Heya tout le monde, je viens ici vous partager beaucoup, beaucoup de choses. (J'ai rien préparé, mais les lignes directrices restent mon premier trip au
LSD-25 et le deuxième avec du
1P-LSD acheté sur le
DW, par ailleurs il est très fort possible que je divague ("vague" lol)).
Tout d'abord je m'étais présenté il y a six mois pour poser quelques questions, à vous, messieurs dames expérimentés. (Et j'ai été pris d'assauts de bons conseils, vous êtes super, sans vous je n'aurai jamais connu la notion de
RdR par ex). Mais pour vous éviter de chercher qui se cache derrière ce pseudo ; Homme, 18 ans, 1 mètre 80 et 70kgs, assez résistant à tous types de substances que j'ai pu essayer.
Voilà pour la petite présentation. Maintenant premier
TR (Le moins intéressant, ça va aller vite, promis):
J'étais avec ma colloque à Grenoble, ça faisait deux mois qu'on se connaissait mais le courant passait réellement ultra bien entre nous deux. En fait on s'est connus en cours et trois semaines après s'être connus elle a emménagé chez moi. Une pote à nous, "teufeuse" (mon dieu ce mot est d'une laideur sans nom...) nous disait pouvoir nous trouver du
LSD-25 (à priori huh). Bon, long story short, on l'a pris et elle nous avait dit "Bien laisser sous la langue". Sauf que sur ce fofo, je sais plus trop où, j'avais lu que de le laisser fondre sous la langue ou l'avaler étaient pareils, seul le temps de montée était différent (Plus rapide en laissant sous la langue apparemment), et que souvent quand on te disait de bien laisser, ça pouvait très probablement signifier (pas forcémenent, me faites pas dire ce que j'ai pas dit) que c'était un
RC). Du coup je lui en ai fait part et on l'a cash avalé (Au c'était un Hoffman et on pris un demi
buvard chacun et c'est tout). On a fait que bouger toute la journée, mais pas d'hallus (normal à cette dose, quoi que...). Cerveaux très connectés entre nous, léger bodyhigh, sans plus. Très énergiques aussi (Elle est hyperactive, et moi hyperactif pendant l'enfance mais ça s'est calmé, quand même qlques restes^^). En gros on a prit à 14h et on a fini par rentrer à 5 heures du mat après s'être enfilés une bouteille de vodka sous un pont en shot après avoir fumer un petit blunt pur aha. On a bien fumé toute la journée comme vous vous en doutez. C'était cool et c'était surtout dans l'optique de découvrir la molécule en fait, et vu tout ce que j'ai pu lire ici, je pense qu'on a bien fait de pas se bouffer un
buvard chacun la première fois aha (surtout vu ce que je vais vous raconter après avec seulement 50µg de 1P...). Voilà en gros pour la première fois.
Maintenant, le deuxième
TR, bien plus intéressant, promis :
Journée prévue depuis deux semaines, trois potes. C, S, E.
-E: Mon meilleur pote depuis + de 12 ans.
-S: Super pote avec qui j'ai passé une bonne moitié de mes soirées
-C: Pote d'enfance aussi, très intelligent. On s'était perdus de vu depuis 2 ans avant qu'on se revoit ce Samedi.
Sinon, on était posés chez lui ("Personne chez lui à part nous", vous comprendrez après), très belle journée, on avait prévu d'aller marcher aussi normalement.
(Je reprécise, c'est du
1P-LSD dont il est question maintenant, pas du
LSD-25 "de rue").
T: [0;1]
Lui avait commandé cinq
buvards et en avait déjà bouffé 1 et demi sur trois jours avant ça je crois, donc il était déjà bien habitué (et son corps aussi). Je commence par prendre un quart (Buvards dosés a 100µg/unité), et l'enculé en prend deux d'un coup putain. Sur le coup j'ai eu un mini haut-les-coeurs (si, si aha). Mais bon, je suppose qu'il sait ce qu'il fait. (Première mini appréhension/stress).
Après ça on sort fumer un petit bédot tranquillement dans son jardin, à l'ombre. Après une heure et quart, on est bien def, lui est pas monté du tout apparemment, moi je sens un très léger bodyhigh, je suis confiant pour
redrop.
T: [1;2.5]
Je
redrop un quart, je suis donc à peine à 50µg de 1P. Pareil, on ressort fumer un bédot. On commence à monter (surtout lui en fait, moi j'étais juste un peu euphorique, rien de plus, vous vous en doutez) et lui se tape des barres de ouf. Il fait chaud. 2 heures et demie sont passées depuis le premier drop, il commence à être grave def. Là , mon meilleur pote me dit "ouais au fait je vais rentrer vers 18h jusqu'à genre 20h histoire de manger". Putain le stresssssssssss, c'était vraiment lui mon ange gardien et en fait, après coup, je crois pas qu'il se soit réellement rendu compte de ce que le
LSD est, et comme il est important de vraiment tout prévoir pour éviter tout stress potentiel. Quand on avait prévu de prendre, on s'était dit "14h-2h du matin" en fait, et j'avais pas prévu qu'il voudrait rentrer un peu (ce qui est normal). Du coup deuxième petit coup de stress. A ce moment il est 16h30 pour vous situer.
T:[2.5;3.5]
On est montés dans sa chambre parce qu'il "faisait trop chaud" (vous comprendrez les guillemets). Sur le coup je me suis dit que c'était vrai. On monte, et là mon pote C. commence à tripper sévère (Du genre il est assis sur sa chaise de bureau, les yeux fermés, tête levée, avec un tic au doigt vraiment creepy). Il met de la musique trop trippante/bizarre (et sur le coup elle m'a vraiment fait peur), ambiance volets fermés. En vrai c'était drôle pendant une heure, je commençais à monter et j'étais en confiance. Je voulais
redrop 50µg à ce moment. Et, me demandez vraiment pas pourquoi, il a mit des vidéos D'Eddy-Malou (non, sérieux) pour nous montrer "hé regardez il fait encore des vidéos sur youtube". Et en fait, pour ceux qui connaissent, j'avais l'impression d'être dans un Episode de Rick&Morty, avec les planètes dans le ciel qui crient "SHOW ME WHAT YOU GOOOOOT".
En gros, j'avais l'impression qu'une planète à l'image d'Eddy-Malou soit située comme la lune l'est (=visible et proche) genre, et qu'elle me criait des choses incompréhensibles que mes oreilles et mon cerveau refusaient d'entendre.
De
base, j'avais dit "J'exige qu'on sorte, qu'on marche en forêt, qu'on explore (y'a une forêt qu'on connaît bien à 50 mètres de chez lui...)).
Jusqu'à environ 17h30, tout allait pour le mieux.
Pour revenir au "il faisait trop chaud" entre guillemets, je pense qu'en fait il sentait qu'il allait tripper sévère, et qu'il voulait se poser dans sa chambre avec sa musique, ses délires, ses habitudes etc... Ce qui est un peu égoïste quand j'y pense.. (Si et seulement si il a eu ce cheminement de pensée quoi).
T:[3,5;4,5]
Au final, quelques minutes avant de vouloir
redrop, je commence à voir un vortex près du ventilateur, je commence à voir le dragon dessiné à son mur bouger un peu ; des débuts d'hallus qui me mettent vraiment en confiance. Et là , je ferme les yeux, et je vois la tête de mon pote C., au loin, qui rigole, en mode il se moque de moi. Ça à été très bref et en fait je me suis rappelé de ce moment une semaine après, quand je l'ai revu après ce trip pour la première fois. Et bim, d'un coup, je dois sortir, j'étouffe. Je décide de voir "de nouveaux sourires" car les-leur me perturbent (sérieusement). Et en fait, quand j'ai vu mon pote C. sur sa chaise en train de tripper grave, avec la musique glauque là et en étant en pleine montée, je me suis dit "putain mais je veux pas tripper sur ma chaise pendant 8 heures moi", en plus de ça, quand j'essayais de me concentrer sur des objets ou quoi que ce soit, je sentais que j'étais "aspiré" dans son trip, genre y'avait pas assez d'énergie dans la chambre pour nous deux, parce que cet enculé à bouffé 200µg d'un coup.
J'ai envoyé un message à une pote de mon village pour qu'on se rejoigne, parce-que j'étais persuadé qu'elle, extérieure à la situation (elle savait que je prenais cet aprem quand même, je veux dire qu'elle savait pas trop ce qui s'était passé avant, du coup, lui parler de ce qu'il s'était passé sur la coup ça m'a fait du bien (contrairement au soir où c'était vraiment dur de parler de ce qu'il s'était passé durant toute l'aprèm).). allait m'apporter de nouveaux "horizons" et une nouvelle façon de voir mon trip. En fait elle sait pas trop ce qu'est le
LSD, ses enjeux, la molécule, ce qui peut arriver. Mon pote S. me dépose et lui et mon meilleur pote rentrent. Je dis à C. à quel point je dois (vraiment, je DEVAIS) partir. En fait, C. me faisait peur. Vraiment il me tétanisait, j'avais pas forcément l'impression qu'il me voulait du mal, mais je sais pas, j'avais plus trop confiance en lui. On monte dans sa chambre pour que je récupère mon sac et là putain de merde, on passe devant sa mère qui était rentrée et elle savait qu'on avait pris. Mais bordel, même si sa mère était d'accord avec ça (putain mais wtf déjà , dire à sa mère qu'il va prendre du
LSD ça me dépasse...) et qu'elle n'y voyait aucun inconvénients, le fait de voir la mère d'un gars que je connais depuis + de dix ans, que j'ai connu en étant tout gamin, savoir que je prends du
LSD, ça m'a mit ultra ultra ultra mal à l'aise. Mais genre pas le malaise comme quand tu fais une blague foireuse. Le genre de malaise qui remet en question ma prise de
LSD plutôt...
Bref je me barre de chez lui. Mes potes me déposent en plein village, eux n'ont pas non plus réellement conscience de l'état d'esprit que j'avais ; J'étais sérieusement perdu et en fait, aucun repère, et en fait à un moment j'ai eu cette pensé "Faudrait que ça s'arrête" qui est apparue, mais vraiment de façon incontrôlée, et je me disais que c'était très probablement mon corps qui parlait ou ma conscience, qui ne supportait pas d'être dans un état trop différent qu'usuellement. Aussi, j'ai cette tendance à "psychoter", par exemple je peux avoir une gastro et l'une des premières pathologies qui me vient à l'esprit ça serait "appendicite". (j'abuse mais c'est à peu près ça aha, par contre je redescends assez vite sur terre et je me dis que je vais carrément trop loin).
Je fais une parenthèse ici, parce que la plus part d'entre vous doivent se dire "mais il nous fait chier ce mec, il a pris que 50µg, c'est rien" (Quelle légèreté aha), mais en fait j'ai gardé la surprise : j'étais à jeun depuis la veille à 19 heures en fait. Ce qui fait qu'à 7 heures le lendemain du trip, quand je commençais à réussir à dormir, j'avais pas mangé depuis 36 heures. (Enfin j'ai mangé une ou deux poignées de MonsterMunch et 50 grammes de pâtes, alors que d'habitude je mange dans les 2800 calories facile).
Ma pote me rejoint, on se pose au stade dans le village. Je lui explique la situation en détails et lui explique que j'aimerais bien être rassuré. Elle y arrive très bien et me fait bien rire.
A noter qu'à partir de ce moment là , je ne veux absolument plus fumer sur un bédot, je sais pas pourquoi, j'avais juste un super mauvais présage vis-à -vis de ça.
Aussi, à ce moment, j'avais l'impression de passer des "paliers" de def, qui se caractérisaient par par exemple un acouphène constant dans les oreilles ou par mon bras droit plein de fourmillements.
T: [4,5;6,5]
Je rentre chez moi et croise ma mère, ma soeur et mon oncle. Je suis très très famille, et le fait de les voir m'a remonté énormément d'émotions. A tel point que je suis rentré, les ai vu, les ai salué et ai parlé un peu avec eux, mais je suis cash allé prendre un douche à 20° après ça pour évacuer et me calmer. (Et putain je vous dis pas la vasoconstriction que j'avais avec la douche froide + le 1P ¨
!!!)
Je "mange" avec eux (j'essaye en tout cas). Je suis très rassuré, ils ne remarquent rien et je me blottis contre ma mère, j'ai besoin de son énergie, de son aura de bien être, et de sa confiance. Il se passe pas grand chose à ce moment là , j'essaye de me contenir un maximum en montant régulièrement dans ma chambre pour fumer une clope pour évacuer. Sinon je reste le plus clair de mon temps en bas avec la miff' que j'aime tant.
T: [6.5;11]
Je vais manger BBQ chez une pote, y'a une dizaine d'autres potes qui sont là aussi, ils savent tous que j'ai pris et me demandent ce que ça à donné. Mais j'arrive pas, quand j'en parle j'ai des contractions côté gauche de mon cou, des constrictions je dirais même d'ailleurs, et elles me paraissaient "acides". Même en dehors de ça, c'était trop dur d'en parler et j'avais pas l'impression d'être redescendu. A ce moment j'avais l'impression d'être extérieur à la situation mais j’interagissais normalement quand même. J'avais l'impression qu'un joueur contrôlait mon corps, et que j'assistais à ce qu'il se passait, trop bizarre. Aussi, je repère n'importe quelle émotion que quelqu'un cache, c'est trop bizarre!! A un moment, la meuf d'un pote rentre pour "faire la vaisselle". Et sans trop lui avoir parlé ce soir avant ça, ni même sans avoir suivi ce qu'il se passait de l'autre côté de la table, je l'ai vu faire une petite micro-expression en disant "je vais faire la vaisselle", comme si elle avait du mépris par rapport à ce qu'il se passait, genre elle l'a dit en relevant la tête, et c'est quand elle a rivée ses yeux sur la situation, quand elle a repris l'information de ce qu'il se passait, qu'elle a eu son petit mouvement si singulier. Je demande à une de ses pote ce qu'il se passe avec elle et elle me rétorque "Rien, pourquoi?", puis je lui explique qu'il y a un soucis. Je lui dis d'aller la voir avec insistance et lui demander ce qu'il se passe. Elle était super énervée contre deux types qu'étaient là ce soir en fait. C'est un exemple tout con, mais ça s'est passé au moins 3-4 fois ce genre de trucs, et à chaque fois c'était avéré.
T: [:11 +-13]
Vers 1 heure du matin, je décale avec ma pote qui m'avait accompagnée l'aprèm pour aller voir mon meilleur pote et encore un autre gars. On parle et j'avais toujours cette impression de pas être redescendu. Toujours un peu l'impression d'être "extérieur à ce qu'il se passe"
Je rentre vers 3h/3h30 du matin chez moi, pas fatigué du tout.
La vasoconstriction a durée pendant tout le long. Je me suis endormi vers 8 heures du matin le lendemain, et en essayant de dormir, j'avais l'impression de devenir schizophrène...
En soit, le trip n'a pas été "traumatisant", juste pas très agréable...
Et en fait, j'ai eu cette sensation de devenir schizophrène, et c'était vraiment flippant. Je contrôlais plus mes pensées, et c'était comme un rêve où il y a plusieurs personnages dans ma tête qui interagissaient, mais sans rêve, sans "images". Etant donné qu'un de mes cousins à été interné dû à sa schizophrénie naissante (j'insiste, naissante, à l'époque où il a été interné il était encore très "clean" dans ses pensées, ses crises étaient vraiment petites, vraiment aucune raison de se faire internet, surtout quand ils ont osé dire qu'il "pouvait potentiellement représenter un danger pour l'ordre et l'autorité". lol.), j'ai toujours eu dans la tête cette pensée, comme quand tu ouvres la barre de tâche, tu as pleins de programmes en arrière-plan. Dans ce cas là , pareil. Et en fait j'avais vraiment peur que le
LSD ouvre cette pathologie (??, pas sûr de l'emploi de ce terme ici et avant en fait, corrigez-moi si je me trompe) qui dormait en moi. En plus je suis dans l'âge où cette maladie se déclare le plus fréquemment (18-25 ans la plus part du temps il me semble, non?).
En fait trois jours après le trip, je parlais de l'autisme avec ma mère, parce que c'est quelque chose qui nous fascine tous les deux, (me demandez pas pourquoi, mais je trouve les autistes vraiment incroyables), et elle en est venue à la schizophrénie. Je lui ai dit que j'avais lu que c'était une maladie qui était du genre "à courir dans les familles si une personnes souffre de la schizophrénie" (J'y pense d'ailleurs, je sais pas si j'ai écrit "il était schizophrène" ou quelque chose dans le genre, je sais que c'est faux, qu'on n'est pas schizophrène, mais atteint de la schizophrénie, j'ai la flemme de chercher dans tout ce pâté et me corriger en fait xD), et elle m'a dit que c'était la du côté de la femme de mon oncle que ça courrait. ouf. (même si...)
Et en fait du haut de mon expérience, si microscopique, minime et minuscule soit-elle, j'ai l'impression que le
LSD c'est vraiment pas pour tout le monde. Je suis de nature à remettre plein de choses en cause, même si je suis aussi de nature à avoir très confiance en moi. Quand j'étais petit il m'arrivait de littéralement péter un câble si par exemple ma mère venait me chercher à l'école avec 1 minute de retard, parce que je trouvais ça impensable d'arriver en retard (devinez qui est le mec le plus en retard de la planète à ce jour?
), et que si elle avait ne serait-ce qu'une minute de retard, ça voulait dire qu'elle tenait pas ses promesses et que donc, elle s'en foutait de moi. Genre sérieux
Tout ça pour dire que pendant mon enfance c'était beaucoup plus prononcé, mais c'est toujours un peu resté (mais c'est pas en mode "parano" encore une fois, c'est plus de la mise en abyme de chaque situation avec une tendance à trop analyser et faire parfois des conclusions vraiment hâtives), et que donc, avoir ce comportement de
base, de toute remettre en question, d'extrapoler vers le pire chaque chose qui se passe, ça à été vraiment décuplé pendant l'expérience au 1P, et c'était vraiment pas agréable. Genre je pense que même dans les meilleures conditions qu'il soit, dans un set&settings parfait, je pense que le
LSD serait vraiment contre-productif pour moi. Enfin, j'abuse encore une fois je pense, mais je sais pas, j'ai plus trop confiance maintenant, parce-qu'hormis un set&settings imparfait qui a dû contribuer à ce qu'il s'est passé, tout allait bien dans ma vie, je venais de finir mes partiels, j'avais eu mon stage, enfin c'était parfait.
Du coup je suppose que je suis pas le seul à qui c'est arrivé, et là je m'adresse particulièrement à ceux qui se sont un peu reconnus (s'il y en a x)) dans ce pâté gargantuesque, dans la notion de remise en question incessante qui devient oppressante sous
1P-LSD, d'avoir des mini crises de stress ultra puissante pour aucune raison... j'ai pas eu d'introspection véritablement, mais pleins d'idées reloues qui poppaient dans ma tête de manière random.
Voilà , j'ai grave raconté ma vie, mais ça fait du bien putain. Il y a pas mal de choses qui me sont revenues en écrivant ce
TR, et j'en ai plein d'autres en tête, mais je pourrais pas tout écrire, c'est bien trop long pour une si petite expérience. J'ai écrit ce truc sur deux jours, une fois le matin, une fois vers 2h après être sortis avec mes potes (
), donc vous étonnez pas si vous captez plusieurs moods, plusieurs tournures de phrase différentes aha
Bravo à ceux qui arriveront à lire jusqu'à la fin, j'ai pas vraiment été "marqué" comme certains ont pu l'être, mais je sais pas, le fait d'avoir tout raconté ici, j'ai l'impression que le vécu de cette situation, a été traitée par mon cerveau, et qu'elle est désormais une expérience et non plus un simple "vécu". Donc ouais, ça soulage et ça tue le temps (surtout quand on est malade).
Bonne journée/soirée à tous !
PS: je me suis relu qu'une fois, je relirai plus tard ça fait trois heures que j'écris là , j'en peux plus, donc y'aura plusieurs petites modifs dans le futur