil.
Je suis très émotive mais n'exprime pas mes émotions qui restent en moi. Sans doute cela est dû à  une éducation très stricte. J'étais l'aînée et ai dû faire face à  nombre de problèmes comme le décès prématuré de mes parents. Et ma Vie n'a été qu'une suite de drames.
A quel traitement de substitution penses-tu ? Crois-tu que je pourrais être soulagée avec autre chose que la codéine puisqu'au fond cette substance induit une crise plus forte ? J'ai essayé de l'IXPRIM mais aucun effet. Merci d'avoir pris le temps de m'écrire et bon courage à  toi !

Bonne soirée à  vous toutes et tous !