bonsoir a tous,
j'ai besoin de parler, d'écrire se que je ressent. J'ai un grand vécu, comme si j'avais déjà 70 ans pourtant je n'en ai que 25, par quoi commencer. Que dire ? peut être je devrais commencer par le début je suis né a metz dans le 57, dans une famille tous se qu'il y a de plus normal mon père bosse a la poste, ma mère est femme au foyer, j'ai un frère et une sœur. Je suis l'enfant du milieux celui au quelle on ne fait pas forcément attention pas assez vieux pour être l'ainé et pas assez jeune pour être le petit dernier, pour l'instant tous va bien ma vie est plutôt bien. Je suis pas spécialement fort a l'école je suis social et j'ai de la joie de vivre.
premier couac ma mère est de moins en moins a la maison, j'ai 10 ans. Jusqu'au jour ou elle me prend a parti et me dis je vais divorcer, la qu'elle que chose se casse et ne se réparera jamais. Mon père a du mal avec trois enfant ma mère est partie en laissent pas mal de dette, on se nourrit de pâte et de riz fini les dessert les sorties et tous le toutime, un AMI entre guillemet remarque mon état lui a 14ans, il me fais fumer mon premier
joint et mes première bière. J'ai 12 ans maintenant les finances ne s'améliore pas, je suis devenu accro a la clope au
joint et j'ai un grand penchent pour l'
alcool, mon père sombre dans la dépression. Je bois de plus en plus, je dirais 2 bouteille de jack tous les week end plus une a deux bière par soir. J'ai 14 ans je fais mes première free a coter de Thionville treep, exta , champi,
datura, cock et j'en passe maintenant l'
alcool est bien là je ne peux pratiquement plus m'en passer. 16 ans, mon père est en fin de dépression je rencontre celle qui me fera arrêter l'
alcool, j'y arrive. Je ne vais plus en free, je ne bois plus et prend pratiquement plus rien, mis a part un ou deux
joint par si par là , tous vas bien je suis heureux. 19 ans ma copine me quitte du jour au lendemain, je retrouve mon appartement vider elle ne répond plus a mes coup de file, je perd mon emploi je picole a nouveaux, je me retrouve a la rue, je suis SDF la je commence a faire la manche a sniffer de la cock a boire des bière forte des le matin au lever, je me désocialise, je ne parle plus a personne si se n'est a mes pote de squatte.20 ans je commence l'
héro, j'attaque le vif du sujet en me fixant tous de suite cela me fais du bien. 22ans je sort de tous ça grasse a un ami de l'époque a la dure ça me fais mal je ne dors pas j'ai l'impression de mourir et l'espère fortement, je retrouve un travail une certaine stabilité, un appart une copine bref tous vas bien. 23 ans tous recommence je me shoot en cachette ma copine l'apprend me quitte je me shoot de plus en plus je démissionne et re bosse constamment, j'ai de la chance je travail en restauration, tout ma paye passe dans la cock et l'
héro, je suis héberger chez un pote lui aussi consomme un peu de cock c'est comme ça que je le paye. 30 décembre 2015 a 21h15 après 3g de cock je décide de me faire un fix dans les toilettes 21h30 j'appelle en urgence mon coloc qui est dans le salon pour lui dire que je me sens vraiment mal tous se crispe j'ai mal dans ma poitrine, j'ai du mal a articuler ma vision baisse, mes dernier mots: fafa appelle les pompiers. Trou noir je reviens a moi a 1h30 je suis sur le canapé, j'ai de la bave mousseuse partout sur la bouche et dans le coup, j'ai mal a mon cœur vraiment beaucoup, mon ami me dis que j'ai convulser mais qu'il n'a pas appeler les pompiers car il y avait du matos partout chez lui et me dis: Si tu continues a te drogué tu ne pourras pas rester chez moi. Je n'ai pas envie de retourner dans la rue, alors je me calme et après deux trois mois ou je continue a me fixais je décide d'aller voir un médecin et de commencer un traitement de
substitution, ça a était très dur au début syndrome de manque mais j'ai tenu bon, du coup ça fais 6 mois maintenant que je n'ai rien pris j'ai une fiancé un toit au dessue de la tête et surtout des projets, je n'ai plus envie de tous ça, j'ai envie d'une famille, de voir ma vie et de me faire des ami, mais Hélène comme je me plais a l'appeler n'est jamais loin et me rappelle a son bon souvenir. Qu'un mots courage