Oh mon dieu j'ai formulé une réponse longue et archi complète et tout s'est envolé je recommence en moins bien du coup.
Donc merci de vous pencher sur mon souci et de prendre le temps de me répondre. Je ne sais pas citer vos messages alors je vais faire du mieux possible.
Oui c'est vrai je n'ai pas a subir subir ses violence. Il y en a eu 2, et les 2 fois il avait bu bcp trop d'
alcool. Il ma dit que la
buprenorphine le fait plus boire car ça fait qu'il sent bcp moins l'effet de l'
alcool, qu'en plus ça lui donne bcp envie de fumer donc a cause de ça il fume bcp plus et ma énuméré tous les inconvénient, a l'écouter il NY a pas davantage au
subutex, sauf hier ou il ma dit que c'est ça qui lui permet de rester éloigné des gens et du milieu de la drogue.
En effet le problème est la prise anarchique comme tu le dis Shaolin. Certe je ne prend pas ce traitement, je ne peux donc pas comprendre mais soyons logique, si c'est du n'importe quoi, comment mener une vie cohérente si je resume.
Je lui avais proposé (il a du mal a dire les chose souvent et je devrais tout deviner c'est fatigant) en ayant compris sa demande masquée qu'il me donne ses boites, et que je lui donne le cachet en tant que cachet médicament et pas trace tous les jours pour que la prise soit gérée car il ne la gère carrément pas du tout. Cette idée de
base était a lui mais ça s'est jamais fait. Je ne vais pas lui braquer ses boîte, et il faut dire que je m'étais posé la question un peu car j'avais peur que ça soit linfantiliser et que je sois la gestapo du
subutex du coup (d'après lui je le suis déjà alors...) mais j'ai parlé a mon pharmacien qui me demandait un peu des nouvelle et il ma dit de dédramatiser le traitement en lui même.
Donc il y a quelques jours je lui ai reproposer cette option il est reste vague dans sa réponse en me disant qu'il ne voulais pas en prendre tous les jours qui veut des jours avec et d'autre ou il peut ne pas en prendre. Ce truc la en dent de scie je veux pas moi (logique selon moi mais puis je me tromper?) je lui ai dit que non, et pour te répondre prescripteur si je ne me trompe pas, je lui ai pose la question que tu cite mot pour mot a savoir si il ne se voyait pas vivre sans, et que si il en a besoin qu'il me le dise mais au moins il NY aurait ni mensonge ni tabous je trouve ça naze. Surtout que je suis prête a aider.
Peut etre trop?
Il ma dit qu'il voulait le prendre a sa façon et baisser a sa façon.
Je vois une psy, en réponse a toi Nrockandroll qui m'aide a prendre du recul dont j'ai énormément besoin je pense. Et a travailler le manque de confiance en moi qui je pense m'amène comme tu le dis a me retrouver en situation de dépendance affective oui, tu as dis le terme exact finalement.
Elle ma conseille de lui demander de se soigner, point, et de ne pas (plus) m investir corps et âme dans SES démons comme la dit je ne sais plus lequel d'entre vous pardon. Le souci étant que je n'ai plus confiance en lui la dessus du coup.
Et donc je ne sais pas quel comportement adopter.
Comme si moi qui voudrait voir a long terme dans ma vie je ne pouvais pas car il apporte zéro stabilité ni sécurité.
En fait tout cela aussi me fait écho( dune façon tout a fait illogique) car j'ai perdu en 95 et 2003 donc enfant et ado 2 tantes du sida quelles avaient chope de leur compagnon qui se droguaient dur. Donc j'ai toute mon enfance et adolescence reposé sur cette trame de fond "VIH, mort, traitement, hôpital, santé, drogue (forcément), dépendance aussi" et sans que je le veuille je me retrouve bcp face a ce passe là mais ça c'est mon vécu pas le sien il NY peut rien.
En fait j'avoue très honnêtement (et honteusement) ne pas être capable aujourd'hui de le dégager physiquement. Je sais qu'au fond il est gentil, jovial c'est toujours ce qui ma plu, aime rire, avoir des bon moment gais, il adore la nature comme moi et j'ai aussi aimé son côté trash que j'ai moi a fond...je sais qu'il est naturellement affectueux, moi qui suis assez dure et sauvage j'en ai bcp besoin mais lui na jamais reçu d'affection ni d'attention de ses parent et m'en demande plus que ce que je peux lui donné. C'est un vide énorme dans lui en fait. Mais je m'épuise a essayer de le remplir de toute les façon possible (et ma faiblesse est que je ne suis pas une fille hyper affective j'ai fait des effort mais ce n'est jamais assez) mon impulsivité lorsque je n'avais pas ma
ritaline n'était pas la pour arranger les chose faut dire.
C'est pour ça que je NY comprends plus grand chose et que cette personnalité je ne la reconnais pas ce qui fait que je suis pomee en fait. Après ben en 17 ans qu'on se connait on évolue on change je veux bien l'entendre. Le truc c'est que ses qualité il les a puisqu'il est capable de les sortir c'est pas comme si il les avait pas. En fait je le sens bcp sur le fil genre un rien et il bascule en gros.
Après je commence a en avoir ma claque qu'il me refoute tout sur le dos, que ça soit comme il dit de la faute a mon caractère même si je suis super et gentille, que je sois comme un volcan, que je sois parfaite mais jamais assez bien, enfin il n'est jamais satisfait en somme alors que je me suis longtemps casse le c**.
Alors le quitter et bien comme une lâche je ne le fais pas puisque j'arrive pas. Par contre nouveauté, je men éloigne psychologiquement même si c'est très récent. Je prend soin de moi habits cheveux, et je moctroie mes plaisirs a moi. Je me paye mes tatouages chose que je n'avais plus fait depuis 4 ans pour lui offrir des chose a lui plutôt qua moi.
Il a eu gros souci respiratoire en plus de sa tendance a l'asthme l'été dernier faut voir l'État des poumons qui sont pas flamboyants et le
sniff NY est pas pour rien il accompagne gaiement les dégât de la
cigarette enfin ça me parait logique mais je ne suis pas médecin. Le médecin a dit que forcément ça aggrave. Alors je lui ai offert une
cigarette électronique (le jour de mon annif quel ironie!) ça c'était pour compléter la réponse de Tetris car je me suis inquiété du coup il avait du passer un scanner ça mavait fait flipper...
Dans ses phase de mélancolie je vais appeler ça comme ça, il va répéter en boucle lair (vraiment sincèrement) malheureux car il lest au fond de lui, que je pourrai jamais le comprendre et que je saurai jamais ce que c'est, ce qu'il vit, etc etc ben ouai puisque je n'ai jamais voulu toucher a une drogue car bien trop peur detre dépendante de quoi que ce soit un jour et de tomber dans la debauche (oui c'est très caricatural mais voilà la fameuse trame de fond dont j'ai parler plus haut ma mis ce racourci en tête ça aura eu l'effet de me traumatiser des l'enfance...)
Quel ironie que je vive une dépendance affective aujourd'hui si sen est pas une pourrie ça de dépendance même si ce n'est que psychologique, me faire violence j'arrive pas malgré mon caractère a la vida loca comme il m'appelle.
Je suis désolée de m'exprimer de façon brouillon et de répondre en bazar je pense que j'ai méga besoin de démêler ce merdier avec des gens qui savent de quoi je parle et qui connaissent de près comme moi ou en étant eux meme personellement dans la situation.
Comme il dit c'est son problème a lui c'est personnel je suis d'accord avec lui qua 50% puisque ca influe sur notre vie a nous.