Vos tentatives de decroche a la dure

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LLoigor homme
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Tiens comme je suis un grand curieux de la vie (j'espere que ce thread a sa place dans cette section , sinon a quand une section "discussion de tout et de rien sur la drogue ? :p )

J'aimerai que vous racontiez vos tentatives de décroches a la dures , non pas par sadisme de lire des expériences dont on sais tous qu'elle sont souvent traumatisante et impressionante , mais comme j'ai dit par curiosité , voir comment chaqun réagit , je voulais faire ce post a la suite de ce topic http://www.psychoactif.org/forum/t2202- … adone.html , mais pour eviter le HS avec le posteur initial j'ai ouvert ce thread.

Je vais d'abord vous racontez celle d'un pote qui apres 5 ans de metha , et qui était vers 25mg il me semble , décident qu'il est temp d'arreter , il n'en voit pas la fin , et veu changer de vie.

Du coup il se fait préter la résidence secondaire d'un de ses grand parent dans les pyrénées , une belle maison , avec un beau jardin.
Amene bien sur avec lui tout plein de petit trucs pour l'aider , un peu de benzo , des calmant , des somniferes , de l'homeopatie , des tizanes calmante et relaxante , un jogging pour faire beaucoup de marche et se fatiguer pour pouvoir dormir , mais pas d'hero , ni de racha , ni de metha , ni de sub , et labas aucune connaissance dans la montagne.

Et bien je l'ai vu partir labas avec une motivation de dingue , un mental d'acier , fier et confiant.

Et pourtant pensant qu'en 2 semaines (certain ayant décro a l'hero en grosso modo 7 jours , il avais entendu qu'avec sub ou metha fau compter le double , donc 14 jours).

Et bien le pauvre aura tenue 24 jours !! et le pire c'est que ca ne faisai qu'empiré.
Sur la fin , il sombrai en journée dans la paranoia est l'opressement dans cette maison magnifique , la nuit a 3h du mat se tordai de douleur dans le jardin quand il avais trop chaud , puis se trainer a l'interieur des que ca passai au sueur froide.

Il m'a dit avoir eu mal et souffert comme jamais , limite implorant de mourir (pour l'avoir vu au 25eme jours a son retour , je voyai sur son visage l'epreuve qu'il avais enduré).

Par contre la seule fois ou je l'ai vu sourire c'est quand il m'a dit , que le 24eme jours , il c'est trainé comme un flippé , tremblant en sueur jusqu'a la garre , retour chez lui , a prit de la methadonne et la est tombai dans une jouissance idilique m'a t il dit ^^ (j'imagine)

Bien sur je lui avais posé la question "si ca se trouve tu etait sur la fin" , il ma dit et je peu vous dire qu'a l'expression de son visage j'avais comprit , que non , il était loin de la fin , tout comme une décroche ou ca monte ca monte ca monte , on arrive au pic ou on derouille et ensuite ca se calme mais c'est quand meme dur.

Lui se pensai encore loin du pic le plus dur , apres pourtant 24 jours , en revanche il a maudit le jour ou il est allez dans ce CST pour de la methadone , en se disant qu'en aillant fait ca plus tot , jamais il n'aurai connu un telle souffrance et que les 7 jours de dure avec l'hero serai passé bien mieux.
Enfin chaqun son organisme , peut etre le siens met il plus de temp a éliminer ces substances.

Quand a moi , la fois la plus serieuse ou j'ai voulu décrocher a la dure , c'était a l'époque ou j'etait tres pote avec mon deal , avec un plan béton , en grosse quantité , bref le pote génial pour un tox ^^
C'etant fait cambriolé et racketé 2 fois chez lui , je lui propose de venir habiter chez moi , mon appart finit par devenir une foire au junkie , je prend enormement de coke que j'achete avec les benef de la vente de l'hero du pote , et je prend enormement d'hero pour calmer tout ca.

Puis mon potes doit partir au chevet de son pere malade , lui meme tox et sur de ma bonne fois mais pas au point de laisser toute sa came chez moi en son absence , il me laisse quelques grammes a vendre pour me payer ma conso.

Helas il m'apelle et doit rester plus longtemp , et moi et bien j'ai plus rien , j'ai tout claqué.

1er jour : je suis agité , je peu a peine me lever pour me faire a manger , d'ailleur une fois fini de cuire ma bouffe j'ai deja plus faim , je me force , 3 fourchettes apres la bouffe part au frigo.
J'ai un peu de passage chez moi , donc ca m'occupe , le soir je sent que ca va etre dur , je me met sur le canapé devant la telé , j'ai chaud , j'ai froid , je suis trempé par moment , j'ai envie de dormir mais rien n'y fait , je passerai la nuit a en chier devant la télé.

2eme jour : Pas de reveil vu que j'ai pas dormit , je sort mon chien pour m'aherer mais je transpire , c'est l"eté en plus , je boit le plus possible , je me décide a faire des chose mais chaque fois qu'il fau les faire je les avorte , j'ai aucune envie.
Le soir arrive , ca deviens ingérable , je me tord dans tout les sens , je décide d'appeller mon pote (il est encore tot dans la soirée) , il me dit que dans la chambre que je lui ai preté il a laissé du sub que j'en prenne et tout sera réglé.

C'est la qu'aujourd'hui je ne comprend toujours pas pourquoi j'ai refusé , enfin si je comprend mais quel idiot.
J'ai pas voulu prendre de sub , surement une maniere de refuser d'accepter la realité "t'est un vrai toxyco" , et le pire c'est que je savais tres bien qu'au retour de mon pote je reconsommerai , et sur le moment je voulais me seuvrer , et puis reprendre a zero des consomation plus espacé (quelle connerie surtout quand on heberge son deal).

Du coup je n'ai jamais prit le sub , préférant subir cette 2eme nuit , ou je finissai par terre , ou la télévision m'ennervai , mon chien m'ennervai , c'etait le debut de l'enfer.

3eme jour : j'ai une mine affreuse , j'ai pas encore dormit , j'ai du passage chez moi ceux que je considere pas comme mes pote , je les envoie chier en leur claquant la porte au nez , d'autre viennent , je leur taxe du shit (je n'ai jamais fumé de shit) histoire de m'envoyer une enorme douille pour me calmer , il se barre , je prepare une douille , la fume , je prend une claque mais 5min apres le  mal reviens et en plus la douille m'a collé la gerbe , je vais gerber mes boyau et en plus il me viens une chiasse horrible , c'est l'horreur.

La nuit arrive , je vais pisser et voila que je pisse du sang , je flippe completement en tentant de me dire "l'hero touche les reins c'est un caillou de sang c'est quedal" , en plus du mal je pisse des lames de rasoirs hmm

Dans la nuit me tordant de douleur , trempé comme pas possible , implorant , hurlant que ca cesse , je ne sais pas si a force je me suis endormi , je n'en ai aucun souvenir ou alors ca a du etre 5min , bref je pense pas 4 jours sans dormir , peut etre ai je dormit , peut etre que non.

4eme jours : je suis encore par terre , j'ai renversé ma bouteille d'eau , je baigne dedans , mon chien a fait ses besoin dans la cuisine , je trouve les forces de ramasser vaguement et de sortir , je suis une loque humaine.
Je rentre , mon telephone sonne c'est mon pote : Il est sur la route et sera de retour dans 2h , mais doit passer chez lui recuperer un truc ! Woaw ! joie intense morale mais le physique répond pas.

Je part illico au bus , je vais dans le centre , j'en chie pour marcher , les gens m'ennervent , les regard me stressent , je me pose devant chez lui et j'attend , j'attend , j'attend ... finallement je devrai le rappeler par 2 fois , il est en retard cet enfoiré me dis je , puis il arrive , je trepigne comme un gosse a noel , il sais ce que j'endure et me fait une enorme poutre d'hero , une amie a lui est la , elle rit de voir mon visage se transformé.

Je revit , c'est limite jouissif !!! Du coup me viens une tchate incontrolé , mon pote est mort de rire et me repete que j'ai etait con de pas prendre le sub , enfin bref c'est fait , c'est fait.

Ce soir la on finira mon pote et moi chez moi , a piquer du zen devant la télé , je suis aux anges ... :)

Dernière modification par LLoigor (13 février 2010 à  15:37)


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loulou reed
Psycho sénior
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LLoigor a écrit

Je vais d'abord vous racontez celle d'un pote qui apres 5 ans de metha , et qui était vers 25mg il me semble , décident qu'il est temp d'arreter , il n'en voit pas la fin , et veu changer de vie.

Il est passé direct de 25mg à  zéro? Je ne juge pas mais bon...


A la recherche de l'euphorie perdue

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bighorsse femme
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mais bon quoi loulou?? tu sais pas que bcp de gens tentent le sevrage à  la dure? ceci parce qu'ils en ont marre à  un moment donné d'etre accro!
le probleme de la déccro à  la dure c'st qu'elle te fait en général raccrocher plus vite et plus fort encore..en tout cas à  chaque fois que j'en ai fait de ces sevrages, ce fut la cata!

l angoisse est le vertige de la liberté

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loulou reed
Psycho sénior
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916 messages
Ben oui mais se sevrer de 25mg ou de 2mg, c'est pas la même décroche, donc tant qu'à  faire, quand viendra le moment, je serai à  2 ou 1mg, comme ça je minimiserai les problèmes.

Après peut-être son CSST ou médecin lui ont fait des problèmes, mais faut pas s'attendre, juste parce qu'on "en a marre d'être accro", que ça se passe pareil. D'ailleurs t'en connais toi des gens qui n'en ont pas marre d'être accro? à  la méthadone, j'entends.

PS: cela dit je suis sans doute hors-sujet vu le titre du topic.

Dernière modification par loulou reed (01 juin 2009 à  18:11)


A la recherche de l'euphorie perdue

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DAMS
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c'est certain qu'il me semble que la déccr0 "a la dure" n'est vraiment pas la chose a faire!!car comme le dit big' plus FORTE sera la "raccroche"...sans parler des risques que cela peut entrainer??enfin j'imagine!!moi je n'est jamais éssayer de déccro a l'arrash mais une fois je m'suis retrouver chez moi sans rien (je prend du skenan) plus un sken' ni benzo ou autre niet et en plus surtout plus de tunes,et ce soir la je ml'etais dit bon je vais essayer de déccro pour de bon!!comme un gro con en faite car j'ai tenue malgré moi 3 jours enfin 2 nuit et 3 journée dans un etat...et enfin quand j'ai pu avoir mes sous  (déja me trainer jusqu'a la banque,a la gare puis métro Glups...)ce jours la j'ai du méttre bien 20 minutes a prépa' mon fix...et depuis j'y suis encore mais c'est sur la déccro a la dure c'est mort pour moi!!méme si ce n'etait pas mon intention a la base!!
ps:je tiens a dire que ce fut pour moi les trois jours les plus pénibles de ma vie de tox...

Dernière modification par DAMS (01 juin 2009 à  19:58)

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LLoigor homme
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Il y a pourtant des gens qui ont reussi a ce seuvrer de metha a la dure , avec des dosages equivalent ou superieur wink
(cf : http://www.psychoactif.org/forum/t1627- … -jour.html  , c'est le premier exemple que j'ai trouvai le forum en regorge il me semble)

Apres personne n'est egal face au manque , on a pas tous le meme metabolisme , et en lisant un autre post , et il est clair qu'avec ce genre de seuvrage on s'expose a une rechute plus brutale , surtout si on n'est pas seuvré psycholgiquement (le plus important quand meme).

Au final ce qui marche pour l'un , ne marchera pas pour l'autre , certain a 15mg on décro en a peine 10 jours a la dure de la metha , d'autre a 80mg , lui était a 25mg et son corp visiblement different a fait qu'au 24eme jours ca ne decroché toujours pas.

Et puis bon pour son cas j'ai pas voulu préciser le contexte , mais si il n'a pas pu attendre d'etre a 5mg pour la tenter , c'est tout simplement parce qu'il lui arrivai plein de chose , il devais s'installer avec une femme qu'il aimai a fond (le genre de liens qui t'aide a oublier) cette femme avais un enfant de 14ans (qui aurai pu fouiller comme le font les gosses et trouver la metha) , il ne voulais pas qu'elle sache de peur de la perdre , il ne voulais pas faire rentrer de metha en douce chez cette femme , donc voila en gros ou etait l'urgence , et chaque fois qu'il descendai de paliers a son travail c'etait insuportable et il pensai vraiment qu'a force on allez le licensier pour probleme a suivre les cadences , et si il descendai pas il pouvais resté des mois sans bouger , bref prit par le temp et les evenements.

Tout c'est chamboullé dans sa tete , il a vu et parler a des gens qui ont fait des décro a la dure de metha en 10~15 jours , sans forcemment etre a 2mg (c'est pas courant mais certain on reussi) , du coup il a voulu le tenter le coup , et dans son cas j'aurai tenté aussi je pense :)

Apres je suis d'accourd louloureed que tenter des decro a la dure , comme ca d'un coup n'est jamais l'idée la plus lumineuse , tout comme moi quand j'ai refusé de prendre du sub pour tenir 4 jours sachant tres bien que je m'en enverrai comme un goret au retour de mon pote ^^

Y a des fois on est pas tres malins , mais bon c'est la vie , desfois tout s'emballe et on fait n'importe quoi , sans reflechir plus loin que 1heures apres , surtout quand on est tox a fond hmm

Dernière modification par LLoigor (02 juin 2009 à  10:17)


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capi
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bonjour.

Je vie mon troisieme jours de décroche, je prenais de l'hero depuis 2 ans.

J'ai commencer a 110 et j etais a 5mg depuis une semaine.

J'ai pris la décision d'arretter dimanche soir, depuis, impossible de dormir, j entame ma 3eme nuit a gigoter dans mon lit sans fermer l oeil, la douleur physique, la fatigue augmentent.

J'aimerais vraiment avoir quelque chose de clair par rapport au temps que cela va durer car encore demain et apres je tiendrais plus....

Y a t il des moyens de mieux vivre cette transition, sans ce shooter a un medoc? quelque chose de soft?

merci d'avance

snort

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MickeyMouse1er homme
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Salut, voila depuis l'age de 16 ans que je shoote de l'héro jusqu'à  il y a 5 ans ou j'ai découvert la méthadone après trois ans de subutex dans les veines (ou ce qu'il en restait après 11 ans à  me shooter 4 à  5 grammes de came par jour...). Le subutex a terminé de me fracasser les veines mais depuis que je suis à  la métha, 120 Mg/jour je ne me fais qu'un taquet de temps en temps avec de la rabla ou de la coke ou encore des amphèt. mais le pire c'est que je suis plus accro au shoot qu'au produit injecté c'est pourquoi je m'injecte de la Noctamide 2Mg (remplaçant du Roypnol 2Mg) 6 à  7 fois par jour et je continue de me scléroser les veines. Quand j'ai une prise de sang à  faire c'est la croix et la bannière, je suis obligé d'aller toujours au même endroit avec toujours la même infirmière qui me permet de me planter la "tulipe" avant qu'elle insère les tubes à  prise de sang car sinon impossible de trouver une veine. Je ne m'injecte pas la métha mais quand j'ai envie d'une petite bourre j'en prends 6 au lieu de 3 et je suis cassé comme un terrain de manoeuvre. Mais je préfère quand un petit trou d'héro occasionnellement. Enfin bon on fait comme on peut je suis bien stabilisé avec la métha. et je ne comptes pas arrêter, je me sens bien comme cela, mais c'est cette dépendance à  la seringue qui m'ennuie plus, surtout qu'elle me fait m'injecter des hypnotiques très forts qui me fracasse les veines. Je ne sais plus comment faire ni ou trouver de l'aide. A très bientôt. Mickey

The Sweetest Condition !!!
Carpe Diem

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LLoigor homme
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10035 messages

capi a écrit

bonjour.

Je vie mon troisieme jours de décroche, je prenais de l'hero depuis 2 ans.

J'ai commencer a 110 et j etais a 5mg depuis une semaine.

J'ai pris la décision d'arretter dimanche soir, depuis, impossible de dormir, j entame ma 3eme nuit a gigoter dans mon lit sans fermer l oeil, la douleur physique, la fatigue augmentent.

J'aimerais vraiment avoir quelque chose de clair par rapport au temps que cela va durer car encore demain et apres je tiendrais plus....

Y a t il des moyens de mieux vivre cette transition, sans ce shooter a un medoc? quelque chose de soft?

merci d'avance

C'est typiquement le chose a ne pas faire , passer de 110mg a 5mg et arreter , non seulement ca va etre tres difficille (lit le post concernant mon amis , qui en plus se sevrer de beaucoup moins que toi (lui passai de 25mg a 0mg) ,ca a durer 24 jours), mais peut etre dangereux pour ta santé.

Car toi tu zappe un palier énorme 110 > 5 , et plus le sevrage 5 > 0.

On est tous différent , mais a vu de nez prépare toi a passer 20 jours horrible minimum , pfff même pas laisse tomber l'ecart est TROP important, et surtout tu met ta santé en danger ton corps pourrai ne pas le supporter.

Le corps humain emmagasine de la méthadone , ta dernière dose de 110 met plusieurs jours a complètement disparaitre , donc le mal que tu sent la , c'est pas le mal de 5 > 0 , mais surtout le 110 > 5mg , c'est un bon bien trop important.

Bref un conseil , passe tes palier a partir de 110 de 5mg ou 10mg , et a la rigueur quand tu sera a un faible dosage , tu peu toujours tenter , mais actuellement ce que tu fait ne sert a rien a mon avis , si ce n'est perdre du temps , te faire mal pour rien , et mettre ta santé en danger hmm


@mickey : tu devrai effacer ton message et ouvrir un post , car dans ce topic ton message n'a pas trop de rapport , tu aura plus de chance d'avoir de réponse en créant un post , avec un titre explicatif

Bienvenue a vous

Dernière modification par LLoigor (17 juin 2009 à  09:18)


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ORNITHO
taquineuse en chef
Inscrit le 28 Mar 2009
316 messages
je suis ok avec toi illoigor;
capi
ce sevrage brutal me semble bien dangereux physiquement et moralement tu devrais peut etre trouver une aide medicale qui entend ta volonte d arreter rapidement mais sans danger  (c est pas facile a trouver);
le corp a une facheuse tendance a se rappeler les periodes de manques et ca deviens de plus en plus dur;
tu as de la volonte c est bien mais me la mey pas a mal en voulant forces les choses
si sa deviens trop dur ne reste pas seul
bon courage

Dernière modification par ORNITHO (17 juin 2009 à  10:40)


ORNITHO

SI TU NE SAIS PAS QUI TU VEUT ETRE SACHE QUI TU NE VEUT PAS ETRE

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LeKlodd
Nouveau Psycho
Inscrit le 04 Jun 2009
55 messages
Bonjour
J'ai fait une décroche de metha a la dure en 2003. Les premiers jours, ça s'est passé en hôpital avec le protocole suivant : j'étais a 40 mg, 30 mg 2 jours, 20 deux jours, 10 deux jours, 5 deux jours puis 0. J'ai fait une post cure après 12 jours d'hôpital. A 30 mg j'ai commencé à  sentir le manque, qui a monté en puissance au fur et à  mesure que je baissais la métha. Assez vite, le sommeil m'a fui, c'était 2 a 3 heures de sommeil par nuit et parfois nuit blanche, douleurs articulaires, dorsales, bref le manque, vous connaissez. Ca a duré comme ça pendant un mois. Donc, avec l'hospitalisation, presque un mois et demi de manque. Ca a été un soulagement quand j'ai pu dormir normalement. Je précise que la post cure était du genre sport à  gogo, randonnées, natation etc. La fatigue physique n'a rien changé à  mon sommeil. Après 3 semaines, j'avais la vue brouillée de fatigue. Ca a été assez épuisant. En sortant, j'ai repris du néo codion, le manque a refait son apparition très vite, je suis repassé sous métha rapidement vue la situation. J'avais un moral d'acier à  l'hôpital et en post cure, mais gérer le manque en reprenant le boulot, je n'ai pas pu.
J'étais à  35 de métha après l'épisode néo codion, j'ai baissé jusqu'à  15 mg, mais là  j'ai du mal a baisser davantage.
Amicalement, LeKlodd

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Mammon Tobin homme
Modéranimateur à  la retraite
Inscrit le 07 Sep 2007
5574 messages

LLoigor a écrit

C'est typiquement le chose a ne pas faire , passer de 110mg a 5mg et arreter , non seulement ca va etre tres difficille (lit le post concernant mon amis , qui en plus se sevrer de beaucoup moins que toi (lui passai de 25mg a 0mg) ,ca a durer 24 jours), mais peut etre dangereux pour ta santé.
Car toi tu zappe un palier énorme 110 > 5 , et plus le sevrage 5 > 0.

Je pense (je suis sûr ^^) que Capi est passé progressivement de 110 à  5, et qu'il était à  5mg/jour depuis une semaine quand il a arrêté d'en prendre...

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LLoigor homme
Modérateur
Inscrit le 08 Aug 2008
10035 messages
Ah vu comme ça , autant pour moi :)

Peut être capi tu peu passer par une étape intermédiaire entre le 5 et le 0 , ou sinon si alain will (ou un autre) passe il pourra surement mieux t'expliquer car il c'est sevrer a la metha de 5 a 0 y a pas si longtemp.

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capi
Nouveau membre
Inscrit le 17 Jun 2009
8 messages
OUI, heureusement que j ai pas fait ca !

Bref, grosse fatigue physique mais impossible de dormir...

je me suis renseigner pour des medoc pas trop violents, aparement yaue le valium...

Quelqu un connait autre choses !?

Merci

snort

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
Inscrit le 14 Oct 2008
9618 messages
Bonjour capi,

bienvenue sur le forum...

Contrairement à  ce que dit lloigor, je n'ai pas de solution miracle... Sinon ça se saurait wink

Ta diminution de dosage n'est pas très claire dans mon esprit (110 à  5 puis 0, 60 à  5 ?)

http://www.psychoactif.org/forum/viewto … 071#p47071

Tu n'écris pas la même chose partout... même si ça ne change pas "grand chose". Bref, en résumé si j'ai bien compris tu as baissé beaucoup et rapidement. Ca peut marcher (en théorie et en pratique, ça s'est déjà  vu, même si le résultat sur le long terme n'est pas toujours concluant). Pour ce qui est du sevrage en lui-même, en ayant baissé rapidement comme tu l'as fait, je pense que les derniers mg doivent être durs à  quitter.

Je dis je pense, car j'ai baissé perso, mg par mg sur plusieurs mois ; donc à  l'arrivée, en fait, les derniers mg n'ont pas été plus difficiles que les autres pour moi. A l'exception peut-être de la semaine qui a suivi l'arrêt complet de la métha. Semaine pendant lesquelles les journées se passaient bien, mais les nuits étaient difficiles.

Les symptômes du sevrage sont d'après les témoignages de ce forum et d'après mes connaissances (dialogue avec d'autres usagers ou des toubibs), un peu toujours les mêmes, bien qu'ils diffèrent d'une personne à  l'autre. Les impatiences dans les membres sont fréquentes, la sensibilité se trouve modifiée, (l'organisme récupère ses droits), mais ce n'est pas rhédibitoire.

Par contre je n'ai pas ressenti de fatigue. Pas d'excitation non plus, à  part la satisfaction d'avoir arrêté et l'engouement à  faire des choses nouvelles, (là  je parle sur les semaines qui ont suivi) ; de rares épisodes de "creux", un peu comme une fatigue effectivement, très passagère, deux ou trois heures tout au plus, et c'est tout.

Ceci dit, j'ai eu des problèmes de douleur dans les membres qui m'ont conduit à  faire une "rotation d'opiacé" pendant quelques temps. J'ai basculé de façon très encadrée sur un très très faible dosage de codéine puis de dextropropoxyphène (Di-Antalvic®), le paracétamol seul ne suffisant pas, pour finir par de l'Adartrel® qui est prescrit pour le syndrome des jambes sans repos (par un praticien hospitalier). Ca marche (pas du premier coup, perso, mais maintenant je suis ok wink et je ne prends plus d'opiacés).

Pour donner un ordre de grandeur, j'ai dû arrêter la métha il y a deux mois et demi, j'ai passé un mois environ à  "patauger" avec codéine et dérivé opiacé, puis quinze jours à  me stabiliser avec l'Adartrel (qui est en voie de diminution ; j'ai arrêté aussi valium et anti-dépresseur).

Si tu peux te passer d'une béquille pharmaceutique, fais-le. Il n'y a rien de plus facile à  mon avis perso, que de s'accrocher à  un produit quand on est en période de sevrage... Il faut être très prudent et avoir un minimum de volonté. Sacrifier quelques nuits blanches n'est pas le bout du monde. Et faire une sieste "forcée" dans la journée pour récupérer n'est pas dramatique non plus (qd on bosse pas)...

Si tu penses que tu as besoin d'une aide au niveau médoc, (anxiolytique par exemple), je ne peux que te conseiller de consulter. Il faut que cela soit encadré le mieux possible par un professionnel. Ton addicto ou ton généraliste sont tes alliés dans une telle situation...

Bon courage...

Il m'arrive de trouver que la vie est une horrible plaisanterie. F. Sagan.

Je vois dans la révolution la revanche du faible sur le fort. La liberté est un mot que j'ai longtemps chéri. Sade (Le marquis de)

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Alain Will homme
ancien Vice-Président
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MickeyMouse1er a écrit

Salut

...mais le pire c'est que je suis plus accro au shoot qu'au produit injecté c'est pourquoi je m'injecte de la Noctamide 2Mg (remplaçant du Roypnol 2Mg) 6 à  7 fois par jour et je continue de me scléroser les veines. Quand j'ai une prise de sang à  faire c'est la croix et la bannière,

...mais c'est cette dépendance à  la seringue qui m'ennuie plus, surtout qu'elle me fait m'injecter des hypnotiques très forts qui me fracasse les veines. Je ne sais plus comment faire ni ou trouver de l'aide. A très bientôt. Mickey

Bonjour Mickey,

Bienvenue sur le forum...

Comme te l'a dit lloigor, tu devrais ouvrir une nouvelle discussion, cela serait plus clair et éviterait de tout mélanger wink

J'ai été consommateur excessif de Noctamide pendant plusieurs années. Je serai toi, j'arrêterai tout de suite de l'injecter. Tu risques gros. Je ne vais pas rentrer dans les détails mais j'en étais arrivé à  prendre du Noctamide à  n'importe quel moment "pour dormir ne serait-ce qu'une heure", en le laissant fondre sous la langue, ou en en prenant des doses importantes.

Le résultat ne s'est pas fait attendre. En quelques semaines ou mois, je suis devenu complètement insensible à  ce médoc, et surtout il m'a complètement déphasé, en association avec des anxiolytiques et des anti-dépresseurs...

Le sevrage n'a pas été rude, ça a été une délivrance... Je ne suis pas contre les somnifères ou les endormisseurs mais il faut être à  mon avis très prudent avec et respecter un protocole médical. Si tu es accro au shoot et à  la seringue, pour le "plaisir du geste", essaies de remplacer le Noctamide par du sérum phy ou de l'eau ppi... L'effet ne sera pas le même, c'est certain mais au moins tu épargnera tes veines un minimum. Même s'il ne faut pas abuser de cette technique...

Au pire, même si je devrais éviter de dire ça, puisque tu tapes en parallèle de ta substitution, ben tapes quelque chose de moins nocif que ce médoc qui n'est pas fait pour être injecté (et essaies de respecter la RdR)...

Prends soin de toi... Bon courage...


Il m'arrive de trouver que la vie est une horrible plaisanterie. F. Sagan.

Je vois dans la révolution la revanche du faible sur le fort. La liberté est un mot que j'ai longtemps chéri. Sade (Le marquis de)

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LLoigor homme
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Meuh j'ai pas dit que t'avais la solution miracle , mais que tu avais passé le cap , donc plus apte a répondre que moi vu que j'en suis pas encore la big_smile

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capi
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je suis passer de 110 a 5 sur tout mon traitement mais de 60 a 5 depuis que je suis en france, c est a dire a peine moins de 2 mois...

pas de solution miracle, ma foie! je vais essayer de dormir cette nuit tout simplement. lol

snort

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filousky homme
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LLoigor a écrit

Tiens comme je suis un grand curieux de la vie (j'espere que ce thread a sa place dans cette section , sinon a quand une section "discussion de tout et de rien sur la drogue ? :p )

J'aimerai que vous racontiez vos tentatives de décroches a la dures , non pas par sadisme de lire des expériences dont on sais tous qu'elle sont souvent traumatisante et impressionante , mais comme j'ai dit par curiosité , voir comment chaqun réagit :)

Des décroches à  la dure, j'en ai fait beaucoup entre 1983 et 1985, il n'y avait pas d'autre choix. Je shootait l'héro de l'époque). La constante était ces cinq six premiers jours de manque que tout le monde connait un jour et puis le retour lent vers un fonctionnement physique plus ou moins "normal". Ensuite, et bien ensuite, je me faisait super chier, jusqu'au prochain extra ! .................... Et ça recommence, encore et encore. Jusqu'au ras le bol plus grand que d'habitude et coma ! Réveil du coma après x jours sans être en manque, même dans un état d'euphorie qui me permet de ne plus shooter pendant longtemps. Par contre, 6 ans sous néo-codion.
Le plus dur, en songeant à  mon passé, n'a pas été ces sevrages à  "la dure" de l'héro, mais bien des années plus loin, de stopper l'apport d'opiacés à  mon corps. Le sevrage de la codéïne n'est pas dur physiquement. Pour moi, le tsunami d'angoisse et de dépression est arrivé un mois après le sevrage réussi des opiacés. Seul l'alcool assomoir calmait le trou noir qui remplaçait mon plexus. La galère aigüe a duré 1 an. Après plus rien. Ni alcool, ni dope, ni médoc pendant 10 ans................
Le reste sort de la réponse à  ta demande, mais à  ce jour je prend de la métha, et lorsque j'oublie mes gellules et que le manque démarre, mon corps me balance une bonne salve de peur. NON , plus ça, niet, nada, je chiosis la maintenance à  bas seuil. Il y a de nombreuses publications scientifiques sur la méthadone et les résultats de traitements à  la méthadone : Le premier que j'ai lu en 84  était "DEGLON J.-J. : Le traitement à  long terme des héroïnomanes par la méthadone. Editions Médecine et Hygiène, 287 p., 1982. "
On y trouve des réponses à  nos interrogations "morales" sur les processus de dépendance ainsi qu'à  nos interrogations physiques.Un peu de connaissance des études réalisées nous aide à  mieux nous situer dans l'espace temps et de ce fait à  prendre de meilleures décisions concernant les soins choisis. Bien à  vous. Fil

Dernière modification par filousky (21 juin 2009 à  10:59)


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Si tu pisses contre le vent, tu vas mouiller tes sandales !

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ORNITHO
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316 messages
je me lance
republique techeque 2004 je part avec mon sken bien sur mais tellement emporter par la route le tekos
la petite cigale ce retrouva fort depourvu
de plus une crise de calculs renaux me reveillat un matin ma reserve de sken a fondue comme neige au soleil
40 degre a l ombre 45 a 50 dans le camion.........
j ai passer les 5 jours les pires de ma vie suees douleures du manque plus celles des calculs
mon ami etais quand a lui partie avec une reserve minimum de sub se retrouva lui aussi en manque
il lui etais impossible de conduire j ai donc conduis mon vieux mercedes coucher en deux sur le volant....
les policiers techeques nous on arretesen voyant notre etats et moi furieuse
qu ils osent ralentir ma course vers mes cheres gelules et hurlant en anglais que si ils avaient encore le malheur de demander un ptits billet je filais de suite a l ambassade;nous ont laisser passer en ce disant que l on devait pas avoir un copec
j ai donc reussi a ramener le camion a la frontiere mon amis a eu du sub de suite
il a pu reconduire
mais moi apres ces 5 jours a bout je me suis vu faire deux hopital et 117 medecin pour mon a secu avais fait sosken je precise que j etais dans le haut rhin et que dans les salles d attentes les tables croulaient sous des revues de droite
j ai enfin trouver un doc qui au vu du de mon dossier medical que je trimbalais avec moi et qui prouvais donc mes dires
j ai mon ordo de sken 
il m a expliquais que deja frileux pour le skenan la secu avais demande de ne plus prescrir au nouveaux patiens

ps je remercie ma chienne
qui a supporter les 2 1er jours collait a moi sous la couette ^pour me donner du courage et calmer les douleures
MERCI CABOCHE

Dernière modification par ORNITHO (21 juin 2009 à  14:28)


ORNITHO

SI TU NE SAIS PAS QUI TU VEUT ETRE SACHE QUI TU NE VEUT PAS ETRE

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LLoigor homme
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Inscrit le 08 Aug 2008
10035 messages
Merci pour vos témoignage , si y en a d'autres n'hesitez pas :)

Sinon ornitho vu que tu partai vers un tekos et si j'ai bien comprit c'est au tekos en tchequie que tes sken ont fondu , y avais pas moyen sur place de choper de l'hero ?

Ayant trainé ma gueulle pas mal d'années en freeparty/teknival , trouver de l'hero n'est en général pas un probleme.

Ca aurrai pu compenser non ?

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ORNITHO
taquineuse en chef
Inscrit le 28 Mar 2009
316 messages
a l epoque la came etait vendu chere par des etranger
les techeque carburer au methamphetamine:;;;;;;;;
voodKa biere reedbull
enfin

c est apres le tekos etl apparition de ces putain  de douleur que mon sken a diparu a vitesse grand v;j ai du taper l equivalent d une semaine et demi en trois jours
la republique tcheque vendez a l epoque de la metha ampht pour la came c etait pas le top en plus on avais plus tune juste de quoi rentre vu que on a avais  un budget de 10 E par jour ;
soit on essayer vainement de tourner une journe de plus a la recherche de came soit je foncez la ou je savais qu il y aurais mes petites gelules

j ai foncer

Dernière modification par ORNITHO (22 juin 2009 à  20:01)


ORNITHO

SI TU NE SAIS PAS QUI TU VEUT ETRE SACHE QUI TU NE VEUT PAS ETRE

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LLoigor homme
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Oui dans un sens t'a bien fait :)

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