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Dernière modification par JauneAtre (06 novembre 2015 à 17:41)
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Dernière modification par Mascarpone (06 novembre 2015 à 18:39)
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snoopy a écrit
du speed relaxant ????? jamais vu ca de ma vie !!!
Oui et non j'ai envie de te dire. JauneAtre tu as testé tout seul je pense ? (d'après ce que tu dis)
Déjà le concept de relaxation est subjectif d'une personne à une autre ensuite sans faire de généralité imo cela peut arriver (surtout seul ou en contexte de départ plutôt calme). Personnellement j'y vois deux raisons, la première c'est le dosage; la faiblesse de la dose nuance beaucoup l'effet ressenti au début (ensuite beaucoup moins ). Un peu comme avec de la (bonne) C qui te laisse englué(e) au fond de ton canapé un sourire niais aux lèvres. A dose minime cela peut donner cette impression car psychologiquement tu te sent apaisé, zen. Alors certes 6/8h plus tard t'es toujours là tout aussi apaisé dans ton canap les yeux comme des billes et les mâchoires qui se baladent mais c'est le ressenti global sur le moment (c'est comme ça/pour ça qu'on l'utilise pour les TDAH d'ailleurs, un mélange d'éveil et d'apaisement).
L'autre facteur pour moi il est tout simplement psychologique, à dose égale quelqu'un de "survolté" à jeun ne réagira pas de la même façon que quelqu'un à deux de tension, le ressenti sera lui aussi légèrement décalé je pense.
Maintenant ce n'est pas parce que "cela peut" que c'est forcement ça. On ne peut jamais rien affirmer comme ça à distance (perso depuis que j'ai perdu ma boule de crystal c'est difficile ). Mais de ce que tu en dis, visuellement c'est possible mais ça ne suffit pas pour t'affirmer quoi que ce soit.
JauneAtre a écrit
ma question est : Serait-ce dangereux de le consommé comme d'habitude ? Et qu'es que serait la "possible coupe" ?
Tout dépend ce que tu appel comme d'habitude et tout ce que tu dépend de coupe (de la farine aux stéarates en passant par les sels d'epsom et les impuretés de fabrication types résidus nitrés la liste risque d'être longue).
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BedBug a écrit
JauneAtre tu as testé tout seul je pense ? (d'après ce que tu dis)
[...]
(surtout seul ou en contexte de départ plutôt calme). [...] A dose minime cela peut donner cette impression car psychologiquement tu te sent apaisé, zen. [...](c'est comme ça/pour ça qu'on l'utilise pour les TDAH d'ailleurs, un mélange d'éveil et d'apaisement).
[...]
Tout dépend ce que tu appel comme d'habitude [...]
Oui, j'ai testé seul dans un contexte calme. Je me suis senti zen, apaiser (avec un dose nimime, test allergique pour d'éventuels produit de coupe, et es ce vraiment se que c'est sensé être, + la fatigue du travaille {je me lève a 4h}).
J'entends par d'habitude, une consommation récréative avec des redrops (je ne voie pas trop comment expliquer)
Qu'es-ce qu'une TDAH ?
Dernière modification par JauneAtre (08 novembre 2015 à 04:02)
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Nan, ce n'était pas vraiment la question. La question se porter plus sur (comme les effets de la "dose minime" est plutôt " bizarre") si a dose récréative (donc 1er drop de 0.075-0.125 pouvant aller a un total de 0.8 durant les plusieurs heure de consommation{moyenne, je ne pèse pas tout a chaque fois}) ses effets (ceux de la dose minime) pouvez être amplifier et pouvant être néfastes/me faire passer "un mauvais voyage".
La question étant résolu par "l'expérience", la réponse est : Non. Tout c'est passé sans problème.
Merci de ta volonté a "résoudre se post" et de m'avoir appris le terme de TDAH, cependant j'ai une question sur ce trouble, peut-il se manifesté en "état de manque du cannabis". Je m'explique, ayant eu une longue période de chômage j'avais pris l'habitude d'être toujours et tout les jours défoncer au cannabis, ayant retrouver du travail récemment (je n'en consomme pas au boulot bien-sûr), au bout de 4-5h de travaille je commence a me désintéressé de se que je fais et j'ai envie de faire autre chose/d'arrêter, pourtant se boulot ses se que je voulais faire/ma passion. Es-ce un "symptôme" du TDAH ? Si oui, es-ce que cette dose minime pourrait y remédier (meme si je suis pas trop d'accord avec le concept drogue + travaille {en entreprise, pas du par exemple jardinage que l'on fait a la maison})
Re-merci
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Dernière modification par BedBug (09 novembre 2015 à 06:46)
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cependant j'ai une question sur ce trouble, peut-il se manifesté en "état de manque du cannabis" - See more at: https://www.psychoactif.org/forum/t1654 … .html#divx
C'est une piste à explorer. Le cannabis est utilisé pour traiter certains de ces troubles. Donc, à l'arrêt du traitement, tu peux voire rebondir des symptômes qui étaient masqués avec succès.
Le cannabis comme traitement du TDA/TDAH
posted by Seshata on September 4th 2015 no comments yet | Leave a comment
Le trouble du déficit de l’attention (TDA) et le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) sont des troubles neurologiques caractérisés par des problèmes d’impulsivité, d’inattention et d’hyperactivité. Le TDA/TDAH fait partie d’un groupe de troubles neuropsychiatriques (comprenant également la schizophrénie et l’autisme) que l’on associe aujourd’hui à un dysfonctionnement du système endocannabinoïde.
Qu’est-ce que le TDA/TDAH ?
Le cannabis comme traitement du TDA/TDAH - Sensi Seeds
Adderall, un médicament couramment prescrit aux enfants américains souffrant de TDAH (© Tony Webster).
« TDA » est le terme qui était précédemment utilisé pour désigner ce que l’on connait depuis 1987 presque exclusivement sous le nom de TDAH. Le TDAH est un trouble complexe qui se manifeste pendant l’enfance (généralement entre 6 et 12 ans), et qui a trois fois plus de chance d’être diagnostiqué chez les garçons (mais certains suggèrent que ses symptômes se manifestent différemment chez les filles et que le diagnostic de cette maladie est donc souvent incorrect).
Les enfants souffrant de TDAH présentent divers comportements sociaux atypiques, comme le bavardage incessant, l’incapacité de lire les signaux sociaux, la bougeotte ou l’incapacité à se concentrer sur des tâches calmes. Ils peuvent également manquer de patience, souvent interrompre les autres, ou se comporter de manière inappropriée. On pense que le TDAH est le fruit d’une combinaison de facteurs environnementaux, génétiques, et possiblement viraux ou bactériens.
Des études jumelées suggèrent que jusqu’à 75 % des cas de TDAH sont d’origine génétique, et d’autres études ont montré que la plupart des gènes impliqués dans le TDAH sont également impliqués dans la transmission, dont on sait maintenant qu’elle est en partie contrôlée par des molécules liées au système endocannabinoïde, comme l’anandamide. Il y a également eu au moins une étude dont les résultats suggèrent qu’une infection ou un traumatisme au cerveau peut entraîner plus tard l’apparition du TDAH.
Le rôle du système endocannabinoïde dans le TDAH
Le cannabis comme traitement du TDA/TDAH - Sensi Seeds
Les enfants souffrant de TDAH ont d’extrêmes difficultés à se concentrer pendant longtemps sur des tâches calmes (© WoodleyWonderworks).
Il semble qu’une perturbation prénatale du système endocannabinoïde puisse être une cause sous-jacente du TDAH. Il a été démontré à plusieurs reprises que le bon fonctionnement des endocannabinoïdes anandamide et 2-AG, ainsi que des récepteurs cannabinoïdes eux-mêmes, joue un rôle fondamental dans le développement cognitif et psychomoteur normal des enfants en bas âge, non seulement chez les humains mais également chez divers animaux.
L’équilibre entre les comportements à la recherche de nouveauté et le développement d’inhibitions comportementales réfractaires au risque est fondamental pour un développement psychomoteur normal, et on sait que le système endocannabinoïde joue un rôle essentiel dans la gestion de cet équilibre important. Une recherche de nouveauté excessive et une réduction des inhibitions comportementales sont les principaux signes du TDAH.
Une étude menée sur deux types de souris élevées sans récepteurs CBâ‚, soit dans les neurones glutaminergiques soit dans les neurones GABAergiques (les cellules du cerveau qui produisent la glutamine et l’acide gamma-aminobutyrique, respectivement) a constaté que les souris sans CBâ‚ glutaminergiques recherchaient moins la nouveauté, et que celles privées de neurones GABAergiques présentaient moins d’inhibitions comportementales.
L’activation des récepteurs CBâ‚ a donc un effet opposé sur la recherche de nouveauté et les inhibitions comportementales, selon le type de neurones concerné. Cela démontre que, concernant les comportements impulsifs, le fonctionnement correct du système EC est très complexe et précis, et que des troubles comme le TDAH peuvent apparaître si l’équilibre est rompu.
Les facteurs génétiques du TDAH
Il est bien connu que de nombreux facteurs génétiques sont à l’origine du TDAH, et il se pourrait bien que des différences de fonctionnement du système endocannabinoïde liées aux gènes modifient la réponse de chaque individu aux cannabinoïdes.
Dans une étude récente (Pandolfo et al. 2009), l’agoniste synthétique WIN55,212-2 a été administré à deux lignées génétiques distinctes d’animaux, des rats Wistar et des rats SHR. La lignée de rats SHR est connue pour présenter des symptômes de TDAH.
Il a été démontré que, chez les rats SHR, l’administration de WIN55,212-2 causait une préférence de place conditionnée à la fois chez les rats adolescents et les rats adultes, alors que chez les rats Wistar, le WIN55,212-2 ne causait une aversion de place que chez les spécimens adultes. Ces effets contrastés observés chez ces deux lignées suggèrent que c’est leur patrimoine génétique qui est responsable, et que les différences entre les rats SHR adultes et adolescents indiquent que l’expression génétique liée à l’âge joue également un rôle.
L’importance des inhibiteurs de l’assimilation de l’anandamide
Le cannabis comme traitement du TDA/TDAH - Sensi Seeds
Les enfants souffrant de TDAH sont « toujours en mouvement », ils ont la bougeotte et ils courent souvent trop (© peace6x).
Les molécules qui inhibent l’assimilation de l’anandamide (soit directement, soit en inhibant la production de l’enzyme qui dégrade l’anandamide, l’hydrolase des amides d’acides gras ou FAAH) provoquent une augmentation de l’anandamide naturellement produit dans le sang, et on découvre de plus en plus qu’elles exercent divers effets importants.
L’anandamide joue un rôle fondamental dans d’innombrables processus développementaux nécessaires aux performances cognitives et psychomotrices normales. Il a été démontré à maintes reprises que l’anandamide joue un rôle dans tous les stades du processus reproducteur, en influençant d’abord la fertilité parentale, puis en supervisant l’implantation de l’embryon dans l’utérus et en guidant le développement du cerveau et du système nerveux central du fœtus.
En raison de cette prise de conscience croissante de l’importance de l’anandamide, on considère maintenant avec sérieux que l’hypothèse selon laquelle des perturbations prénatales du système endocannabinoïde sont à l’origine de nombreux troubles neuropsychiatriques, notamment l’autisme, la schizophrénie et le TDAH.
Une étude italienne (Viggiano et al. 2008) a examiné les liens entre l’anandamide et le TDAH en administrant de l’AM404 (un inhibiteur de l’assimilation de l’anandamide) à des rates enceintes de la lignée Naples High Excitability (NHE), qui est connue pour présenter des symptômes d’hyperactivité et d’autres symptômes de type TDAH. Ces chercheurs ont constaté que les rats à qui avait été administré de l’AM404 montraient une hyperactivité réduite et une meilleure capacité d’attention que les rats ayant reçu un placebo.
Ces résultats suggèrent qu’une diminution du niveau d’anandamide chez les rates NHE enceintes pourrait être à l’origine de l’apparition de symptômes de TDAH, et que l’augmentation de ce niveau d’anandamide a probablement un potentiel thérapeutique pour le TDAH humain.
À quel moment la transmission dopaminergique entre-t-elle en jeu ?
Le cannabis comme traitement du TDA/TDAH _ Sensi Seeds
Les enfants souffrant de TDAH peuvent facilement s’ennuyer et ils préfèrent souvent les jeux et activités de plein air (© John-Morgan).
D’éventuelles anomalies dans la transmission dopaminergique anormale dans le striatum (une zone du cerveau qui est liée aux fonctions de motricité fine et aux interactions sociales) jouent un rôle fondamental dans le TDAH, et on sait également que cette transmission régule l’activité du système endocannabinoïde. Une étude (Castelli et al. 2011) a examiné le fonctionnement des récepteurs CBâ‚ chez des souris élevées pour présenter des symptômes de TDAH par le biais d’une mutation du gène de transport de la dopamine (DAT) et constaté que les souris sans gène DAT étaient également privées de la capacité habituelle des récepteurs CBâ‚ à contrôler d’importantes fonctions synaptiques dans le striatum.
Une autre étude (Tzavara et al. 2006) menée sur des souris sans gène DAT a découvert une réduction significative du niveau d’anandamide dans le striatum, et que trois agonistes endocannabinoïdes indirects (des molécules qui font indirectement augmenter le niveau d’agonistes directs comme l’anandamide, activant les récepteurs CB par ce biais), l’AM404, le VDM11, et l’AA5HT réduisaient l’hyperactivité locomotrice (des mouvements excessifs comme avoir la bougeotte ou courir de manière incontrôlée).
Ces chercheurs ont cependant constaté que le niveau d’AM404, de VDM11 et d’AA5HT était également réduit quand ils co-administraient de la capsazépine (un antagoniste du TRPV1), mais pas quand ils co-administraient de l’AM251, un antagoniste sélectif des récepteurs CBâ‚. Cela indique que le dysfonctionnement de la transmission d’endocannabinoïdes dans le striatum est lié à l’augmentation du niveau de dopamine, et que les récepteurs TRPV1 sont les principaux régulateurs de cet effet. Les thérapies qui visent à activer les récepteurs TRPV1 constituent donc un domaine de recherche prometteur pour le TDAH et les autres troubles caractérisés par une hyperactivité.
La consommation de cannabis et le TDAH
Il est estimé qu’entre 17 % et 45 % des adultes souffrant de TDAH consomment trop d’alcool, ou en sont dépendants, et qu’entre 9 % et 30 % consomment trop ou sont dépendants d’une autre drogue que l’alcool. Des sources non confirmées suggèrent qu’une partie significative des individus souffrant de TDAH consomment du cannabis en automédication, et que ces derniers rapportent un soulagement de leurs symptômes et de leur sensation d’« agitation intérieure ».
Les éléments existants suggèrent que les agonistes des récepteurs CBâ‚ comme le THC, l’anandamide et le WIN55,212-2 ont la capacité potentielle de réduire certains effets du TDAH, car les souris « knockout » CBâ‚ présentent une réduction de leurs comportements de recherche de la nouveauté. Cependant, comme les souris sans récepteurs CBâ‚ dans les neurones GABAergiques présentaient une réduction de leurs inhibitions comportementales, l’effet bénéfique est compromis. Des recherches plus poussées vont certainement élucider les liens complexes entre le système EC, les comportements impulsifs et les troubles comme le TDAH.
http://sensiseeds.com/fr/blog/le-cannab … u-tdatdah/
D'autres pistes :
Science: la consommation modérée de cannabis a un effet positif sur le traitement de la dépendance à la cocaïne chez des patients avec un TDAH
Une étude menée à l’Institut fédéral de psychiatrie de New York a révélé que la consommation modérée/intermittente de cannabis permettait de mieux supporter le sevrage de cocaïne. Parmi les groupes participant à l’étude, celui composé de 92 cocaïnomanes, âgés entre 25 et 51 ans, et chez qui un TDAH (TROUBLE déficitaire de l’attention) a été diagnostiqué a mieux supporté le sevrage que les autres groupes. L’étude clinique avec du méthylphénidate pour traiter à la fois le TDAH et la dépendance à la cocaïne a eu pour objet d’étudier les effets de la consommation de cannabis sur la poursuite de la thérapie et le sevrage de cocaïne.
Au cours de la 14ème semaine, le pourcentage des patients qui n’ont pas abandonné l’étude était de 24 % dans le groupe des patients renonçant au cannabis, de 57 % dans le groupe des consommateurs modérés/intermittents de cannabis et de 39 % dans le groupe des consommateurs forts/réguliers de cannabis. De plus, la consommation de cannabis a pu être associée au taux le plus élevé de réussite de sevrage de cocaïne. Parmi les personnes qui ont déclaré consommer du cannabis de façon intermittente, 39 % ont réussi à arrêter la cocaïne pendant deux, voire plusieurs semaines, comparé aux 26 % des patients qui ont indiqué ne pas consommer du cannabis pendant le traitement. C’est la première fois qu’une étude a été conduite sur l’utilisation de cannabis en rapport avec le résultat du traitement chez des cocaïnomanes.
(Source: Aharonovich E, Garawi F, Bisaga A, Brooks D, Raby WN, Rubin E, Nunes EV, Levin FR. Concurrent cannabis use during treatment for comorbid ADHD and cocaine dependence: effects on outcome. Am J Drug Alcohol Abuse. 2006;32(4):629-35.)
Science: Les cannabinoïdes sont efficaces dans un modèle animal d’hyperactivité
Le TROUBLE déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDA/H) est un syndrome neuropsychiatrique qui affecte les enfants et les adolescents. Ce syndrome est caractérisé par une détérioration de l’attention et par un comportement hyperactif-impulsif. Les chercheurs italiens ont étudié le TDA/H dans un modèle animal, en utilisant la souche de rats génétiquement hypertendus (SHR), que l’on considère comme un modèle animal du TDA/H.
Les rats SHR ont été comparés à des rats normaux. Dans les essais, on a observé qu’un sous-groupe de rats SHR a réagi de façon très impulsive. Les chercheurs ont découvert que les animaux de ce groupe SHR impulsif présentaient une densité réduite de récepteurs aux cannabinoïdes CB1 dans le cortex préfrontal du cerveau. L’administration d’un cannabinoïde synthétique qui – comme le THC – se lie au récepteur CB1 a normalisé le profil de comportement impulsif dans ce sous-groupe de rats SHR, mais n’a pas eu d’effet chez les rats normaux.
Jusqu’à présent, il n’existe pas de recherche clinique sur le cannabis ou les cannabinoïdes dans le TDA/H, mais plusieurs patients ont rapporté des effets positifs. De plus, une étude clinique sur le THC dans le syndrome de Gilles de la Tourette a démontré une amélioration du comportement compulsif obsessif.
(Source : Adriani W, et al. The spontaneously hypertensive-rat as an animal model of ADHD: evidence for impulsive and non-impulsive subpopulations. Neurosci Biobehav Rev 2003;27(7):639-51)
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