Dernière modification par pleasurepulse (02 janvier 2016 à 21:32)
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Dernière modification par LOxyCestLaVie (17 janvier 2016 à 00:04)
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Dernière modification par LOxyCestLaVie (04 juillet 2016 à 22:39)
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Caïn a écrit
A 1 mg, comme il n'y a aucune sensation agréable, autant rien prendre franchement.
Non j'ai déjà essayé, même à 1mg, c'est chiant ... fatigue, pas de motivation, c'est la loose totale
Du coup je suis à 0.4 subutex * 2 depuis 1 semaine ça va, ce week je suis parti en festival, le vendredi, j'avais pris juste ma dose pour le samedi, je suis rentré le dimanche soir, je n'ai pas ressenti les effets de manque. (je ne prends pas grand chose en prod. un peu de C mais pas ce week)
Quand je me dis que je vais devoir en chier pendant 2 ans, ça démotive.
Putain, pourquoi ils n'inventent pas un médoc moins "addictif" que le Subutex / Suboxone ! on le sait, les grands groupes pharmaceutiques aiment les drogués comme nous, car c'est le jackpot, concrètement, ils ont en rien à foutre de notre gueule, et ça, ça me fait bad
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Dernière modification par Syam (20 juillet 2016 à 20:30)
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Dernière modification par Syam (21 juillet 2016 à 08:56)
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Tu veux dire "addictif" ou qui rend fortement dépendant ? Addictif, ça veut dire que tu ne choisis pas le moment et que les doses sont en augmentation ou pas "maitrisées".
Si la dépendance au sub est forte, ce n'est pas forcément un produit addictif. Même en détournant l'usage ou en compilant des ordonnances, les usagers se stabilisent souvent dans un dosage de routine. Le sub rend dépendant, mais il permet aussi de vivre sans addiction.
Je ne suis pas le premier défenseur de big pharma, mais je comprends parfaitement le coup de gueule de Bijord.
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Dernière modification par Caïn (22 juillet 2016 à 14:44)
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Dans la mesure où ce serait la seule maladie où le médicament -ou plus exactement l'addiction entraîné par celui-ci- serait aussi la cause de la pathologie.
Prenons l'exemple d'une personne qui est gravement brulée et qui se retrouve de nombreux mois sous opis... Le médicament a provoqué une forme de toxicité et un dérèglement qui va entrainer la nécessité de soins adaptés, une baisse progressive et un sevrage.
Après chacun est libre de s'interroger : c'est la poule ou l’œuf ? C'est pasque je suis dépendant que je souffre d'une pathologie ou c'est une pathologie qui m'a amené à devenir dépendant. Et si je suis dépendant, est-ce une pathologie ? Est-ce que j'en souffre tout simplement ?
Difficile de généraliser, chaque situation est unique.
Moi je suis ok pour ne pas classer la toxicomanie et/ou addiction dans les pathologie relevant d'une prise en charge médicale.
A chacun d'en décider pour soi-même. Pas de tiroirs, pas de classement. Chacun son tiroir et l'aménage à souhait.
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Dernière modification par taffeur (22 juillet 2016 à 14:35)
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Mister No, si le grand brûlé n'a pas l'appétence pour le prod', c'est vrai que la décroche se fait plus facilement.
En fait, c'était pour illustrer que dans le cas où tu n'as pas comme tu le dis de "terrain favorable", cela relève aussi du geste médical. Voire de l'automédication quand pour la douleur, il n'y avait que les pieds de pavot cultivés au jardin et que la personne décidait du besoin ou non de soulager sa douleur. Déjà , à la base, cette "toxicité" nécessite une forme de prise en charge, prescrite ou en automédic.
Si on pouvait foutre la paix aux gens qui ont envie (ou même besoin) de prendre des trucs
Quelle bonne idée !
Pour Sagan, je n'en sais rien, mais en général un accident qui nécessite une prise prolongée de morphine peut aussi bien laisser des douleurs par la suite et pour le restant des jours.
J'ai très peu lu de Sagan, j'ai même découvert assez récemment ce style qui me plait tant, cette simplicité et à la fois cette complexité, cette précision, mais j'ai cru comprendre qu'elle aimait bien le sky également. ^^
Dernière modification par Mister No (22 juillet 2016 à 15:56)
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Dernière modification par LOxyCestLaVie (05 octobre 2016 à 21:19)
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Caïn a écrit
Le problème c'est que pour ce qui me concerne je n'ai aucune envie de diminuer.
Des fois je n'ai pas envie aussi.
Je sais que les opiacés ont changés ma façon d'être, j'ai des habitudes que je n'avais pas avant, des sensations nouvelles et d'autres qui ont disparues... etc
J'ai vraiment besoin de retrouver le "moi d'avant", il me manque terriblement, je pense que ça prendra un peu de temps, faut que le cerveau se réadapte.
Si je l'ai perdu, je ne me pardonnerai jamais.
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