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Sufenta a écrit
Pour casser une forme Lp selon la galénique il faut broyer le comprimé ou les microbilles si c’est dans une gélule, ce qui fait qu’un médoc est Lp c’est sa gastroresistance, en gros il est dur et du coup se digère doucement.
Tu peux l’ecraser et mettre la poudre dans une gélule ou une feuille à rouler pour une prise per os sinon pour le plug il ne faut pas se carrer le comprimé dans le boule, il faut aussi l’ecraser et le mélanger avec un peu d’eau puis le filtrer (un coton suffit pour le plug) et le mettre ds une seringue, puis la seringue dans le cul (sans aiguille bien sûr).
Ça agira plus vite et plus fort mais ça ne sera plus du Lp donc ça agira moins longtemps.
Tu peux aussi mélanger les deux modes, une prise en per os normale qui agira 12h et un plug en même temps qui agira rapidement.
Désolé je n'avais pas vu ton message, qui s'adressait à moi je suppose ?
Sur le screen que j'ai envoyé, de doctissimo, dans la fiche du médicament ils disent que si il est écrasé ou coupé il devient une libération rapide. Je n'ai pas encore essayé, j'en suis déjà à 5 en une journée il faut que je freine sinon je vais jamais tenir le mois En tout cas je suis satisfait de l'effet de ce médoc, c'est un peu comme le tussipax mais avec une durée bien plus longue, ou comme le klipal sans les nausées et la peur de prendre une dose toxique de paracétamol. La prochaine fois je redemanderai ça à mon doc, je vais aussi essayer de lui demander de la lamaline ( poudre d'opium titrée à 20% morphine ) en gellule car quand j'étais en rade de codéine ça a bien fait l'affaire. Je vais aussi lui demander du zolpidem juste parce que j'aime bien taper des trip au zolpidem.
Dernière modification par Arseniik (28 octobre 2017 à 03:51)
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Stovo a écrit
On dirait que c'est la fin pour la codeine, donc l'inévitable montée d'une nouvelle molécule...
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a pris un arrêté, mercredi 12 juillet, pour inscrire la codéine et d’autres dérivés de l’opium sur la liste des médicaments délivrés uniquement sur ordonnance.
L’arrêté ministériel serait à effet immédiat et concernerait tous les médicaments contenant de la codéine, du dextrométhorphane, de l’éthylmorphine ou de la noscapine.
Quelques sources:
http://www.lexpress.fr/actualite/societ … 26799.html
http://www.20minutes.fr/sante/2103703-2 … ordonnance
http://www.leparisien.fr/societe/les-me … 129131.php
et bien , au risque de me faire tirer dessus par tt le monde, moi je trouve que c est une bonne chose, j ai eté accro au klipal 300 et neo codion ( ts deux vendus sans ordo a l epoque) !!! et bien depuis qu il n y en a plus en vente libre , j ai eu 8jours de folie attroce, chiasse, boule ds la gorge, tremblement, mais , pou rmoi l alcool ca va etre plus dure que la codo mais , je me suis sortie de cet opiacé la dure , en 8 jours ! comme dans transpooting !! lol depuis ce jours meme plus l envie, ahh qques craving au debut, mais depuis juillet suis clean avec ca !
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Dernière modification par Fredfenriz3 (04 novembre 2017 à 10:55)
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Ne retombe jamais dans cette merde, il y a qques jours, je suis retombé sur une boite de klipal 300 ( dans ma voiture) ca a été dur, mail je lai mise a la poubelle !!!!!
si tu ne ressent pas de craving, n en reprend plus s il te plait , c est de la merde !
courage a toi l ami !
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Dernière modification par Fredfenriz3 (04 novembre 2017 à 10:49)
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levoleurdepoules a écrit
Ne retombe jamais dans cette merde
n en reprend plus s il te plait , c est de la merde !
Tu peux nous expliquer comment tu peux dire des choses pareilles tout en précisant dans ta présentation que tu es éduc spé dans un CSAPA ?
Sache quand même qu'avant d'incriminer une molécule, en l’occurrence la codéine, on doit se remettre en question vis-à-vis de l'usage que l'on en a fait, cette molécule rend de grands services aux personnes qui l'utilisent à bon escient pour leurs douleurs mais quand on dépasse les bornes, il est normal que l'on morfle, les opiacés amènent à une dépendance seulement lorsqu'ils sont mal utilisés, c'est à dire, de manière récréative et que l'on ne respecte pas un délai minimum entre chaque prise.
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ElSabio a écrit
Bonjour,
levoleurdepoules a écrit
Ne retombe jamais dans cette merde
n en reprend plus s il te plait , c est de la merde !Tu peux nous expliquer comment tu peux dire des choses pareilles tout en précisant dans ta présentation que tu es éduc spé dans un CSAPA ?
Sache quand même qu'avant d'incriminer une molécule, en l’occurrence la codéine, on doit se remettre en question vis-à-vis de l'usage que l'on en a fait, cette molécule rend de grands services aux personnes qui l'utilisent à bon escient pour leurs douleurs mais quand on dépasse les bornes, il est normal que l'on morfle, les opiacés amènent à une dépendance seulement lorsqu'ils sont mal utilisés, c'est à dire, de manière récréative et que l'on ne respecte pas un délai minimum entre chaque prise.
cccooollll !
j etais dans cette merde pendant des années, ce qui detruit la personne dependante c est le paracetamol qu il y a avec ( je parle du klipal et du codoliprane).
bien sur que la codeine soulage bien des personnes qui ont de fortes douleurs , mais cela re ambivalent, car c est comme ca que je suis tombé dedans !!!!! d attroces maux de dos et de chevilles et de main ( suite a de multiples fractures), cette molécule m a aider a me soulager, mais apres il faut reussir a se soulager de cette molécule !!!
bien amicalement
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Bon, pour répondre à ta question, c'est une chose documentée et admise, le gens qui prennent de la codé pour des douleurs ne sentent pas le manque, comme nous, addicts, pouvons le ressentir. Je crois d'ailleurs qu'ils ne sentent pas l'effet récréatif comme nous le ressentons et n'en retirent aucun plaisir.
En fait, une proportion notable des personnes qui prennent de la codéine pour la douleur ressentent un "plus" psychologique ou un état de manque s'ils interrompent leur traitement. Il y a ainsi des dizaines de "mamies" qui prennent régulièrement de la codéine pour des douleurs (passées, présentes ou à épisodes) de façon dépendante, tout comme des usagers qui l'utilisent sans douleur.
Mais, n'ayant pas le "profil" toxicomane elles ont encore, en général, pas mal de facilités pour s'en faire prescrire, donc le problème n'est pas encore apparu de façon claire.
Notamment citons les céphalées entretenues par les antalgiques qui touchent une proportion notable de français(es). La dépendance est liée ici, en premier, à l'aggravation (transitoire) des céphalées à l'arrêt du traitement mais aussi, probablement, à l'effet anti-anxiogène et autres......
https://fr.medipedia.be/migraine/traite … ntalgiques
d'où je tire
On estime que 1 à 2% de la population générale souffre de maux de tête chroniques provoqués par l’abus de médicaments.
soit près (ou plus) de 1 millions de français !!!!
Amicalement
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ElSabio a écrit
La dépendance est possible également quand on prend de la codéine pour des douleurs mais si ça arrive, le médecin doit, soit switcher sur une autre molécule, soit faire en sorte (surtout si les douleurs s'estompent) d'établir avec son patient un protocole de sevrage dégressif avant que les choses n'empirent car si la douleur perdure, on doit chercher la cause de la douleur et la traiter, les médicaments seuls soulagent mais de façon temporaire et le problème qui cause les souffrances, lui, est toujours là.
D'une manière générale, quand on prend de la codéine sans avoir de douleurs, "elle fait du bien à l'âme" et j'ai envie de dire que le piège se trouve là justement car l'on y revient plus souvent et dès que l'on rapproche les prises, on se rend à l'évidence, on est dépendant, quand on souffre, l'esprit n'associe pas (à mon avis) la codéine comme un état serein de bien-être (soulagement moral) mais davantage comme un état de soulagement (physique) même si l'on peut ressentir les deux quand le traitement se prolonge.
Pour conclure, oui, il est vrai que parfois, on devient dépendant d'une molécule que l'on nous a prescrit mais pour que le plaisir apparaisse, il faut que la douleur disparaisse, c'est là toute la différence avec la prise récréative qui se justifie seulement, elle, par la recherche de plaisir.
Pour la question du craving, c'est un mot anglais qui peut se traduire par "envie forte voire irrépressible", c'est-à-dire une envie difficile à contenir quand on pense à la substance.
Bien amicalement.
J’ai un exemple bien parlant de mon ex, après un déchirement ligamentaire à cause d’un chargeur de MacBook et de notre connerie.
« donne moi le chargeur »
« non »
elle l’enroule autour du poignet et moi comme un mongole je tire de tte mes forces dessus pensent qu’elle le tenait simplement .. (je m’en suis voulu énormément, rien que de l’ecrire ça me fait encore mal au coeur, quel con que j’ai été)
Ligament du poignet arraché ..
Douleur, morphine en automédication (j’en ai autant que je veux) bref .. je m’en voulais tellement que je voulais à tout pris qu’elle ne souffre pas.
Mais les douleurs ne passent pas, opération, rééducation ça va mieux, mais entre temps ben elle y a pris goût et continu d’augmenter 100mg puis 200mg puis 300mg au plus haut ..
Elle me dit en souffrir mais ne sait pas comment faire, rdv csapa, protocole Buprénorphine et diminution sur 2 ans de 12 à 0 .. elle a réussit à décrocher, on est plus ensemble mais au dernière nouvelle elle était à 0,2mg / 24 h et je lui ai dit qu’en cas de besoins malgré tout j’étais là si elle a besoin de conseils ou de soutient ..
Elle ne m’a pas rappelé donc je suppose que ça roule ..
Après cette expérience je reste convaincu que lorsque qlq qui a des douleurs découvre les opiacés, il peut y avoir une sorte de fusions entre les deux et même lorsque les douleurs s’estompent le besoin de ce soulagement opiacés perdurent et la dépendance s’installe ..
Après ça n’est pas irréversible mais ça demande une PEC addicto et un travail pour arriver à baisser son ttt.
Si qlq souffre de douleurs morales à côté des douleurs physiques, les opiacés comme la codéine ou la morphine peuvent rapidement se transformer en béquille même si là douleur physique n’est plus la ...
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Il est là le point clé, c'est la configuration morale du patient auquel son toubib prescrit des opiacés.
S'il n'a pas la psychologie du tox, il arrête les opis sans trop de mal au moment où s'estompent les douleurs. S'il n'a pas cette configuration mentale, la tentation sera grande de continuer à prendre les substances qui l'aident dans son quotidien.
Mais un toubib ne peut pas savoir à l'avance, dans la plupart des cas, s'il n'a pas affaire à un "profil" (je reprends l'expression de Prescripteur) problématique.
Et d'ailleurs, même s'il le savait, est-ce qu'il laisserait quelqu'un souffrir parce que potentiellement cette personne pourrait sombrer dans l'addiction ?
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Dernière modification par Annabelle (06 novembre 2017 à 23:57)
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Bin c'est pas "intrinsèquement mauvais" , mais c'est chiant quoi... Tu vois...
Peux tu developper ?? Pour qu'on voie mieux.
Amicalement
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prescripteur a écrit
Bin c'est pas "intrinsèquement mauvais" , mais c'est chiant quoi... Tu vois...
Peux tu developper ?? Pour qu'on voie mieux.
Amicalement
Salut,
Perso, le seul et unique truc que je trouve chiant, comme tu dis, c'est la potentielle difficulté d'approvisionnement pour x ou y raison et l'épée de Damoclès qu'est la panne sèche, toujours pour x ou y raisons, le plus souvent indépendantes de ta volonté...(C'est pas comme si c'était toi qui faisais pousser ton pavot et qui étais en mesure de fabriquer ton produit encore que, même si c'était possible, il y a toujours les aléas du climat et de l'approvisionnement en produits nécéssaires à la chimie...)
Bref, pour moi, le principal, pour ne pas dire unique "truc chiant", c'est la prohibition et la réputation de merde diabolique faite aux opiacés...En de hors de ça, perso, j'aurais fais toute ma vie sous opis...
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