Il n'y a pas vraiment de réponses absolues à cette question je crois.
Ce qui est sûr, c'est que ton cerveau "connaît" le produit, aime la sensation, ce qui augmente forcément le risque.
Après, si c'est ponctuel, bien encadré médicalement et que tu réussis à éviter l'utilisation récréative, il me semble que c'est faisable. Faudra faire attention. Mais de toute façon, tu n'en es pas là, je crois.
Tu as réussi à gérer le
sevrage sec, alors ? Comment ça va le moral ? L'atarax a réussi à t'aider ? (c'est typiquement le genre de truc que je peux gober comme des smarties sans aucun effet)