Dernière modification par Alain (02 octobre 2009 à 19:22)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
357magnum a écrit
Salut léon ... Netoyeur . Tu auras probablement comme une grippe intestinale le landemain quand tu arreteras complètement les p'tits bout de subu , mais ça ne dura qu'une journée . Mais tu as pensée au manque psychologique ? Parce ce que ça va être le + dure a controler . Ceci dit si tu as déjà été confronté a cela avec l'alcool , tu en as peut être une certaine expérience .
A ton prochain post !
Laa journée est loin d'étre finis mais pour l'instant ça me semble toujours " plus que jouable" quant à l'experience avec l'alcool et la galette pendant X année j'en fumais facilement 15-20/jour
c'est effectivement à ça que je m'attends,peut être même en plus dur effectivement, ça me fera
ça en plus à gérer car je ne me considére pas encore totalement sevré de quoi que ce soit puisque bien souvent je dois quand même me faire violence pour ne plus toucher à quoi que ce soit surtout que souvent ça me passe devant mais jamais je n'ai retouché a quoi que ce soit et ferais tout pour qu il en reste ainsi (dans la tête) bien sur.
En tout cas merci à vous et de toute façon que ce soit en cas d'echec ou de reussite je viendrais décrire ce qu il se passe encore merci à tous et à bientot
PS : par rapport à ma peur grace à mon entourage et à de nombrreux posts sur ce forum j'ai maintenant beaucoup plus peur d'autres problèmes qui pourrait s'ajouter à ma collec
Hors ligne
leon a écrit
PS : par rapport à ma peur grace à mon entourage et à de nombrreux posts sur ce forum j'ai maintenant beaucoup plus peur d'autres problèmes qui pourrait s'ajouter à ma collec
Faut pas le voir comme des " problèmes " , mais comme un défi ! Sinon , c'est perdu d'avance ... Si tu as vraiment envie d'arrêter les opiacés bien sûre .
Hors ligne
michelpicolli a écrit
Quant à diminuer ses doses, c'est pas trop dur pour moi jusqu'à un certain palier (seuil biologique?) où quoi qu'il arrive une forme de manque se présente quand même. Et c'est là que se pose la question: vaut il mieux galérer pendant des semaines à se trainer un singe petit mais omniprésent et obsédant ou se remettre au lit en attendant que ça passe...
J'ai pas encore trouvé la clef meme si j'avance.
Si le prescripteur a une idée, mais j'ai perdu espoir d'en sortir sans devoir passer les affres, qui hélas sont vraiment prolongées par le TSO... je ne pense pas etre le premier à l'avoir ressenti.
D'ou la peur justifiée d'y rester toute sa vie, et c'est pas toujours sympa de devoir survivre avec ce paquet d'effets secondaires récurrents (retour du manque régulier, fatigue, addiction...).
Je suis confronté au meme probleme , et je me pose ces memes questions chaques jours
Hors ligne
LLoigor a écrit
michelpicolli a écrit
...Et c'est là que se pose la question: vaut il mieux galérer pendant des semaines à se trainer un singe petit mais omniprésent et obsédant ou se remettre au lit en attendant que ça passe...
...
D'ou la peur justifiée d'y rester toute sa vie, et c'est pas toujours sympa de devoir survivre avec ce paquet d'effets secondaires récurrents (retour du manque régulier, fatigue, addiction...).Je suis confronté au meme probleme , et je me pose ces memes questions chaques jours
Je crois qu'il y avait deux questions sur lesquelles mpicolli s'interrogeait. Mais l'une et l'autre trouvent à mon sens la même réponse : il faut essayer pour savoir. Si cela est supportable, c'est faisable. Je parle du sevrage.
Si ça n'est pas supportable, ça ne peut pas se faire ou se supporter sur le long terme. Donc tout dépend du potentiel de résistance ou les capacités d'endurance dans les moments difficiles et du ressenti de chacun par la suite. Ceci dit, il y a sûrement des personnes qui sont prêtes à souffrir plus que d'autres. De là à ce que ce soit "utile", je pense que c'est à chacun d'y répondre selon son ressenti et le bénéfice obtenu.
Comme je l'ai déjà écrit, je pense qu'il y a des usagers qui peuvent parfaitement se sevrer et d'autres qui ne pourront jamais se maintenir sevrés. Que ce soit pour des raisons physiques ou psychiques (voir psychologiques).
Ces propos n'engagent que moi, je parle juste par expérience perso. Je ne suis pas devin mais je pense que si j'étais resté sous méthadone pendant encore 10 ans, je n'aurai jamais fait de sevrage. Et je crois que si je devais reprendre de la méthadone aujourd'hui j'y resterai jusqu'à la fin de mes jours. Tenant compte du fait que je n'ai pas non plus une espérance de vie dans la moyenne. C'est donc un tout.
Mais ce n'est pas antinomique pour moi de dire néanmoins que si je devais refaire un sevrage aujourd'hui, je le referai. Pour l'instant j'en serais encore capable, ce qui me semble on ne peut moins sûr à l'avenir. Ceci dit, je n'ai pas non plus un recul phénoménal en ce qui me concerne. Dans un an, je vous dirai ça...
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par leon (07 novembre 2009 à 21:10)
Hors ligne
leon a écrit
Re je reviens pauser une question j ai un ami qui voudrait si ca fonctionne pour moi la meme méthode mais son parcours est très différent du miens il prends de l'héroine depuis 20 ans maintenant et se fix depuis 15 (intra)
donc d'ap^res ce qui est dit ici ca n'a pas l'air aproprié parcontre depuis dix ans maintenant il n'a jamais pris aucun substitut ni en intra ni d'aucune façon il n'a non plus jamais touché a aucune autre drogue donc jvoudrai savoir si il peut quand meme tenter le coup ou si du fait de son expérience s'est foutus d'avance
Pour ton ami , je pense que ça peut être possible , mais plutôt avec de la metha . S'il arrive a diminuer 5 mg par semaine , ça pourrait marcher !
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
leon a écrit
Mais bon le premier bilan c'szt qu'en plus d'être bo gossse jsuis bon quand même et que je m'aime toujours autant sinon plus :)
léon
ça va tant que l'égo demeure, le reste suivra
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
357magnum a écrit
je lui conseil la metha parce qu'il ne pourra pas se l'injecter , puis les effets apportent plus de comfort que le sub .
ça dépend des personnes! je connais des gens qui ont pas supporté la métha mais sont conforts avec le sub et inverse. pas de généralités!
Hors ligne
supersego a écrit
léon conseille à ton ami de rencontrer un médecin addictologue qui lui donnera les infos qui lui permettront de faire son choix.
J'ai aussi dit a Leon de dire a son ami d'aller dans un centre , mais tu sais ce que c'est , il y'a l'avantage du centre qu'il aura un vrai suivi , mais les inconveniens sont qu'ils y'a des délais parfois long avant un RDV , puis la primordonance est un fardaux pour celui qui travail !
Puis j'ai bien insister sur la motivation , parce la réussite d'un sevrage n'est qu'affaire de motivation , puis faut pas se voiler la face sur le marcher noir quoi ! Il existe et il arrange bien malgré l'illégalité et le fait qu'il va devoir s'autogerer .
En tout les cas , il n'y a aucun danger qu'il essaie ( dans un centre de préférence ) , c'est pas la metha qui va le tuer .
Hors ligne
Dernière modification par leon (09 novembre 2009 à 02:48)
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
Hors ligne
mikykeupon a écrit
Mais le 11, c'est férié, tu peux toujours tenter d'y aller, mais je croie que vous allez vous pt le nez....
ah bah evidemment si tu me prends par les sentiments...
Léon
Hors ligne
[ PsychoWIKI ] PAWS, le syndrome prolongé de sevrage |