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Dernière modification par majama (28 octobre 2015 à 09:25)
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Dernière modification par BedBug (28 octobre 2015 à 17:21)
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cela a tendance à fortement favoriser la désocialisation - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/t1642 … .html#divx
Sans vouloir jouer sur les mots, désocialisation me parait souvent excessif. Je préfère la notion de désaffiliation sociale ou de désinscription sociale. Tu ne peux pas être consommateur de drogues si tu ne bénéficies pas d'un réseau social. Peut-être maintenant avec les commandes du deepweb ? Difficile, il faut du lien social pour s'organiser une caverne avec une boite aux lettres.
Allez, j'avoue, je joue sur les mots...
Après "une addiction peut favoriser la solitude", mais pour moi l'inverse est aussi valable "la solitude peut favoriser une addiction". Arf, vaste débat. - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … =201076#zz
Ouaip, tout taffait d'accord. La consommation de produit est aussi vecteur de liant social.
Dernière modification par Mister No (29 octobre 2015 à 12:43)
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Mister No a écrit
Sans vouloir jouer sur les mots, désocialisation me parait souvent excessif. Je préfère la notion de désaffiliation sociale ou de désinscription sociale. Tu ne peux pas être consommateur de drogues si tu ne bénéficies pas d'un réseau social. Peut-être maintenant avec les commandes du deepweb ? Difficile, il faut du lien social pour s'organiser une caverne avec une boite aux lettres.
Allez, j'avoue, je joue sur les mots...
Tu joue sur les mots mais tu n'as pas tors de le faire.
Certes il n'y a pas de généralités, une addiction au canna entretenu par le plaisir d'être un peu tout le temps avec ses/des potes pour échanger un joint ça a un aspect social (mais on a un pied dans le récréatif je pense). Par contre aller passer 30min chez un gars que tu connais sans plus et que t'apprécie pas plus que ça pour récupérer un ou deux pochons, passer dans une supérette sur le chemin du retour pour prendre de quoi "survivre" alimentairement et finir bloqué 3 jours chez toi sans voir personne limite à parler aux murs, pour l'avoir vécu, on ne peut pas appeler cela un liant social (il y a toujours la caissière de la supérette m'enfin bon).
Non mais tu fais bien de le faire remarquer ça reste multifactoriel, moi j'étais parti sur l'addiction dure, celle qui prend le dessus sur toi mais ce n'est pas une généralité non plus.
Pour finir sur une connerie, concernant la socialisation vu le bordel que c'est chez les humains je suis sûr qu'il y a plein de tests qu'on ne peut pas faire sur les rats.
(aujourd'hui, brian a trompé sheila qui pour l'occasion s'est fait une grosse trace avant de s'envoyer mick lui même sous LSD pour se venger des ragots lancés par roberta quand elle était sous PCP)
Dernière modification par BedBug (29 octobre 2015 à 18:22)
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Dernière modification par DeathRoad (30 octobre 2015 à 15:41)
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(aujourd'hui, brian a trompé sheila qui pour l'occasion s'est fait une grosse trace avant de s'envoyer mick lui même sous LSD pour se venger des ragots lancés par roberta quand elle était sous PCP) - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/t1642 … .html#divx
De barres comme on peut entendre de nos jours... oui, des barres !
Thank you sir !
Dernière modification par Mister No (30 octobre 2015 à 00:29)
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Dernière modification par pleasurepulse (30 octobre 2015 à 15:44)
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shagahm16 a écrit
Bonjour a tous.
Je tien a donné mon expérience : moi c'est l’arrêt de ma consommation qui fait que je suis solitaire aujourd’hui pour me séparé du produit je me suis séparé de mes liens sociaux ..
Alors c'est quoi qui a causé ma solitude ? l’addiction ou l’arrêt du produit ? Les deux sont lier je pense.
J'ai eneffet moi aussi vécu cela, lorsque j'ai arreté les stimulants excitants et les hallucinogenes , qui étaient devenus une pratique commune dans les milieux artistiques entre autres , dans lesquels je trainais !
Aller à des fetes où la plupart des gens se défoncent , quand soi meme ,notre santé ne nous le permet plus , fait que l'on s'isole plus ou moins volontairement en effet !
Dernière modification par pleasurepulse (30 octobre 2015 à 15:48)
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shagahm16 a écrit
Bonjour a tous.
Je tien a donné mon expérience : moi c'est l’arrêt de ma consommation qui fait que je suis solitaire aujourd’hui pour me séparé du produit je me suis séparé de mes liens sociaux ..
Alors c'est quoi qui a causé ma solitude ? l’addiction ou l’arrêt du produit ? Les deux sont lier je pense.
Et si tu t'isole c'est aussi peut-être parce que tu te sens plus en paix avec toi-même, ta conscience, que quand tu fréquentais du monde. Il faut bien avouer que la drogue crée des liens, mais j'ai remarqué qu'on s'en lasse plus vite de l'amitié que de sa drogue. L'amitié ça ne tient qu'à un fil d'ariane précis en général : le profit ! (moins que dans beaucoup de couples car là c'est surtout la domination le problème) Peu d'amis restent liés pour toujours. Entre un H et une F il y en aura toujours un des deux qui aura des sentiments plus qu'amicaux pour l'autre, entre deux gars (hétéros) il y aura toujours l'un des deux qui changera en bien ou en mal. Ce qui finira pas déranger l'autre. Entre deux femmes (hétéros) la plus belle des deux finira par énerver l'autre, ou la plus cochonne fera le même effet... Dans tous les cas respect à ceux/celles qui sont toujours aussi proches entre amis !!! Ils sont rares !
Dernière modification par DeathRoad (30 octobre 2015 à 18:41)
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Dernière modification par Mascarpone (30 octobre 2015 à 18:09)
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Mascarpone a écrit
Comme disait Desproges je crois, au dessus de 2 personnes on est déjà une bande de cons......
Il disait aussi "on peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui". :)
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Pour sortir de l’addiction, nous avons besoin de connexions et d’amour. Mais nous avons créé un environnement et une culture qui nous coupe de cela. L’augmentation du nombre de drogués est un symptôme de la manière dont nous vivons. L’écrivain George Monbiot appelle cela « l’âge de la solitude ». Nous avons créé une société où il n’a jamais été aussi facile de se couper de toutes connexions humaines.
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Alapz a écrit
Pour sortir de l’addiction, nous avons besoin de connexions et d’amour. Mais nous avons créé un environnement et une culture qui nous coupe de cela. L’augmentation du nombre de drogués est un symptôme de la manière dont nous vivons. L’écrivain George Monbiot appelle cela « l’âge de la solitude ». Nous avons créé une société où il n’a jamais été aussi facile de se couper de toutes connexions humaines.
et il est paradoxal de constater que nous sommes prétendument "hyperconnectés"...une hyperconnection solitaire finalement, sans amour ou alors de l'amour tout plat, sans relief
c'est pour ça que je smoke ma weed aussi : donner du relief à cette existence même si Baudelaire considérait le haschich comme "inutile et dangereux" parce qu'amenant trop facilement à la rêverie, sans trop de travail...et après tout, on nous râbache ça tout le temps, le travail, la croissance, tout ce tralala...l'être est devenu seul au sens de : perdu dans la communauté des hommes où des notions toutes faites, consommables (comme les prod...tiens tiens..) sont devenus les seuls référentiels...peut-être que l'addiction en elle-même isole parfois au bout d'un moment...mais à mon avis, c'est plutôt parce que l'humain se sent désespérément seul qu'il se trouve des manières de rêver autrement que collectivement
finalement, avec PA, on constate que l'usage de matières à rêver fédère...on tient l'bon bout si demain on est tous addicts alors ?
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Les fêtes de fin d'année en particulier et les réunions d'anniversaire ou autre m'ont toujours royalement fait chier, à moins d'avoir un rail ou un fix à me coller dans la tronche. - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/viewt … 97#p201297
Ha, ha, ha. La même pour moi ! Même dans les périodes de disette, je me gardais toujours un tit képa pour les Fêtes. Absolument insupportable pour moi, d'autant que je suis né le jour de Noà«l.
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Caïn a écrit
Absolument insupportable pour moi, d'autant que je suis né le jour de Noà«l.
Tiens, comme par hasard.......Pas mieux en vérité.......
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Dernière modification par pleasurepulse (30 octobre 2015 à 20:05)
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pleasurepulse a écrit
Ah non, la famille, c'est super, de se sentir accepté tel que l'on est , jamais dénigré ni stigmatisé, sentir le soutiens inconditionnel et ne jamais avoir de reproches stupides plein d'a priori à ce sujet ou sur ses fréquentations, se sentir soutenu dans nos projets meme si ils ne correspondent pas à ce que l'on avait décidé pour nous ...
Le bonheur quoi !
Je plaisante bien sur , bien qu'il y en a peut etre pour qui c'est la réalité !
Ma mère n'a cessé de répeter toute mon enfance , " ah, le pire pour moi serait d'avoir un fils drogué et / ou PD ( comprendre gay !) " !
Je n'ai jamais plus eu droit au moindre soutien psychologique de mes parents à cause de mes prises de drogues et ils ont jugé ma vie entiere à travers ce prisme ; seulement une lutte perpétuelle pour essayer de me faire accepter comme j'étais vu que je ne faisais de mal à personne !
Mon pere m'a foutu deux fois dehors de chez lui à cause de ma soit disant " sale mentalité de drogué " , meme si je ne me suis pas retrouvé à la rue non plus !
J'ai eu de la chance par rapport à ceux dont les parents les ont totalement renié , ne leur apportant plus aucune aide, y compris materielle , lorsqu'ils en ont eu besoin , preferant les laisser à la rue !
Tes parents se sont tout simplement rendu compte que leur fils, même si il n'a pas résisté à la drogue, était capable de s'auto-discipliner. Comment et pourquoi ? Parce qu'il n'a pas été éduqué à la base par de mauvais parents ! Ils ont certainement aussi déjà vu ailleurs des fils qui n'avaient aucun respect, bons parents derrière ou non, et qui ne se droguent pas. Et ils se sont dit "bah aprés tout on a toutes et tous au moins une addiction, ça nous plaît pas qu'il prenne de la drogue mais on n'a pas fait de lui un gros con !" :)
Dernière modification par DeathRoad (30 octobre 2015 à 20:11)
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Alapz a écrit
Je sais très bien ce qui peut nous pousser à défendre ce bonheur solitaire.
Ce sentiment qui nous amène à renier nos meilleurs moments, ceux lointains sans produit que l’on renie finalement inconsciemment.
On oublie de conjuguer, on oublie d’accepter, de se souvenir…
Que c’était souvent mieux de partager ce bonheur commandé, celui qu’on ne veut plus attendre, celui qu’on s’autorise et qui pourtant nous use...
L’addiction rend évidemment seul puisque ce plaisir artificiel est individuel donc difficile à partager, à transmettre. Il nous amène à devenir égoïste pour notre propre bien-être puis pour notre propre survie.
Ce bien-être qui n’aime pas attendre, les anniversaires comme les fêtes attendues… Ces moments de la vie qui impatientent les autres et qui nous lassent indifférents car trop communs, car trop connus.
C'est pas ce que l'on a dit. On a même dit le contraire, loin de nous pousser à l'isolement la dope nous a permis (nous permet) de rentrer dans le jeu social sans (trop) souffrir de son hypocrisie.
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L'intervention de No dissocie clairement la solitude de la désociabilisation et de l'isolement. J'étais de nature plutôt solitaire, sans aucune autre raison que, je cite les ogres, "si je suis comme ça c'est que depuis l'âge du cartable je n'ai jamais pu supporter les gens".
La dépendance qui est dépeinte comme un enfer pour nous esclaves de la drogue - en rupture avec la société - eh bien ma dépendance à moi a engendré une succession de liens sociaux, qu'on a tendance à minimiser ou rejeter parce que en dehors des normes de "la société".
Entre les premières défonces, les deals, le social judiciaire et tout le reste, ça fait une chiée de gens avec qui j'ai eu contact. Ca laissait peut-être de la place à des moments de solitude, mais pas à la solitude elle-même. C'est un sujet 1/2 verre d'eau : à moitié plein ou moitié vide.
Après ça change rien au fait qu'à 90% je préfère consommer seul, peut-être de part la nature des drogues. Quand j'étais à l'héro je m'en tapais, parce que du premier shoot c'est le but et on pique du naze. Les stimulants créent deux catégories : ceux que c'est cool, et les gros cons insuportables. La drogue ça reste quand même comme Trainspotting : on n'a besoin de rien quand on a l'héroïne ( ou toute autre drogue ).
Les gens confondent solitaire et solitude, perso j'aime l'isolement qui n'est pas de la solitude, pour moi. Mes potes et mes amis ne sont pas nombreux, par choix. Les gens viennent facilement à moi, je donne rarement suite parce que ça me chie. L'affectif, je sais pas si c'est la vie qui fait que, là depuis un temps quand je rencontre une fille qu'après un moment on se demande forcément si elle pourrait devenir ma copine, ben moi je me demande combien de temps ça prendra pour qu'elle commence à me faire chier. Et pas parce que finalement c'est une connasse, loin de là , juste que presque tout le monde me fait cet effet. Les amitiés que j'ai durent depuis 10-15 ans, je veux juste pas trop de monde dans le mien.
C'est pas forcément les autres qui sont insupportables, y'a plein de gens bien sur cette terre. Je n'ai pas grandi dans un cadre où l'affectif et les liens étaient des notions élémentaires, je ne connais pas le prénom de mes neveux/nièces par exemple, mais je me suis jamais senti affligé par ça. Il y a ceux qui n'ont jamais eu de parents et qui en souffrent, il y a ceux qui ont eu des parents et qui auraient préféré ne pas en avoir.
Donc moi je réponds non, l'addiction ne mène pas à la solitude, bien au contraire. Il a été question de société connectée, en lien instantanée à volonté. Je n'ai plus les chiffres en tête, j'ai lu un truc sur le sujet et il y avait les chiffres : nbre de sms, mails, liens virtuels - des chiffres ahurissants - x liens virtuels/jour humain en moyenne, et le nombre de mots échangés d'humain à humain face à face, qui est en diminution constante. Les outils de communication se multiplient en même temps que le sentiment de solitude augmente.
Je fais du bénévolat pour organiser le Noà«lEnsemble dans ma commune, ça sera la 3ème année. De 200 au début, on prévoit 450 personnes au prochain. La plupart de ces gens viennent pour ne pas être seuls, ou la famille seul, le soir de Noà«l. La plupart sont
trop âgés pour que je les initie aux drogues, histoire de les aider à créer des liens. C'est dommage, mouarf!
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Dernière modification par Chemical Brother 1 (31 octobre 2015 à 02:17)
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similana a écrit
[justify]Quand j'étais à l'héro je m'en tapais, parce que du premier shoot c'est le but et on pique du naze. Les stimulants créent deux catégories : ceux que c'est cool, et les gros cons insuportables. La drogue ça reste quand même comme Trainspotting : on n'a besoin de rien quand on a l'héroïne ( ou toute autre drogue ).
Les gens confondent solitaire et solitude, perso j'aime l'isolement qui n'est pas de la solitude, pour moi. Mes potes et mes amis ne sont pas nombreux, par choix. Les gens viennent facilement à moi, je donne rarement suite parce que ça me chie. L'affectif, je sais pas si c'est la vie qui fait que, là depuis un temps quand je rencontre une fille qu'après un moment on se demande forcément si elle pourrait devenir ma copine, ben moi je me demande combien de temps ça prendra pour qu'elle commence à me faire chier.
100% d'accord avec toi sur le fait qu'a un moment ca déborde; tout le monde nous saoule et qu'on est a se poser un tas de question quand une rencontre qui pourrait devenir amoureuse pointe le bout de son nez mais est ce en rapport avec la consommation du produit ;comme tu le dis tu aimes L'ISOLEMENT depuis tout jeune et c'est egalament mon cas ... Le produit fini par amplifier ce que tu as au plus profond de toi... Si je ramene ca a moi je dois avoir un soucis depuis gamin que la perche boost en négatif au final ; Consommer seul et voir personne c'est vraiment glauque . Si jte lis bien tu le vis pas trop mal du moins ta pas ces grosses phases que j'ai décrites dans mon precedant post?
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Chemical Brother 1 a écrit
Si je ramene ca a moi je dois avoir un soucis depuis gamin que la perche boost en négatif au final ; Consommer seul et voir personne c'est vraiment glauque . Si jte lis bien tu le vis pas trop mal du moins ta pas ces grosses phases que j'ai décrites dans mon precedant post?
Est-ce réellement un souci , parce que c'est pas comme "tout le monde" ? J'ai très certainement dévellopé ce trait de personnalité avant de perdre mes dents de lait. Si j'avais eu ce truc en moi de trouver mon équilibre à travers les autres, et que je sois rejeté par les autres, j'en aurais souffert et dévellopé un mal-être profond. Ca serait un souci aujourd'hui.
Je suis un petit garçon qui a les mains sur les hanches. Il faudrait tuer les petits garçons qui ont les mains sur les hanches, ceux qui doivent vivre en font l'apprentissage en autodidactes, y'a plus besoin des autres. ( Faut-il tuer les petits garçons qui ont les mains sur les hanches ? Frédéric Dard -Hors Série San-Antonio. Je ne vais pas expliquer le titre et sa réponse ici, mais ce livre a eu un succès énorme. Cette expression est restée dans l'esprit de beaucoup, on la trouve ici et là quand on sait où regarder. L'album Mistral Gagnant de Renaud : "Aux petits garçons qui ont les mains sur les hanches". Garçons ou filles of course! )
Je ne vis pas en ermite, j'ai besoin des gens comme tout le monde : faut un salaire, l'accès à toutes prestations/structures usuelles, et autres activités. Je suis à l'aise avec les gens, professionellement j'ai occupé des fonctions qui requièrent de nombreux contacts, ma maîtrise fédérale inclue une formation de maître d'apprentissage, j'ai formé des apprentis et autres employés. De tous ces gens, trois sont devenu des potes ( de poker et défonce, on se refait pas ), pour tous les autres y'a des horaires de bureau. Je fais ça pour la thune, mais pas à n'importe quel prix. Si l'entreprise se restructure et qu'après j'ai à faire à des cons, comme à mon avant-dernier job, je me casse. L'augmentation proposée pour que je reste, ça me fait honte d'évoquer un chiffre à vous qui êtes Français.
Pour mes loisirs, je suis allé au contact des autres si ça se pratiquait via un club. Pour quand même systématiquement en arriver à pratiquer individuellement. J'ai choisi sans y penser que des trucs qu'à un moment, je continuerai en individuel.
Et je n'ai pas de phobies sociales. Il y a ce qui m'est nécessaire socialement, mais en dehors il se passe parfois des semaines sans que voie du monde, sans que je m'en rende compte. Ca en revient aux drogues, remède à la solitude.
J'ai connais des gens pour qui la solitude c'est terrible, je ne sais pas ce qui me différencie d'eux, mais je suis conscient d'avoir de la chance, choisir et pas subir.
Je te repose la question, ChemicalBro : c'est un réel souci, ou juste une croyance ? Pour toi hein ?
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