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Jacques2922 a écrit
Difficile de trouver beaucoup de témoignages, avis positifs sur cette forme de tso , moi qui fait ça pour me conforter et m'encourager dans mon choix c'est parfois "badant" de lire ça.
Si tu cherches, on est un paquet à ne rien dire sur la méthadone ou à en dire du bien en réponse à ceux qui s'en plaignent.
Les usagers qui viennent en discuter sur le forum sont, en général, des usagers qui ne sont "pas bien" avec la méthadone, par sous dosage, surdosage ou allergie ou encore effets secondaires. Ceux qui sont heureux d'avoir ce TSO ne viennent pas écrire, ils vivent.
Jacques, je viens poster, juste pour t'écrire que la méthadone convient parfaitement à mon cas. J'ai commencé en 2002 et suis toujours à 100 mg/jour avec une qualité de vie plutôt "cool".
Je te jure qu'avant l'arrivée de la méthadone en France, les quelques "happy people" qui en avaient à titre expérimental faisaient plutôt des jaloux que des détracteurs.
Bien dosé (entre 60 mg et 100 mg), à la rigueur c'est trop fort, mais le confort est top ! (une fois les problèmes de constipation et de sudation réglés).
Amicalement
Fil
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Donc oui, même si ça n'a pas été facile tout les jours, un grand merci à la méthadone
Je rajouterais juste qu'il ne faut pas forcément chercher à avoir le dosage le plus élevé possible mais le dosage qui te conviendra pour couvrir ta journée. Je dis ça parce que c'est l'erreur que j'ai plus ou moins faite au début et, pour ma part, passé les 100mg/jour je ne faisais presque plus rien de mes journées mis à part consommer de la metha ..
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filousky a écrit
Jacques2922 a écrit
Difficile de trouver beaucoup de témoignages, avis positifs sur cette forme de tso , moi qui fait ça pour me conforter et m'encourager dans mon choix c'est parfois "badant" de lire ça.
Si tu cherches, on est un paquet à ne rien dire sur la méthadone ou à en dire du bien en réponse à ceux qui s'en plaignent.
Les usagers qui viennent en discuter sur le forum sont, en général, des usagers qui ne sont "pas bien" avec la méthadone, par sous dosage, surdosage ou allergie ou encore effets secondaires. Ceux qui sont heureux d'avoir ce TSO ne viennent pas écrire, ils vivent.
Jacques, je viens poster, juste pour t'écrire que la méthadone convient parfaitement à mon cas. J'ai commencé en 2002 et suis toujours à 100 mg/jour avec une qualité de vie plutôt "cool".
Je te jure qu'avant l'arrivée de la méthadone en France, les quelques "happy people" qui en avaient à titre expérimental faisaient plutôt des jaloux que des détracteurs.
Bien dosé (entre 60 mg et 100 mg), à la rigueur c'est trop fort, mais le confort est top ! (une fois les problèmes de constipation et de sudation réglés).
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Fil
Ouais en fait c'est surtout cette fameuse peur de ne jamais pouvoir l'arrêter, ou la difficulté qu'on les personnes qui se sont sevré à retrouver une vie normale.
Je comprends parfaitement que certains se sont résolus à le prendre à vie et le vive très bien.
Perso, j'aurai du mal dans le sens où tu dois toujours penser à l'avoir avec toi, et ce peut importe que tu fasses , où que t'aille... fatigant pour le moral je trouve au bout d'un moment. Après c'est comme un traitement "normal" sauf que l'a j'avais le choix ou pas de le prendre.
Lire des témoignages positifs, notamment de personnes ayant arrêté sans s'en rendre compte ou presque ça me fout la pêche et me motive.
Bon mon cerveau est un peu dans ts les sens en ce moment, pas stable donc un truc négatif ou positif agit direct sur moi ce sera plus simple quand je serai un peu stabilisé.
A plus
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Dernière modification par 'Nrockandrolls (08 avril 2017 à 13:59)
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filousky a écrit
Je prends 100 mg, en tenant compte de mon hépatite C pour laquelle il est recommandé d'augmenter de 30% le dosage de confort. Sinon, à 60 mg, j'étais bien pendant longtemps mais suite à une succession de stress (décès de mes parents+ Trithérapie VHC assez dure en 2012 sans résultats, déménagement à la campagne) m'ont plutôt fait remonter mon dosage de méthadone plutôt que de prendre des benzo ou autres pour combler le mal être lié au léger manque de produit.
Personnellement, j'ai choisi de ne pas arrêter, mais si je devais le faire pour des raisons que je ne connais pas encore, si j'ai la possibilité de respecter la procédure, en prenant le temps qu'il faut, je suis persuadé de pouvoir me sevrer sans souffrir. Le problème est qu'il y a justement pas mal de soucis après.
Je passe donc sous silence les études de suivi des patients ayant été sevré de la méthadone, n'ayant pas le temps aujourd'hui d'aller rechercher les études publiées, je crois , par Prescripteur.
Vous pouvez les chercher avec le moteur de recherche du forum.
Amicalement
Fil
Oui c'est bien "l'après" qui me fait le plus flipper. Il me semble avoir lu certains sujets traitants de l'après sevrage metha et même ceux qui ont décroché dans les règles sans souffrir, on bcp de mal après, ressentent toujours un manque difficile à combler.
J'imagine qu'il faut du temps au cerveau pour se refaire sans prod mais ça a l'air bien long avec la metha qd meme.
Si certains ont un témoignage a apporté là dessus je suis très intéressé.
Bon c'est pas terrible ce que je fais je pense déjà à l'après alors que je suis même pas encore pendant... dans l'ensemble je suis qd même bien soulagé d'avoir fait la démarche de me "soigner" en douceur.
Il faudrait juste que j'en parle à ma femme, c'est elle qui peut faire la diff pour mon moral, je le sent je serai vraiment plus fort avec son soutien.
Depuis hier dès que je la croise je suis a 2 doigts de lui dire tout (même si je vais bien attenuer mon histoire, j'ai réfléchi ça ne sert à rien que je la déçoive plus qu'il ne faut ça ne changera rien au schmilblik) et j'arrive pas bordel! J'attends la bonne occase, mais c'est (casi) sûr je vais craquer d'ici peu, je flippe mais je me répète son soutien (si je l'ai ceci dit, ms jy crois) me sera incroyablement bénéfique pour me sortir de tout ça.
MMerci pour les infos Filousky , dsl à chaque fois je m'éloigne du sujet de base...
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'Nrockandrolls a écrit
En voilà encore une d'expérience positive !
Et c'est bien, il en faut .., on a trop tendance à mettre en avant les problèmes que peuvent provoquer les tso en oubliant ce qu'ils nous apportent au quotidien.
Je pense qu'il ne faut pas se focaliser sur la durée que peut prendre le traitement mais sur ce qu'il peut nous apporter à terme. Ne pas vouloir tout, tout de suite. On arrête pas une conso chronique d'opi comme ça en claquant des doigts, le tso est une étape parmi d'autres ..
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