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Petit conton a écrit
Tous les 3 jours n'est pas une addiction c'est memes une frequence normal
Cane Je morto c'est déjà ce que j'ai essayé de faire mais il y a bien un moment où je me retrouve inoccupé.
oui ça peut l'être mais personnellement j'aimerai que cette envie soit moins fréquente et que se soit moi qui puisse la contrôler
oui c'est vrai merci et oui je sais que c'est naturel voir même bon pour la fertilité mais j'ai un problème avec la régularité en fait
merci de vos réponses
PS : depuis le début je parle d'"addiction" au sens que je ne considère pas ça comme une réelle addiction. je souhaitais aussi par ce poste informer les gens sur le fait que l'on peut parler de ce sujet ici. même si oui, au final vous avez raison il n'y a pas d'addiction
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groovie a écrit
l'arrêt de la masturbation peut améliorer l'estime de soi ...
Et l'audition aussi...
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Leaf a écrit
Du coup je me suis déjà demandé si le fait d'avoir les cojones pleines n'avait pas un effet stimulateur sur le cerveau, comme si ne pas satisfaire ce besoin intensifiait un genre "d'instinct de vie" que l'on a en nous...? Je sais si j'arrive à me faire comprendre haha
Je vois exactement ce que tu veux dire ...
En gros, le fait de ne pas se " soulager " , pour certains, rendrait plus agressif, plus impulsif .. un truc du genre quoi.
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Leaf a écrit
Egalement j'ai remarqué que se soulager avec du porno accentuait plus cette culpabilité que la branlette juste avec l'imagination et ses fantasmes. Se toucher sur du porno est peut-etre efficace mais nettement moins épanouissant que lorsqu'on part dans une masturbation sur fond de rêverie érotique ou pornographique incluant des personnes que l'on connait (ou pas). En plus c'est bien de faire appel à son imagination, c'est très sain d'explorer ses fantasmes. Du coup, si tu as pour habitude de te pignoler sur YouPorn, essaie peut-être cette méthode là et peut-être que ton sentiment de culpabilité sera moindre? Ce n'est qu'une théorie hein, mais tente le coup!
Voilà tout est dit, le souci n'est pas la manustupration mais son support: le porn!
Et faut dire qu'on est looooin des films x du samedi minuit de canal +: prolapse et autres joyeusetés, dans une ambiance des plus glauques.
Moi je peux plus depuis longtemps, j'ai mis le temps!
De plus une branlettz binaire ne reveillera pas la sensualité du corps qui est tout un ensemble de plaisirs qui tirent vers le haut
Comme suggère leaf, faire travailler son imagination est une bonne piste pour se debarasser de son addiction au porno!
Bonne journee les psycocos
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Un autre exemple : « je me sens juste morte après un orgasme. Quel terrible sentiment de regret ! Sans aucune raison. J’aime le sexe, j’aime mon copain, et je me sens bien dans ma peau. Je hais totalement ce que je ressens après des rapports sexuels. » Et on pourrait en citer bien d’autres.
Cette question a aussi été abordée dans divers magazines féminins. Cosmopolitan a publié un article en 2011 sur le « blues post-sexe » des femmes (1), et deux articles en 2013 sur les regrets éprouvés après des rencontres sexuelles occasionnelles (2). Women’s Health Magazine a aussi publié des tuyaux censés permettre aux femmes d’éviter ces sentiments de tristesse et de regret (3). En 2013, Gurl.com a offert des conseils pour aider les femmes à gérer ces regrets (4). Les commentaires à la suite de ces articles tendent à renforcer la perception que ces regrets sexuels sont communs chez les femmes. Et il est intéressant de noter que, lorsqu’un commentaire sur l’article de Gurl.com suggérait que ce que l’article décrivait pouvait être assimilé à un viol, l’auteur a répondu que ce n’était pas le cas, et qu’elle parlait des regrets après des rapports sexuels consentis (5).
Il y a plus que des anecdotes. Bien que les recherches empiriques sur le sujet des expériences négatives de la sexualité faites par les femmes soient assez limitées, d’intéressantes études universitaires récentes fournissent des évaluations concrètes en ce qui concerne la fréquence du phénomène. En 2011, Bird, Schweitzer et Strassberg ont interrogé 222 jeunes femmes, établissant ainsi que 33% d’entre elles ont fait l’expérience d’une « dysphorie post-coïtale », incluant des « sentiments de mélancolie, des crises de larmes, de l’anxiété, de l’irritabilité ou une agitation psychomotrice » après avoir eu des rapports sexuels. Environ 1/3 de ces femmes, soit 10% de l’échantillon total, avaient expérimenté cette « dysphorie post-coïtale » dans les 4 semaines précédant le sondage, indiquant qu’un nombre important de femmes ressentaient fréquemment un malaise après avoir eu des rapports sexuels””pour certaines, c’était même à chaque fois. De plus, Bird et al. ont trouvé que les sentiments négatifs après des rapports sexuels ne correspondaient que rarement à une expérience précédente d’abus sexuels (telle que définie par les chercheurs) et que les sentiments négatifs ressentis par ces femmes sur leurs expériences sexuelles étaient –au moins dans certains cas””sans rapport avec leurs sentiments envers leurs partenaires (6).
La source met ça sur le compte de la relation H/F, le patriarcat et le genre. On ne comprend pas encore très bien ces phénomènes.
https://revolutionfeministe.wordpress.c … es-femmes/
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PAPAVER sOMNIFERUM a écrit
an fait c'est le chat qui mord sa queue
ah bah non c'est pas cool ça
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PAPAVER sOMNIFERUM a écrit
je pense que tu cherches à combler un vide un manque affectif ou pour essayer de calmer tes angoisses , an fait c'est le chat qui mord sa queue . Je te conseille de chercher une activité , un job si tu es sans emploi parle en à un psy si ça te casse le moral . A+
Marre de voir des témoignages pourtant clairs réduits à des théories psychologiques fourre-tout.
On n'a pas tous les mêmes hormones et il est trop facile de toujours interpréter le comportement des autres comme une fuite. Même s'il ya toujours une composante de fuite dans notre comportement, c'est vraiment effroyablement réducteur et faux de généraliser comme ça.
Je ne crois pas en des composantes morales de cette question. Chacun fait en fonction de ses besoins et c'est très bien. Je trouve plus intéressant de sortir de toute forme de moralité avec des culpabilités arbitraires, de l'ordre de croyances non formulées. Deux choses intéressantes :
1) Une psychothérapie. Pour mettre fin aux croyances non formulées. De la psy comportementale me semble indiquée. Pour trouver un équilibre avec moins de déprime sans raison.
2) Une approche simplement rationnelle du plaisir. Incontestablement l'abstinence est un moyen d'augmenter le plaisir. C'est ainsi dans tous les domaines : drogues, consumérisme, sexe. Il faut s'observer pour comprendre que ce n'est pas en concrétisant nos fantasmes qu'on trouve le bonheur. On peut apprendre à renoncer et trouver dans ce renoncement un plaisir supérieur. Et comme dans toute entreprise, on échoue par moment à atteindre nos objectifs. Le problème est si on commence à s'accabler au lieu de simplement trouver notre compte en continuant d'essayer sincèrement. Notre tendance à faire un échec de tout et n'importe quoi est je crois le plus gros problème et il n'a rien de sexuel.
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[ Forum ] Addiction - L'addiction au chemsex
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