Dernière modification par Caïn (25 juillet 2016 à 17:31)
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Je n'ai pas compris ce que tu veux me dire par 'c'est ta méchanceté qui te sauvera' .
On a tous quelque chose en nous d'impitoyable, une force qu'on use pour se protéger, ça peut être la détermination, penser à soi avant de penser aux autres. Ta dépendance pourrait tragiquement annihiler ta combativité à affronter la vie. En revenant sur des bases, je pense que c'est bon signe si tu te trouves à la fois méchante et productive, ça permet d'une part d'arrêter de penser à la substance.
Pour te donner un exemple :
Au début de ma dépendance, je me trouvais puissant par le fait que je pouvais dire aux autres quoi faire et que je ramenais du pognon à la société pour qui je travaillais. J'avais donc toujours raison et c'était mon pouvoir.
Aujourd'hui, le pouvoir pour moi c'est une capacité à obtenir le travail que j'ai envi, sans objection hiérarchique, sans recherche de supériorité intellectuelle. Ma détermination, elle est dans le fait que j'abandonne beaucoup de chose inutiles pour me contenter d'une supériorité sociale que je pourrais obtenir sur un tas de gens.
Dernière modification par SteveJordanrider (25 juillet 2016 à 23:09)
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Caïn a écrit
si tu réussis à décrocher et si tu replonges ben du coup tu t'enfonces dans la dope parce que tu associes "décrocher" à "souffrir atrocement".
Tenter les sevrages secs sans connaissance conduit à ce type de réflexion.
Ce n'est pas souffrance qui émerge, ou l'ennuie.. c'est le mode de vie qui change.
Si tu restes dans tes habitudes, tu ne peux pas passer le mur.
Retirer la substance implique un changement de personnalité.
Réussir à sortir de la dépendance t'oblige déjà à te connaître sans la substance si tu veux avoir une once d'espoir et de maitrise.
Ainsi si je passe mes soirées à danser sous la substance, sans substance je n'aurais plus envi de danser, et donc je fais autre chose, je vais dormir au ciné par exemple.
En fait le plus compliqué c'est de savoir ce qu'on aime vraiment, et combiner à cela une capacité à éjecter les pensées toxiques.
Dernière modification par SteveJordanrider (25 juillet 2016 à 23:22)
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j'ai souvenir d'avoir lu que les excès de codéine pouvaient amener à des déchaussement de dent ( recul de la gencive... ??? c'est sérieux, tu vois où je veux en venir... )
Manipuler une personne par la peur... Elle est certainement dans une situation psychologique difficile et ton intérêt est de trouver par des moyens capillotractés de susciter la peur. Dans ce contexte et ailleurs, je me demande l'intérêt de telles pratiques.
Pour compléter, tu aurais du dire :
j'ai souvenir d'avoir lu que les excès de codéine pouvaient amener à :
- l'exclusion financière
- le vol
- la prostitution
- la vente d'un rein
- la vente des reins des enfants
- la prostitution des enfants
- la vente des enfants
Tant qu'à faire peur, va zy franchement, pas avec une gingivite quoi !
Bon courage à toi Claire, en espérant dédramatiser certains propos. A force de dramatiser, les oiseaux ont pris l'habitude de nicher dans l'épouvantail de toute manière.
Dernière modification par Mister No (26 juillet 2016 à 09:12)
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ça se saurait si en "chier" grave avec son sevrage protégeait de la rechute!
Le simple bon sens laisse supposer que plus le sevrage est difficile, plus les chances d'aboutir sont minces, sans spéculer sur la suite du sevrage.
Après, envisager et programmer une souffrance forte me parait être une vision mystique, religieuse du sevrage et de son déroulement qui doit se vivre comme une pénitence, une épreuve afin de recevoir l'absolution. C'est un mélange des genres qui peut être dangereux et surtout profitable à ceux qui font le commerce de la peur.
Si l'enfer est pavé de bonnes intentions, certains construisent des autoroutes à péage...
Le fait de pouvoir se stabiliser ou programmer une diminution raisonnable avant le sevrage est aussi l'illustration de la fin de l'addiction et le début de la fin de la dépendance en diminuant la tolérance. Cela veut dire aussi et surtout que l'usager reprend la main. C'est déjà une sacrée épreuve, je ne vois pas l'intérêt d'en rajouter.
Dernière modification par Mister No (26 juillet 2016 à 10:21)
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Dernière modification par away (26 juillet 2016 à 17:35)
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Excusez-moi d'avoir inventer des conneries sur les dents, d'ailleurs, un site avec certaines personnes assez relou en parle, et ce n'est peut-être que des conneries inventées aussi par moi :
Je ne t'accuse pas d'inventer, d'ailleurs sur le deuxième lien, on note tout de même que l'alcool est beaucoup plus néfaste que les opiacés. :)
Bref, même si tu dis à un alcoolique, si tu bois tu vas faire un cancer, c'est pas un argument très pertinent. Tu pourrais même mettre des images de ce cancer sur les bouteilles, pas certain que ça limite comme pour le tabac où on accepte de placer des images choquantes à la vue d'enfants pour pas grand chose ou justifier un tarif prohibitif censé dissuader.
Non seulement, ça ne dissuade pas, mais brandir l'épouvantail à une personne qui fait un sevrage rajoute de la peur, de l'angoisse et un processus culpabilisant qui n'apporte rien. Faire peur n'aide personne en général.
D'autre part, l'exagération des risques tend à décrédibiliser le discours. L'alcool est bien plus néfaste pour la bouche.
Dernière modification par Mister No (26 juillet 2016 à 18:36)
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Le fait de pouvoir se stabiliser ou programmer une diminution raisonnable avant le sevrage est aussi l'illustration de la fin de l'addiction et le début de la fin de la dépendance en diminuant la tolérance. Cela veut dire aussi et surtout que l'usager reprend la main. C'est déjà une sacrée épreuve, je ne vois pas l'intérêt d'en rajouter.
sisi je vais en rajouter, hi hi excuse moi suis un gros con
en fait je voulais rajouter que : avant d'entamer une sérieuse méthodologie pour diminuer les doses (un comprimé en moins par jour, par semaine, ou par mois), je crois que c'est bien de reconnaître que c'est pas forcément plaisant les effets de la codéine, et sans doute de tous les opiacées.
Par exemple, c'est vrai que les premiers effets relativisants sont efficaces mais faut commencer à bosser mentalement pour s'éduquer à ne plus rechercher la défonce, l'amusement, et savoir se contenter seulement du besoin. Et donc là où je veux en venir, c'est que c'est sans doute une bonne chose de reconnaître que vous n'aimez pas les effets de la codéine. Avoir envi de s'en sortir, c'est d'abord constater ce fait (que c'est pas terrible), sinon on voudra avaler les cachetons toute sa vie.
Ensuite faut faire attention, car les effets changent quand on change la dose, et donc les soirées défonces où on utililise plus de prod' sont normalement à proscrire, ou alors c'est pas du tout le moment de se sevrer.. y a des étapes. Si je doublais ma dose habituelle ce soir par exemple, je pourrais gravement kiffer, mais je me traiterais de connard le lendemain car j'aurais réactivé ma mémoire addictive. Le bonheur, me concernant, c'est d'oublier les effets d'une dose plus importante.
Dernière modification par SteveJordanrider (26 juillet 2016 à 20:51)
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Dernière modification par Syam (26 juillet 2016 à 23:51)
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Si je mange trop de chocolat (mettons plus de 5 tablettes) Steve, je serai ensuite malade, et c'est à cause de ça qu'en général je m'arrête au bout de deux tablettes max!
Pour toi la codéine c'est comme du chocolat, et la coke c'est du sucre alors ?
parce que c'est sûr que là , un grand avenir se dessine devant toi ...
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Dernière modification par Syam (27 juillet 2016 à 00:59)
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Tu expliques qu'importe la dose, les effets sont forcément agréables, ce qui n'est pas vrai. Regarde, il te suffit de reconnaître que tu prends trop de ce produit, que tu es trop défoncer à la longue, pour ensuite entamer une démarche de réduction des dosages. Il n'y a rien de sorcier puisque tu diminues les effets dégueulasses si tu diminues les doses. Si tu refuses de voir l'avantage que consommer tous les jours c'est chiant, et bien libre à toi c'est ton choix.
La volonté de sevrage, aussi brutale soit-elle passe bien par un souci de virer ce déséquilibre qui n'apporte plus rien à l'existence, d'où le fait qu'on puisse avoir envi de se sevrer dangereusement sans se poser de question, et d'où la nécessité d'appréhender parfois des effets pas si géniaux à la longue quand on use ce produit.
Il n'y donc aucun mensonge à reconnaître en soi un rejet du produit et des effets qu'il procure. Tu confonds la notion de besoin physique avec le craving qui est mental.
Je trouve ton approche dangereuse et irraisonnée.
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avant d'entamer une sérieuse méthodologie pour diminuer les doses (un comprimé en moins par jour, par semaine, ou par mois), je crois que c'est bien de reconnaître que c'est pas forcément plaisant les effets de la codéine, et sans doute de tous les opiacées
Ce qui pose surtout soucis, c'est que tu ne t'exprimes pas en "je", d'où cette impression de généraliser ou de vouloir imposer.
La volonté de sevrage, aussi brutale soit-elle passe bien par un souci de virer ce déséquilibre qui n'apporte plus rien à l'existence, d'où le fait qu'on puisse avoir envi de se sevrer dangereusement sans se poser de question, et d'où la nécessité d'appréhender parfois des effets pas si géniaux à la longue quand on use ce produit.
Encore des généralités. De nombreuses personnes traitent leurs douleur de manière chronique avec des opiacés et le vivent très bien, sans addiction. Sans compter que les opiacés peuvent s'envisager au long cours dans le cadre d'un TSO. Les effets ne sont pas ou plus plaisants.
D'ailleurs quand tu consommes des opis pour la douleur, en TSO ou pour te stabiliser et diminuer progressivement, bin, tu ne ressens même plus d'effets, disons pas les effets agréable du hight, du buzz, du planage, voire du flash pour certains. C'est la coupure avec le produit qui débute dès le changement de dosages et en régulant des heures de prise et parfois en changeant de mode de consommation voire de molécule.
Après, bien entendu, je comprends très bien que l'on veuille se sevrer, mais je trouve que le faire seul, sans accompagnement, sur un coup de tête, cela revient à prendre beaucoup de risques inutiles...
Dernière modification par Mister No (27 juillet 2016 à 09:17)
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Dernière modification par Caïn (27 juillet 2016 à 11:04)
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'ai simplement dit que je ne voulais que l'antibio, et qu'il me restait assez de klipal, merci. Trop fière
C'est super agréable de découvrir ou redécouvrir que l'on peut se dire "non" et que l'on peut conserver une forme de contrôle dans un secteur où on pensait avoir tout perdu. C'est même surprenant et agréable à vivre, ça nous redonne une meilleure image de nous-même. Enfin, c'est comme cela que je l'ai vécu.
Mais maintenant je ne sais plus trop comment aborder les choses.
C'est une bonne intro pour ton médecin ; "je ne sais plus trop où j'en suis"... Tu n'es pas censée faire tout toute seule, les médecins vont t'apporter une aide précieuse, surtout quand tu te sens "démunie" ou un peu perdue. C'est même leur rôle de te soutenir et de te rassurer dans ces moments là . Je crois qu'il faut y aller finger in the noze, sans forcément "préparer" l'entretien. Bien entendu, si tu as des questions à poser ou des choses qui te paraissent importantes, tu peux te faire un papier, un "aide-mémoire", tu seras rassurée ainsi de ne rien oublier. Tu as même le droit de n'écrire que : "je suis un peu perdue, help !"
Ne mets pas trop d'enjeux dans ces entretiens, ce n'est pas un entretien d'embauche ou un oral. Et de toute manière, les enjeux, tu les as parfaitement captés.
Bon courage.
Dernière modification par Mister No (27 juillet 2016 à 13:56)
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Le truc que je te conseillerais, c'est footing pour fabriquer des endorphines
La sensation de bien être pendant ou après l'effort est liée davantage à l'activation du système endocannabinoidien, que celui des endorphines.
Deux heures de piscine me font plus penser à une indica écroulante qu'à une prise d'opiacé.
Si l’on savait depuis longtemps que faire du sport déclenche les endorphines, en particulier la course de fond, les chercheurs montrent que finalement ces endorphines ne participent pas (ou peu) à l'”ivresse du coureur” : ce sont les endocannabinoïdes qui lui procurent ce sentiment de bien-être.
http://www.science-et-vie.com/2015/10/c … une-etude/
une grande marche dans la nature
Carrément, la rando trinkil mollo mollo est excellente pour apporter des modifications dans le rythme de vie. Pour commencer, la marche régulière permet d'envisager de reprendre la course dans de meilleurs conditions. Là encore, l'idée, c'est de ne pas trop tirer sur la corde et d'y aller progressivement.
Dernière modification par Mister No (27 juillet 2016 à 14:36)
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Mais je me souviens que c'était une bonne soluce en descente de trip, à défaut d'opis.
Jamais utilisé dans ce cadre, seulement avec des stims parfois pour arrondir des angles trop aigus. Ou alors en gros lâchage avec de l'alcool ou sans, mais rarement, certainement des instants de détresse où je n'avais pas de cannabis par exemple. Mais on m'a prescrit des benzos sur de longues périodes, xanax, lexomil, tranxène, myolastan. J'ai du tester aussi temesta, seresta, rohypnol, rivotril, urbanyl, valuim mais bof. Je me rends compte que j'ai quand même insisté pour vérifier que je ne les trouvais pas récréatif. Je paye ma tournée de déni sur ce coup.
Par contre, je n'ai jamais eu de soucis de dépendance ou d'addiction free style, et une très faible dépendance et un sevrage facile avec l'aide du médecin quand j'en prenais pour traiter l'angoisse.
Et l'idée avec le footing, c'est que ça peut favoriser une bonne nuit de sommeil.
Les endocannabinoides aident très très bien dormir. Ils sont aussi impliqués dans le processus d'induction du sommeil.
Les cannabinoides, pour moi, c'est la livraison de la dune du Pyla par le marchand de sable. Le sport également. Surtout l'endurance, nage, vélo, footing qui sont des strains très indica.
Là encore mollo mollo, faut pas traumatiser le corps, c'est un coup à forcer, se blesser ou y trouver du déplaisir.
Dernière modification par Mister No (27 juillet 2016 à 16:16)
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Tu es sur la bonne voie, restes y et fonces loin de que que je me suis personnellement auto-persuadé d'appeler une merde en vente libre !
Que tu trouves que te proder avec de la codéine soit merdique, je te l'accorde, mais depuis qu'elle est en vente libre elle a permis à des millions de personnes qui toussent ou qui souffrent de se soulager sans soucis de dépendance d'addiction ou sans même penser au mot "drogue"... Il ne faut pas oublier que la codéine est un médicament utile à des millions de personnes et que très peu développent une dépendance iatrogène.
Le mieux est l'ennemi du bien et l'enfer est pavé de bonnes intentions.
Cela me fait penser à certains moralistes, des députés^^, qui voulaient interdire l'automobile quand les premières ont été utilisées lors de braquos. Sauf que là , ce serait la bande à Bonnot qui demande d'interdire l'auto car ça la pousse à commettre des braquos, si tu me permets cette comparaison assez osée et un peu capillotractée.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Bonnot
Le 14 décembre 1911, Bonnot, Garnier et Callemin volent une automobile qu’ils comptent utiliser pour leurs projets. Utilisant ses connaissances des différents modèles, Bonnot a choisi une limousine Delaunay-Belleville verte et noire de 12 CV, modèle 1910, marque de luxe qu’il sait fiable et rapide12 (les moteurs étant conçus par Marius Barbarou).
A un moment donné, il faut essayer de regarder avec la tête droite pour regarder dans quel sens penche la balance et ce même quand les yeux sont en face des trous.
Avec le recul, ces députés sont ridicules. Suggérer l'interdiction de la codéine revient à ignorer la grande majorité qui se soigne et l'utilise comme un médicament. Dire en connaissance de cause que c'est de la merde, c'est un peu cracher au visage de ceux qui ont besoin du médicament en vente libre.
Ne t'étonne pas si un cortège d'étoiles rouges te tombe dessus dans ces conditions.
PS: pour les autres, n'oubliez pas ma dose d'étoiles rouges s'il vous plaît, merci
Le plus ignoble dans cette histoire, c'est que je n'en ai pas une seule !
Les rares fois où je dis que c'est de la merde en parlant d'un prod, j'argumente et en général, c'est quand le consommateur est dupé sur la nature du produit, comme les herbals noids ou les hashs noids.
Oublie ces étoiles, ton témoignage est bienvenu et même si nous ne serons pas forcément toujours d'accord, c'est ce qui fait la richesse de l'échange.
Les autos et la codéine doivent rester en vente libre à mon avis bien que je pense qu'il faille développer les transports en commun et diminuer leur cout pour les usagers. En plus de la codeine, je verrais pas mal d'autres molécules en vente libre en pharma, mais c'est HS ici.
Spéciale dédicace à toutes les rages de dent et aux utilisateurs des transports en commun.
Ensuite, l'alcool est en vente libre, se consomme au comptoir, au taf, partout même, cela n’empêche pas d'accéder aux soins et de devenir abstinent ou de changer de comportement avec cette drogue.
forcément il faudra encore arrêter, donc encore recommencer à m'infliger ça
Ce processus que tu évoques si bien montre un point où les TSO sont très efficaces, surtout quand la personne rentre dans un cycle infernal et perd toute son énergie dans des sevrages suivis de rechutes plus ou moins violentes, avec des fois l'alcool ou des benzos en plus quand la personne est à bout et usée. Mais c'est comme une voiture, cela dépend aussi de ce que tu en fais...
Pour en revenir à Claire, c'est bien qu'elle tente par elle-même de se débarrasser de la codéine et tant pis si c'est "brutal" ou sur un coup de tête du moment que ça lui convient et que ça lui permet de retomber sur ses pattes dans la durée.
Le plus dur parfois, c'est d'entamer la démarche.
Dernière modification par Mister No (27 juillet 2016 à 17:11)
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