Bonjour , bonne année a tous
Je vous explique et gros mon parcours :
En 2010 je subie une Opération de l estomac pour une obésité, suites a des douleurs on me prescrit 2 Ixprim 3 fois par jours .
Sauf que les dosages au bout d'un moment ne me suffisait plus, je suis monter jusqu"à pratiquement deux boites par jours . Des fois même je me suis retrouvée à prendre pratiquement 2 boites et demi par jours .
En 2011 Je tombe enceinte de mon deuxième enfant , je demande de l'aide a mon médecin généraliste pour arrêter sans même lui dire que je suis enceinte, qui me dit que c est rien pour palier au
sevrage qui pour lui ne devrait pas avoir lieu, il va me prescrire de Léxomil à la place en cas ou j'aurai du mal a dormir et arrêter d'un coup l'Ixpim. Au bout du deuxième jours , je me retrouve dans un état limite comateux ; mon homme avait fouiller partout et avait trouver le pourquoi du comment j'étais dans cet état , je lui expliqua que j'avais pris cela car je continuais à prendre de l'Ixprim malgré la grossesse ; mais que je voulais arrêter et que c'est donc pour cela que je prenais Léxomil ; car je ne supportait plus de faire des cauchemars le peu que je dormais , d'avoir les jambes qui partaient dans tout les sens d'un coup , j'avais même appeler cela des réflexes musculaires . Et que aussi que les effets du
sevrage me donnaient des sueurs froides , et tellement fatiguée .Il appela donc le samu qui m’emmena dans un hôpital plus proche qui était gérer que par des médecins du Samu , j'ai donc été transférer à la première maternité des environs, ce qui tombait bien vu que gygy bossait aussi là bas .
Une fois a l'hôpital ;je me réveille j ai des assistantes sociale et des psychiatres et addictologues et médecins autours de moi , j explique évidemment que je me savais accros mais que je pensais pouvoir y arriver seule juste pour me calmer nerveusement et me laisser dormir la nuit sans jambes qui partent dans tout les sens ,d'où
Lexomil , et que j'avais du trop en prendre .
Je fus donc hospitalisée et prise en charge , voir même chouchoutée .
J'ai subi des prises de sang , des échos pour voir l'état de mon foi ( pour le
Paracétamol qui est dans l'Ixprim ) , voir aussi comment se porte le bébé .
Grâce a eux j ai réussi à arrêter, j'ai mal dormis , hyper mal au ventre et diarrhée à volonté , sueurs froides , mes jambes s'exprimaient toutes seules des fois mes mains ou bras aussi , au bout d'à peine une semaine d’hôpital je suis ressortie en forme .Je me demande même si ils n'auraient pas mis autre chose dans la perfusion de réhydratation .Le gygy était heureux car ni lui , ni les addictologues ne savaient quels risquent encourait le bébé , et que je n'avais pas arrêter , le bébé aurai pu avoir un manque et
sevrage dans les jours suivant la naissance . En gros pour mon bébé ( plus que pour moi à l'époque ) j'avais de quoi me motiver .
En 2013, j'ai eu un mal de dents horrible , le dentiste me prescrit Ixprim avec des antibiotiques, et sauf que j'avais tellement de douleur souvent je retombe dedans en moins fort .
Chat noir que je suis , septembre 2014 je subis un accident dans une fête foraine, pompiers qui m’amène dans un APHP Parisien , qui ces abrutis essaya de me remettre l'épaule dans son axe sans avoir fait de radio avant , j'avais eu une injection que
morphine, j'ai eu la sensation que tout mon corps se relâchait ; même avec ça et le masque à truc hilarant j'ai hurler . Bref , là on me fait une radio , on se rend compte que la tête de l'humérus était fracturée en miette . On me dit que je vais me faire opérer dans la nuit ou le lendemain matin .Les infirmières m'ont préparé pour le bloc puis le lendemain à la réunion des médecins 1 seul personne à dit non qu'on essai d’abord le thérapeutique et immobilisation totale du bras , on me vira donc gentiment avec une ordonnance de
morphine pour 7 jours , ainsi qu'une avec des Dolipranes à volonté, des trucs appeler Accupan sauf que c'est des trucs qui se met en injection (piqure ) , mais à l’hôpital on me dit que cela fonctionne plus rapidement par voie orale , ( je l'ai pris deux jours c'est infecte à avaler ) et du
Tramadol 50 mg 2 comprimés 3 fois par jours pendant 1 mois et l’immobilisation avec une simple atèle de mon épaule;le soir même je décida d'aller à la clinique d'où j'avais été opérée de l'estomac . Et la après multiple réexamen car l'autre hôpital n'a voulu ni à la clinique ni à moi me rendre mes radios et autres papier , ah si j'ai eu un compte rendu de opération de l épaule ( que je n'ai jamais eu là bas ) ,les urgences décidèrent de me garder jusqu'à l'arriver du nouveau chirurgien spécialisé dedans pour avoir son avis . pendant la nuit hospitalisation ça allait c'était plus supportable grâce à la
morphine qu'on m'administrait , plus les dose d'Ixprim que j'avais cachées dans mon sac .
Le lendemain le chirurgien redemanda un scanner dans le doute ,et la sentence tomba , je devais passer au bloc c'était obligatoire , mais pas dans cette clinique qui n'avait pas ce qu'il fallait , il me dit donc transférer dans sont autre clinique ou il pratiquait aussi . J'ai atterris dans une clinique très bourgeoise mais agréable .
Je me fis donc opérée , suis restée quelques jours à la clinique , avec
morphine en pompe , à eux je leur avais dis que je prenais de l'Ixprim mais qu'un seul comprimé 2 fois par jours mais qu'il fallait pas que mon mari le sache.Mais j'avais aussi ma cachette avec mes autres comprimés d'Ixprim que je prenais en plus .
Je suis sortie donc avec des ordonnances : radio, et le
Tramadol (je n'avais pas dis que j'avais déjà une ordonnance de l’hôpital où les pompiers m'ont déposer .
La j'ai vu que le
Tramadol fonctionnait mieux que l'Ixprim j'ai donc pris que le
Tramadol au début , sauf qu'au bout d'un moment il ne me faisait plus grand effet j'ai donc plus que doublé les doses . Sauf que sur les ordonnances on est écrit pour 1 mois , il m'en fallait d'autres ordonnances pour finir donc le mois sachant que la carte vitale dis quand on en as eu il y a temps de jours , ( je ne dirais pas comment j ai fais pour m'en procurer d'autres ordonnances )
Les mois passent , mon épaule me fait toujours mal , et la je ne sais pas pourquoi j'ai demandé à mon médecin traitant que les dosages me convenait plus et que j'étais très fatiguée , je m’endormais que ver 6h du matin pour me lever à 7h pour l'école des enfants , il me fit donc une ordonnance de
Lorazépam avec du
Tramadol 100 mg à prendre 2 comprimés 1 à 3 fois par jours , je ne sais pourquoi la pharmacie m'a donner que le dosage minimal : 2 comprimés 1 fois par jours , donc pas beaucoup de comprimés , je me suis donc vite retrouver à cours , heureusement j'avais mes autres ordonnances de 50mg et encore celle de L'Ixprim ; j'alternais donc , et quand j'avais plus rien il m'arrivait même en attendant le rdv avec le médecin de prendre soit du Codoliprane , ou du Prontalgine .Et le
Lorazépam ne fonctionnant pas je ne le pris pas pour l'instant.
Début décembre, en amenant mes enfants l'école ; je me suis réveillée dans le camion de pompier. D'après des gens j aurai fais comme une crise d'épilepsie, manquant d avaler ma langue et d après mon enfant e plus grand a tout vu j aurai eu du mal a respirer .
Après plusieurs heures oubliée dans le couloirs des urgences saignant de tout le visage car en tombant je me suis viander la tête dans les graviers , j ai eu droit a un scanner , un eeg et un ecg , aucun dextro ( je suis diabétique au passage )et aucun repas . Je suis repartie avec une ordonnance d Urbanyl 20mg pour l épilepsie .En aucun cas je leur ai dis le nombre de médicaments que je prenais par jour .Donc pour eux et d'après électro encéphalogramme c'était une crise d'epilepsie .
Mon homme persuadé que c est le stress de nos conditions actuelles de vie , plus le stress dù a mon épaule qui se consolide pas plus le
Tramadol qui m a déclencher ça ( il connait pas mes vraies doses) , évidemment je prend pas l Urbanyl car il me met dans le gaz et me fait dormir , c'est cool mais le matin impossible de me lever avant 17h .
J' ai été voir mon médecin traitant en lui disant que je voulais arrêter le
Tramadol ( sans lui dire les vraies doses que je prenais ) il me dit donc que le mieux est d’arrêter avec un autre médicament qui ne me fera pas sentir la fatigue du
sevrage grâce à la
caféine qu'il contient et pas de douleur grâce a a
codéine qu'il contient , il me donna donc de la
Lamaline 2 comprimés 1 à 3 fois par jours pendant 1 mois et me dit que du coup je ne sentirai pas le
sevrage du
Tramadol et qu'en plus il n'y aura aucun effet
sevrage sur la
Lamaline à a fin du traitement dans 1 mois . J'ai donc tester mais la
Codéine me calmait pas les douleurs , et la
caféine me donnait l'impression d'avoir bu la boisson qui donne des ailes .
Je me suis donc mise à mélanger
Lamaline et
Tramadol mais à grosses doses ( pouvant aller par jour de 8
Tramadol 50 mg ou 4 Comp 100MG selon les "stock" avec 6
Lamaline par jours )
Voyant les boites descendre et mon homme qui avait les doutes sur le
Tramadol ( je lui ai pas dis pour la
Lamaline ) il jetait dans les toilettes quand il en trouvait ; n'ayant plus d’ordonnance , je baissa les doses passant du jour au lendemain à 1 comprimé de chaque par jour .
Je n ai plus aucun moyen ni ordonnance ni rien pour aller me refaire prescrire des boites de
Tramadol , ni rien , mon mari me surveille et j en ai marre de ça , cette dépendance, je veux sortir de cet enfer .
J ai trouver quelques rescapés de
Lamaline et
Tramadol et
Lorazepam et mes Ubanyls en faisant mes cartons pour mon déménagement .
J ai donc entamé un
sevrage sec , J1 a été , dur mais ça allait , J2 bonjour l humeur mauvaiseet ainsi de suite , donc j ai décidé de prendre un jour sur deux ou trois 1
Lamaline et 1
Tramadol 50 ,ca mettait le temps mais au bout d'une heure je redevenais "gérable". Mais au moins j arrêterai seule , mais tout a une fin , plus de
Lamaline ni
Tramadol , les premiers jours je ressemble a une vrai bombe ambulante la moindre contrariété j explose , impossible de dormir ni même de me lever . J ai prévu les Smecta pour la diarrhée et Immodium. J ai essayer le
Lorazepam pour dormir en vain .Cauchemars , jambes "possédées " , et de pire en pire .
Donc la j'étais a trois jours sans rien . Il y a que la nuit ou c est l enfer pour moi et la journée je suis limite paranoïaque et très très irritable . En fouillant partout j ai trouver trois
Tramadol 50 j en ai pris que un et un Urbanyl espérant que je puisse dormir .
J aimerai vraiment avoir des conseils car je ne veux plus de tout ça , même l Urbanyl qui est soit disant pour l épilepsie de la dernière fois je n en veux plus , sachant ce que j ai vu que des fois le trop plein de
Tramadol peux causer des malaises ressemblants à l'épilepsie .
Expériences ou conseils sont les bien venu, je suis bloquée a la campagne sans permis de conduire et un homme qui surveille tout médicaments donc vraiment bloquer pour aller chercher l aide ailleurs .Et j'ai la peur aussi que les Assistantes Sociales s'en mêle , alors que mise à part cette ********* qui me pourrit la vie , j'ai de merveilleux enfants , un mari qui ne veux que mon bien , certes j'ai un passé 'enfance) lourd mais je ne pense vraiment pas que c'est cela qui me bloque . J'ai vraiment l'impression que quand on arrête notre corps s’arrête avec .
Merci de vos réponses , expériences , conseils ou autres .
Dernière modification par WinnieStop (04 janvier 2015 à 04:48)