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Dernière modification par majama (09 septembre 2015 à 05:10)
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bighorsse a écrit
Pour répondre à ta question il faudrait que tu décrive les symptômes qui ont conduit tes psy à te classer schizo ou bipolaire...je m étonné de ces deux classements fait pour une même personne car il ne s agit pas de ma même chose !
Il veut surement parler de bipolarité avec accès psychotique lors des épisodes maniaque (perso c'est ce que l'on m'a diagnostiqué) c'est peut être un abus de langage d'un médecin/membre du personnel soignant.
Aurore a écrit
Si j'ai posé la question c'est que ça a un intérêt. Je connais très peu de gens qui ont été mis sous injection sans passer d'abord par la case anti-psychotiques par voie orale style seroquel ou autres. D.où ma question.
Effectivement c'est pas courant, peut être "une peur" (ridicule je le concède) que le patient ne prenne pas son traitement de manière régulière. Cela peut être lié a des accès de violence aussi, j'ai vu le cas chez quelqu'un que je connais diagnostiqué psychotique, ils sont donc directement passé au injections, mais est ce justifié, pas sûr.
Dernière modification par BedBug (10 septembre 2015 à 20:02)
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Dernière modification par BedBug (10 septembre 2015 à 20:08)
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duannes a écrit
en fait il le font en injection pour que se soit moins contraigant a prendre en medocs!!!!!
Oui ça se tient pas toujours facile de bien prendre un traitement, faut déjà y penser tous les jours. :)
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Dernière modification par majama (10 septembre 2015 à 22:21)
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majama a écrit
Après plusieurs recherche j'ai trouvé que la cyclothymie me définissait mieux qu'une maladie handicapante,
Ne te fixe pas trop sur des noms, médicalement la cyclothymie est classifiée dans les "troubles de l'humeur (affectifs) persistants" tout comme le trouble border line, la bipolarité ou le trouble dépressif récurrent. C'est une même "famille" de pathologies la façon de s'exprimer est différente au niveau de la fréquence des épisodes (dépressif, hypomaniaque, maniaque), leur force, etc.
Après dans cette classification un trouble n'est pas forcement beaucoup plus handicapant qu'un autre (hors pathos avec accès psychotiques) et beaucoup de gens vivent très bien avec. Il y a des bipolaires qui gèrent très bien avec leur maladie (avec un traitement, etc) et des border line (pourtant c'est plutôt considéré comme le palier en dessous de la bipolarité) qui vivent moins bien la leur.
Après l'important c'est d'avoir conscience que quelque chose cloche et de creuser petit à petit comme tu le fais. :)
Dernière modification par BedBug (11 septembre 2015 à 01:40)
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Dernière modification par Abcouxyz (11 septembre 2015 à 13:04)
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Dernière modification par BedBug (12 septembre 2015 à 11:00)
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bighorsse a écrit
Un jour un psychiatre me convoqué pour renouvellement d ald ...on parle 1 H ..il me dit mais ..vous allez très bien ..je vais juste lire votre dossier ..
Qq minutes plus tard
Ah heu....ben....je vois que vous AVEZ ETE toxico ...
Je pense que vous souffrez d'un trouble bipolaire qui n à pas été diagnostique à l époque
..je vais vous donner ...
Rien de rien...cher docteur ...juste signer ma feuille ....
Oui c'est l'exemple type, personnellement j'ai mis un temps fou à trouver quelqu'un de compétant, relativement objectif (parce que les transferts affectifs psy => client du type "il faut faire ci, penser ça" merci mais non merci), maîtrisant les médocs, connaissant les drogues/interaction, etc. Je suis resté plus de 10 ans à passer d'un psy à l'autre, c'est limite plus dur que de trouver le grand amour.
Et puis en dehors du manque d'information, recul inhérent à leur cursus on voit bien que les vieux à priori on la vie dure et pas que chez les médecins d'ailleurs.
Dernière modification par BedBug (12 septembre 2015 à 11:12)
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[ Forum ] [témoignage] benzo sevrage psychologique
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