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Ethan Russo
Les traces documentaires de l'histoire du cannabis dans le traitement de la migraine remontent au moins aux travaux de Sabur ibn Sahl en Perse il y a 1200 ans. L'usage médical populaire chez les sumériens et en Inde permet d'amener cette période aussi loin que 4000 ans en arrière. Avant sa prohibition sous de faux prétextes, l'usage antimigraineux du cannabis était très répandu en Europe et aux USA entre 1842 et 1942. Il est apparu que le cannabis affectait de nombreux mécanismes débouchant sur la migraine par le biais de son action anti-inflammatoire et en impliquant plusieurs systèmes de fibres à neurotransmetteurs (sérotonine, dopamine, et glutamate ) y compris l'interaction avec le système des opioïdes endogènes. De nombreuses victimes de migraine déclarent que le cannabis les soulage. D'après mon expérience documentaire, ce type de témoignage atteint environ le taux de 80%.
Pour en savoir plus sur le cannabis dans la migraine:
Russo EB. Cannabis for migraine treatment: The once and future prescription? An historical and scientific review. Pain 1998;76(1):3-8.
Russo EB. Hemp for headache: An in-depth historical and scientific review of cannabis in migraine treatment. J Cannabis Ther 2001;1(2):21-92.
Russo EB. Cannabis and Cannabinoids in Migraine Treatment. In: Grotenhermen F, Russo E, eds. Cannabis and Cannabinoids. Pharmacology, toxicology, and therapeutic potential. Haworth Press, Binghamton/New York 2001, in press.
Le Dr. Ethan Russo est neurologue et conseiller médical auprès de la compagnie GW Pharmaceuticals. Il est également Président du conseil d’administration de l’Association Internationale pour les Cannabinoïdes en Médecine (IACM), ainsi que Président de l’International Cannabinoids Research Society (ICRS).
Sinon, par chez nous, maintenant que la recherche redevient possible, c'est toujours bon de voire des équipes s'impliquer avec certainement peu de moyens pour un marché potentiellement énorme :
Science/Homme: une étude indique que le cannabis soulage certains patients souffrant de céphalées chroniques
Une étude incluant 139 patients souffrant de céphalées chroniques suggère que le cannabis peut soulager certains d’entre eux. Le questionnaire a été distribué et évalué par les scientifiques du centre d’urgence céphalées, hôpital Lariboisière, Paris, France. 63 de ces patients, c'est-à -dire 45,3 % connaissaient déjà le cannabis.
Parmi les 27 patients (19,4 % du groupe pris dans sa totalité) qui avaient essayé de traiter leurs maux de tête, 25,9 % ont indiqué une certaine efficacité, 51,8 % des effets variables et incertains, et 22,3 % des effets négatifs. Les auteurs ont conclu : « la consommation de cannabis est très fréquente chez les patients qui souffrent de maux de tête récurrents, mais l’efficacité est limitée. Moins d’un tiers des consommateurs de cannabis qui ont spontanément indiqué leur consommation ont été soulagés suite à l’inhalation de cannabis. » Etant donné la sévérité de la douleur et les effets limités des traitements habituels, de nouvelles options de traitement sont nécessaires et bienvenues.
Leroux E, Taifas I, Valade D, Donnet A, Chagnon M, Ducros A. Use of cannabis among 139 cluster headache sufferers. Cephalalgia. 29 novembre 2012. [in press]
Je trouve que ces résultats sont encourageants, car dans cette étude, pas de contrôle qualité des taux et ratios de cannabinoides et automédication à partir du marché noir... ça, ça me colle la migraine par contre.
En terme d'études, il est permis d'espérer mieux avec un plus grand nombre de patients et au moins pas de produits frelatés. Le contrôle des produits consommés devrait permettre de dégager des formulations à base de cannabis qui fonctionnement de manière optimum sur le plus grand nombre.
C'est assez paradoxal de constater qu'aujourd'hui la recherche médicale élabore une étude à partir des produits de rue bien crades. C'est mieux que rien en attendant plus.
Dernière modification par Mister No (24 février 2015 à 12:10)
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quand tu auras réduit ta conso
conso réduite ou pas, si un traitement avec un autre opi plus adapté à la situation est prescrit par la suite. Je crois que ce qui est très important, c'est de mettre en place un rythme précis de prises avec un dosage qui permet le confort comme le suggère prescripteur. A partir de ce moment, moins de montées et donc de descentes. Le besoin d'opi devient plus physiologique que psychologique.
A partir de là , ce sera plus facile d'envisager une diminution voire un sevrage.
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Dernière modification par NourEiny (25 février 2015 à 19:59)
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Dernière modification par delleur (28 février 2015 à 10:36)
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