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Dernière modification par Amaranthe (03 septembre 2014 à 17:46)
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-X- a écrit
Par contre, c'est sur que la CIA... Comme tu dis Amaranthe, c'plutot farfelu !
Mais j'ai entendu des rumeurs là dessus, sauf que ce n'est pas dan le but d'obtenir une arme de destruction, mais plus une substance utile pour le control mental ou les interrogatoirs.
Ouais "arme de destruction massive" ça sonne un peu comme "bombe nucléaire", j'ai mal choisi mes mots x). Les tests avec le LSD n'ayant pas pu donné les effets de manipulation mentale souhaités, il a très bien pu par la suite être envisagé comme arme de "destruction mentale" : en aliénant une population entière on la rend incapable de s'organiser pour combattre en cas de guerre. Quand on voit des choses comme le napalm ou Fat Boy, pourquoi pas un produit pour rendre taré le camp ennemi après tout...
Est ce qu'on a vraiment pensé à cet usage là du LSD je ne sais pas, mais les gens ont du soupçonné les américains d'avoir cette idée là en tête.
Après l'acide a vraiment été testé en vue de sérum de vérité ou de produit pour contrôler le mental des sujets. Carrément malsain. De chaque découverte ou invention l'homme parvient toujours à concevoir le meilleur comme le pire : de la poudre sont nés le feu d'artifice et le fusil, deux états d'esprit vraiment différents...
PS : A bas les chats, ces suppôts de l'enfer !
Dernière modification par Amaranthe (03 septembre 2014 à 18:55)
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Dernière modification par lalouve (03 septembre 2014 à 20:20)
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Dernière modification par Amarnath (03 septembre 2014 à 21:32)
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L'affaire du pont saint esprit :
Depuis des décennies, deux mystères n’ayant a priori rien en commun ont tous deux interpellé et laissé perplexes les enquêteurs les plus sérieux : celui de l’étrange et soit-disant « suicide » du docteur Frank Olson à New York en 1953, et l’intriguante vague de délires hallucinogènes survenue dans un petit village français en 1951.
Comme de nombreux récits sur internet et dans les journaux télévisés l’expliquent depuis 35 ans, l’on soupçonne depuis longtemps la mort d’Olson d’être le fruit d’une opération criminelle instiguée par le gouvernement, bien qu’aucun assassin ou mobile plausible n’ait pu être assurément identifié à ce jour. La crise de folie s’étant emparée du village méridional de Pont-Saint-Esprit décontenance les scientifiques depuis des décennies, et nombre d’entre eux balaient d’un revers de main les lourds soupçons pointant vers une sorte d’attaque secrète au LSD, simplement parce que les moyens et mobiles d’un tel crime échappaient alors à l’attention du public.
En 1995, j’ai commencé à enquêter sérieusement sur la mort du docteur Frank Olson, un bactériologiste états-unien exerçant au centre ultra-secret de guerre biologique de l’U.S. Army à Fort Detrick, dans le Maryland. J’étais alors loin d’imaginer que ma découverte d’un crime derrière la mort d’Olson coïnciderait à ce point avec les horribles événements de Pont-Saint-Esprit en août 1951.
Mon livre de 900 pages Une terrible erreur : le meurtre de Frank Olson et les expérimentations secrètes de la CIA durant la Guerre froide, détaille de manière pointilleuse la façon dont les deux événements se téléscopent. De récents rapports faisant état d’un « important scandale diplomatique et politique émergent et potentiellement dommageable pour les relations franco-états-uniennes », en relation avec l’explication et la documentation de mon livre concernant l’intoxication collective de Pont-Saint-Esprit, m’ont incité à rédiger cet article pour ceux qui souhaitent en apprendre davantage sur ces deux événements.
L’étrange vague de folie de Pont-Saint-Esprit affecta près de cinq cent personnes, provoquant directement la mort d’au moins cinq d’entre elles et deux suicides. Au cours de la cinquantaine d’années suivante, l’incident a successivement été attribué soit à un empoisonnement à l’ergot de seigle, à savoir l’ingestion par des villageois d’un pain infecté par un champignon hallucinogène, soit à un empoisonnement au mercure. Une vaste majorité des scientifiques crédibles ayant examiné la question ont, jusqu’il y a peu de temps, conclut à une cause toujours inconnue.
Un journal français de l’époque décrit ce drame incongru : « Ce n’est ni du Shakespeare, ni du Edgar Allen Poe. C’est, hélas, la triste réalité dans tout Pont-Saint-Esprit et ses environs, où de terrifiantes scènes de délires hallucinatoires se déroulent actuellement. Des scènes tout droit sorties du Moyen-Age, saturées d’horreur et de pathos, parcourues d’ombres sinistres. »
Un bref article de Time Magazine, puis un important quotidien d’information états-unien entretenant des liens très étroits avec la CIA, en faisaient quant à eux la description suivante : « Parmi les individus affectés, les délires allaient croissants : les sujets se jetaient frénétiquement sur leur lit, hurlant que des fleurs rouges s’ouvraient depuis leur corps. » D’autres commentateurs dépêchés sur place décrivaient des scènes de défenestration, d’hommes et femmes se dénudant et courant dans les rues dans le plus simple appareil, d’enfants se plaignant que leur estomac soit infesté de serpents entrelacés
Peu après l’incident, en septembre 1951, des scientifiques écrivant pour le très respecté British Medical Journal déclarèrent que la « vague d’empoisonnements » était le résultat d’une intoxication à l’ergot de seigle. Cette explication ne se basait cependant que sur les conclusions des biochimistes envoyés sur place par les laboratoires Sandoz situés non loin de là , à Bâle (Suisse). Parmi les membres de ce contingent figurait le docteur Albert Hofmann, premier scientifique à avoir synthétisé le LSD le 16 novembre 1938.
Au moment de la visite du groupe de Sandoz à Pont-Saint-Esprit, seuls quelques scientifiques dans le monde, pas plus de huit ou dix, étaient informés de l’existence de LSD de synthèse. En outre, et c’est là un fait aussi, voire plus important, pour ainsi dire personne dans la France de 1951, en dehors de quelques responsables chez Sandoz, ne savait que cette société menait des activités secrètes et en étroite collaboration avec la CIA.
Sandoz fournissait non seulement d’importantes quantités de cette drogue à la CIA, mais conseillait également le service sur ses utilisations potentielles, défensives ou offensives, notamment en vue des expérimentations secrètes aux Etats-Unis et en Europe. Pour résumer la longue explication développée dans mon livre, l’intoxication de Pont-Saint-Esprit était le résultat d’une expérience menée conjointement par l’Army et la CIA dans le cadre du Projet MK/ULTRA. C’est en effet précisément le département que le Docteur Frank Olson dirigeait, la Division des opérations spéciales de Fort Detrick, qui supervisa l’expérience française..
Il me paraît important de préciser que l’intrigue générale autour du mystère de Pont-Saint-Esprit m’est apparue remarquablement nette et cohérente, mais également assez choquante, et je ne suis pas facile à choquer. Après une enquête plus approfondie, tout le scénario s’est révélé être encore plus remarquable dans ses détails subtils et sa nature manifeste.
Même aujourd’hui, un site internet du département de la Justice avertissant des dangers du LSD déclare qu’au début des années 1950, « la Sandoz Chemical Company alla jusqu’à promouvoir le LSD comme arme chimique secrète potentielle auprès du gouvernement U.S. Leur principal argument était qu’une petite quantité de cette drogue versée dans le système d’approvisionnement en eau, ou pulvérisée dans l’air est susceptible de désorienter et rendre psychotique toute une division militaire, la rendant inoffensive et incapable de combattre. » Sans parler, bien entendu, d’une bourgade ou d’une ville entière.
De fait, en creusant plus en avant dans l’histoire, je découvris un jour des documents secrets du FBI révélant que la Division des opérations spéciales de Fort Detrick avait, un an avant l’expérience de Pont-Saint-Esprit, pris pour cible de réseau souterrain du métro new-yorkais dans le cadre d’une expérience similaire. Comme l’indique une note du FBI datée d’août 1950, « Les expériences de guerre biologique devant être réalisées par des représentants du Département de l’Army dans le réseau de métro souterrain new-yorkais en septembre 1950 ont été repoussées jusqu’à une date indéfinie. ».
Lorsque je discutai de cette note avec des anciens biochimistes de Fort Detrick, ils m’informèrent confidentiellement que les expériences de New York « étaient repoussées jusqu’au terme de l’expérience devant être menée en France. ». Un ancien scientifique de la Division des opérations spéciales ajouta : « Les résultats globaux de l’expérience dans le Sud de la France ont été positifs, mais nous avons également constaté un effet indésirable, ou ce qu’il conviendrait maintenant d’appeler une réaction du "cygne noir". Nous n’avions absolument pas prévu que plusieurs personnes mourraient. L’expérience ne devait pas aboutir à cela, alors elle a été renvoyée au bureau d’étude. »
Les mêmes scientifiques confirmèrent que suite à l’expérience de Pont-Saint-Esprit, la Division des opérations spéciales de Fort Detrick se rendit de nouveau à New York en 1956 pour réaliser les expériences dénommées opérations Big City et Mad Hatter (« le cinglé »). Il s’agissait de projets secrets impliquant la pulvérisation de produits chimiques sous forme d’aérosols au travers du pot d’échappement d’une automobile conduite autour de New York par la CIA et des scientifiques de l’Army.
Avant cela, en 1952 et 1953, des expériences plus limitées furent menées dans des wagons du métro new-yorkais par George Hunter White, un agent du Bureau fédéral des narcotiques travaillant secrètement comme agent de la CIA. À au moins deux reprises, White fit détonner des engins à aérosols spécialement conçus et remplis de LSD. La CIA détruisit les rapports écrits de White traitant de ces expériences en 1973. En remontant un peu en arrière dans le temps, je découvris la véritable cause de l’intoxication du Sud de la France : une note d’un informateur confidentiel de la CIA qui m’avait été remise en 1999 constitua la première preuve solide en ma possession indiquant que quelque chose n’était pas clair à propos de l’incident.
Ce rapport, daté de décembre 1953, relatait une rencontre entre l’informateur non identifié et un responsable de la Sandoz Chemical Company à New York. L’informateur écrivait qu’après « avoir bu plusieurs verres », le responsable de Sandoz éructa : « Le "secret" de Pont-Saint-Esprit était que le pain n’était pas du tout en cause. », avant de poursuivre : « Pendant des semaines les Français assignèrent nos laboratoires à des analyses de pain. Il ne s’agissait pas de l’ergot de seigle, mais d’un composé de type diethylamide. » Le responsable entendait bien entendu par là qu’une drogue synthétique était à l’origine de la vague de folie de Pont-Saint-Esprit.
Selon son propre rapport, l’informateur de la CIA demanda alors : « Si la substance n’était pas dans le pain, alors comment est-elle arrivée dans l’organisme des gens ? »
À cela le responsable répondit : « Une expérience. » Soudainement préoccupé, l’informateur interrogea : « Une expérience ? ». Et le responsable de Sandoz rétorqua de façon dérobée : « Peut-être le gouvernement français, » sachant que l’informateur états-unien connaissait probablement bien l’identité des véritables auteurs de l’expérience. Ce fut, en somme, une grande scène de comédie politique et de subterfuge qui se conclut par ces mots du responsable de Sandoz : « Une raison secondaire expliquant ma présence ici aux Etats-Unis est que je dois me débarrasser de notre LSD. Si la guerre éclate notre LSD disparaîtra. ».
L’indice que je découvris ensuite, dans la chaîne des preuves, était un document non daté de la Maison-Blanche faisant a priori partie d’un dossier plus large qui avait été remis aux membres de la Commission Rockefeller formée en 1975 par le président Gerald Ford pour enquêter sur les pratiques abusives de la CIA. Le document contenait les noms de deux ressortissants français ayant secrètement émargé à la CIA, et faisait directement référence à « l’incident de Pont-Saint-Esprit », reliant en outre un ancien expert de la CIA en guerre biologique et le chef de la Division des opérations spéciales de Fort Detrick. Ce document, conjointement à un autre, constituait d’après moi la preuve irréfutable.
En 2005, un reporter du quotidien Baltimore Sun, Scott Shane, qui travaille maintenant au New York Times, écrivait : « L’[U.S.]Army n’a aucun dossier sur MK/NAOMI ni sur la Division des opérations spéciales [de Fort Detrick]. » Lorsque Scott, puis moi-même, avons demandé les dossiers pour les deux, l’Army répondit qu’elle « ne pouvait en trouver aucun ». En 1973, la CIA détruisit toutes ses archives sur MK/NAOMI et son travail avec la Division des opérations spéciales de Fort Detrick.
L’une des raisons évoquées pour cette destruction, expliqua la CIA, était que « les gens ne comprendraient pas ou interpréteraient mal les raisons ayant poussé l’agence à réaliser beaucoup de ses projets. ». Lorsque le reporter Shane pressa un ancien officier de haut rang de la Division des opérations spéciales d’évoquer les projets antérieurs de la division, Andrew M. Cowan Jr. répondit « je ne donne tout simplement pas d’interview sur ce sujet. Cela doit au moins rester classifié pour éviter que ces informations se retrouvent entre les mains d’un agité. »
(Selon la presse états-unienne, suite à la parution du livre d’Hank Albarelli, Erard Corbin de Mangoux,
directeur de la DGSE, aurait adressé une demande d’explication au départment d’Etat.)
Plus haut dans l’article, j’ai écrit que l’expérience de Pont-Saint-Esprit me choqua au premier abord. Par bien des aspects, j’éprouve toujours ce sentiment. Mais peut-être pas pour toutes ces raisons que beaucoup de lecteurs imagineraient. Tout d’abord, je suis choqué lorsque je lis sur internet des réactions à ce sujet tel qu’il est traité dans mon livre, comme par exemple « Et alors, au moins ils ne l’ont pas fait dans une petite ville d’Amérique », ou pire encore, « Pourquoi n’ont-ils pas choisi une ville du Mexique ; c’est plus proche ? ».
Je suis attristé de constater que certains États-uniens sont devenus blasés et insensibles aux actions arrogantes et horribles de la CIA par le passé. La torture est maintenant approuvée aux États-Unis par une grande partie de la population. Certains États-uniens mieux intentionnés affirment prier pour un retour à « Un pays dont le gouvernement honorait, respectait et observait les droits humains, et les lois et traités internationaux », protégeant les prisonniers de guerre, les combattants ennemis et les prisonniers, or en vérité tout examen objectif et sérieux de l’histoire de la Guerre Froide aux États-Unis met systématiquement en lumière de nombreuses instances d’horrible maltraitance des détenus et prisonniers étrangers.
Le Projet ARTICHAUT de la CIA, mis en oeuvre au cours des années 1950 et 1960, a soumis de nombreux prisonniers étrangers et d’agents doubles présumés à des traitements barbares, dont des électrochocs, des lobotomies et des chocs d’insuline provoqués par des drogues. D’innombrables citoyens états-uniens disparurent des rues de New York et San Francisco pour être victimes d’expériences secrètes uniquement parce qu’ils faisaient partie de groupes minoritaires ; pauvres, paumés, criminels ou perçus comme tels, prostitués.
Nombre d’entre eux subirent des séquelles physiques et mentales permanentes en conséquence de ces expériences. On administra du LSD à près de 6 500 soldats états-uniens, à leur insu, dans les années 1950 et 1960. Beaucoup parmi eux ont dû vivre en permanence avec ces souffrances, d’autres se sont suicidés. En 1953, un ressortissant étranger fut emprisonné et torturé huit mois durant, au Panama, par la CIA simplement parce qu’il était soupçonné de collaborer avec des responsables du renseignement français. Par la suite, il est bien probable que la CIA ait assassiné ce même homme après qu’il eût anonymement révélé à un journaliste qu’il connaissait l’identité du commanditaire de l’assassinat du président John F. Kennedy.
Bon ce journaliste US, a beaucoup enquêté, en a fait un livre, mais c'est "sa" théorie, appuyé par certains documents (visible dans son livre je présume)
Je n'ai pas encore retrouvé l'autre théorie bien plus terre à terre, je continue de fouiller dans mon bordel :p
LLoigor
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Je n'ai pas encore retrouvé l'autre théorie bien plus terre à terre
Pour moi, il s'agit de farine contaminée. De rares itw donnent un aperçu du TR ayant les caractéristiques d'un mal bien connu et détaillé depuis le moyen-âge ou l'antiquité : l’ergotisme aigu. Pareil pour les troubles constatés : convulsions, danse de Saint Guy et tout le tremblement, avec plus des vrais hallus au sens stricte contrairement à celles du LSD.(+ bouche sèche, troubles digestifs, tachicardie, ça ne ressemble pas au LSD) A l'époque, une détection par analyse sanguine de cette intoxication n'était pas imaginable, pas mieux pour d'autres mycotoxines. Normal qu'ils n'aient rien trouvé dans ce sens. Certains font du fait que les analyses sanguine n'ont pas détecté de mycotoxine un argument pour balayer cette théorie.
Ensuite pour replacer l'histoire dans son contexte, à une époque, c'était pas politiquement correct de montrer qu'après avoir mangé son pain noir pendant la guerre, le français prenait de gros risques avec du pain fait avec des farines perraves. Ce mal ne pouvait venir de l'intérieur, si vous voyez ce que je veux dire. C'était admettre une faiblesse agricole inavouable. La pourriture intérieure d'une décadence qui touche au plus sacré : le pain et nos champs.
Maintenant, cette histoire resurgit à chaque fois qu'un livre, une série ou un film sortent. Comme souvent quand une part de mystère demeure. (de nos jours on serait vite fixés surtout avec les moyens de l'INRA.)
Conclusion provisoire[modifier | modifier le code]
En définitive, l'affaire du pain maudit de Pont-Saint-Esprit conserve, à ce jour, tout son mystère10.
Cependant, pour des chercheurs au laboratoire de toxicologie de l'INRA, Isabelle Oswald et Olivier Puel, qui étudient les mycotoxines, les « symptômes des habitants de Pont-Saint-Esprit, hallucinations et signes de vasoconstriction, font penser à une crise d'ergotisme ». Si ce type d'intoxication devrait être rare dans les pays développés grâce à l'application de règlements stricts, elle tue encore, comme par exemple au Kenya, en 2004, où 100 personnes sont mortes à cause d'une consommation de maïs contaminé par des aflatoxines11.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_pain_maudit
Après si on veut chercher des poux à la CIA, rien de plus facile... mais sans révéler de secret d'état, si jamais ils sont derrière, balancer du LSD sur ce village n'est certainement pas le pire qu'ait commis cette agence.
Dernière modification par Mister No (04 septembre 2014 à 17:37)
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LLoigor a écrit
De dépression respiratoire surement (vu que c'est un des effets d'une surdose de LSD).
Et certains animaux cobaye d'expérience avec du LSD a haute dose, sont mort suite a des problème de respiration, puis ensuite arrêt cardiaque bien entendu.
(Il y a aussi peut être un risque d'infection mycologique, car dans certaines expériences (glauques, comme avec les animaux, notamment celle avec l'éléphant "tusko") ou du LSD en quantité était injecté, il était accompagné de pénicilline, donc peut être que ...)
LLoigor
c'est bizarre cette histoire d'infection fongique, si le produit est pure, juste la molecule je ne vois pas pourquoi il y aurait une infection ou une sensibilite aux champi??
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