Bon, bon, bon.. j'émerge d'un espèce de coma-mental sans avoir dormis. J'ai récupérer ma lucidité et j'ai tout de suite compris que c'était bien partit en couille en allant pisser et en passant dans ma salle de bain. J'ai fumer ma dernière clope, et un bon nicorette dans la bouche je me dois d'apporter quelques.. précisions sur tout ce bordel que je vous ai exposer.
De une car beaucoup de choses sont mal dites, beaucoup de points ne sont pas précisés, et surtout même si je pense que vous l'avez bien compris : Je prétend ne pas avoir subit de
descente a un moment, je suis sérieux ?
Ce pétage de plomb est a classer dans le top 3 des plus grosses
descentes et j'en ai honte.
J'ai penser tout supprimer mais bon.. assumons et laissons ce témoignage ridicule en vue, il pourrait servir.
Alors pour commencer j'ai légèrement oublier de préciser, sans doute par "peur du ridicule", que j'ai pas un AMI ( au sens humain, comme vous l'imaginez en lisant normalement ) malade mais un animal. Hors, ma vue du monde me fait voir chaque être vivant comme mon égal ( et je suis vegan. )
Donc, sans doute par peur de ne pas être compris (humpf.. de toute façon vu la suite.. ) j'ai dit " J'ai un ami malade". Oui et non. En fait mon cher compagnon animal, qui est un rat, souffre d'une pneumonie aiguà« liée au fait qu'il a absorber de la
base, de la fumée de
joint et de clope pendant très longtemps car je laissais un peu tout le monde ( et moi même ) fumer près de lui.
Ensuite, j'ai pas parler du reste. Parce qu'il était bien beau mon diaporama sur le post "descente aux enfeeeeereuhs" ( j'me moque de moi même mais il est quand même bien plus utile ce post.) mais j'ai pas préciser que dans mon délire : la greygoose je l'ai sifflée. Encore une fois, par honte de ce que j'avais fait sans doute. Pi la champagne je l'ai ouverte, j'ai servi deux
coupes ( pourquoi deux ? Je vit seul.. onsépa. ) et je l'ai laissée ouverte toute la nuit sans y toucher par la suite. ( Sauf les deux
coupes. )
Forcément si on rajoute 1L de vodka sans soft et deux
coupes de champ on comprend mieux le bordel.
Ensuite, toujours par déni total de la réalité de mon pétage de plomb rendu publique et nécessitant désormais une justification honnête "de principe", j'ai aussi menti sur la quantité. Puis le mec qui voit la photo de mon miroir sur l'autre post et qui a un minimum de sens de l'analyse, même si j'ai hypocritement placé une boite de bicarbonate à coté pour faire genre, qu'il y a plus de 2.5g sur mon miroir. Donc la réalité de la chose c'est que 1 : J'ai vraiment vendu 0.5 au lieu d'1g a une pote en fin de soirée pour en avoir plus pour moi, 2 : Y'avais 5g-0.5=4.5g ( math sup - math spé ). Dont 2 que la personne qui m'a filer les billets qu'on voit dans cette mise en scène ridicule va venir chercher ce soir.
Je prétend aussi que mon addictologue ne me cerne pas. Encore un mensonge a moi même dans ce genre de situation de lutte psychique. Parce que bon, c'est bien beau mes messages, mais j'ai siffler en 8/9 heures 4.5G de matos qui ressort noir au narco-check et qui est surpuissant. Alors que je sentais le besoin de faire une pause ces derniers temps. Arrosé d'un murge alcoolisée phénoménale..
Mon addictologue m'a très bien cerné. Elle a tout les comptes rendus de ce genre de "crises" qui, fort heureusement, ne sont pas fréquentes... mais parfois réellement publiques.
Ces crises, avec lucidité, n'ont rien a voir avec mes habitudes habituelles de consommation.
Elles ne sont que systématiquement la conséquence de l'accumulation d'un manque de sommeil, de beaucoup de BONNES soirées, et.. d'un événement assez dur que mon psyché affaiblit n'arrive pas a gérer.
Un début de bad implique une recherche psychologique du mal-être. Et du mal-être, j'vais vous donner un micro-pourcentage de ce qui fait que si j'en cherche, j'en trouve.
Ensuite, bin, c'est le cercle vicieux, et j'en ressort bien souvent avec un compte rendu d’hôpital du genre :
" Oui machin a pris de la C, de l'
alcool, de la
weed, de la
meth, de l'éphédrine, 7
laroxyl et a vider une fiole de nozinan. Et vu qu'il arrivait pas a dormir, une demi plaquette de
Stilnox. Veuillez faire penser a monsieur qu'il devrait sincèrement arrêter de se rendre de lui même a l’hôpital dans cet état avec son propre véhicule. (...)"
Au point de les saouler a l'hosto du coin. C'est eux qui m'ont mis la pression pour que je m'inscrire en
csapa justement a cause de ces crises qui sont quand même "un peu dangereuse", bien que rares ( j'dirais 3/4 fois par an ces dernières années, contre 4/5 par mois vers mes 18 ans et 1 a 15+ par semaine vers mes 16 ans)
Donc en gros, même si c'est super glauque, ce n'est vraiment pas représentatif de ma vie de tout les jours.
En général, je clean au fur et a mesure.. Je suis en couple et elle ne le sait pas, j'ose même pas imaginer sa gueule si elle voyait l'appart la.
Pour la suite bin.. survolons j'ai honte :
La partie "montée" j'ai envie de me gifler. Super, t'a décrit un trip, il est content ? En plus c'est bien au moins je vois a quoi j'ai accordé du temps sur ma dernière trace. Une branlette, une vidéo débile d'un film que j'adorais ado, et de la musique. Je vois aussi que j'suis vraiment persuadé d'avoir un bon esprit d'analyse. Très très très fort. Et j'ai fait le tapis pour m'en envoyer une dernière ? Quelle honte... bref.
Pour la partie
descente "une", histoire de lui donner un nom, La j'ai + l'impression de voir un bad alcoolique quoi.. Pour avoir vécu, car je reste un consommateur quasi-quotidien, un nombre incalculable de
descente ( et c'est vrai quand je dis les maîtriser sans benzo dans 95% des cas, toujours en rapport a mon passé ce n'est pas de la vantardise. ) je n'en reconnais pas une la. J'étais encore sous prod au ressenti.
Par contre.. la dernière partie est très intéressante.. même pour moi. Parce que malgré le 'ouin-ouin' de la partie une, on m'aurait proposer une méga-trace je l'aurais prise.
Ces.. craquages ne sont pas liés a ma "cocaïnomanie" pour nommer un chat un chat, mais a des problèmes personnels, des accumulations de fatigue, et une espèce de déprime latente liée a des blessures non refermées. Ces craquages SONT pour moi une forme de skyzophrénie. Et c'est pour ça que je me suis permis, honteusement, d'oser critiquer le psy de mon
csapa en le prétendant incompétent majama. Car c'est ce qui rend la crise intéressante : Que j'ai "décidé" de l'exposer, comme ça.
Je vais être honnête et vous compiler 4/5 crises que j'ai pu connaitre dans ma vie et la dope associée pour que vous compreniez que c'est pas des conneries, que j'ai "beaucoup travailler" et que je ne suis pas aussi timbré que ce que les post précédents peuvent faire croire. J'y vais décroissant, pour "le fun".
5 : La crise d'hier.. pardon d'aujourd'hui ! ( T_T )
4 : La fois ou j'ai prétexté devant un videur de boite de nuit que j'allais m'engager dans l'état-islamique et que je les emmerdais tous pour m'avoir foutu dehors, ces enfoirés, et que j'allais revenir leurs "niquer leurs race".
(CC +
Alcool +
weed + manque de sommeil et surmenage pro. 23 ans.) Très peu de conséquences en vue de ce qui aurait pu m'arriver. Autant niveau physique car les gars pesaient une tonne qu'au niveau judiciaire. La chance m'a ouvert les yeux et engagé le processus qui fait qu'en temps normal, aujourd'hui, je ne bois que très peu et ne fume qu'extrêmement rarement et a léger dosage.
3 : La fois ou un mec ivre nous a emmerder pour une clope moi et un grand groupe de pote, posés dans Paris, nos scooter garés par loin et nos casques en main. Après tous nous avoir insulter, il était suffisamment ivre pour faire une stupidité telle que : Mimer un geste d'égorgement en déplaçant sa main près de mon cou. Je bloquais depuis un bon moment.. trop perché moi aussi. Le résultat fut 3 coups de casque, un trauma crânien assez grave, 1700 euros d'amende et 3 mois de sursis. J'avais 6 témoins pour m'arranger.. et il me semble avoir entendu dire au poste qu'il était lui même bien chargé. J'ai réussit, avec une
descente instantanée quand j'ai pris conscience de ce que je venais de faire et vu le visage blême de mes amis, a ne pas me faire tester pour la dope.. (
amphétamine +
kétamine +
alcool .. et sans doute d'autres trucs.. 19 ans)
2 : La fois ou j'ai, lors d'une interpellation, mimer le fait que je dégainais un flingue en face de 3 agents des stups. Non content de ne pas m'être fait descendre, lorsqu'ils m'ont maîtriser j'en ai mordu un au sang. Ils m'ont défoncer la gueule. ( C'est logique aussi.. le pauvre a du flipper.. sida et tout.. ) J'ai perdu conscience jusqu’à me retrouver attaché sur un banc en au poste. Si ça s'arrêterai la ce serait déjà suffisant... mais j'ai réussit a tellement forcer que j'me suis libérer d'une menotte et que j'ai mis une beigne a l'un d'eux qui était "un peu moqueur". Ils m'ont re-défoncer la gueule. J'ai encore repris conscience plus tard, et, vu que j'étais très têtu, j'ai commencer a hurler au premier mec des stups ( et la franchement ils étaient a cran et très pressé de m'emmener a la prise de sang.. ) " Viens espèce de "Bip" on va dans la pièce comme des hommes en tête a tête et j'te "bip" ta race. Manque de bol, c'était celui que j'avais mordu, et il a répondu a ma requête. J'ai a nouveau (... c'est étrange d'en parler vu comme j'ai repris ma vie en main maintenant ) perdu connaissance et j'me suis réveillé dans la voiture en route pour la prise de sang. Et parlant de sang, j'en étais couvert. J'avais très mal, vu que le temps et les prod étaient passés, alors j'ai enfin commencer a fermer ma gueule. On a même rigolé un peu. Entre deux " Vous avez rien d'autre a faire que d'me faire chier, allez donc sauver des femmes de viol ou faire des trucs utiles " j'leurs lançais des petits défis. " Mettez le gyro et conduisez comme des hommes !" Et le pire c'est qu'ils l'ont fait.
Arriver a la prise de sang, j'avais assez récupérer pour re-devenir casse burne. Déjà car ils sont rentrés avant et on TOUT fait pour que je ne me voie pas dans un miroir. Et car quand j'ai vu la tête du médecin quand il m'a vu.. j'ai vraiment eu envie de voir un miroir. Et donc je suis repartit en couille et vu qu'ils avaient un peu peur quand même, l'autre évoquait la nécessité de m'emmener aux urgences.. Et bin j'ai été insupportable et y'a pas eu moyen de me tester pendant plus d'une heure-30. Le médecin a du soupçonner des ripoux et m'a beaucoup aider. Et j'ai mimer le comportement d'un type qui a juste trop bu.. et seulement bu.
Résultat : Ils n'avaient rien d'autre que leur témoignage verbal pour justifier cette jolie liste :
- Une cote fissurée.
- la moitie du visage couverte d'hématomes assez impressionnants
- le poignet fracturé ( en me dé-menottant )
- la perte partielle définitive de la vue sur mon oeil gauche suite a un choc de matraque
- les 11 points de sutures et leur traitement très tardif au niveau médical au niveau de l'arrière du crane. J'édit un ajout ( oui quand je suis lucide je me relit.) : C'est pas des monstres non plus, ils m'ont plaquer une compresse imbibée d'
alcool a 90° qu'ils ont fixer avec du scotch de maintient. Bon, pour l'accrochage d'une grosse quantité de mes cheveux, je devais être agité.. ils ont du manquer de précision. Ironie-pro. L'urgentiste était scandalisé, et j'étais blanc de chez blanc. On m'a perfuser.
- une dent en moins, 750 balles la couronne, bim.
- une hémorragie nasale, et une cicatrice en cadeau.. l'histoire me revient quand j'me lave devant la glace et que j'la vois.
Et quand ils m'ont fait souffler, le temps avait passé, j'étais a 0.49.
Y'a pas de quoi être fier mais comme c'est derrière moi, j'préfère en rire.
Ils m'ont mis 12H de GAV et ont utiliser les vidéos ( avec son ) du comico pour justifier tout ça, sans pouvoir expliquer "pourquoi je suis arrivé déjà bien amoché, et pourquoi avoir massacrer un 'ivrogne'.
Après 12H, j'étais un peu fatigué.. et la nouvelle responsable de rotation quand elle m'a sortit était sous le choc. Moi, toujours pas vu de miroir. On m'a descendu, pris des renseignements, et fiché pour 21 ans sous ce motif "Comportement violent envers les représentants de l'ordre". Fichage encore actif à la DGSI.
"- Vous désirez porter plainte ? - Je peux ? - Oui, mais vu la vidéo... - Alors pourquoi vous me demandez... "
Comble du comble, étant majeur, on a quand même obliger ma mère a venir me chercher en la menaçant de me remettre en GAV. " Il est trop dangereux votre petit." J'étais inoffensif a ce moment la..
La madré ( pardon.. infiniment pardon ) à fondue en larmes en me voyant, et moi j'étais encore en train de demander un putain de miroir.
Au final quand je l'ai eu mon miroir, j'ai compris. C'était le miroir de l'hosto ma mère a eu la bonne idée, après 15H dans ce merdier, de m'emmener a l’hôpital.
La question magique va trouver sa réponse : J'étais sous quoi ? ! ? ! ? !
( Surconsommation de
crack toute l'aprem, puis médicaments pour la
descente, puis passage a une surconsommation d'
alcool /
amphétamines le soir. Ou comment être réellement invincible. 18 ans. )
1 : La chose honteuse, qui surprend mon psy au
csapa qui me voit toujours bien habillé, bien rasé, qui sait dans quoi je bosse. ( j'ai un boulot assez class en vrai maintenant ;P , on a tous le droit a une seconde chance.. tous. ) Cette "blessure non cicatrisée" qui a elle seule me rappelle toute une période "gâchée" et qui, parfois, me fait oublier le bonheur que j'ai réussit a atteindre par tant de persévérance alors que c'était pas gagné. Qui me fait, en cas de craquage, oublier tout ce que j'aime.. et me pousse a me détruire.
16 ans, déscolarisé depuis 3 ans, enfermé dans ma chambre sur des jeux en ligne parfois 1 mois consécutif et sans me laver et ayant que pour seul ami un pote "du net" qui avait le don pour se faire prescrire tout le merdier possible et imaginable. Une période a me gaver de
subutex en
sniff, a fumer du
shit, picoler. Tout un tas de médocs dont je me souvient même plus.. déphasé complètement. J'ai soudainement eu envie de suicide, et une haine du monde, car pour moi jamais il ne m'accepterai ce monde. Alors, puisant l'inspiration dans une admiration horrible et malsaine des deux gamins tarés qui ont commis le massacre de columbine, j'ai commencer a élaborer un plan pour massacrer l'intégralité du lycée ou j'étais. La raison majeure ? On se moquait un peu de moi. ( En même temps putain tu te laves pas t'a 21 cm de cheveux et t'es toujours habillé pareil en plus d'être un toxicomane majeur ... et mineur a la fois ! ) Mon plan, je m'interdit d'en rire ou de blaguer sur cette chose, a HEUREUSEMENT été découvert par ma pauvre mère. (pardon pardon pardon...)
On m'a interné. On m'a encore gavé de médocs, on m'a fait parler a des psychologues de très très très très haut niveau. On m'a aussi interdit la fréquentation de tout établissement scolaire donc.. j'ai signé l'arrêt définitif de mon éducation à 16 ans. On a accabler ma pauvre mère de tout les maux, et elle qui était sous
méthadone depuis ma naissance a fait une rechute spectaculaire et a frôler la mort. Elle est devenue obèse, et depuis elle a redémarrer son
sevrage du début. Elle n'y était pour rien la pauvre.. j'étais juste "différent".
J'ai beaucoup écrit, déjà car c'est plus intéressant que la merde que j'ai pu lâcher lors de la crise, et ensuite car j'avais besoin d'expliquer comment on peut en arriver à la. Car j'ai honte, car en me relisant j'ai eu l'impression de me revoir a une époque oubliée, et car c'était justement le cas.. j'ai fait une "rechute"
Après, au vu de ce que je vous ai décrit, j'pense que vous comprendrez qu'aussi impressionnante soit-elle, elle reste bénigne cette crise.. en rapport a mon passé.
Dans 99% du temps je vis bien mes addictions. Je ne touche qu'a la poudre, je ne bois presque plus, je ne fume plus de
joint, j'ai une aversion pour les médicaments de toute sorte et surtout : J'aime la vie ! ( et LA c'est vrai.)
Mon histoire avec la drogue est complexe, précoce et même en dehors de la
came en bien des choses assez.. spéciale. Et pour re-prendre le principe que mon délire à pondu " d'expérience", et bien la seule chose qui est visible une fois que les vrai explications sont la, c'est : " Qu'est ce qu'une prise de stupéfiant suicidaire et auto-destructrice via un mélange et une surconsommation de produit. En bonus : Comment avoir un ange gardien et y survivre."
En lisant cette dernière confession honteuse ( ah oui j'insiste vous imaginez même pas en plus c'est public et tout... olalala ) j'espère que vous comprendrez les choses.
On peut TRÈS bien vivre une conso "unique" sans dépendance physique. On peut se maîtriser, avoir un cadre de vie propre, une bonne situation. J'ai justement, via ce passé, toutes les connaissances ( et j'ai vraiment la volonté d'y partager.. juste j'vais éviter de le faire en montée/descente a présent ) requises pour limiter les risques avec la
coke.
J'ai toujours pas dormis, mon rat est toujours en train de crever, y'a toujours pas de
craving ( Oh, sans BLAGUEEEEEE ?
) et non je n'irai pas m'auto-interner. C'est totalement inutile. Je me maîtrise de plus en plus sur cet aspect "dépression latente", de moins en moins de crise et surtout.. de moins en moins graves.
J'ai aussi senti, dans cette dernière, et dans le fait qu'il y ait les photos .. le lavabo dans cet état.. un message de "moi à moi". Ou le "moi d'avant" à laisser un message de rappel au "moi de maintenant". C'est un peu compliqué mais j'ai cette impression la.
Vu qu'il faut une utilité a tout ces événements.. une leçon, et si y'a quelque chose a en ressortir je dirais :
Si vous êtes un toxico précoce, atteint du syndrome d'obélix, qui a commencé jeune et qui est tombé dedans petit. Si vous vous dites que jamais ça n'ira, que vous ressentez cette auto-destruction de manière permanente. ( Car en fait une "crise pétage de plomb" comme les mienne n'est que l'explosion de ma retenue.) Et bien, il y a toujours, quoi que vous aillez fait, et quoi que votre passé vous renvoient dans la gueule, une possibilité d'avoir une belle vie. Et même si le passé vous rattrape de temps a autre en cas de fatigue.. ou d’événement dur, et bien dites vous que vous expédier un mélange hallucinant.. ou un une
IV surdose etc etc n'est qu'un abandon lié a l'oubli qu'on a tous une seconde chance.
Ma leçon à moi, c'est qu'avant que mon esprit ne rende la chose incompatible, je fumait juste beaucoup. Et si j'avais l'idée de picoler en même temps, en général c'était => Vomito-titubage-lit-dodo. Et puis, surdoses le
bédo c'est juste soporifique. Dorénavant, je m'arrangerais pour ne JAMAIS avoir une telle quantité de prod chez moi. Et, une bonne fois pour toute et vu que j'ai tout finit (+ gâché une veuve cliquot pleine ) et que j'aimerai vraiment m'en débarrasser, ne plus avoir d'
alcool chez moi.
C'est mon instinct de drogué qui m'a fait rester sur le forum et écrire.. écrire ... écrire. Le bilan c'est qu'étrangement et vu sous cet angle, c'était vraiment une "expérience".
Allez, j'vais me faire croire que je peux dormir, encore désolé pour tout ça.. c'est chaud olalala..... Je vais QUAND même laisser le poste "Descente en enfeeeeereuh" car je sais que la dame blanche rend certains appart comme ça donc peut être qu'ils se sentiront moins seuls. Mais croyez moi demain y'a pas un mouchoir qui traîne car si je
sniff encore je perd ma cloison.
C'est (presque) finit tout ça. :)
( Mais elle est tellement bonne que j'lui dit quand même ... disons, a samedi !
)
Dernière modification par Rakoon (06 mars 2016 à 13:36)