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- interopid
- Héroinomane, polytoxico à temps partiel
- Inscrit le 15 Jan 2016
- 81 messages
Bonjour à tous,
J'ai eu la chance de découvrir un nouveau symptôme du manque ce soir, qui m'étais encore inconnu, youpi.
Bon en gros, je suis en manque depuis une semaine, pile en plus, et ce soir j'ai dû prendre mon traitement en intra-musculaire (fait par moi, pas trop le choix sinon je passerai ma vie dans le bureau de l'infirmière de mon csapa) et j'ai eu mal, vraiment super mal, pas comme d'habitude, en fait exactement comme quand j'ai de la fièvre et que je peux même pas me faire un shoot parce que j'ai mal dès qu'une aiguille touche ma peau.
Donc oui, j'avais déjà remarqué dès mon premier sevrage que quand on est en manque on est pas au mieux pour gérer tout ce qui s'apparente à de la douleur mais j'avais jamais remarqué que je pouvais être sensible à ce point.
Je voulais savoir si c'était quelques choses que certains d'entre vous avez déjà ressentis aussi.
Et aussi, parce que je risque de me retrouver à nouveau un jour en manque et a devoir me faire une IM (j'ai un traitement hormonal en IM + des IM de cortisone occasionnellement à cause de problèmes respiratoires chroniques), ou même en ayant de la fièvre, je sais pas ce qui pourrai marcher pour que j'arrive a faire l'injection. Surtout que pour mon traitement, la testosterone enanthate, c'est huileux et donc très épais et même en temps normal ça peut faire bien mal quand j'injecte et forcément vu que c'est très épais ça met longtemps, en plus, comme ça c'est encore plus chouette.
J'avais pensé à un gel anesthésiant genre Lidocaine ou autre, je sais pas si ça pourrai suffire a anesthésié suffisamment profond pour une IM.
Des idées ?
J'ai eu la chance de découvrir un nouveau symptôme du manque ce soir, qui m'étais encore inconnu, youpi.
Bon en gros, je suis en manque depuis une semaine, pile en plus, et ce soir j'ai dû prendre mon traitement en intra-musculaire (fait par moi, pas trop le choix sinon je passerai ma vie dans le bureau de l'infirmière de mon csapa) et j'ai eu mal, vraiment super mal, pas comme d'habitude, en fait exactement comme quand j'ai de la fièvre et que je peux même pas me faire un shoot parce que j'ai mal dès qu'une aiguille touche ma peau.
Donc oui, j'avais déjà remarqué dès mon premier sevrage que quand on est en manque on est pas au mieux pour gérer tout ce qui s'apparente à de la douleur mais j'avais jamais remarqué que je pouvais être sensible à ce point.
Je voulais savoir si c'était quelques choses que certains d'entre vous avez déjà ressentis aussi.
Et aussi, parce que je risque de me retrouver à nouveau un jour en manque et a devoir me faire une IM (j'ai un traitement hormonal en IM + des IM de cortisone occasionnellement à cause de problèmes respiratoires chroniques), ou même en ayant de la fièvre, je sais pas ce qui pourrai marcher pour que j'arrive a faire l'injection. Surtout que pour mon traitement, la testosterone enanthate, c'est huileux et donc très épais et même en temps normal ça peut faire bien mal quand j'injecte et forcément vu que c'est très épais ça met longtemps, en plus, comme ça c'est encore plus chouette.
J'avais pensé à un gel anesthésiant genre Lidocaine ou autre, je sais pas si ça pourrai suffire a anesthésié suffisamment profond pour une IM.
Des idées ?
"J'espère que tu n'espères pas trop fort, ça te ferai du tort, les grands rêveurs que j'ai connu avaient tous des marchands de mort. Parce que le sable ne suffit pas, on s'y enfonce pour oublier. Et moi qui croyais bêtement que quelqu'un viendrait m'y chercher" (KDL)
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- Archimede
- Dans mon bain
- Inscrit le 07 Mar 2017
- 244 messages
Salut,
Je n'ai absolument aucune expérience dans les opiacés, mais en IM si.
J'ai lu, et ressenti objectivement, que la douleur lors d'une injection IM n'est que relativement superficielle, les muscles étant très peu innervés.
Un anesthésiant local superficiel pourrait suffit sur un sujet type.
Attention par contre, le peu de nerf peut avoir été sensibilisé par le déficit d'endorphines causé par le sevrage... Dans ce cas, je n'en ai absolument aucune idée et les utilisateurs d'opi t'apporteront une réponse plus légitime.
Ha et une dernière chose, évite de choper le nerfs sciatique... Tu risque de t'en souvenir pendant assez longtemps !
EDIT : Ha oui j'y pense ! Diminue le calibré de l'aiguille si tu as trop mal durant l'injection mais attention à ne pas prendre trop petit au risque que le débit soit énormément faible (Une 23, bleue minimum pour ma part).
Ou alors essaye la testo base, pas huileuse mais pas d'ester = injections quotidiennes.
Courage pour la suite !
Je n'ai absolument aucune expérience dans les opiacés, mais en IM si.
J'ai lu, et ressenti objectivement, que la douleur lors d'une injection IM n'est que relativement superficielle, les muscles étant très peu innervés.
Un anesthésiant local superficiel pourrait suffit sur un sujet type.
Attention par contre, le peu de nerf peut avoir été sensibilisé par le déficit d'endorphines causé par le sevrage... Dans ce cas, je n'en ai absolument aucune idée et les utilisateurs d'opi t'apporteront une réponse plus légitime.
Ha et une dernière chose, évite de choper le nerfs sciatique... Tu risque de t'en souvenir pendant assez longtemps !
EDIT : Ha oui j'y pense ! Diminue le calibré de l'aiguille si tu as trop mal durant l'injection mais attention à ne pas prendre trop petit au risque que le débit soit énormément faible (Une 23, bleue minimum pour ma part).
Ou alors essaye la testo base, pas huileuse mais pas d'ester = injections quotidiennes.
Courage pour la suite !
Dernière modification par Archimede (13 mai 2017 à 09:38)
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- interopid
- Héroinomane, polytoxico à temps partiel
- Inscrit le 15 Jan 2016
- 81 messages
Salut,
Pour ce qui est des IM en général genre cortisone, progestérone, oestro ou anti coagulant pour ce que j'ai déjà pu expérimenté, oui en effet la douleur est très peu importante, en fait il n'y a que la douleur de l'aiguille, par contre pour la testo enanthate c'est l'injection du produit en lui même qui est douloureux.
Pour ce qui est du nerf sciatique je sais pas si j'ai déjà piqué dedans, mais par contre avec la chance que j'ai ma première injection de testo elle a effectivement touché un nerf et j'ai boité pendant bien 5 jours.
Sinon je ne compte pas changer de traitement, déjà parce que je doute de ma capacité a suivre un traitement journalier, ensuite parce que je ne pense pas que ça puisse être adapté dans mon cas avec une déficience hormonale totale, la testo enanthate c'est ce qui donne les taux les plus stables, les seuls alternatives ce serai en gel ou comprimés, mais pareil c'est un traitement journalier, le gel est très contraignant et pour les comprimés la testostérone per os est très mauvaise pour le foie à long terme et déjà que mon foie est pas au mieux de sa forme alors que j'ai même pas 20 ans je pense que c'est même pas envisageable.
Aussi le fait que je risque de ne pas rester sur la sécu française au long terme (et pareil pour les ordo, ça ne peut être préscrit que par un spécialiste parce que produit classé comme dopant, j'ai déjà dû faire 800km pour en trouver un en France à cause de ma situation, je doute pouvoir en trouver un autre qui acceptera de reprendre le traitement quand celui là partira en retraite) et qu'ensuite j'achèterai mes ampoules par d'autres moyen, donc la testo enanthate c'est ce qui est le plus simple à trouver, il y en a même sur les markets.
Et pour l'aiguille oui j'ai déjà la plus petite pour une IM profonde, bleue 0,6x25mm, mais il faut pas trop se fier à la couleur parce qu'en fait ça peut changer selon les fournisseurs. Mais pour ce genre d'injection c'est la plus petite possible d'après ce qu'on ma dit, vu qu'en plus le produit est huileux, moins l'aiguille est large plus c'est long a envoyer, déjà que je dois forcé à me niquer le doigt à chaque fois.
Et je pense vraiment que l'idée d'utiliser un anesthésiant local en crème serai le plus simple, j'en parlerai à mon médecin la prochaine fois.
Pour l'instant ce que je faisais, quand j'avais de la fièvre par exemple et que j'étais dans cet état niveau sensibilité à la douleur, c'était d'aller me faire faire l'injection par quelqu'un d'autre, infirmier de mon csapa dans ce cas, mais là aussi c'est pas quelque chose que je pourrai faire à chaque fois.
Pour ce qui est des IM en général genre cortisone, progestérone, oestro ou anti coagulant pour ce que j'ai déjà pu expérimenté, oui en effet la douleur est très peu importante, en fait il n'y a que la douleur de l'aiguille, par contre pour la testo enanthate c'est l'injection du produit en lui même qui est douloureux.
Pour ce qui est du nerf sciatique je sais pas si j'ai déjà piqué dedans, mais par contre avec la chance que j'ai ma première injection de testo elle a effectivement touché un nerf et j'ai boité pendant bien 5 jours.
Sinon je ne compte pas changer de traitement, déjà parce que je doute de ma capacité a suivre un traitement journalier, ensuite parce que je ne pense pas que ça puisse être adapté dans mon cas avec une déficience hormonale totale, la testo enanthate c'est ce qui donne les taux les plus stables, les seuls alternatives ce serai en gel ou comprimés, mais pareil c'est un traitement journalier, le gel est très contraignant et pour les comprimés la testostérone per os est très mauvaise pour le foie à long terme et déjà que mon foie est pas au mieux de sa forme alors que j'ai même pas 20 ans je pense que c'est même pas envisageable.
Aussi le fait que je risque de ne pas rester sur la sécu française au long terme (et pareil pour les ordo, ça ne peut être préscrit que par un spécialiste parce que produit classé comme dopant, j'ai déjà dû faire 800km pour en trouver un en France à cause de ma situation, je doute pouvoir en trouver un autre qui acceptera de reprendre le traitement quand celui là partira en retraite) et qu'ensuite j'achèterai mes ampoules par d'autres moyen, donc la testo enanthate c'est ce qui est le plus simple à trouver, il y en a même sur les markets.
Et pour l'aiguille oui j'ai déjà la plus petite pour une IM profonde, bleue 0,6x25mm, mais il faut pas trop se fier à la couleur parce qu'en fait ça peut changer selon les fournisseurs. Mais pour ce genre d'injection c'est la plus petite possible d'après ce qu'on ma dit, vu qu'en plus le produit est huileux, moins l'aiguille est large plus c'est long a envoyer, déjà que je dois forcé à me niquer le doigt à chaque fois.
Et je pense vraiment que l'idée d'utiliser un anesthésiant local en crème serai le plus simple, j'en parlerai à mon médecin la prochaine fois.
Pour l'instant ce que je faisais, quand j'avais de la fièvre par exemple et que j'étais dans cet état niveau sensibilité à la douleur, c'était d'aller me faire faire l'injection par quelqu'un d'autre, infirmier de mon csapa dans ce cas, mais là aussi c'est pas quelque chose que je pourrai faire à chaque fois.
"J'espère que tu n'espères pas trop fort, ça te ferai du tort, les grands rêveurs que j'ai connu avaient tous des marchands de mort. Parce que le sable ne suffit pas, on s'y enfonce pour oublier. Et moi qui croyais bêtement que quelqu'un viendrait m'y chercher" (KDL)
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- high5
- ordinateur
- Inscrit le 12 Oct 2016
- 96 messages
Salut interopid. J'espère déjà que tu te sens mieux ! Et pour répondre à ta question, oui, lorsque je suis en manque, j'ai l'impression que toutes les douleurs que je peux ressentir sont amplifiées et d'être beaucoup plus sensible au toucher et aux douleurs de n'importe quel type.
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- Caedulis
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 03 Jun 2014
- 89 messages
Je peux témoigner là -dessus lorsque j'étais sevrage opiacés j'ai voulu me faire un shoot de cocaïne mais la douleur de l'aiguille était insupportable. Les IM peuvent aussi brûler selon les produits et les excipients de la solution (chlorure). De façon générale ce sont tes récepteurs opioïdes en pleine 'desensibilization' ce qui rend notre sens du toucher, le tactile, plutôt insupportable. Même les vêtements le deviennent insupportables. On est à fleur de peau comme on dit :)
" Avant, on cherchait à déformer la réalité en prenant du LSD, maintenant que la réalité est déformée, on prend du Prozac pour tenter de la voir normalement ."
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- interopid
- Héroinomane, polytoxico à temps partiel
- Inscrit le 15 Jan 2016
- 81 messages
Merci de vos réponse à tous !
Ca me fait dire une fois de plus, que les symptômes du manque c'est quand même assez variable selon les gens et même un peu selon les fois. J'ai l'impression que certaines personnes sont plus sensibles à certaines choses qu'à d'autres.
Je prends des opia depuis 2011, parfois régulièrement parfois occasionnellement, avec des périodes d'abstinence, certaines qui ont durées plusieurs mois jusqu'à un an, et 6 sevrages donc j'ai eu l'occasion de connaitre le manque pas mal de fois.
Mais jusqu'à maintenant je n'ai jamais été trop sensible au touché, enfin c'est loin d'être agréable pour autant mais je crois pas que ce soit aussi violent que ce que tu décris Caedulis.
Pareil niveau vomissements et diarrhées, j'ai de la chance en général j'ai beau en avoir pas mal les premiers jours ça reste gérable même si je suis pas capable de manger et à peine de boire sans vomir les 3 - 4 premiers jours.
En général ce qui est le plus violent chez moi c'est la dépression, l'épuisement et cette espèce de nervosité dans le ventre et les membres qui est presque insupportable, la douleur musculaire aussi qui me rend presque incapable de rester debout ou assis et qui me donne l'impression d'être couché sur des cailloux. Et aussi évidemment le n'importe quoi niveau chaud/froid, l'impression de crever de chaud et de transpirer comme si il faisait 45° et en même temps l'impression de crever de froid juste après.
Cette fois ci le manque à pas été trop horrible parce qu'en même temps je venais de faire un sevrage progressif qui avait été suivi d'une période de conso relativement courte. Mais je suis dans une période batarde à vrai dire, j'essaie surtout de diminuer ma conso autant que je peux, et essayer aussi de faire des pauses de plus en plus fréquemment, à voir ce que ça donnera. De toute façon c'est aussi vraiment le bordel dans ma vie en ce moment donc je ne sais pas vraiment plus vers où je vais.
Je reviendrais up le sujet si j'essai de faire mon IM avec une crème anesthésiante pour dire ce qu'il en est.
Ca me fait dire une fois de plus, que les symptômes du manque c'est quand même assez variable selon les gens et même un peu selon les fois. J'ai l'impression que certaines personnes sont plus sensibles à certaines choses qu'à d'autres.
Je prends des opia depuis 2011, parfois régulièrement parfois occasionnellement, avec des périodes d'abstinence, certaines qui ont durées plusieurs mois jusqu'à un an, et 6 sevrages donc j'ai eu l'occasion de connaitre le manque pas mal de fois.
Mais jusqu'à maintenant je n'ai jamais été trop sensible au touché, enfin c'est loin d'être agréable pour autant mais je crois pas que ce soit aussi violent que ce que tu décris Caedulis.
Pareil niveau vomissements et diarrhées, j'ai de la chance en général j'ai beau en avoir pas mal les premiers jours ça reste gérable même si je suis pas capable de manger et à peine de boire sans vomir les 3 - 4 premiers jours.
En général ce qui est le plus violent chez moi c'est la dépression, l'épuisement et cette espèce de nervosité dans le ventre et les membres qui est presque insupportable, la douleur musculaire aussi qui me rend presque incapable de rester debout ou assis et qui me donne l'impression d'être couché sur des cailloux. Et aussi évidemment le n'importe quoi niveau chaud/froid, l'impression de crever de chaud et de transpirer comme si il faisait 45° et en même temps l'impression de crever de froid juste après.
Cette fois ci le manque à pas été trop horrible parce qu'en même temps je venais de faire un sevrage progressif qui avait été suivi d'une période de conso relativement courte. Mais je suis dans une période batarde à vrai dire, j'essaie surtout de diminuer ma conso autant que je peux, et essayer aussi de faire des pauses de plus en plus fréquemment, à voir ce que ça donnera. De toute façon c'est aussi vraiment le bordel dans ma vie en ce moment donc je ne sais pas vraiment plus vers où je vais.
Je reviendrais up le sujet si j'essai de faire mon IM avec une crème anesthésiante pour dire ce qu'il en est.
"J'espère que tu n'espères pas trop fort, ça te ferai du tort, les grands rêveurs que j'ai connu avaient tous des marchands de mort. Parce que le sable ne suffit pas, on s'y enfonce pour oublier. Et moi qui croyais bêtement que quelqu'un viendrait m'y chercher" (KDL)
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- Sufenta
- Adhérent PsychoACTIF
- Inscrit le 11 Apr 2015
- 6267 messages
Salut
Alors oui en période de sevrage on est plus sensible à la douleur car le corps re fabrique ses propres endorphines pour la douleur et tout ceci doit s'équilibrer.
Pour les IM ou les fais tu ? Si c'est au fessier il faut faire un rond virtuel et une croix au milieu avec la fesse et piquer dans le quart supero externe, en gros tu délimites virtuellement un rond, et tu le sépares en quatre c'est la partie en haut à droite. C'est la sécurité afin de ne pas toucher le nerfs sciatique, car si ça arrive aie aie aie ...
Autrement tu peux aussi piquer sur le haut de la cuisse ... C'est plus simple lorsque l'on doit s'IM seul. Tu peux trouver des sites infirmier qui l'explique bien je te mets un lien
http://www.unifr.ch/clinical-skills/ass … j%20im.pdf
Pour la douleur à l'injection je ne pense pas que mettre un patch d'emla (patch à la lidocaine) change vraiment quelque chose vu que ce n'est pas la piqure qui est douloureuse mais le produit "huileux" ca me rappelle les injections retards que je n'aime pas faire justement pour la raison que c'est douloureux.
Salutations sufenta
Alors oui en période de sevrage on est plus sensible à la douleur car le corps re fabrique ses propres endorphines pour la douleur et tout ceci doit s'équilibrer.
Pour les IM ou les fais tu ? Si c'est au fessier il faut faire un rond virtuel et une croix au milieu avec la fesse et piquer dans le quart supero externe, en gros tu délimites virtuellement un rond, et tu le sépares en quatre c'est la partie en haut à droite. C'est la sécurité afin de ne pas toucher le nerfs sciatique, car si ça arrive aie aie aie ...
Autrement tu peux aussi piquer sur le haut de la cuisse ... C'est plus simple lorsque l'on doit s'IM seul. Tu peux trouver des sites infirmier qui l'explique bien je te mets un lien
http://www.unifr.ch/clinical-skills/ass … j%20im.pdf
Pour la douleur à l'injection je ne pense pas que mettre un patch d'emla (patch à la lidocaine) change vraiment quelque chose vu que ce n'est pas la piqure qui est douloureuse mais le produit "huileux" ca me rappelle les injections retards que je n'aime pas faire justement pour la raison que c'est douloureux.
Salutations sufenta
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- interopid
- Héroinomane, polytoxico à temps partiel
- Inscrit le 15 Jan 2016
- 81 messages
Pour ce qui est de l'injection j'injecte toujours dans la cuisse et ça fais des années maintenant que j'ai ce traitement et que j'injecte moi même donc pour ça pas de problème.
Je réfléchi toujours à savoir si je vais ou non continuer mon traitement, en dehors des injections qui sont relativement chiantes à faire il y a aussi d'autres effets du THS que j'ai du mal à supporter mais en même temps revivre à nouveau en déficience hormonal je pense pas que je le supporterai non plus donc pour l'instant je reste comme ça.
J'en parlerai quand même à mon médecin pour les patchs et pour la douleur en général, je verrai bien ce qu'elle en pensera
Je réfléchi toujours à savoir si je vais ou non continuer mon traitement, en dehors des injections qui sont relativement chiantes à faire il y a aussi d'autres effets du THS que j'ai du mal à supporter mais en même temps revivre à nouveau en déficience hormonal je pense pas que je le supporterai non plus donc pour l'instant je reste comme ça.
J'en parlerai quand même à mon médecin pour les patchs et pour la douleur en général, je verrai bien ce qu'elle en pensera
"J'espère que tu n'espères pas trop fort, ça te ferai du tort, les grands rêveurs que j'ai connu avaient tous des marchands de mort. Parce que le sable ne suffit pas, on s'y enfonce pour oublier. Et moi qui croyais bêtement que quelqu'un viendrait m'y chercher" (KDL)
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