Dernière modification par Gilac (07 mai 2010 à 01:09)
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Dernière modification par Gilac (07 mai 2010 à 01:37)
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Mr.Self_Destruct a écrit
Gilac pour celle de Spiegel avec le mirroir qu'est trop belle si tu pouvais la mettre a dispo en haute-def srait super sympatoche !
Petit mot de l'admin de service
Si vous avez des fichiers volumineux, sachant que dans votre profil vous êtes limités en taille et qu'héberger sur un serveur d'images ne permet pas toujours de poster des tofs supérieures à une certaine taille, et à moins que vous ne vous les passiez en mail privé, vous pouvez toujours me les transmettre par courriel (formulaire mail sous mon pseudo).
Je les mettrai sur le serveur ; je posterai un lien d'où elles seront disponibles en téléchargement (avec un "aperçu" si vous le souhaitez dans le post).
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MAROC 2008
Ben si c'est interdit de la fumer, y a des esprits mal placés qui vont penser qu'il faut donc la shooter.... et on va encore dire que c'est la faute du colonialisme.
Dernière modification par Gilac (10 juin 2010 à 23:58)
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Une expo originale[center]
[/center]
http://www.lesinrocks.com/actualite/act … ee-au-mur/
L´héroïne fixée au mur
Le collectif new-yorkais Social Art expose des logos tamponnés sur les sachets de drogue vendus en ville. Une esthétique subversive associée à un message de prévention.
White Box Gallery, Manhattan. Dans cet espace immaculé, le collectif new-yorkais Social Art a décidé de mettre en lumière l´esthétique des logos tamponnés sur les sachets d´héroïne dealés en ville. Environ 150 sachets en glassine (ce papier plastifié, blanc translucide), désormais vides, tamponnés, récupérés dans les rues ou auprès d´usagers, sont ainsi exposés sous verre.
Cent cinquante, comme le nombre de doses que s´injecte chaque mois un consommateur moyen. “The last” (“la dernière”) proclame l´un. “Pricele$$” (“inestimable”) affirme un autre. Sur un troisième, un petit cercueil domine les mots “No pain” (“sans douleur”). Un autre clame “Last shot” (“dernier shoot”)... L´encre bave un peu, le tamponnage est bien sûr artisanal. Il sert à reconnaître les dealers, différencier la qualité de l´héro contenue dans le sachet...Sur le secteur légal, on appellerait ça du marketing. Douze de ces icônes ont été tirées en grand format. Le logo du célèbre magazine Life, ironiquement tamponné, saute aux yeux dès l´entrée.
Graphismes subversifs, certes, mais la controverse a su être évitée grâce au lien entre l´art et le message de prévention et de santé publique.
“Au départ, j´étais inquiète quant à l´aspect glamour que pouvait créer une telle exposition à propos de la drogue”
, reconnaît Liza Vadnai, membre du collectif organisateur qui regroupe artistes et intellos new-yorkais.
Avant de rejoindre New York, elle aidait des toxicomanes de San Francisco.
“Si Social Art porte ce nom, c´est que nous cherchons à utiliser l´art pour poser des questions de société et montrer un autre pan d´un sujet. Notre idée est d´utiliser le visuel pour instaurer le dialogue”
, poursuit-elle.
Tout commence en 2001, dans les bas-fonds de Brooklyn, du côté de Bushwick. Pedro Mateu-Gelabert, sociologue, s´intéresse au lien entre le virus du sida et l´utilisation des drogues.
Le jeune chercheur arpente les couloirs obscurs de buildings désaffectés, lieux discrets où les toxicos viennent préparer leur fix et se l´injecter. Il découvre alors, jonchant le sol, ces petites enveloppes tamponnées, ayant servi à transporter l´opiacé. “Shooter” et ses deux flingues face à face, ou le diablotin qui s´esclaffe : “No limit.” Il est fasciné.
“Pedro m´a montré les sachets, les tampons... C´est lui qui a eu l´idée d´exposer ça”
, raconte Liza Vadnai.
La ville de New York et le Conseil culturel du quartier du Lower East Side (où réside la galerie) ont financé cette expo qui n´a duré qu´une semaine. Le Lower East Side : un quartier assez symbolique dans ce domaine. Dans les années 80 et 90, il était le principal spot de Manhattan pour l´approvisionnement en drogues de tous genres. La tolérance zéro de Rudy Giuliani est passée par là , le quartier est désormais réhabilité. Mais le problème demeure : il y aurait entre 300 000 et 500 000 héroïnomanes à New York. Une dose (entre 0,3 et 0,5 gramme) coûte environ 10 dollars. C´est le prix d´un pack de bières.
Dernière modification par Gilac (29 juin 2010 à 16:22)
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Voilà ce qui arrive, ils perdent tout sens moral et se comportent comme des bêtes
Et sous l'effet de tous ces prods, certains perdent tout sens moral et vont même jusqu'à chercher du boulot, n'hésitant pas, très égoïstement, à vouloir prendre la place d'un chômeur
mais c'est bien connu, les drogués c'est vilain et dangereux, alors ils faut les enfermer impitoyablement après les avoir castrés car sinon voilà ce qu'ils font derrière les barreaux
Mais heureusement grâce à la sainte miséricorde divine, s'ils se repentent sincèrement, ils peuvent parfois être sauvé
Dernière modification par Gilac (08 juillet 2010 à 03:09)
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Dernière modification par Mad Professor (19 janvier 2011 à 18:23)
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Mad Professor a écrit
Je précise que j'ai trouvé cette photo sur le net (sur Bluelight), pas envie d'avoir de descente des stups chez moi
Quel dommage Moi qui pensais me faire inviter !!!
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Dernière modification par Gilac (10 septembre 2011 à 21:37)
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Dernière modification par Gilac (10 septembre 2011 à 21:47)
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[ Forum ] Iconographie - ICONO "E" comme "Ecstasy
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