Alcool et apathie... (+diferentes consos) envie de construire ma vie..

Salut,

Si certains d'entre vous se reconnaissent en particulier dans l'apathie provoqué par l'alcool (ou plus particulierement les lendemains de vieille) et les consos, n'hésiter pas a partager vos ressentis ou expériences...

Je bois depuis 10 ans, j'ai 24 ans, dont certaines périodes ou j'ai pu boire non stop pendant 6 mois, a coté j'ai consommer de tout, schéma classique, débuté par l'alcool, cloppes canna, puis coke, et tres vite tout le reste, speed, md, lsd, keta, hero (commencé par la blanche coup de foudre direct mais jamais retrouvé une tel qualité donc brune a l'occasion apres un tso métha), j ai essaye le crack mais j'ai pas accroché... 2/3 RCS qui m'ont retourné genre 2CB...

J'ai apres une longue periode dans l'alcool et la cess et suite a divers soucis, palpitations et violences entre autre, trouvé le moyen et la volonté de rester abstinent concernant les stimulants et le tabac...

Mon soucis actuel, est que malgré une vie en enchainant les galeres, hp, cures, foyer, et soucis en tout genre, ma volonté de construire un avenir dans lequel je pourrais me sentir épanoui ne m'a jamais quitté, le genre de vie qui une fois sur mon lit de mort, pourrait me faire dire satisfait, voila tu as vécu, tu as grandis, expérimenter, échoué, t'es relevé et a toujours essayé de tendre vers ton meilleur malgré tes difficultés...

Bref, une vie qui vaut la peine d'etre vécu a mes yeux... Mon rapport narcissique a cette particularité de n'etre adressé par moi meme seulement vers moi meme, je ne suis pas sociopathe, j'aime les gens, mais dans ma construction intérieur et mon rapport a Soi, ma satisfaction personnel n'est et ne restera (malgré les joies de la reconnaissance de proches) que tourné vers moi.

C'est comme si il y'avait un secret enjeux dans mon rapport personnel a la gratification par rapport a mes choix/actes... et bien evidemment souffrance devant la prise de conscience de mes erreurs, ce qui me fait le plus mal est d'avoir conscience d'un potentiel embrumé par la défonce,

J'en arrive donc au probleme actuel, j'ai beaucoup de mal a arreter de boire, l'alcool étant exclusivement le déclencheur vers les autres produits, sauf les opiacés que je peux consommer des le matin mais jamais plus d'une fois par mois, un demi me dure 3 ou 4j max et j'arrete avant de réacroccher...

J'ai du mal a reprendre le controle de ma vie quand je bois, j'en suis arrivé a un stade ou des que je commence a boire, je vais "me finir" peut importe l'heure ou ce que j'ai a faire le lendemain, j'ai raté un nombre incalculable de rdv car trop alcoolisé la veillle...

Elle est si loin cette période ou je pouvais me mettre une cuite et ou tout rentrait dans l'ordre apres 4h de sommeil une douche et un truc a manger...

Aujordhui, mes lendemains de cuites me rendent anxieux, et je suis mieux allongé que debout.

Et aussi, ayant un acces facile aux produits, quand j'ai bu, les barrieres sautes, une fois raide, l'idée de me mettre un carton un mardi soir en sortie d'apéro peut se manifester pour peu que je sois avec un ou 2 amis partageants mes problematiques...

Je n'arrive pas a arreter de boire sur une longue période, je finis toujours par m'ennuyer, les soirees et les gens me manque, malgré que l'envie de voyager le monde est dans mon cas plus forte que la défonce (c'est ce qui, a défault de m'etre salvateur, fait office de garde fou)

Je me suis souvent demandé pourquoi je buvais, il n'y a pas de réponse parfaite, chacune s'adaptant a un moment donné : pour fuir la réalité, alcool social, pour me recaller si j'ai déglinguer l'horloge, par ennui, festivement, ect ect)

J'ai le sentiment que l'alcool fait défault a la dynamique que je devrais posseder a mon age...

(depuis une intolerance au gluten, je bois exclusivement du sky, du rhum, de la vodka, en bref du hard et les régionnaux, tequila, raki, ect) du vin aussi mais j en acheterais pas de moi meme...