Prise en charge de mon addiction à la codéine.
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- Lilas24
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Je suis ton témoignage depuis le 1er jour PtiteHappy sans oser laisser un message mais depuis ce matin, je suis contente de constater que tu as pu trouver une solution temporaire, même si elle n'est pas idéale.
Comme toi, je suis en plein sevrage (codoliprane pour moi). Il y a des années, j'ai abusé pendant quelques mois du codoliprane pour des douleurs extrêmes puis j'ai arrêté quand j'ai enfin été soignée. J'ai repris le codoliprane des années plus tard pour ses autres effets, à savoir calmer les angoisses, le stress et mon hyper sensibilité à tout et à rien. Il y a un an, j'ai décidé de réduire ma consommation. C'était le bon moment, j'ai choisi de prendre mon temps, un cachet par ci, ou par là en profitant de moments propices. De 24 cachets le soir en juillet 2016, je suis passée à 12 fin juin 2017. J'ai ressenti un manque physique modéré pour la 1ère fois en passant de 13 à 12 et j'ai donc décidé d'arrêter là pour l'instant.
Le changement de règlementation a été un choc. J'avais du stock d'avance (vacances) alors j'ai pris 10 jours pour réfléchir à ce que j'allais faire tout en réduisant de 12 à 10 car je n'avais pas le choix. D'abord en colère car je me sentais forcée d'arrêter, j'ai fini par décider de consulter en addicto pour être aidée dans mon sevrage. Outre le fait que je devais reprendre le travail, je craignais par dessus tout la dégringolade psy d'un sevrage brutal, voire la dépression.
Après 2 jours d'angoisse à chercher un centre ouvert, j'ai découvert que dans ma région il y en a un qui fonctionne en août et consulte sans rendez-vous. Sans faire une généralité, PtiteHappy, je dois te dire que je suis tombée sur un médecin formidable. Elle m'a écoutée sans me juger et après avoir cerné mon parcours, m'a proposée de poursuivre la réduction. Pas d'objectif chiffré et une ordonnance astucieuse avec une marge de liberté qui au lieu de me pousser à en prendre plus, m'a permis de travailler sur la dépendance psy.
A mon second rendez-vous, elle m'a confirmée qu'on prendrait le temps nécessaire. Elle m'a prescrit un antidépresseur à dosage minimal pour compenser la réduction des effets psy de la codéine. Bien que ne me sentant pas dépressive, je l'ai pris. L'AD n'a aucun effet sur le manque physique léger dont je souffre pendant 1 semaine à chaque réduction, mais il agit clairement sur les angoisses qui étaient de retour une fois la camisole de la codéine allégée.
Même si à chaque réduction je passe 8 jours un peu déplaisants (insomnies, douleurs légères dans le squelette et à la tête, impatiences par petites crises), ça finit toujours pas se tasser. Ensuite, j'attends d'être prête pour réduire de nouveau. J'ai ainsi attendu 15 jours entre 10 et 9 comprimés. Je ne suis pas sure que ce processus convienne à tout le monde mais il me permet de bosser, de n'avoir aucun effet intestinal (je suis très fragile de ce côté) et surtout de ne pas me sentir déprimée (pour l'instant).
Je ne suis pourtant pas sereine car je redoute le moment ou je ne pourrais ou voudrais plus réduire. Comme l'ami de Mascarpone, j'ai peur de ce jour où je me sentirais forcée, alors même que l'addicto n'a jamais évoqué d'obligation de réduction. J'espère que ce moment n'arrivera pas mais l'addicto a évoqué lors de mon dernier rendez-vous le fait qu'à un moment donné, si je ne peux par aller plus loin, il faudra peut être passer à une substitution et que même si elle dure des années, je ne devrais pas en ressentir de la culpabilité. Je suis en train de digérer l'info en attendant mon prochain rendez vous dans 10 jours. Si ce moment arrive, au moins ça ne sera pas une surprise.
Voilà PtiteHappy, si nos expériences sont toutes différentes, j'espère que ce que tu viens de vivre est le pire du chemin à parcourir. Cette longue errance à chercher des solutions est franchement scandaleuse. Je veux croire qu'une fois prise en charge en addicto, tu seras biens suivie et considérée et que tu te sentiras soulagée comme j'ai pu l'être après mon 1er rendez-vous.
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- Naughty
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PtiteHappy a écrit
Bonjour,
Je suis consommatrice de codeine depuis maintenant presque 4 ans, à raison de 24 cp de Neo codion/jour.
Suite à l'arrêté que tous les consommateurs de codéine connaissent maintenant, le 13 juillet j'ai réussi à faire un ptit stock dans l'optique de diminuer et d'arrêter par moi même.
Ça va faire sourire certain...
Le 13, me voilà avec 7 boites de Codoliprane, puisque j'ai appris la nouvelle qu'à 18h donc c'est tout ce que j'ai pu trouver en 1h...
J'ai tenu une semaine avec mon stock, entre gros moment de manque, de mal, de stress, de calcul...
Bref, je vivais et pensais codéine.
Je me disais "aujourd'hui j'en prend pas!" Puis en fin de journée c'était horrible. Je craquais, je culpabilisais...
J'ai enfin pris la décision d'aller voir mon médecin traitant qui me connait bien et connais mes problèmes!
Malheureusement il était en vacances jusque début août.... La cata!
Je suis allée voir un 1er médecin pour un mal de dos (que j'ai vraiment puisque j'ai mal partout avec le manque) et il me prescrit 1 boite de dafalgan codéine.
Ça me permet de tenir le week-end en devant calculer pour le paracétamol...
A partir de lundi, rebelote...
Je trouve du tramadol LP 100 dans la pharmacie de ma mère.
Je consomme plus de codeine pendant 1 semaine, je tourne à 300 mg de tradamol par jour.
Ça reste une dose thérapeutique donc je suis fière de moi.
Je dors peu, je bouffe du loperamide à foison mais je me sens plutôt bien hormis ça.
Puis arrive le moment où j'ai plus de Tramadol...
Je me dis que j'ai pas pris de codeine depuis 1 semaine donc peut être que c'est faisable.
Je prend de l'ibuprofène, le 1er jour sans rien ne passe pas trop mal...
Mais des la nuit c'est l'horreur... Et les deux jours qui ont suivi ont été atroces... C'était mercredi et hier.
J'ai fait un malaise au boulot. Je suis rentrée chez moi. Et je suis allée voir mon médecin traitant, hier donc.
Je le connais depuis longtemps, il me connait bien, mais je vois quand même la déception dans ses yeux au début, il est en colère contre moi...
Mais je lui demande de l'aide, il se radoucie et me dit qu'il ne connait pas assez les addictions et qu'il veut que j'ai un suivi psy en parallèle, ce qui est logique.
Il m'écrit sur un papier toutes les adresses des addicto de ma ville et me fait une prescription de 2 boites de Neo, et du seresta, "quelques jours de repis" comme il dit. Il me fait une lettre à l'attention du professionnel qui me prendra en charge, une lettre très professionnelle d'ailleurs et je vois qu'il est protecteur dans ses mots. (Il me suit depuis que je suis bébé)
Il cloture le rdv en me disant que les plantes peuvent m'aider à me détendre, me conseille l'hypnose et la relaxation, me souhaite bon courage.
J'ose plus rien dire et je chiale depuis 15 minutes, temps qu'il a pris pour noter toutes les adresses, la lettre et l'arrêt de travail pour cette fin de semaine.
Mon médecin est un bon médecin.
Bref, aujourd'hui j'appelle un csapa et tombe sur une dame adorable qui m'explique pendant au moins 5 minutes pourquoi j'ai tors de stresser, que tout va bien se passer, qu'ils s'occupent de toutes les addictions et que je pourrais tout aussi bien venir pour arrêter la cigarette (je lui ai dis que j'ai peur que quelqu'un découvre que je suis suivi dans un csapa)
Elle me demande mes dispos, je m'attends à au moins 2 semaines d'attente!
Et elle me donne un rdv mardi 8 aout!
Le graal...
Donc voilà l'histoire du début de la prise en charge de mon addiction à la codéine...
Je suis soulagée et espère que mon post pourra donner espoir à certain dans mon cas (et je sais que ce foutu arrêté a mis pas mal de monde dans la galère!)
Je viendrais raconter la suite à ceux qui veulent bien me lire.
Biz et courage! Et un énorme merci à PA, qui a été d'une aide incroyable ces derniers jours!
Vous lire m'a fait faire la paix avec moi même sur mon addiction et m'a ouvert les yeux sur le fait que j'avais besoin d'aide.
Merci merci merci!
Ces un fils de pure ce medecin il jouis de la souffrance NAUGHTU86
Dernière modification par Naughty (10 août 2017 à 15:59)
PERCOSET skenan oxycontin FENTANYL héroïne it"$ my wife and it's m'y life
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- PtiteHappy
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J'ai l'impression qu'on veut finir par m'entendre dire que j'avais un problème. Mais que comme tout addict je vais mettre du temps pour m'en rendre compte. Là j'ai juste envie de répondre à tous d'aller se faire encu*er bien profond!
Je suis trop fatiguée pour développer.
Tchao
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- Lilas24
- Bavarde
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Je viens de voir ton message d'hier soir. Je te trouve très courageuse et surtout combattive vu le parcours qu'on t'impose. C'est révoltant que ce changement de règlementation couplé à la période maudite du mois d'août puisse générer une situation aussi pénible.
Comme moi, tu as abusé d'un médicament qui était en vente libre. Tu te procurais ce dont tu avais besoin sans emmerder personne d'autre que toi et soudain, te voilà obligée de faire des démarches difficiles pour obtenir cette fichue codéine, en attendant de voir l'addicto. En plus, tu n'a pas trouvé le médecin qui accepte de faire un relais sérieux en attendant ce rendez-vous et tu es donc en train de subir les effets d'une réduction trop brutale.
Je crois sincèrement que tu es en train de vivre le pire de ton parcours.
Comme j'habite en Région Parisienne, j'ai pu voir un addicto sans délai et donc être prise en charge dès que mon stock a été terminé. Je ne peux parler que le sevrage par réduction graduelle dont la difficulté est très modeste et temporaire (quelques jours d'un manque léger à chaque réduction d'un cachet depuis que je suis dans le dur, avant, aucun effet). Ma situation depuis plus de 3 semaines ne présente donc pas du tout le même niveau de difficulté que ce que tu décris.
C'est vrai que je me sens obligée de réduire (environ un cachet tous les 15 jours depuis mon suivi alors que j'étais passée de 24 à 12 toute seule en 1 ans, soit une réduction moyenne d'un par mois). Je n'ai aucune pression du médecin mais je sens que poursuivre l'effort est la contrepartie nécessaire à la prise en charge bienveillante dont je bénéficie. Pour être franche, si la codéine était encore en vente libre, je sais que je prendrais 12 comprimés tous les jours actuellement sans poursuivre l'effort. J'en prends 9 depuis une semaine et les effets modestes du manque se sont dissipés en 6 jours. Dans quelques jours, quand je me sentirai prête, je vais passer à 8. Je ne dis pas que c'est facile et je redoute le moment où réduire sera trop dur. L'addicto m'en a parlé, il faudra peut être passer au traitement substitutif, mais j'aurai fait du mieux que je pouvais (ça n'est pas rien pour l'estime de soi).
J'espère que le retour de ton médecin traitant va te permettre de tenir bon jusqu'au 29 avec une quantité de codéine plus proche de tes besoins. Ensuite, ton suivi en addicto devrait être beaucoup moins douloureux physiquement et psychologiquement, même si j'ai conscience de ne pas pouvoir généraliser la qualité du suivi.
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- Mascarpone
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Lilas24 a écrit
L'addicto m'en a parlé, il faudra peut être passer au traitement substitutif, mais j'aurai fait du mieux que je pouvais (ça n'est pas rien pour l'estime de soi).
Ca, franchement, c'est pareil....Si jamais, par exemple, tu réussissais à tomber à 2, 3 voire même 4 cachets/jour, si l'addicto, alors que tu bloques à des dosages aussi minimes (et dans les doses thérapeutiques, que ce soit pour la douleur ou pour la toux) te faisais passer sous sub ou métha alors que tu pourrais parfaitement( et avec bien moins d'inconvénients si jamais un jour tu te sentais prête à arréter complètement), continuer, même à vie, à prendre tes 2 ou 3 cachets/jour de codéine, si jamais l'addicto avait l'audace de te proposer alors un tso, qu'on ne vienne jamais me dire qu'il ne serait pas, alors, uniquement question de morale à la con...Le pire, c'est que je suis quasi persuadé qu'il le ferait.....La connerie et l'hypocrisie humaine n'ayant aucune limite, pas même le simple bon sens...
Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
Le pire con, c'est le vieux con, car on ne peut rien contre l'expérience!
Ce qui est bien chez les félés, c'est que de temps en temps ils laissent passer la lumière!
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- Cynder
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Il semble que ça n'aille pas fort. Tu as toujours rendez vous chez l'addictologue le 29 c'est ça?
Et si mes souvenirs sont bons, ton toubib rentrait de vacances...hier ou aujourd'hui, je ne sais plus.
Je te souhaite bon courage et t'envoie des pensées positives,
Cynder
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- PtiteHappy
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- PtiteHappy
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Eh bien non, je ne trouve personne. Je dois me battre.... et je suis fatiguée.
Le seresta m'abruti sans m'apaiser. Je remplace une dose de de codeine par un medoc qui va me rendre zinzin!
Je vais voir ce médecin une seule fois pour qu'il m'aide en attendant le rdv addicto. Après je promets de plus le faire chier avec ce truc qui l'ennuie....
Mais qu'est ce que je dois lui dire pour qu'il m'aide à hauteur de mes besoins?
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- Cynder
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A savoir la vérité, que tu as rendez-vous avec l'addicto en fin de mois, et que tu es dans une démarche pour arrêter mais que pour le moment tu as besoin de faire "tampon" sinon tu vas péter un boulon. Explique que les médocs que tu as déjà t'abrutissent.
Je n'ai jamais été dans ce cas-la, donc peut-être je ne suis pas le mieux placer pour un quelconque conseil. Souvent je reste simple, et ca marche.
Bon courage!
Cynder
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- PtiteHappy
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Les deux médecins et l'infirmière s'accordent tous à dire que ce qu'il faut c'est un sevrage dégressif mais dans la pratique les deux médecins ne s'y tiennent pas.
Je l'ai dit à mon médecin que ça me laissé perplexe, il a repondu qu'il pouvait pas prescrire plus et qu'il aurait des problèmes.
Soit! C'est sûrement vrai!
Dans ce cas je suis trop mal donc je lui demande un tso il me dit qu'il ne connaît pas le produit et qu'il est mal à l'aise.
Que c'est laddicto qui me le prescrira.
Là ça a plus de mal à passer.
Il me fait une ordonnance renouvelable à la semaine, dans une seule pharmacie que je dois choisir.
J'ai choisi celle dans laquelle j'ai eu une discussion avec la pharmacienne de l'autre fois.
Sauf qu'elle a rien ce soir.
Donc demain 9h.
En attendant j'ai rien.
Je suis juste EXTÉNUÉE
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- PtiteHappy
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- Anonyme9404
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Mascarpone a écrit
Lilas24 a écrit
L'addicto m'en a parlé, il faudra peut être passer au traitement substitutif, mais j'aurai fait du mieux que je pouvais (ça n'est pas rien pour l'estime de soi).
Ca, franchement, c'est pareil....Si jamais, par exemple, tu réussissais à tomber à 2, 3 voire même 4 cachets/jour, si l'addicto, alors que tu bloques à des dosages aussi minimes (et dans les doses thérapeutiques, que ce soit pour la douleur ou pour la toux) te faisais passer sous sub ou métha alors que tu pourrais parfaitement( et avec bien moins d'inconvénients si jamais un jour tu te sentais prête à arréter complètement), continuer, même à vie, à prendre tes 2 ou 3 cachets/jour de codéine, si jamais l'addicto avait l'audace de te proposer alors un tso, qu'on ne vienne jamais me dire qu'il ne serait pas, alors, uniquement question de morale à la con...Le pire, c'est que je suis quasi persuadé qu'il le ferait.....La connerie et l'hypocrisie humaine n'ayant aucune limite, pas même le simple bon sens...
Bien justement c'est une question que je me pose, qu'en est il pour les personnes qui ne sont qu'à 2 ou 3 cachets par jour de manière occasionnelle ou pas, et qui ne souhaitent pas du tout diminuer, que leur moral et tout çi et tout ça s'écroulerait à moins que ça ?
La question donc que je me pose, c'est est-ce que le médecin peut continuer de prescrire de la codéine, même si ce sont pour d'autres raisons que des douleurs physiques ?
Ou bien va t'il contraindre la personne à prendre autre chose ? Comme benzo, AD, et autre?
Parce que moi j'en ai besoin de manière occasionnelle, en cas de PAWS et ma mère n'a plus de surplus donc je me demande comment je vais faire si un PAWS devait se pointer?
Je refuse les AD et autres joyeusetés. Et je ne souhaite pas reprendre de la came, ou des choses comme cela. Du coup là je m'interroge, je vais pas tarder à prendre RDV chez le médecin, et j'espère qu'il ne m'obligera pas à aller sur le DW en me refusant la codé !
Voir même à reprendre un TSO, s'il ferait cela, je risque d'être clouée sur sa chaise. 
Après tout ce que j'ai enduré...
Lorsque j'irais, je vous tiendrais au courant.
Dans tous les cas, je vais lui dire la vérité sur mon cas, puisqu'il me connaît.
Mais ma question c'est surtout : est-ce que le médecin peut prescrire un médicament qui est à la base pour des douleurs, et non fait directement pour un PAWS, avec diarrhée etc. lorsque ça arrive, et la codé franchement passe bien dans ces moments là. (pour moi)
Est-ce légale ?
Je précise que ce PAWS n'est pas un craving, mais juste un moment où je bascule dans une profonde déprime si je ne prends pas un opiacé, et cela se répercute directement dans mon corps par de fortes diarrhées et d'autres symptômes commun au "manque" , mais ça passe en une journée, voir deux ou trois max ... avec la code, ça me permet direct de remettre mes selles normale, et de retrouver un brin de morale, sur du long terme si je n'aurais pas celle-ci, je suis quasi certaine que ça me reconduirait vers de vrais craving de came épisodique.
Dernière modification par Anonyme9404 (16 août 2017 à 18:41)
- Mascarpone
- Vieux clacos corse pas coulant
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Après, il y a aussi la cpam qui a une vision sur ses prescriptions si tu te les fait rembourser...Pour le reste, il en va juste de sa responsabilité (par exemple, si le patient décède ou fait un coma et que sa famille vient chercher la ptite bête...) et face à ce risque, chaque toubib est maître de savoir si il est pret à le prendre ou pas..De la même manière que le pharmacien qui accèpte de donner de la codéine sans ordo ou pas...L'addicto qui prescrit du mucomyst contre les craving de coke n'y est pas plus ou moins autorisé que celui qui prescrirait de la codéine à un codéinomane par exemple.
Qui pète plus haut que son cul, fini par se chier dessus!
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- thecheshirecat
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Personne ne va vérifier si tu consommes ta codéine parce que tu as des douleurs ou à cause du PAWS. Donc si le médecin, en connaissance de cause, te prescris la codéine, je ne vois pas le problème.
Après, si tu tapes la causette au pharmacien, en soulignant que ça a rien à voir avec l'AMM, tu vas lui poser un cas de conscience, mais si ça reste entre le doc' et toi et que le doc' approuve, je vois vraiment pas d'où pourrait venir le soucis, tant que tu es dans l'indication thérapeutique.
Foutu citron.
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- Cynder
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PtiteHappy a écrit
Il me fait une ordonnance renouvelable à la semaine, dans une seule pharmacie que je dois choisir.
J'ai choisi celle dans laquelle j'ai eu une discussion avec la pharmacienne de l'autre fois.
Bonjour PtiteHappy,
Ca semble pas si mal se goupiller du coup, non? En faisant exception de la nuit qui vient de passer, bien sur.
J'espère que ca va le faire jusqu'au 29!
Cynder
"Je suis un pack de bien-pensance."
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- PtiteHappy
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Cynder a écrit
PtiteHappy a écrit
Il me fait une ordonnance renouvelable à la semaine, dans une seule pharmacie que je dois choisir.
J'ai choisi celle dans laquelle j'ai eu une discussion avec la pharmacienne de l'autre fois.Bonjour PtiteHappy,
Ca semble pas si mal se goupiller du coup, non? En faisant exception de la nuit qui vient de passer, bien sur.
J'espère que ca va le faire jusqu'au 29!
Cynder
Oui. Mon seul problème c'est la posologie actuelle.
Ce matin j'ai été chercher mes ptits cachets.
J'en ai pris 12. Je suis vraiment bien.
La je suis dans la salle d'attente. J'attends mon rdv avec l'infirmière...
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
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Addicto hier, passage à la bupré.
4mg par jour mais forcément j'attends les symptômes de sevrage pour la prendre.
Dernière prise de codé hier à 11h.
J'attends...
Voilà!
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- Lilas24
- Bavarde
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C'est bon d'avoir de tes nouvelles. J'espère que tout va bien se passer, en tout cas mieux que l'épreuve qu'on t'as fait subir pendant un mois avant de rencontrer l'addicto.
Je me demande bien ce qui conduit un addicto à choisir le sevrage progressif ou le traitement substitutif pour la codéine? La personne, son parcours, la quantité prise au moment du rendez-vous, la santé ou plus simplement la sensibilité du médecin?
Je sais que pour moi, si j'étais tombée sur un autre addicto au centre où je vais, j'aurai pu avoir un TSO alors que je suis sur la pente dégressive avec celle qui me suit. Il semble qu'il y ait de réelle divergences de points de vue entre les médecins quant aux mérites des 2 programmes.
On attend vite de tes nouvelles pour nous dire comment se passe le traitement. Je crois que de mon côté je vais ouvrir un sujet sur le parcours dégressif. Je crois qu'il pourrait être intéressant de décrire les 2 types de suivi en addicto. Ca a sans doute déjà été fait (je n'ai rien vu de récent et de précis sur le sujet) mais je suis curieuse du retour d'expérience sur ces 2 types de traitements, d'autant que, pour ce qui me concerne, le passage à la buprenorphine est une éventualité évoquée par l'addicto si je bloque.
Courage !
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
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Merci pour ta p'tite visite sur ma page.
À mon avis et uniquement en ce qui me concerne, je pense que le médecin (peut-être?) a vu que je ne m'y tiendrais pas, au dégressif... Ces dernières semaines ont été un calvaire en montagnes russes et ces deux dernières semaines j'ai trouvé un moyen de rester 1 jour sur 2 à mes 2 fois 12 cps malgré la prescription initiale de mon médecin qui était de 10/j.
Et je sais qu'il a raison... J'aurais fait n'importe quoi...
Je suis dans l'incapacité de dire si je reviendrais et quand (plus tard qu'aujourd'hui!)
Quand je suis en galère il m'arrive de me refermer sur moi même et de rester dans ma grotte.
Le forum de PA est vraiment génial quand j'en ai besoin, mais j'ai du mal à y venir tous les jours jusqu'ici.
Je suis une éponge, je viens puiser de la force ici mais mes moments de moins bien se transforment en croisade (mot récurrent chez moi, c'était le titre de mon 1er poste...) complètement inutile contre le système et ceux qui m'ont privé de mon "bonheur pelliculé"!
Et mon humeur est oh combien changeante!
Je finis par chercher des pétitions et des témoignages similaires à mon vécu actuel qui me confortent dans cet état de colère!
Puis vient le moment ou je me rends compte de ce que je fais et hop, je m'en vais!
En tout cas pour le moment c'était comme ça!
Quoiqu'il en soit j'ai lu des pages et des pages de ce fofo!
Et je répète qu'il m'est d'une aide absolument précieuse!
Bon je suis sortie du sujet initial là, avec mon roman!
En ce moment j'attends...
J'attends les symptômes du manque comme on m'a dit pour prendre ma bupré! Et bizarrement c'est super long! J'ai encore cette sensation dans la mâchoire et dans les oreilles que j'avais avant de reprendre ma dose après 12h de taff...
Je piétine!
J'ai déjà mal au dos et des suées mais je me sens pas mal...
Je sais pas si je peux ou pas, ça fait 24h...
J'ai trop peur du sevrage précipité!
J'ai l'intention d'attendre d'être mal alors que c'est peut-être pas la peine...
J'attends!
Dernière modification par PtiteHappy (30 août 2017 à 11:11)
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- Tatami
- Psycho junior
- Inscrit le 09 Jul 2017
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Je vis la même chose, je vais certainement demander un TSO Bupré.
Ne te renferme pas, ce que tu vis, nous sommes nombreuses, nombreux à supporter nos humeurs en "dancing"
Perso, j'aime te lire et avoir de tes news.
Bisou P'tite Happy
Tatami
PS : suis tellement down que je sais même pas quoi t'écrire pour te donner un peu de bonne humeur
Dernière modification par Tatami (30 août 2017 à 12:26)
Vous pouvez échapper à la critique, en ne disant rien, en ne faisant rien, en ÉTANT RIEN !
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
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Comment est ce que tu gères en ce moment? J'ai cru lire que tu alternes pas mal de trucs!
Tu as un rdv? Je sais plus si tu avais déjà un lien avec un csapa...
J'ai essayé de parler du Dicodin mais il a pas accroché du tout...
Et là j'attends. Je viens de faire mon 1er trajet toilette... Youpiiii!
J'ai des suées de la mort mais j'ai pas trop mal partout alors j'attends (J'ai surtout pas de migraine, et ce truc dans ma bouche que je ne saurais décrire et qui est un effet de la codeine... pour ça que j'attends toujours...)
J'attends encore...
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 20 May 2015
- 97 messages
Tatami a écrit
PS : suis tellement down que je sais même pas quoi t'écrire pour te donner un peu de bonne humeur
Te lire me fait déjà beaucoup de bien!
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 20 May 2015
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La pharmacienne m'a donné du 0.4mg au lieu du 4mg...
Je viens de vérifier aussi l'ordonnance au cas ou j'ai mal compris mais non...
Je suis allée chercher ma boiboite ce matin qu'elle avait du commander...
Là j'allais le prendre.
J'attends juste l'ouverture de la pharmacie à 14h pour y aller...
Oh désespoir, j'ai vraiment pas de bol...
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
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Je suis allée à la pharmacie à sa réouverture à 14h, la pharmacienne s'est excusée et a changé la boîte qu'elle m'avait donné ce matin.
J'ai pris mes 4mg à 16h après avoir longtemps hésité...
Le principal effet, c'est la disparition des énormes suées que j'avais depuis ce midi.
Et psychologiquement ça va... carrément bien...
J ai l'impression d'être dans un cocon tiède et douillet...
Je m'attendais vraiment tellement pas à ça que je pense que j'exagère.
Je reviendrai plus tard pour dire ce ça continue ou arrête de me faire après plusieures heures.
Pour l'instant j'y crois pas du bien être dans lequel je me trouve!!!
A plus
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- PsyAgentDouble
- Agent sous couverture
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J'ai lu toutes tes aventures mais comme j'avais rien à dire de pertinent je ne suis pas intervenue.
Du coup tu te sens comment avec le bon dosage?
Moi de mon coté j'ai un addicto qui a préféré me laisser sous codéine et s'oppose au sevrage...bizarre les différences entre addicto.
Je me demande n'empêche si tu ferais pas biend e demander du dicodin comme moi. L'addicto m'a expliqué le principe:
t'en prends un le matin, un le soir, ça dure 12h et du coup t'es jamais en manque, mais t'as pas vraiment de montée..c'est le plateau en permanence. Du coup ton cerveau n'enregistre pas des aller et retour de type punition/récompense entre le manque et le bien-être.
je trouve ça assez cohérent comme démarche, non?
Tiens nous au courant en tout cas...
In a world full of hollow, i'm jumping jumping
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 20 May 2015
- 97 messages
Je suis surdosée...
Au début j'étais bien, après j'ai eu comme un effet d'ébriété. J'ai essayé de me poser pour dormir ; impossible de fermer l'oeil et pourtant dès que je me lève j'ai les yeux qui se ferment tout seul.
Vers 22h j'ai vomi.
Mais le pire de tout c'est cette sensation d'angoisse profonde, de danger imminent.
J'ai réussi à dormir 1h et j'ai fait un rêve horrible mais très réaliste.
En gros, là, je suis pas bien du tout psychologiquement!
L'impression que mon travail le sait, que ma mère me fait la gueule et mon cauchemar, c'était que mon frère/ex voulait me tuer...
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- THXB
- Nouveau membre
- Inscrit le 07 Aug 2017
- 6 messages
PtiteHappy a écrit
Help...
Je me sens tellement vulnérable!
Grosse crise d'angoisse...
Qu’est-ce qu’il s’est passé?
Je ne me rappelle pas avoir déjà posté sur ton topic mais je le suis depuis le début. Si tu veux raconter tes malheurs je n’arrive pas à fermer l’œil non plus
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 20 May 2015
- 97 messages
J'écris ce message pour faire une liste claire et précise de mes effets tant que je m'en souviens bien.
D'un coté ça me parait complêtement inutile genre '' je raconte ma life ''
D'un autre coté je le fais pour moi et pour si jamais quelqu'un se trouve avec les mêmes effets sous buprénorphine mal dosée par la suite ; on s'en sort! Même si ça fait flipper!
En réalité, je ne sais même pas si je suis trop dosée...
Et j'ai oublié de parler du mal de tête incroyable que j'ai eu aussi à 22h.
Je récapitule les effets de 4mg de Subutex sur moi (je le précise, ce message n'est pas une liste exhaustive de ce que tous ceux qui prendront 4mg de buprénorphine vont ressentir, je suis très sûrement mal dosée est c'est une expérience personnelle est unique) heure/heure : prise à 16h
- 1er effet presque immédiat (16h30) : arrêt des suées et sensation de chaleur dans tout le corps (comme dans un cocon), état psy : très bon
- 2h après (18h) : sensation d'ébriété, fatigue, état psy : assez bon
- 3h30 après (19h30) : je suis dans mon lit, j'essaye de dormir mais c'est impossible, alors que quand j'essaye de lire mes yeux se ferment tout seul donc : fatigue intense, insomnie, et cette sensation de danger imminent (l'impression que quelque chose d'horrible est en train de se jouer maintenant)
- 5h après (21h) : toujours les mêmes effets + mal de tête intense (migraine ophtalmique)
Je me lève pour prendre un anti-inflammatoire + un seresta, ce qui a l'effet immédiat de me faire vomir, dès mon verre d'eau avalé.
A 22h je prend 1g de paracétamol et je me recouche, j'ai toujours les mêmes effets :
soit 6h après la prise, la liste est : fatigue intense, insomnie, sensation de danger imminent, angoisse, céphalées, vomissement (une seule fois)
A 23h je m'endors jusque 04h00 du matin.
J'ai dormi comme éveillée, j'ai toujours cette sensation de danger, cette angoisse mais je suis moins fatiguée et je n'ai plus de nausée ni de maux de tête.
J'ai fait un cauchemar horrible en rapport avec cette sensation de danger imminent, mon frère/ex (parfois je voyais mon frère, parfois mon ex, faut pas chercher à comprendre
) voulait me tuer... (bref, ça n'a aucun intérêt d'en connaître les détails, c'est juste pour dire que même endormie j'ai gardé cette sensation de danger imminent.)Et maintenant (5h00 du mat') et depuis que j'écris ce message, ça redescend tout doux. Je suis toujours angoissée et j'ai toujours cette sensation de danger mais en beaucoup moins fort. Physiquement je suis bien. J'imagine que là, 11h après, je me sens comme je devrais me sentir sous un bon dosage de buprénorphine par rapport à ma consommation.
Voilà.
Dernière modification par PtiteHappy (31 août 2017 à 05:39)
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- PtiteHappy
- Nouveau Psycho
- Inscrit le 20 May 2015
- 97 messages
THXB a écrit
PtiteHappy a écrit
Help...
Je me sens tellement vulnérable!
Grosse crise d'angoisse...Qu’est-ce qu’il s’est passé?
Je ne me rappelle pas avoir déjà posté sur ton topic mais je le suis depuis le début. Si tu veux raconter tes malheurs je n’arrive pas à fermer l’œil non plus
Merci THXB pour ton message à cette heure tardive et ton inquiétude si bienveillante!
J'ai eu une grosse crise d'angoisse mais ça va beaucoup mieux. 
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