Hommage à  une mère, à  la vie...

Je sais que le sujet n'est pas les drogues directement, mais ce texte est lié à  ma consommation en ce sens quen étant UD j'ai décu bien du monde, et me sens parfois petit face à  mes proches, proche qui m'épatent.

Ce texte est une forme d'excuse d'être autre que ce que certains voudrait que je sois en même temps qu'un cris d'amour envers eux.





Hommage à  ma mère.


Pardon Maman, je suis "PO"...
Mais merci, ma Déesse (ma religiion est la dite "Ancienne religion, Wicca") de m'avoir accordé une telle mère.

Maman tu m'a portée 9 mois durant.

Tu étais alors, jusqu'au 5 ème mois, insconsciente de ton état, de ton état de reproduction... et il t'as fallu  2 mois de plus pour n'en avoir plus aucun doute, aucun.

Son ventre était petit et elle pemnsa que cela était du à  la nourriture locale, et  mis ses malaises sur le compte de la chaleur de l'Orient que tu traversait en 2 ch avec sa soeur, dans des conditiions minimales et éprouvantes... journalistes pour un journal d'extrême gauche qui n'existe plus, issus d'un mouvement très actif à  l'époque (pas une semaine sans que nous allions dans une manif à  >Lausanne, Genève, et suisse allemande, Paris... moi sur les épaules de  ma mère (j'ai été nourris au Bicher, au Cénnovis et aux gaz lacrimo mdr... je n'avais que 4 ans jusqu'à  12 ans...) brandissant des banderolles... mouvement disais -je de la Libération de la femme en colaboration avec des troxistes, léninistes, troskiste-léniniste, et les mêmes en version révolutionnaire, mouvement étudiants, ouvriers... les années contestations que vos connaissez tous, ainsi la branche marxiste, de la suisse romande ton pays de prédilection, et de Paris, ta ville natale... en débordant sur certains pays d'europe jusqu'à  la russie que tu as visité lors de ta désilusion cruelle, des années plus tard, lorsque tu t'es rendu compte que le capitalisme avait utilisé l'idéologie communiste à  des fins purement mercantile et de pouvoir, d'asseerssissement, de controle  de la population, bafouant l'essence même de ce qu'est réellement le communisme, soit une idéologie s'un monde meilleur et égalitaire en tout point.

9 mois avant que elle ne me mettent en vie autonome, un militant toskiste voisin, de l'appartement jumeaux, des 7 pièces occupé par 7 couples se partageant loyer et charges (j'avais quatorse mère et père, disais-e... ma mère étant souvent en manifestation, miting et réunion diverses et moi gardé par les autres locataires...) quotidiennes en fonction de leur moyens, les plus riches payant pour les plus pauvres en un fonctionnement de caisse unique dans laquelle versait tout locataire la majorité de leur salaire, la totalité étant ensuite redistribué équitablement à  chacun, après les charges de vie payée.
De l'appartement voisin au dessus du tiens, dans l'ambiance soisante-huitarde de l'année 70, des combats militant troskiste de la branche révultionnaire, un ho,e te séduisit au printemps 1970.
Comme de soutume à  l'époque en ce milieux, ils se sont rapprochés, sans former de couple, restant libre chacun de ses actes à  venir... un amour de printemps dont je suis la fleur...


Ma mère partit ensuite couvrir pour son journal, avec sa soeur, le premier (et dernier hélas) féstival panafricain (qui fut recréé il y a quelques années) et qui se déroulait à  Dakar. Elles remplirent le 2 ch de leur matériel, et s'en allèrent de Lausanne en suisse pour Dakar, tarversant les pays qui les séparaient de la ville, dans un caisse de féraille qui augmentait la moindre chaleur: un voyage inferanal.

L'Affrique sera toujours l'affrique, et c'est son charme...

La deux cheveaux claqua en chemin et allent contiuère en stop pour arriver à  Dakar 2 jour après le début du Festival, mais celui ci n'avait pas encore commencé, et ne commenca qu'une semaine après, chaque jour voyant son annonce d'ouverture pour le lendemain... ils prennent le temps de vivre là  bas... jamais pressé...

Le festival eut lieux, les pellicules et callepins des deux soeur était remplis, casé dans leur sac à  dos, leur linge pendant à  l'extérieur, accrochés aux sangles par manque de place.

Mais elle était à  pied, et la politique de la région devenait particulièrement mouvante et incertaine soudain, comme c'était régulièrement le cas à  cette époque, bcp plus qu'aujourd'hui.

Ma mère avait une passion: Kadafi pour raverser la Lybie, puis gagner la mer pour Marseille...

Et il leur fallait un chemin "sur" pour regagner Marseille, sans tarder car je grossissait en son ventre... et ma mère voulait que je naisse en Suisse pour être en sécurité dans mon avenir, la suisse était encore la pays neutre, le pays de la sécurité...

Elles décidèrent alors de suivre les trace de Kadafi, rachetant d'autres péllicule, se séparant même de certaines pellicule du festival au fils des interview du chef militaire qu'elle réussirent à  rejoindre.

Leur statut de journaliste était le passe droit, leur ultime garantie, étant femmes, de ne pas voir les évènement tourner auvinaigre, et l'idée de ce reportage plus à  l'homme qui se prêttea au jeux, et les firent embarquer sur un navire francais pour marseille.

Ma mère et sa soeur prirent alors le premier train pour genève, enceinte jusqu'au yeux, et arriva enfin à  Lausanne en Suisse ou elle fut 2 h après son arrivée hospitalisée, le 22 février, pour me donner naissance.

à  quelques heures près je serai née en frances, et en quelques heures de plus en Libie...

Parfois je me souvient de cette histoire fantastique, et me sens un peu minable de faire de ma vie ce qu'elle est, quand je pense à  cette rage de me faire naitre en sécurité au point de prendre un risque fou, en un pari insensé pour me faire naitre en sécurité dans un pays qui, à  l'époque, était un pays où il y avait plus d'emplois que de personnes à  employer et où la suisse était encore le pays neutre et intouchable depuis la 2 ème guerre...

Merci maman, et excuse moi si je ne suis pas le fils que tu aurais voulu.

Bien que l'on s'entende bie lorsque l'on se voit... (elle a le chic pour trouver du H extraordiniare, elle a pas perdu la main à  55 berges, malgrès, comme tous les UD, un corps fatigué qui en parait 200 ans de plus...

Mais merci Déesse de m'avoir donné une mère telle que celle ci!


Je suis très fière de ma mère, que je sais être une mère hors norme, mais:

"Il n'y a rien d'exeptionnel chez les gens ordinaire" (je de mot à  prendre au second degrès...).

Certains diront qu'il n'est pas étonnant que je sois UD donc. Ben disons que c'est en effet une tradition familiale (H en général...) et que je trouve cela tout à  fait norma, et  sain puisque au'ainsi le dialogue est ouvert, clair et sans ambiguité.

Mais ne venez pas me parler de responsabilité ici.  ((allusion à  une autre discutions...)