[ Guerre à  la drogue ]

DROGUE : La crise des opiacés ravage les Etats-Unis

et bin !

ils sont pas dans ma merde ....
je voit mal comment sortir de cette impasse si ce n'est la légalisation afin de fournir un produit de qualité exempt de fentanyl et autre saloperie ...
mais après avoir lu l'article je n'y ai vue nul part le mot légalisation. .
déjà il en parle c'est déjà sa . mais pendant qu'il cogite ya 60000 mort par ans ... une solution d'urgence s'impose.  la Suisse a connu sa période sombre avec les ravage de l'héroïne et ce n'est absolument pas la répression qu'il les a sauvé à l'époque . bien au contraire

Bonsoir,

J'avais posté ce lien sur le thread principal pour faire léger. J'avais reçu cette information le 28 juillet

https://www.linkedin.com/pulse/opioid-c … hip-cutter

depuis ce post,il y a une personne qui souffre terriblement au point que cela me rend très triste car je ne peux rien faire, si j'avais une voiture ou le moyen de prendre le train j'irai lui apporter mon stock de migralgine, mais là je ne me sens pas capable de faire de l'humour et je suis bien impuissant, incapable d'apporter mon aide car elle me fait penser à ma mère et ça me fait pleurer. et puis vous faîtes don de conseil beaucoup mieux que moi.

Du coup, depuis l'apparition de ce thread le post semble plus approprié ici.

Si cela est nécessaire je peux expliciter cetains passages.

Pour une note plus légère, le retraité de 73 cité dans l'article parle de "free money". Que la situation d'inemployabilité des testés positifs lui permet d'obtenir.
Ce n'est pas une référence au "free money" de l'album de patti Smith "horses", un des plus fantastiques albums de tous les temps...
Dans son cas free money c'est traduisible par "argent facile" vu que la quasi totalité des travailleurs du secteur (de tous les secteurs économiques ?) sont sous opiacés sous ordonnance...

Bonjour mascarpone,

Oui, une fille formidable, un des plus grands albums de tous les temps...
dans ma recherche du côté sonique de la guitare électrique, en remontant le temps pour découvrir la première vraie explosion électrique, et le premier album vraiment amplifié où la guitare rugit et ne fait pas du joli petit son, avant Hendrix, avant le premier album des kinks, avant les who (car patti smith reprend "my generation" dans la version cd, ça c'est quand j'étais plus riche et que le cd devenait la norme... Non, le mp3 n'existait pas non plus), et enfin quelques bluesmen, je n'ai rien trouvé d'explosif avant 1960, du moins d'enregistré... Car je sais que Hoover vers 58 augmentait le volume de l'ampli et que le patron du bar n'était pas content.
Je ne me rappelle plus quel album vraiment sonore j'ai pu trouver... il faut que je refouille dans ma collection... Mais là n'est pas le sujet...

Mais pour rester dans le hors sujet PS, combien de centaines de fois j'ai pu écouter cet album dans ma tour de HLM... Et la manière dont elle haletait "horses, horses, horses"  dans la suite "land" me donnait des frissons...
Jusqu'à ce qu'un jour je comprenne à la 500ième écoute au moins et en croisant avec une autre référence trouvée dans un film anglais (il n'y avait pas internet à l'époque, aucun moyen d'accès à une connaissance facile, et dans mon ghetto ce n'était pas le genre de musique en vogue...) que "horses" n'était pas comme je le croyais dans ma naïveté et mon innocence de la jolie poésie chevaline avec des petites fleurs à la rimbaud (je savais qu'elle vénérait rimbaud) mais faisait référence à une substance qu'un vieux briscard comme toi connait bien mieux que moi...
Si ça se trouve tu as même vu la miss à l'époque de sa jeunesse. (je suis de génération pixies surfer Rosa et my bloody Valentine, mais adorant le Velvet et les stooges, là aussi quel fantastique premier album!!!)

Mais "horses" cet album... Chaque morceau... Ce premier morceau gloria véritable hymne d'église de l'électricité pour moi, et puis cet autre chant d'église, élégie à tous ces disparus (dus aux horses (mais ça je ne l'ai su que plus tard)... L'intensité et la beauté de chaque morceau...
Jusqu'à la pochette parfaite (en k7 car le vinyl, qu'est ce c'était que ça ? J'étais pas assez riche pour savoir, et ça tient dans une poche quand ça se vole)... À contempler en regardant le plafond et tenter de décrypter les paroles (non, toujours pas d'internet, pas de "lyrics" à portée de clic disponible avec une facilité de nausée parfois car tout est trop accessible et ça clic, clic, clic au suivant, au suivant etc, etc... Où se forge la mémoire de l'absolu unique ?), non pas de paroles sur la vieille k7 - donc play, pause, noter à la main, (l'ordinateur c'était Amstrad à l'école) play, pause, écrire, etc, etc. Après des heures, des paroles d'une poésie extraordinaire et unique... Incompréhensible mais si belles...
J'ai fait une fac d'anglais où j'ai enfin trouvé d'autres coreligionnaire en musique.

Bref, le sublime à l'état pur...
Enfin c'est à dire pour un très sobre ;-) relatif donc...

Encore un mail roman...

Sur ce...