Je suis bien content d'écrire mon premier sujet sur le forum! Je vous expose ma situation rapidement, j'ai 30 ans, je reprends des études à un niveau assez costaud, et je souhaiterai me tourner vers des médocs ou RC pour me filer un coup de pouce temporaire (1 mois) et peut etre à l'occasion d'examens écrits. Je n'ai pas de soucis de coeur, ni d'hormones, ni de rien, je n'ai pas d'addiction a part le sucre : ) J'ai déjà pris du speed, des champis, lsd, cocaine, hash, herbes, alcool - je bois encore de temps en temps : p. Mais jamais ressenti d'addiction. Ensuite j'ai des insomnies parfois... voila le topo.
Donc je me suis tourné vers la ritaline/concerta, modafinil, piracetam, mais j'avais oublié que nous sommes en france, donc la pharmacienne m'a regardé bizarre : )
Je poste ici pour avoir vos opinions/avis sur des produits RC (ou autre) destinés à un usage purement "révisions/études" et légaux.
Je vous remercie de m'avoir lu et vous souhaite une excellente journée,
Peut être que je me trompe mais j'ai toujours trouvé que le mieux pour les partiels était un bon rythme pendant les révisions..
Pas de drogue car il y a une répercussion sur le corps et l'esprit..
Du coup hormis mon ttt morphine (sinon ben je peux pas) je ne consomme rien ..
Je mangeais bien équilibré, du sommeil en bonne quantité et au bon rythme, pas d'alcool, couché à 23h, du sexe sans modération avec ma chérie et lève le matin 8h ...
Se lever, faire l'amour, douche, bosser quelque heures, manger se détendre, reviser quelques heures, détente, manger, des câlin oui encore je sais :) et dormir jusqu'au lendemain...
C'est le meilleur rythme que j'ai trouvé et je pense que pendant les exams la consommation même d'amphétamines n'est pas bonne car elle a des répercussions sur l'organisme...
Après peut être que certains y trouvent un plus mais pas moi, jai deja entendu des potes taper du speed, de la coke ou des médocs pour les exams mais perso je trouve que ca me Boost un jour pour payer trois jours ensuite...
Bonne chance pour tes exams, tu passes quoi si c'est pas indiscret ? Amicalement
Si on enlève la composante "petite amie", du fait que je suis moine, je suis déjà tes conseils avisés.
Je songeais au speed ou a la cocaïne, cependant le speed je suis pas fan, je serre trop les dents, et au final je vais plus dormir pendant les prochaines 2 semaines. Et la coke c'est trop euphorisant. Sans non plus parler de l'aspect légal, et de mon incapacité à me fournir, je suis nouveau dans mon coin. Je cherche un truc assez "léger", qui se gobe mais plus violent que le café : D
Si tu veux vraiment consommer un stimulant pour tes révisions, le,mieux est d'y choisir un qui est uniquement fonctionnel et qui n'apporte aucune empathie.
Et tant qu'à faire, choisir une molécule qui n'est pas classé stupéfiant.
Aux deux molécules que tu as précédemment citées, je peux rajouter :
L'isopropylphenidate, le 4F- MPH, la 3- FMC sur lesquel tu pourrais te renseigner.
Bien évidemment, il te faudra impérativement une balance au milligramme.
Si tu choisis une molécule qui est active en dessous de 15mg, je te conseille de passer par une dilution volumétrique ( dans la vodka par exemple ) pour que tu puisses avoir une dose la,plus précise possible ( les balances chinoises ont tendance à avoir une petite marge d'erreur ).
De la même manière, il,me parait impératif de faire des tests post révisions pour voir ce que donnera le,produit sur ton organisme lors des descentes et quelques jours après pour ne pas avoir de mauvaises surprises qui te feraient rater tes examens le jour J.
Oublie les amphétamines, il y a trop de composantes pour etre sur de tomber sur un produit de qualité constante et également la,cocaine en raison de son trop court délai d'action.
Mais,comme le souligne si justement Sufenta, le mieux est de manger équilibré et de dormir de façon régulière afin d'avoir un rythme prompt aux révisions et au passage d'examens.
Je me souviens que pour le baccalauréat, l'ordinator ( un médicament considéré comme une amphétamine pharmaceutique ) m'a permis de réviser quasiment toute une année en moins d'un mois.
Mais je l'ai payé physiquement à l'arrêt des prises ( j'ai terminé mon stock en prenant plus que la dose thérapeutique pour en ressentir les effets psychotropes, de façon moins régulière que lors des révisions, mais cela n'a plus rien à voir avec les révisions ).
Prends soin de toi,
Reck.
L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.
Voila trois jours que je tourne à l'isopropylphenidate, ou ce que l'on m'a vendu comme tel. Pour la faire court, ca m'a surtout appris que je suis dans une dépression de fou et que je vais me diriger chez le psy dès ce soir. Ca a totalement supprimé ma déprime (le mot est faible) et je suis imperturbable dans mes travaux. Aucun craving me semble-t-il, j'ai pas envie de "redrop". Le premier jour, j'ignore si c'est dû à ma tristesse intérieure ou au produit (ou le combo), mais en milieu d'après midi j'ai eu une poussée de tristesse irrépressible et insoutenable.
Le soucis, c'est que j'ai pas envie de devenir accro, ou d'avoir un moment de gouffre de déprime en arrêtant en septembre, car je vois mal comment ne pas répondre à un appel de la mort.
Je pense comprendre tes attentes en matière de psychostimulants pour réviser/te concentrer/rester motivé, et aller à tes examens en ayant mis toutes les chances de ton coté.
J’ai été dans ton cas il y a quelques années, et je me faisais prescrire un anorexigène, qui a depuis été retiré de la vente parce que dans sa composition il y avait une amphétamine. J’en prenais à dose "ni trop-ni trop peu", juste pour bosser, et ça m’a réussi. Comme le conseille Sufenta, le mieux est évidemment de ne rien prendre et d’avoir une bonne hygiène de vie. Moi, je n’étais pas capable de m’organiser, de faire un planning de révisions, de me motiver, et je commençais juste à réagir en recevant la convocation aux partiels ou aux concours. Ce médoc était donc le bienvenu quand j’avais comme seul le choix celui de mettre les bouchées doubles.
Pour ton cas et ta question initiale, j’aurais plutôt penché pour le 2-FMA (2-Fluoromethamphetamine). Mais attention, chacun a une appréciation et des réactions différentes aux produits, ça va sans dire. Me concernant, l’éthylphénidate et l’isopropylphénidate (dans une moindre mesure) me filent souvent de la tachycardie, et je trouve le craving assez puissant. En revanche, le 2-FMA a une action assez longue dans le temps, au point de t’empêcher de dormir selon la dose, et l’heure de ta prise ou de ton dernier redrop, mais capable de rendre une nuit blanche parfaitement opérationnelle. Mais surtout, un effet que je trouve très propre, qui ne tape pas sur le palpitant, avec une descente longue également, mais douce et progressive. Perso, je le gère bien, et de tous les RC stimulants que j’ai testés, c’est celui que je préfère. Je trouve que le 2-FMA a l’effet de la meth avec un plateau plus modéré. Mais je répète, c’est mon expérience et mon appréciation, d’autres ont pu trouver cette molécule pas du tout à leur goût. Et comme tous les stimulants, RC ou amphétamines, il faut évidemment y aller mollo.
J’ajoute à ça que les deux familles de produits n’ont pas le même mode d’action. Je me permets de te copier-coller un bout de réponse que j’avais faite sur un autre thread :
Le méthylphénidate/éthylphénidate/isopropylphénidate est un inhibiteur de la recapture de la dopamine. Ainsi, sur son action, la dopamine se trouve en plus grande quantité dans les synapses : donc, il n’y a pas plus de dopamine, elle se trouve juste au bon endroit, là où quelqu’un atteint de TDAH ne peut l’avoir parce que son métabolisme particulier l’en empêche. Ce n’est pas comme une amphétamine qui leurre le système dopaminergique en prenant la place de la dopamine.
Voilà un petit schéma qui explique sommairement la différence, et l'action du méthylphénidate et des amphétamines :
A propos de ton dernier message. Tu as donc observé que ta déprime disparaissait avec l’isopropylphénidate, donc avec un apport de dopamine. Ce n’est pas étonnant, la dopamine participe à l’humeur, comme les autres neurotransmetteurs, elle fait partie d’un équilibre complexe.
Ce serait sage de te dire que cette déprime n’est que masquée, mais d’un autre coté, c’est appréciable de ne pas en avoir les effets immédiats et envahissants, la léthargie, l’envie de rien, la démotivation, la procrastination, etc, etc. C’est ce que les antidépresseurs sont supposés supprimer.
J’ai aussi des coups de déprime monstrueux, aucun antidépresseur classique, inhibiteur de la recapture de la sérotonine, n’en est venu à bout, et j’en ai essayé un tas. Un psy avec qui j’ai parlé m’a dit regretter de ne plus pouvoir prescrire des antidep dopaminergiques (ils ont été retirés pour cause de mésusage), et depuis il jongle avec d’autres médocs pour avoir l’effet attendu et n’exclue pas la Ritaline (méthylphénidate). Il reste les antidep tricycliques, style Anafranil, mais l’action sur la dopamine est insignifiante.
Bref tout ça pour te dire que tu as peut-être un déficit en dopamine que ton dopage momentané t’a révélé ? Tu devrais en parler à un psy, éventuellement en lui disant cash le bien que t’a fait un dopaminergique pris à dose modérée. J’avais parlé à un médecin de mon dopage pré-examens, pour la forme il avait poussé des grands cris Mais... mais c’est une amphétamiiiiine ! et avait fini par reconnaître que lui et d’autres étudiants de médecine se la prenaient en intra-veineuse au moment des examens. Finalement, on était en phase. Les médecins ne sont pas forcément frileux, et peuvent sortir des sentiers battus pour trouver un traitement approprié (je ne dis pas ça pour mon dopage hein, mais en général)
Voilà. Essaye de trouver un psy sympa, et explorez ensemble la piste de la dopamine ? Et arrête avec les idées noires !
Bon courage et tiens nous au courant (si tu veux) :)
Dernière modification par Gilda (11 août 2017 à 17:39)
Je n'ai rien à ajouter à ce que ton conseillés mes collègues et Gilda, sauf peut-être mon expérience. Il y a quelques années maintenant (environ 2,5 ans) j'ai repris les études après près de 20 ans loin de la scolarité et hors de la société normé, plus quelques années à la rue, et énormément de drogues et de bagarres. J'essayais au maximum d'être à jeun pour bosser, mais quand j’avais un coup de mou trop difficile à surmonter ou la panne de la page blanche (j’ai du écrire un mémoire d’une quarantaine de page) le produit qui personnellement m’a grandement aidé c’était la methiopropamine . Malheureusement mes rares shop en qui j’ai confiance n’en vendent plus. Bien qu’étant un grand fan de l’ethylphénidate, comme précisé plus haut je trouve que le craving est ingérable dans ce cadre et j’avais très vite mes pensées qui se superposaient les unes sur les autres, je te laisse imaginer le bordel….
Bon courage à toi, Miky, ex punk-à-chien et heureux possesseur d'un bac+4
Ca va être tendu de répondre et parler de tout sans rien oublier. Déjà je vous remercie de me lire et de me répondre.
Chère Gilda,
Je suis un peu pareil que toi, souvent je me booste au dernier moment ce qui est pas super super en ce moment de révisions, ou parfois je lache un peu trop de lest alors qu'ensuite je vais me mettre à transpirer. Je me suis fais mon petit planning, je me mets a bosser, ca avance bien... A priori ca va le faire, malgré tout. Et j'ai la chance d'avoir découvert cet Isopropylphenidate qui semble bien me mettre la patate et m'offrir une concentration certaine.
Pour parler des produits en eux-même, je voulais aussi du 2-FMA après avoir fouiné partout, cependant j'ai pas trouvé de shop qui me semblait assez fiable à mon gout pour m'en fournir. De plus, moi je suis plutot insomniaque, et je suis même passé la semaine dernière sous zopyclone, car j'avais fait plusieurs tours de cadran et mon état était alarmant (+ impossible de réviser).
Concernant le paragraphe sur la dopamine/sérotonine/miauline :
Ce serait sage de te dire que cette déprime n’est que masquée, mais d’un autre coté, c’est appréciable de ne pas en avoir les effets immédiats et envahissants, la léthargie, l’envie de rien, la démotivation, la procrastination, etc, etc. C’est ce que les antidépresseurs sont supposés supprimer.
Je dois aller en psychanalyse depuis un moment, mais il faut que je dégote le bon gars pour ca. Sans compter que c'est un putain de budget : p Mais c'est prévu, dès que possible...ma vie trop instable ne l'a pas permis jusqu'alors, mais je viens de "m'installer" là. J'ai donc vu uniquement le généraliste pour le moment, et il m'a prescrit de l'escitalopram (seroplex) 10mg/jour a gober le matin. Je suis à la fois content et pas content, j'ai toujours du mal avec les gens en uniforme, en général je les aime pas trop. (je les hais terriblement en fait)
Bref tout ça pour te dire que tu as peut-être un déficit en dopamine que ton dopage momentané t’a révélé ? Tu devrais en parler à un psy, éventuellement en lui disant cash le bien que t’a fait un dopaminergique pris à dose modérée.
J'ai toujours peur qu'un psy tamponne "Taré" sur mon nom et que ca s'affiche partout dès que je vais quelque part. Je veux dire par la, que...je ne sais pas jusqu'ou va le secret professionnel et du coup, il m'est impossible de m'ouvrir entièrement à un psy. Je m'ouvre un peu, comme une huitre, mais j'ai peur de finir en HP ou prison si j'avoue mes péchés. Parler de drogue à un toubib, pour moi c'est comme poignarder un mec dans un commissariat.
Et arrête avec les idées noires !
J'avoue, je m'en vais faire ça immédiatement <3 (pas de smiley de coeur!!!!!! WOW)
Ou en étions-nous? Mikyeupon,
Je te remercie de m'avoir parlé de ton expérience, qui me parle personnellement. J'espère que la seule chose que je vais superposer ce sont les diplômes, les prix d'excellences, et qu'après m'avoir fait une beau matelas avec, je ferai du PQ. : ) ahah ! Concernant les shops, j'ai le même soucis, j'ai pas envie de me faire niquer 30 ou 50 balles à blanc quoi : s
Et concernant le craving, je crois que j'ai jamais ressenti ça, à part pour une nana. Même la, l'IPPD j'ai pas envie d'en prendre plus. Ou bien j'ai acheté de la farine et le shop m'a enflé? : D
Je vous souhaite à tous les deux une bonne nuitée,
Pour ce qui est du choix des shops, je te conseille de traîner sur Reddit pour y trouver des informations.
Ce n'est pas l'idéal mais ce site donne une idée assez juste des shops qui tiennent la route et de ceux qui scam.
Même si à tout moment, un bon shop peut devenir un escroc de première ( comme Official Benzo Fury avant de fermer ses portes définitivement ).
Tu limites néanmoins grandement le risque de perdre ton argent.
Je me permets également de te mettre en garde avec l'association Seroplex ( qui est un ISRS ) et les RC stimulants car de nombreux ont tendance à intervenir sur la serotonine.
Il est important de ne pas associer deux produits ayant une action sur la serotonine car il y a un risque de syndrome serotoninergique qui peut être potentiellement mortel.
Attention au mélange si le produit devait être de bonne qualité.
Pour ce qui est de l'utilisation de ces produits à des fins de révisions, il est important de ne pas en consommer en récréatif et de ne garder ces consommations qu'à des fins " scolaires ". En gros, juste avant de commencer à réviser ( ou à apprendre ). Ceci afin d'éviter l'addiction au produit qui pourrait être assez pernicieuse.
Le meilleur moyen restant d'avoir une bonne hygiène de vie avec une pratique sportive " raisonnable ", ainsi qu'un rythme de sommeil constant en respectant le nombre d'heures qui te sont nécessaires à une bonne récupération.
Le produit ne peut être qu'au maximum une sorte de béquille pour améliorer les performances.
Prends soin de toi,
Reck.
L'amour d'une famille, le centre autour duquel tout gravite et tout brille.
C'est ce que j'ai utilisé, et quand j'ai trouvé quelque chose qui me semblait sérieux, j'ai ensuite fait le choix dans leur matos dispo. Enfin, merci de ton conseil tout de même. Puis au pire, c'est pas grave, je commande pas des palettes.
Pour les associations, je suis "Mr Pur" et je n'associe jamais rien, surtout ca que je connais mal.
Ma conso d'IPPD était vraiment à but de révision, je faisais bien sagement comme tu dis. Un parachute le matin, et boom...(et en plus je peux dormir la nuit). Je n'ai aucun désir d'amusement en ce moment. J'aime l'aspect récréatif de la drogue quand je suis bien dans ma tête, et prêt à voyager. (vivement que je teste le peyotl...)
Le produit ne peut être qu'au maximum une sorte de béquille pour améliorer les performances.
C'est ce qu'il est : )
De toute façon, j'ai stoppé, et j'ai pris mon petit 5mg d'Escitalopram. On verra bien.
Merci pour tes conseils très "Réduction de risques", Reck,
J'ai donc vu uniquement le généraliste pour le moment, et il m'a prescrit de l'escitalopram (seroplex) 10mg/jour a gober le matin. Je suis à la fois content et pas content, j'ai toujours du mal avec les gens en uniforme, en général je les aime pas trop. (je les hais terriblement en fait)
Heu... en uniforme ? T’es allé consulter dans un hôpital militaire ou quoi ? Bon en effet sous seroplex, comme te dit Reck, il faut mieux éviter les molécules qui tapent dans les récepteurs sérotoninergiques. Généralement tout ce qui est empathogène (MDMA, cocaïne, cathinones, ...) et hallucinogène et j'en oublie sûrement.
Bah non. L’isopropylphenidate n’en fait pas partie, sa seule action est l’inhibition de la recapture de la dopamine. Comme ses faux jumeaux méthyl et éthyl.
J'ai toujours peur qu'un psy tamponne "Taré" sur mon nom et que ca s'affiche partout dès que je vais quelque part. Je veux dire par la, que...je ne sais pas jusqu'ou va le secret professionnel et du coup, il m'est impossible de m'ouvrir entièrement à un psy. Je m'ouvre un peu, comme une huitre, mais j'ai peur de finir en HP ou prison si j'avoue mes péchés. Parler de drogue à un toubib, pour moi c'est comme poignarder un mec dans un commissariat.
Ecoute, de toute façon on est tous le taré de quelqu’un, hein
Le secret professionnel des médecins a des limites, mais elles se situent quelque part dans les crimes très glauques touchant à l’enfance et aux personnes vulnérables, et infiniment au-delà d’une modeste consommation d’un produit classé dans un flou réglementaire. Mais je comprends ta réticence. Avec un médecin, parler de drogue, c’est un peu ça passe ou ça casse.
Concernant ton stimulant, et comme c’est une pratique très répandue chez les étudiants dont il a forcément entendu parler, tu pourrais toutefois lui dire "qu’on te l’a conseillé pour te concentrer", "qu’on t’en a donné un petit gramme et que tu as essayé quelques fois", et que non seulement ça a eu l’effet escompté, mais que ça a aussi agi efficacement sur une déprime et des coups de blues latents. Tu n’iras ni en prison, ni en HP, et ça peut être une entrée en matière raisonnable SI tu as envie d’en parler.
Hauts les cœurs et bon courage pour tes révisions ! :)
Heu... en uniforme ? T’es allé consulter dans un hôpital militaire ou quoi ? big_smile
Qu'est-ce que j'ai rigolé tout seul devant mon écran! J'imagine le mec au crane rasé trop énervé, genre si t'es pas bien c'est ta faute, à la Full Metal Jacket.
Merci pour tous les conseils et astuces Gilda.
PS: je vous dirais dans quelques jours comment ca se passe sous Escitalopram, mais la ca "va".
J'aurais dû vérifier avant d'écrire...
Il n'y a rien de dramatique, surtout dans ce sens-là.
Ce serai un drame à contre-sens Non-drame Non pas un non-sens Mais une merveille Une merveille des sens La vie dans tous les sens
L'inspi du moment, By Cynder
Dernière modification par Cynder (12 août 2017 à 16:59)
Tu as donc un traitement benzodiazepine sur un court terme ( une quinzaine de jours ) ?
C'est important en cas d'initiation de prise d'un AntiDepresseur pour éviter tout effet rebond qui,peut survenir en début de traitement, le temps que ce produit s'installe dans le cerveau.
Je sais pas trop si le séroplex (j'ai un générique d'escitalopram) est un "benzo"? Je ne connais mal grand chose aux médocs, à part le paracétamol et le smecta, j'ai jamais rien pris. : ) Et je n'ai que ça de prescris.
Le toubib voudrait que je fasse le traitement, 1-3 mois, pour rebooster je ne sais plus quoi, mon moral? ahah!
Je sais pas trop si le séroplex (j'ai un générique d'escitalopram) est un "benzo"? Je ne connais mal grand chose aux médocs, à part le paracétamol et le smecta, j'ai jamais rien pris. : ) Et je n'ai que ça de prescris.
Le toubib voudrait que je fasse le traitement, 1-3 mois, pour rebooster je ne sais plus quoi, mon moral? ahah!
J'ai plusieurs années a rattraper en 4 semaines.
).
Soutenez PsychoACTIF
Flux RSS | Affichage Mobile
Droit d'auteur : Les textes de Psychoactif de https://www.psychoactif.org sont sous licence CC by NC SA 3.0